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Rafale : l'aventure égyptienne commence ;-)


Kovy

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Si ils était sur le coup pourquoi démentire cette info?!

Etre sur le coup, c'est pas être entrain de négocier ou sur le point de faire signer... [08]

http://www.defense-aerospace.com/cgi-bin/client/modele.pl?session=dae.21665671.1152132326.RKwk5sOa9dUAAG8kURk&modele=jdc_34

Korea to Buy 20 Foreign Fighter Jets Next Year

(Source: Korea Overseas Information Service; dated Jan. 18, web-posted Jan. 17, 2007)

orea has decided to choose a foreign contractor through open bidding to supply 20 "next-generation" fighter jets in the coming years, a project to cost around 2.3 trillion won ($2.4 billion), defense officials said Wednesday (Jan. 17).

The project follows Seoul's contract with the U.S. company Boeing Co. in 2002 to buy 40 F-15K jets for $4.6 billion. Eighteen jets have been delivered so far, with the remainder to be introduced by next year.

"We plan to draw up a detailed plan for the procurement project next month and distribute the proposal in March, with the aim of signing a contract by February next year," said Major General Kim Deuk-hwan, director-general for aircraft programs at the Defense Acquisition Program Administration.

The decision was made at a defense procurement project committee meeting presided over by Defense Minister Kim Jang-soo at the Defense Ministry building in central Seoul.

Korea has pushed for the purchase of 120 next-generation fighter jets as part of its blueprint for overhauling the military's structure and drastically increasing combat capability by 2020.

"It is a plan to secure 20 highly efficient multipurpose fighter jets to actively counter threats by neighboring countries under the National Defense Reform 2020 project," Kim said. "We will introduce the aircraft between 2010 and 2012."

He indicated that Lockheed Martin's F-35 model will be ruled out, saying the Air Force needs double-engine fighters.

"There are a lot of differences between the single-engine F-35 and what our military needs, including weapons capacity and flight scope," Kim said.

Korean officials expect the introduction of a foreign model to help the country learn the core technology needed for the designing and manufacturing of advanced aircraft, as well as contributing to the development of the domestic aerospace industry and the creation of jobs.

In 2002, Seoul chose Boeing's F-15K, probably in consideration of the long-standing military alliance with the United States, giving a new lifeline to Boeing's then-sputtering F-15 production line in Missouri. The French-built fighter Rafale reportedly beat the F-15K by a narrow margin in the technical phase of evaluation. Two other fighters, the Russian Sukhoi Su-35 and the Typhoon from European consortium Eurofighter, also joined in the competition.

C'est bien daté de cette année ! [09]

C'est quoi cette histoire ? Vous croyez que Dassault est en piste ?

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On trouve plus ou moins la même chose sur des sites francophones. (depuis 13H d'aprés google)

AVIS D'EXPERTS Jeudi 18 Janvier 2007 - 06:52

Dassault Aviation : une seconde chance pour le Rafale en Corée du Sud ?

La Corée du Sud s'apprête à lancer un appel d'offre pour 20 avions de chasse, en vue de compléter sa flotte. Une commande estimée à environ 2,5 Milliards de Dollars. L'appel d'offres devrait être lancé officiellement en mars, en vue de l'attribution finale du contrat en février 2008, a indiqué hier l'agence gouvernementale de la défense coréenne.

Selon un de ses responsables, Kim Deuk-hwan, cité par le quotidien 'Korea Times', les "candidats possibles au projet sont le F-15K de Boeing, le Rafale de Dassault Aviation, l'Eurofighter Typhoon (du consortium européen EADS, BAE, Finmecanicca), ainsi que le Sukhoi SU-35 de l'industrie russe". Les avions devront être livrés entre 2010 et 2012.

Reste à savoir si le jeu est aussi ouvert qu'il le paraît : en effet, lors du précédent appel d'offre, en 2002, la Corée du Sud avait choisi de commander 40 F-15K américains (dont 17 ont déjà été livrés), au détriment de Dassault Aviation. Après ce revers, Dassault avait fait savoir qu'il ne participerait plus à ce type d'appel d'offre dans ce pays....

sources

Mais je ne suis pas sur que Dassault participe à la compétion, vu comment ça c'est passé la dernière fois. Ou alors il faut qu'il y ai des garantis.

Comment faut-il interpreter cet appel d'offre? Le F15K ne répond vraiment pas à leurs besoins et ils regrettent leur choix?

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TMor

La Corée voulait bien rajouter une dose d'avions, mais à ma connaissance, c'était F-15 ou rien.

Même au delà des 40 premiers ?

Moi, ça me rappelle que Jacko avait toujours espoir de voir la Corée acheter ses saletés de... Hum... Non rien.

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Même au delà des 40 premiers ?

Moi, ça me rappelle que Jacko avait toujours espoir de voir la Corée acheter ses saletés de... Hum... Non rien.

L'espoir fait vivre ! [29]

C'est juste une manière de dire qu'il y a eu un appel d'offre pour donner bonne conscience aux Sud-Coréens. Et ensuite on reprends une flotille de F15K.

Il ne faut pas rêver ,on ne va pas humilier les US en vendant ou commandant des Rafale aux Sud-Coréens.

Séoul est en phase avec Washington ,ils sont cul et chemise ces 2 pays.

Par contre ,vu que le Maroc et la Lybie sont des clients DA ,on va bien finir à les refourguer.

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  • 4 weeks later...

Dimanche 14 janvier, les fils d'agence crépitent : les Libyens vont acheter des Rafale. Enfin ! Après avoir échoué face aux F15 et F16 américains aux Pays-Bas et en Corée du Sud en 2002 et à Singapour en 2005, après s'être fait doubler cette même année en Arabie saoudite par l'Eurofighter, la fierté française des avions de combat a trouvé preneur à l'étranger. L'information, pourtant, est un peu prématurée. Certes, les Libyens aimeraient en acquérir, profitant de la fin de leur isolement sur la scène internationale. Mais de l'intérêt au contrat il y a encore une marge, d'autant qu'on imagine mal la France faire affaire avec Tripoli tant que le sort des infirmières bulgares qui y sont détenues n'est pas réglé.

Cette fièvre médiatique est révélatrice d'une certaine contradiction bien française. Compte tenu du tableau de chasse de Dassault, le Rafale a acquis une réputation tenace de Poulidor de l'aéronautique (« cet avion, dont personne ne veut... »). Voire même, pour les plus critiques, de nouveau Concorde. Pourtant, l'information prend une importance nationale dès que la rumeur le donne vendu ici ou là. Ce qui devrait finir par arriver. D'ailleurs, un pays au moins en veut aujourd'hui, c'est le Maroc.

Entamées en milieu d'année dernière, les négociations avancent bien, même si elles achoppent encore sur le prix (lire page 19). Dassault négocie directement avec Rabat, mais l'issue du contrat dépendra jusqu'au bout de la force de cohésion du « team » industriel impliqué (outre Dassault, Safran pour les moteurs, Thales pour l'avionique, et MBDA pour les missiles), comme le rappelait en octobre dernier François Lureau, le délégué général pour l'armement, devant les députés. Sans omettre le soutien de la puissance publique. Compte tenu des liens entre les deux pays, on peut raisonnablement imaginer qu'à l'Elysée comme à Matignon, les plus hautes autorités ne ménageront pas leurs efforts. Sauf crise politique au Maroc ou défaillance majeure de la tribu gauloise, l'affaire pourrait même déboucher d'ici au Salon du Bourget, en juin prochain, pronostiquent les plus optimistes.

Dire en revanche que la carrière du Rafale sera aussi réussie que celle du Mirage relève du pari. D'ailleurs, à partir de combien d'avions vendus pourra-t-on parler de succès ? Chez Dassault on affirme pouvoir garder la même part de marché dans le monde (environ 12 %). Si on se penche sur les chiffres, cela sera difficile : 994 Mirage III (best-seller), 473 Mirage F-1 ou 299 Mirage 2000 ont trouvé preneurs à l'étranger depuis 1962 ! Plus prudent, François Lureau parle de plus de 100 Rafale vendus...

C'est que les temps sont infiniment plus durs pour Dassault depuis la fin de la guerre froide. L'achat d'un avion de combat a toujours relevé du choix politique, car il est assimilé à un symbole de puissance.

En pleine confrontation russo-américaine, Washington pouvait « accepter » de voir certains pays non alignés acheter chez un concurrent, du moment qu'il ne fût pas russe. Rappelons-nous : l'Inde et l'Egypte ont commandé leurs Mirage 2000 en 1982, avant même que le premier exemplaire ne soit livré en France.

Mais ce temps béni n'a pas survécu à la chute du mur de Berlin, et la concurrence est désormais plus rude. Même si Dassault affirme le contraire et que le soupçon de corruption plane, l'Eurofighter du trio BAE EADS Finmeccanica a bien enregistré deux références à l'export (Autriche et Arabie saoudite). Les russes Mig et Sukhoi reviennent en force. Sans oublier, évidemment, les américains. D'autant plus affamés que le F16 et le F15 entament leur fin de carrière, en attendant le JSF. Et d'autant plus forts que la chute du mur de Berlin a rebattu les cartes géopolitiques.

Ce qui se passe en Inde illustre parfaitement la nouvelle donne. New Delhi (qui possède une cinquantaine de Mirage 2000) prépare un appel d'offres international portant sur 126 avions de chasse de nouvelle génération pour remplacer ses vieux Mig. Appel d'offres dont tout le monde pressent qu'il se limitera à un match entre Russes et Américains : Russes parce que Moscou est l'allié historique, Américains parce que Washington, qui garde Pékin dans son viseur, peut tout offrir pour satisfaire son nouveau grand allié (il l'a fait avec le nucléaire). S'il décide quand même de concourir, le Rafale risque donc de finir en glorieux troisième... D'où sans doute la proposition de Dassault d'en vendre 40 de gré à gré immédiatement, proposition déjà faite l'année dernière, mais qui n'a pas eu beaucoup de succès jusque-là.

Tout n'est sans doute pas perdu pour autant. Car il reste des pays, comme le Maroc, soucieux de rééquilibrer leur position face à leurs voisins (l'Algérie s'est surarmée de matériels russes), et avec lesquels Paris dispose encore d'une relation stratégique suffisamment forte pour écarter le concurrent américain (lequel reste en embuscade). D'autres qui se rêvent en puissance régionale. Le Brésil, qui vient d'acquérir des Mirage 2000 retirés du service en France, aurait ainsi très bien pu acheter quelques F16 d'occasion à prix cassé. Enfin certaines capitales veulent, en cas d'attaque, pouvoir résister le temps d'internationaliser le conflit. A ce titre, la Grèce fait partie pour Dassault de la liste des prospects à ne perdre à aucun prix (la Turquie ayant fait le choix du JSF).

C'est donc avec le marché du renouvellement des Mirage que le Rafale dispose des meilleures chances. L'idéal demeure pour le français la procédure de gré à gré, comme avec le Maroc. Mais c'est de moins en moins la norme. Restent alors les appels d'offres internationaux. Et là encore, compte tenu du coût d'une campagne commerciale, Dassault devra faire le tri entre les compétitions « propres » (on peut imaginer que celle de la Suisse le sera), et les autres. C'est-à-dire celles pour lesquelles le choix des finalistes est arrêté avant de lancer les dés.

Conclusion : Dassault a beau dire que la carrière export du Rafale n'a démarré que l'année dernière avec sa mise en service dans l'armée de l'air française (ce qui est faux puisque la campagne singapourienne a été jouée à fond), et qu'elle devrait durer vingt ans (ce qui est vrai), le succès de l'avion à l'étranger se joue maintenant. Que l'avionneur accroche une première référence d'ici deux à trois ans maximum, et c'est gagné. Sinon, le spectre du célèbre supersonique risque de le hanter à jamais

Leséchos.fr

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La France livre 18 avions Rafale au Maroc " , article paru dans le quotidien algérien Liberté le 9 décembre 2006

http://www.fmes-france.net/article.php3?id_article=480

a prendre avec des pincettes

Oh bordel, il se dope a quoi dans lusine dassault ? [57]

Edit : sa commence a me faire rire cest vente au Maroc, on dirait que tout le monde veut absolument que lon le vende [61]

Edit 2 : mm en Lybie il " serait " tellement fan du Rafale qui se battrait pour lacheter...

Wait & see

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