Aller au contenu
Fini la pub... bienvenue à la cagnotte ! ×
AIR-DEFENSE.NET

Messages recommandés

Le taux de mortalité infantile est le rapport entre le nombre d'enfants décédés à moins d'un an et l'ensemble des enfants nés vivants. Ce taux permet de juger de la qualité des soins obstétriques et pédiatriques d'un pays.

Le taux de mortalité infantile saoudien a fait d'énormes progrès et se rapproche désormais des standards des pays développés (moins de 9 pour 1000).

Education

L'enseignement est gratuit, mais n'est pas obligatoire en Arabie saoudite.

En 2005, le taux d'alphabétisation était de 85,9% pour les hommes et 73,3% pour les femmes ce qui reste bien insuffisant au regard de ce qui se passe dans les pays de niveau de vie comparable.

effectivement rien à voir avec la somalie .

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 2 weeks later...

Soutien français à Mogadiscio

 

07/05/2009

 

 

   

Dans le cadre du programme d’aide à la reconstruction de l’Etat somalien, la France va former durant six mois, à Djibouti, quelque 500 militaires somaliens.

Une formation dont le financement sera assuré par la Ligue arabe, à hauteur de 18 millions de dollars. Reste qu’au vu de la situation locale, certains s’interrogent sur l’impact de ce plan d’aide à la Somalie, qui intervient bien tard. Les observateurs doutent notamment de la capacité des autorités somaliennes à “dégager” 500 hommes suffisamment aptes à suivre la formation française.

En outre, au regard de la situation locale et face à la montée en puissance des milices islamistes et des groupes tribaux, un tel détachement pourrait s’avérer risqué pour les autorités somaliennes. En effet, celles-ci ne peuvent s’appuyer actuellement que sur une force d’à peine 3 000 hommes.

Par ailleurs, l’Union européenne va verser près de 60 millions de dollars à Mogadiscio, afin de permettre la couverture des besoins en matière de sécurité, mais surtout pour payer les salaires des forces de sécurité. L’aide financière de l’Europe doit permettre de freiner l’hémorragie au sein des forces régulières somaliennes, qui ont connu près de 10 000 désertions au cours de la seule année 2008.

Selon Mogadiscio, ce sont quelque 10 000 hommes et 6 000 policiers qui seraient nécessaires pour restaurer un début d’autorité dans le pays.

http://www.ttu.fr/francais/Articles/Actualite%20des%20forces/soutienfrancesom.html

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Combats à Mogadiscio: les shebab admettent l'aide de combattants étrangers


Image IPB

A man who calls himself "the American" appears in a video promoting the cause of Somalia's al-Shabab militant group, which the U.S. government has linked to al-Qaida.


MOGADISCIO (AFP) — Les islamistes radicaux somaliens des shebab ont pour la première fois admis mardi que des combattants étrangers étaient engagés à leurs côtés dans les derniers affrontements meurtriers contre les forces pro-gouvernementales dans Mogadiscio.

"Ceux qui appellent +étrangers+ nos frères musulmans ont tort, ils sont venus aider leurs frères en Somalie, donc nous ne pouvons pas dire qu'ils sont étrangers", a déclaré à la presse un haut responsable des shebab en charge des affaires régionales, Cheick Hussein Ali Fidow.

"Après l'appel lancé par la communauté somalienne, nos frères mulsulmans sont venus nous rejoindre pour défendre notre pays des envahisseurs venus d'Ethiopie et leurs laquais", a ajouté Cheikh Fidow, sans fournir d'indications sur leur nombre et leurs nationalités.

"Certains sont morts en martyrs, d'autres ont été blessés et les autres sont toujours prêts à se battre par égard pour leurs frères musulmans", a-t-il poursuivi en référence aux combattants étrangers.

Mardi, un haut responsable à la présidence somalienne parlant sous couvert d'anonymat a déclaré que son pays était "en guerre avec des mercenaires étrangers qui déstabilisent la Somalie".
"Ces combattants (étrangers) ont été invités par l'organisation des shebab qui est opposée à la paix", a-t-il ajouté.

De violents affrontements ayant fait au moins 41 morts, ont opposé depuis jeudi dernier les forces du gouvernement alliées à des milices islamistes pro-gouvernementales à des forces anti-gouvernementales, composées essentiellement des shebab et de la milice islamiste du groupe Hizb al-Islamiya.

Mardi à la mi-journée, la situation était calme à Mogadiscio.

Les shebab sont à la tête d'une insurrection en Somalie et ont fait savoir ces derniers mois leur opposition au régime de l'islamiste modéré Sharif Sheikh Ahmed, élu président fin janvier. Ils ont prévenu qu'ils poursuivraient leurs attaques contre les forces gouvernementales jusqu'au départ du président.

Dans un message audio diffusé le 19 mars sur internet, le chef d'Al-Qaïda Oussama Ben Laden a enjoint les shebab à renverser M. Ahmed.

La Somalie est en guerre civile depuis 1991.

Copyright © 2009 AFP. Tous droits réservés.
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Mais la convention de Genève ne s'applique qu'à ceux qui la respectent non? Si l'une des parties ne l'applique pas, on est pas obligé de le faire... donc l'odeur du napalm au petit matin devrait pouvoir être d'actualité Et puis il y a la MOAB  :lol:

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Cette situation est dû a la politique de Bush et de ces Néo-CONS, les somaliens sont devenues plus extrémistes...

En Somalie, l'étau se resserre autour du gouvernement qui ne contrôle plus que quelques zones de la capitale

Image IPB

Pour le minuscule Gouvernement d'union nationale (GUN) coincé dans le secteur de Villa Somalia, la présidence, à Mogadiscio, il y a danger de mort. Après des mois de préparation, les groupes extrémistes ont lancé l'assaut contre cet embryon de pouvoir qui ne contrôle que quelques quartiers de la capitale et une poignée de bourgades dans le sud du pays.

Depuis jeudi 7 mai, la zone sous son contrôle s'est réduite à l'extrême, grignotée par l'assaut de combattants des groupes shabab ("jeunes") et Hizbul Islam (Parti de l'islam). En quelques jours, les combats à l'arme lourde ont fait des dizaines de morts, de nouvelles destructions, et poussé à l'exode des familles qui étaient rentrées à Mogadiscio ces derniers mois en pariant sur la capacité du GUN à pacifier la capitale.

Adeptes d'un islam fruste et violent, des attentats-suicides et d'une version extrême du huddud (les châtiments corporels), déployant au vent leurs drapeaux noirs, leurs visages masqués, les combattants shabab lancent désormais leurs forces à l'assaut de la capitale avec l'appui du Hizbul Islam et, pour la première fois, de combattants venus de l'extérieur de la Somalie, armes à la main.

La coalition shabab-Hizbul Islam gagne du terrain. Les forces du GUN qui occupaient des secteurs stratégiques de la capitale, comme le stade, l'ex-ministère de la défense, les anciennes usines de cigarettes ou de spaghettis, ont fui pendant le week-end devant les attaques, abandonnant ou vendant une partie de leur matériel aux insurgés. Ces derniers sont maintenant à portée de tir de la présidence et contrôlent les villes des environs, enserrant la capitale.

Les soldats de la Mission de l'Union africaine en Somalie, l'Amisom (5 100 hommes à Mogadiscio), qui doivent former les troupes du GUN si celui-ci n'est pas balayé, pourraient être amenés à défendre ce réduit, qui communique avec le port. L'un des chefs des attaquants, Cheikh Hassan Dahir Aweys, a assuré qu'il chasserait ces soldats ougandais et burundais, qu'il qualifie de "vermine" et, d'une manière générale, d'impies.

Les shabab ont beau affirmer, encouragés à distance par Oussama Ben Laden, être engagés dans un djihad, la guerre qu'ils ont déclenchée dans la capitale semble plus nourrie par des enjeux de pouvoir que par la religion. Cheikh Chariff Cheikh Ahmed, le président du GUN, est un islamiste qui vient d'instaurer l'usage de la charia, et a obtenu d'un groupe d'oulémas qu'ils lancent une fatwa contre les assaillants, au nombre desquels se trouve Cheikh Hassan Dahir Aweys, la figure tutélaire de l'islamisme somalien rentré d'exil en Erythrée juste au moment où la communauté internationale décidait, fin avril, de soutenir financièrement le GUN.

Les deux "Cheikh", Hassan et Chariff, siégeaient côte à côte il y a trois ans au sein du mouvement armé des Tribunaux islamiques, qui avait pris le pouvoir à Mogadiscio en 2006, avant d'en être chassés six mois plus tard par une intervention éthiopienne soutenue par les Etats-Unis. Un mouvement insurrectionnel était né, où avaient prospéré les extrémistes initialement marginaux au sein des Tribunaux islamiques. A la suite d'une conférence tenue à Djibouti, un nouveau pouvoir de transition a été formé en janvier 2009, dirigé par Cheikh Chariff Cheikh Ahmed. Aujourd'hui, les deux anciens alliés se font la guerre alors que les Ethiopiens se sont retirés.

"Ce qui se passe est grave, s'alarme Ahmedou Ould Abdallah, le représentant spécial du secrétaire général des Nations unies en Somalie, les adversaires du processus en cours et les Etats qui les soutiennent voient le pouvoir actuel consolider sa position. Ils veulent interrompre cette consolidation." Désignant l'"alliance hétéroclite" qui menace l'existence du GUN, M. Ould Abdallah ajoute qu'elle reçoit l'appui "des Erythréens, des djihadistes et de combattants étrangers".

APPUI DE L'AMISOM

Cheikh Chariff Cheikh Ahmed, qui compte sur l'appui des soldats de l'Amisom, a dénoncé à Mogadiscio les "soi-disant Somaliens" qui l'attaquent et "travaillent pour des pays étrangers".

Plusieurs pays africains ou arabes sont suspectés d'apporter une aide logistique aux attaquants, Erythrée en tête. La semaine passée, un avion Ilyoushine chargé d'armes affrété par un pays de la région a atterri à Balidogle, à cent kilomètres de Mogadiscio, pour livrer des armes aux insurgés. Plusieurs sources, y compris des témoins directs joints par téléphone à Mogadiscio, affirment avoir vu des "étrangers", notamment dans le secteur d'Ikfa Halane, au nord de Mogadiscio, faire le coup de feu aux côtés des groupes extrémistes.

Entre 400 et 600 combattants originaires de la péninsule arabique, d'Asie du Sud, ou des Somaliens vivant dans des pays occidentaux, auraient rejoint les shabab. Récemment, un combattant porteur d'un passeport canadien a été arrêté. Un autre, porteur d'un passeport britannique, a été tué pendant le week-end.

Juin 2006 Après une montée en puissance tout au long de l'année, les forces des Tribunaux islamiques prennent le pouvoir à Mogadiscio, la capitale.

Décembre Une intervention éthiopienne chasse du pouvoir les Tribunaux islamiques. Près d'un million de personnes sont déplacées.

Janvier 2009 Retrait des troupes éthiopiennes de Somalie.

31 janvier Cheikh Chariff Cheikh Ahmed est élu président du gouvernement d'union nationale (GUN) tandis que les shabab prennent le contrôle du sud du pays.

23 avril Une conférence internationale promet le versement de 250 millions de dollars pour appuyer le GUN.

Mai Offensive des groupes islamiques contre le GUN à Mogadiscio.

http://www.lemonde.fr/afrique/article/2009/05/12/en-somalie-le-gouvernement-ne-controle-plus-que-quelques-zones-de-la-capitale_1191975_3212.html

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

la communauté internationale n'a pas assé soutenue le gouvernement somalien , l'onu n'a pas fait son boulot comme d'habitude ,  et le pire dans tout ça c'est le faite que le gouvernement somalien qui était la dernière chance des somaliens d'espérer un jour retourné de l'age de piére au 21e siècle a accepté de cédé aux salafistes et applique leurs chaaria personnalisé ...

a cause de ça le gouvernement somalien est entrain de perdre le soutien de l'UA , les pays africains qui ont envoyer leurs troupes la bas sont de s'en mordre les dois et les pays qui avaient promis d'envoyer des troupes n'ont pas donnée aucune date ...

bref la situation ne peut qu'empirait pour les somaliens...

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

On essayé en 1993, on s'est fait kickés.

Intervention sous casque bleu… avec une force de protection des casque bleus, à laquelle nous avons aussi participé (de mémoire 1500 hommes je crois…). Une nouvelle intervention, avec un vrai cadre d'utilisation de la force, de vraies règles d'engagements (donc pas sous casque bleu…) et ça aurait tout de suite une autre tronche !
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

On essayé en 1993, on s'est fait kickés.

gibbs:

ils ont pas du voir le match à la télé   :lol:

déjà qu'ils avaient flingués des militaires pakistanais qui participé à cette aide ,alors des non musulmans se mêlé de leurs affaires sa le faisait encore moins en 1993.faut arrété de croire qu'on est responsable de tout .quand syad barre s'est barré du pouvoir (tient sa rime bien  :lol:)en 1991 s'était plié ,la somalie été devenu incontrôlable .

pour la participation française ,sa a commencé en 92 avec l'opération oryx et ils ne portaient pas le casque bleu au début ,ils étaient là pour soutenir la force de l'ONU déjà présente .

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

hé bien c'était ce Aidid ou quelque chose comme ça , un chef de guerre qui contrôlait tout a l'époque , il avait fait au tan de mal a la population civile somalienne qu'au forces de l'ONU et a l'armée US !

se petit chef de guerre local n'est pas vraiment une raison pour que la communauté international se soit retiré et est abandonné les somaliens a leurs sort .

édit : oui j'avais pas relis mon poste aven de posté ..

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

hé bien c'était ce aidid ou quelques chose comme , un chef de guerre qui contrôlait tout a l'époque , il avait fait au tant de mal a la population civile somalienne qu'au forces de l'onu et a l'armée US !

se petit chef de guerre locale n'est pas vraiment une raison pour que la communauté international se retiré et abandonne les somaliens a leurs sort

Je ne veux pas paraître grossier mais tu devrais essayer un traitement de texte afin d'améliorer ton français ou te relire un minimum.

L'opération contre Aidid était en bonne voie, les FS US avaient neutralisées ses lieutenants. Le problème était surtout que faire tomber ce type ne suffisait pas, mais alors là pas du tout. Faut comprendre que le Nation building ça coute très cher, humainement et économiquement. Que Aidid n'était qu'un parmi les autres et que selon la culture somalienne  lorsque le clan part à la guerre c'est tout le clan ; femmes et enfants compris (donc boucliers humains et tutti quanti). Redresser la Somalie on y serait encore si on avait commencé en 1993, l'opinion publique ne soutiendrait plus depuis 10 ans au moins et les parlementaires.... dès 1993 ils ne soutenaient plus (d'où le retrait US).

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Bah, suffit de les laisser s'entretuer et de vaporiser tout ceux qui veulent sortir avec des velléités terroristes en collant des visa et autres contraintes à tout ressortissant somalien. De toute façon, il n'y a rien d'intéressant dans ce pays ou du moins suffisamment intéressant pour s'encombrer de ce merdier sans nom. Un cordon sécuritaire autour du pays et puis voilà.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Bah, suffit de les laisser s'entretuer et de vaporiser tout ceux qui veulent sortir avec des velléités terroristes en collant des visa et autres contraintes à tout ressortissant somalien. De toute façon, il n'y a rien d'intéressant dans ce pays ou du moins suffisamment intéressant pour s'encombrer de ce merdier sans nom. Un cordon sécuritaire autour du pays et puis voilà.

C'est un merdier tel qu'il va être difficile de définir un ressortissant somalien. entre ceux qui viennent de Puntland, Somalieland, Somalie gouvernemental et Somalie de Shebab......

Image IPB

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Mogadiscio se prépare à une bataille suite aux menaces d'un chef islamiste

Image IPB

MOGADISCIO (AFP) — Les forces pro-gouvernementales somaliennes soutenues par le contingent africain et les insurgés islamistes se préparaient à une bataille décisive à Mogadiscio, où un chef des islamistes a exhorté jeudi le chef de l'Etat à démissionner pour éviter un nouveau bain de sang.

Des dizaines de personnes ont été tuées dans la capitale depuis le lancement le 7 mai d'une offensive contre le président Sharif Sheikh Ahmed, un islamiste modéré, par les insurgés islamistes radicaux, avec à leur tête les combattants de cheikh Hassan Dahir Aweys M. Aweys et le groupe des shebab.

"J'appelle cheikh Sharif Sheikh Ahmed à abandonner son poste autoproclamé de président afin d'épargner les vies des Somaliens", a déclaré par téléphone à l'AFP cheikh Hassan Dahir Aweys.

"Nous n'avons pour ainsi dire pas de vrai gouvernement, mais des marionnettes étrangères qui se proclament responsables de la Somalie", a-t-il ajouté.

Ce chef islamiste radical, qui entretient des liens avec Al-Qaïda d'après Washington, a été en outre accusé mercredi par l'envoyé spécial de l'ONU pour la Somalie, Ahmedou Ould-Abdallah, d'avoir mené "une tentative de coup d'Etat" ces derniers jours.

Le gouvernement contrôle uniquement quelques rues et immeubles de Mogadiscio, ainsi que des points stratégiques comme la présidence, des bâtiments administratifs, le port et l'aéroport.

Jeudi, les insurgés, avec dans leurs rangs de très jeunes adolescents, se sont déployés à proximité du palais présidentiel et d'institutions publiques, dans un face à face tendu avec les forces gouvernementales et la mission de paix de l'Union africaine (UA) en Somalie (Amisom).

"Nous savons qu'ils (les insurgés) ont déployé beaucoup de combattants et qu'ils se préparent à leur attaque finale, mais ils ne gagneront jamais", a déclaré à l'AFP le colonel Ahmed Dahir, des forces gouvernementales.

L'Amisom, forte de 4.000 soldats ougandais et burundais et qui dispose de matériel lourd - chars, artillerie -, affichait également sa confiance.

"Leurs intentions sont claires, ils ne veulent pas la paix et la violence est leur mode de vie. Mais ils ne réussiront pas", a assuré à l'AFP le porte-parole de l'Amisom, Bahuko Baridgye.

Ces derniers jours, l'Amisom a renforcé ses positions d'artillerie dans la ville, selon des habitants qui, terrorisés à l'idée d'une nouvelle bataille au canon, continuent de fuir la capitale, détruite par 18 ans de guerre.

"Il n'y a pas d'espoir de paix à Mogadiscio. Nous voyons que les islamistes préparent une attaque contre le palais et j'ai vu les soldats de l'Amisom déployer des renforts et de l'artillerie", témoignait Farah Sahal, père de deux enfants, avant de quitter la ville avec quelques effets personnels.

Le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) s'est déclaré "profondément inquiet" du sort des civils.

"Les Somaliens ont de nouveau été sujets à des souffrances insupportables", a souligné le chef de délégation du CICR en Somalie, Pascal Mauchle.

Dans l'interminable guerre civile marquée par d'incessants renversements d'alliances, cheikh Aweys et l'actuel président étaient alliés lorsqu'il dirigeaient les tribunaux islamiques, qui contrôlaient au second semestre 2006 la majeure partie du sud et du centre de la Somalie, dont Mogadiscio, avant d'être mis en déroute par l'armée éthiopienne début 2007.

M. Ahmed avait ensuite rejoint le processus de réconciliation supervisé par l'ONU, et a été élu en janvier président. M. Aweys a toujours rejeté ce processus et promis de combattre jusqu'au départ de l'Amisom.

Copyright © 2009 AFP. Tous droits réservés.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

C'est un merdier tel qu'il va être difficile de définir un ressortissant somalien. entre ceux qui viennent de Puntland, Somalieland, Somalie gouvernemental et Somalie de Shebab......

Image IPB

Je proposerai bien la solution TOPOL M mais elle n'est populaire que sur forum :lol:
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

djibouti prend un morceau au nord ( un petit alors  :lol:),l'éthiopie prend le centre et bénéficie d'un accés à la mer ,et le kenya le sud afin d'agrandir ses réserves d'animaux sauvages .comme sa tout le monde est content dans la corne de l'afrique ...

je sais ,vous allez me dire et les somaliens ?

étant donné qu'il est difficile de définir un ressortissant somalien ,ben le probléme se posera plus si la somalie est annexée ...

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Déjà qu'on a galéré pour désarmer les kosovars (et qu'on a merdé à le faire) désarmer les somaliens... autant regarder le match à la maison avec du popcorn, on compte les points et on donne une médaille en chocolat au vainqueur en lui disant de nous foutre la paix sur les voies de commerce sinon on le vitrifie... En tout bien tout honneur of course.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

On pourrais les aider, avec des frappes massives sur tout les camps en présence.  Y auras bien un qui seras vainqueur.

Ou alors on se fait un blé monstre en vendant des armes à tout le monde, leclerc, nh90, tigre, famas etc....

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant
  • Statistiques des membres

    6 016
    Total des membres
    1 749
    Maximum en ligne
    Canant
    Membre le plus récent
    Canant
    Inscription
  • Statistiques des forums

    21,6k
    Total des sujets
    1,7m
    Total des messages
  • Statistiques des blogs

    4
    Total des blogs
    3
    Total des billets
×
×
  • Créer...