Aller au contenu
Fini la pub... bienvenue à la cagnotte ! ×
AIR-DEFENSE.NET

Spatial militaire France et Europe (actualités)


Bechar06

Messages recommandés

Ça va chauffer en orbite...

faucon-millenium-mdr-espace.jpeg

https://www.bfmtv.com/politique/gouvernement/une-forme-de-guerre-des-etoiles-lecornu-alerte-sur-la-vulnerabilite-de-la-france-dans-le-domaine-spatial_AN-202503130887.html

"Une forme de guerre des étoiles": Lecornu alerte sur la "vulnérabilité" de la France dans le domaine spatial"

« Nous sommes la génération d’êtres humains qui allons connaître ce qui pourrait être une forme de guerre des étoiles ».

Modifié par Ronfly
  • J'aime (+1) 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 1 month later...

https://www.opex360.com/2025/05/11/le-ministere-des-armees-veut-louer-un-satellite-japonais-pour-sexercer-aux-manoeuvres-de-rapprochement-en-orbite/

 "... Le CdE envisage d’utiliser le satellite ADRAS-J, seul satellite actuellement en orbite disposant de capacités de déplacement importantes et des capteurs nécessaires pour se rapprocher de manière autonome » d’une cible, explique le ministère des Armées. « Ses réserves de carburant, bien que décroissantes, sont actuellement suffisantes pour cette mission », ajoute-t-il.

Cette mission, qui permettra d’identifier et de préciser les besoins opérationnels du CdE, pourrait avoir lieu d’ici la fin de cette année, le marché proposé devant durer huit mois après avoir été notifié..."

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 1 month later...

"Pour lancer les prochains démonstrateurs de planeurs hypersoniques VMAX qu’il développe (2ème photo),

ArianeGroup a conçu une fusée-sonde souveraine, SyLex. Le retour de la France sur un segment délaissé depuis un bail"

 

  • J'aime (+1) 2
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

il y a 47 minutes, Titus K a dit :

Par curiosité, à part Vmax, c’est quoi le marché pour une fusée sonde française ?

Les satellites de "missions". Eutelsat vient de se faire notifier un contrat par le mindef. Le but est éventuellement de lancer des satellites qui ne resteront en l'air que quelques heures si besoin. Autre possibilité le ravitaillement par charge balistique de l'autre côté de la terre. Les deux ont été évoquées par le mindef dans son interview postée je ne sais plus où. En lisant entre les lignes on voit aussi la possibilité de satellites kamikazé sur les satellites adverses.

Le but de ces annonces est de mettre le doute à nos adversaires en montrant bien qu'on a de l'incertitude en stock si besoin.

Modifié par herciv
  • Upvote (+1) 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Les spaceballs de la Luchtwaffe

Citation

 

Armement en Europe : un drone d’un nouveau genre annoncé

L’industrie allemande de défense explore de nouvelles pistes technologiques. Deux acteurs du secteur, Polaris Raumflugzeug et Diehl Defence, ont récemment annoncé une collaboration stratégique pour concevoir un système innovant mêlant drone spatial réutilisable et missiles à moyenne portée. Ce projet, baptisé AirLAS (Airborne Launching and Attack System), marque une nouvelle étape dans les ambitions technologiques de l’Allemagne.

Le principe d’AirLAS repose sur l’intégration de missiles IRIS-T à bord d’un véhicule spatial développé par Polaris Raumflugzeug. Ce véhicule, capable d’effectuer plusieurs vols sans être remplacé, serait lancé depuis la terre ferme ou une plateforme mobile, puis opérerait dans les hautes couches de l’atmosphère. Les missiles embarqués, dotés d’une portée de 25 kilomètres, seraient utilisés pour des missions d’interception ou d’attaque ciblée.

L’industrie allemande de défense explore de nouvelles pistes technologiques. Deux acteurs du secteur, Polaris Raumflugzeug et Diehl Defence, ont récemment annoncé une collaboration stratégique pour concevoir un système innovant mêlant drone spatial réutilisable et missiles à moyenne portée. Ce projet, baptisé AirLAS (Airborne Launching and Attack System), marque une nouvelle étape dans les ambitions technologiques de l’Allemagne.

Le principe d’AirLAS repose sur l’intégration de missiles IRIS-T à bord d’un véhicule spatial développé par Polaris Raumflugzeug. Ce véhicule, capable d’effectuer plusieurs vols sans être remplacé, serait lancé depuis la terre ferme ou une plateforme mobile, puis opérerait dans les hautes couches de l’atmosphère. Les missiles embarqués, dotés d’une portée de 25 kilomètres, seraient utilisés pour des missions d’interception ou d’attaque ciblée. (...)

Au-delà de la version actuelle, AirLAS pourrait servir de base à d’autres technologies, notamment dans le domaine des armes hypersoniques ou des systèmes de surveillance longue portée. Le véhicule spatial réutilisable représente aussi une opportunité en matière de réduction des coûts et d’optimisation logistique pour les armées.

 

Source: La Nouvelle Tribune

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 1 month later...

http://www.paxaquitania.fr/2025/06/hyprspace-realisera-son-1er-lancement.html       HyPrSpace va tirer depuis la France métropolitaine, et se prépare pour la Défense     avec Baguette-One

"La start-up bordelaise HyPrSpace  ( start-up -de 90 salariés ) , qui développe un lanceur basé sur une motorisation hybride, a annoncé au Bourget que son tir inaugural, qui aura lieu en 2026, se fera depuis un site de la DGA Essais missiles en France métropolitaine. Ce qui laisse deux options: Biscarrosse, ou Toulon.   La belle histoire continue entre HyPrSpace et la DGA

HyPrSpace a en effet annoncé lors du Salon du Bourget la semaine dernière, qu'avant d'envisager les lancements orbitaux depuis la Guyane Française, la première étape passerait par la France  métropolitaine grâce à un accord passé avec la DGA EM. Le vol inaugural du démonstrateur Baguette-One, suborbital, se fera donc soit depuis Biscarrosse dans les Landes, soit depuis Toulon. Cet essai est toujours prévu pour 2026

Dans le même temps, HyPrSpace, qui se définit désormais comme une entreprise à vocation duale, une entreprise du New Defense  commence à imaginer des applications militaires pour sa future gamme de lanceurs, à commencer par le lanceur suborbital Baguette-One, dont la flexibilité offerte par l'hybridité de sa motorisation offre des perspectives intéressantes en terme d'emploi (réactivité), de coûts (production, carburants), et même de mobilité (stockage, préparation)

Au Bourget, la start-up affichait même des vues d'artistes et des maquettes, illustrant par exemple un lancement de charges militaires (en image ci-dessous avec un planeur hypersonique) depuis la remorque d'un TEL, un tracteur-érecteur-lanceur. Une solution a qui attiré tout l'intérêt du ministre des Armées en personne. "

  • J'aime (+1) 1
  • Merci (+1) 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 2 weeks later...

https://www.usine-digitale.fr/article/new-space-infinite-orbits-leve-12-millions-d-euros-pour-prolonger-la-duree-de-vie-des-satellites.N2212920

Éviter de remplacer un satellite télécoms à court de carburant en prolongeant sa durée de vie : tel est l’objectif affiché par Infinite Orbits, start-up basée à Toulouse (Occitanie). Cette dernière a annoncé, le 13 mai, une levée de fonds de 12 millions d’euros. Un tour de table mené par le fonds d’investissement français Newfund Capital, avec le soutien du Conseil européen de l’innovation (EIC), d’IRDI Capital Investissement et de SpaceFounders France, le programme d’accélération du Centre national d’études spatiales (Cnes).

Un premier nanosatellite lancé l’année dernière ( 2023 )

Infinite Orbits est spécialisée dans les services en orbite, un marché ayant vu le jour avec l’accélération phénoménale du nombre de satellites en orbite. “Entre 1957 et 2020, 2500 satellites en orbite ont été lancés au total, explique Adel Haddoud, CEO et fondateur d’Infinite Orbits. Rien qu’ en 2021, 2500 satellites en orbite ont été lancés.” Un chiffre qui s’explique en partie par la chute du coût de la mise en orbite, ayant permis à certaines sociétés comme Starlink de déployer près de 4000 satellites au-dessus de nos têtes.

Forte de ce constat, Infinite Orbits a lancé l’année dernière son premier nanosatellite “Orbit Guard” dans l’espace, à l’aide du Falcon Heavy de SpaceX

La start-up toulousaine Infinite Orbits, spécialiste des services en orbite, vient de lever 12 millions d’euros. Son futur satellite Endurance, prévu pour 2026, sera capable de missions de surveillance spatiale, mais aussi de s’amarrer à d’autres satellites pour prolonger leur durée de vie

Le projet d’Infinite Orbits s’appuie sur la technologie RPO (Rendez-vous and proximity operations), utilisée dans le cadre de missions institutionnelles. Des opérations coûteuses en temps et en manœuvres de sécurité. “Notre technologie permettrait de faire ceci de manière autonome, avec une simple caméra, à la manière d’une voiture autonome, affirme le CEO d’Infinite Orbits. Le tout en utilisant l’intelligence artificielle, pour reconnaître ce qui se passe autour.” En s’amarrant, “Endurance” devrait reprendre les fonctions de navigation du satellite en fin de vie, à la manière d’un remorquage.

Une technologie qui reprend les fonctions de navigation du satellite... 

Amarrage prévu en 2027

La start-up travaille principalement sur la technologie propre, le rendez-vous et l’amarrage, et sous-traite d’autres systèmes, comme le lancement et la propulsion. Elle prévoit de lancer “Endurance” pour le deuxième semestre 2026, et de débuter l’amarrage en 2027. Infinite Orbits a déjà trouvé son client. “’Endurance’ va mettre quelques mois à se positionner sur la bonne orbite, trouver son client, faire un rendez-vous sécurisé et s’amarrer, détaille Adel Haddoud. Une fois qu’il est amarré, cela peut durer cinq ans.” Pour l’heure, seul le conglomérat américain Northrop Grumman est parvenu à mettre en orbite un tel satellite, pour l’opérateur Intelsat.

Actuellement, Infinite Orbits compte 42 collaborateurs, un chiffre qui grimpera à 50 pour la fin de l’année. En plus de son siège toulousain, elle dispose de bureaux à Singapour et aux États-Unis. “Nous travaillons beaucoup avec l’international, et faisons 100% d’export, conclut Adel Haddoud. Nos deux premiers satellites ont été conçus à 80% en Europe, avec le financement de la Commission européenne.”

MISE EN CONTEXTE... MILITAIRE: 

avec https://www.opex360.com/2025/08/11/le-ministere-des-armees-va-se-doter-dun-satellite-orbit-guard-pour-inspecter-lorbite-geostationnaire/

"la Direction générale de l’armement [DGA] ... développer des capacités de surveillance, d’inspection et d’action en orbite, dans le cadre d’une opération d’ensemble qui, appelée ARÉS [Action et résilience spatiale], compte trois volets : surveillance, action et C4 [Computerized Command, Control, Communications]

Ainsi, le programme YODA [Yeux en Orbite pour un Démonstrateur Agile], confié à l’entreprise Hemeria, doit se concrétiser par la mise au point de deux nano-satellites « patrouilleurs » afin d’assurer une « défense active » en orbite proche géostationnaire. Si un appel d’offres avait été émis en 2022 pour leur lancement, ces deux engins ne sont toujours pas entrés en service. Probablement qu’ils seront lancés cette année.   Mais YODA n’est qu’un programme expérimental étant donné qu’il doit contribuer au développement du système EGIDE [Engin géodérivant d’intervention et de découragement], censé être opérationnel à l’horizon 2030

Pour l’orbite basse [LEO – Low Earth Orbit], la DGA a retenu, l’an passé, U-Space et MBDA pour réaliser la démonstration TOUTATIS [Test en Orbite d’Utilisation de Techniques d’Action contre les Tentatives d’ingérences Spatiales], laquelle doit s’appuyer sur les satellites Splinter et Lisa1.  Ces deux engins, « l’un guetteur, l’autre chasseur, disposeront de capacités distinctes mais complémentaires qui leur permettront d’ expérimenter diverses technologies dans le cadre de scénarios d’opérations spatiales réactives »

la DGA, qui vient d’annoncer le lancement de PALADIN, un autre programme dédié à la surveillance en orbite, via un accord-cadre notifié à la PME toulousaine Infinite Orbits et dont le montant maximum est de 50 millions d’euros.

« L’accord-cadre PALADIN permet à la fois de fournir un service d’inspection et de surveillance de l’orbite géostationnaire au Commandement de l’Espace [CdE] et de le préparer aux opérations d’action dans l’espace », a précisé la DGA

PALADIN vise à développer et à exploiter un « service d’inspection et de surveillance de l’orbite géostationnaire » au profit du CdE. En outre, il permettra à ce dernier de s’entraîner aux manœuvres de rapprochement en orbite"

Modifié par Bechar06
  • J'aime (+1) 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Veuillez vous connecter pour commenter

Vous pourrez laisser un commentaire après vous êtes connecté.



Connectez-vous maintenant
  • Statistiques des membres

    6 159
    Total des membres
    3 754
    Maximum en ligne
    Paris_est_magic_2
    Membre le plus récent
    Paris_est_magic_2
    Inscription
  • Statistiques des forums

    21,7k
    Total des sujets
    1,8m
    Total des messages
  • Statistiques des blogs

    4
    Total des blogs
    3
    Total des billets
×
×
  • Créer...