Aller au contenu
Fini la pub... bienvenue à la cagnotte ! ×
AIR-DEFENSE.NET

[SCAF] "politique ": imbroglio des coopérations, des participants...


g4lly

Messages recommandés

il y a 31 minutes, Titoo78 a dit :

Alors... les 3 gouvernements sont mobilisés + les industriels sont mobilisés + les 3 Mindef sont investis.

Avec toutes ces grosses têtes mobilisées et investies, sûr que le dossier va bouger.  Mais dans quelle direction ? 

  • Haha (+1) 2
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il y a 1 heure, Alberas a dit :

Alors... les 3 gouvernements sont mobilisés + les industriels sont mobilisés + les 3 Mindef sont investis.

Avec toutes ces grosses têtes mobilisées et investies, sûr que le dossier va bouger.  Mais dans quelle direction ? 

tous ils le sont tous, chez Anduril, Amazon aussi, ils sont mobilisés ;)

par contre l'IP c'est nein, nada!

on arrête quand cette bouffonnerie? 

  • J'aime (+1) 2
  • Upvote (+1) 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Désolé, mais je ne comprends pas la problématique du SCAF. S i l'ensemble du projet est bloqué par Airbus qui veut être leader, et qu'en plus les allemands ne veulent pas que le NGF soit embarquable et nucléarisable, en final il faut leur dire, OUI vous avez raison. proposons-leurs que Airbus DS [Defence and Space] Allemagne ait 50% et Airbus DS Espagne ait aussi 50% des parts de développement du NGF. Soyons aussi grand Seigneur, proposons que la partie la plus neutre Airbus DS Espagne prenne le lead.  Evidemment il faudra rééquilibrer les autre piliers...

A chacun des leaders d'être responsable y compris financièrement des dérives du développement.

Alors évidemment du point de vue coûts des développements, il faut garder le rapport  1/3 + 1/3 + 1/3 des coûts de développement.

 Donc on  aurai par exemple:

NGF: 50% Espagne, 50% Allemagne, 0% France

Engine: On reste pareil 1/3 pour chacun, mais là aussi on peut-être flexible

Et pour les autres piliers évidemment il faut compenser ..... les 1/3 de développement pour la France....

On parle bien de développement, pas de production ni d'achats ... qui seront évidemment dictés par les produits développés, leur efficacité et surtout le besoin opérationnel....

Pour rappel le but initial était la compatibilité des différentes flottes, (pas le mimétisme), donc le système de système (la communication, partage des données), combat cloud et les remote carriers.

 

 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

il y a 52 minutes, Personne a dit :

Désolé, mais je ne comprends pas la problématique du SCAF. S i l'ensemble du projet est bloqué par Airbus qui veut être leader, et qu'en plus les allemands ne veulent pas que le NGF soit embarquable et nucléarisable, en final il faut leur dire, OUI vous avez raison. proposons-leurs que Airbus DS [Defence and Space] Allemagne ait 50% et Airbus DS Espagne ait aussi 50% des parts de développement du NGF. Soyons aussi grand Seigneur, proposons que la partie la plus neutre Airbus DS Espagne prenne le lead. Evidemment il faudra rééquilibrer les autre piliers...

A chacun des leaders d'être responsable y compris financièrement des dérives du développement.

Alors évidemment du point de vue coûts des développements, il faut garder le rapport  1/3 + 1/3 + 1/3 des coûts de développement.

 Donc on  aurai par exemple:

NGF: 50% Espagne, 50% Allemagne, 0% France

Engine: On reste pareil 1/3 pour chacun, mais là aussi on peut-être flexible

Et pour les autres piliers évidemment il faut compenser ..... les 1/3 de développement pour la France....

On parle bien de développement, pas de production ni d'achats ... qui seront évidemment dictés par les produits développés, leur efficacité et surtout le besoin opérationnel....

Pour rappel le but initial était la compatibilité des différentes flottes, (pas le mimétisme), donc le système de système (la communication, partage des données), combat cloud et les remote carriers.

Donc la France paierait pour développer un système de systèmes dont elle n'aurait pas l'utilité puisque la pièce maîtresse, le chasseur NGF, en serait absente?

Et ce sans aucune garantie de compatibilité avec des systèmes futurs développés en parallèle? Oui parce que l'entourloupe d'Airbus elle est là aussi: en maîtrisant le cloud de combat ils s'assurent que personne d'autre ne puisse venir y intégrer un matériel dont ils n'accepteraient pas l'intégration! Est-il seulement sûr que l'UCAS pourrait y être intégré par exemple? Je vous parie que non. N'oubliez pas que nous avons affaire à des gens si mesquins qu'écrire le nom "Rafale" dans un mémo est au-delà de leurs forces! 
:bloblaugh:

Ce n'est donc potentiellement pas un cloud de combat qu'ils nous préparent, mais plutôt une sorte de MADL propriétaire et fermé made in Airbus!

Enfin, le gag, c'est que ni les allemands ni les espagnols ne savent faire l'avion de combat.
Ils ne savent déjà même plus faire un drone dans le style du Barracuda de 2006 (alors que schoelhorn racontait que c'était "facile") ni un jet d'entraînement depuis l'abandon de l'AFJT... Alors un chasseur hautes performances... LOL.

Et c'est bien pour ça qu'ils ont besoin de Dassault, une entreprise qu'ils jalousent au plus haut point et qu'ils veulent écorcher vive avant de porter un masque confectionné avec sa peau, tels des tueur en série psychopathes de film d'horreur... Afin de pouvoir dire: "c'est peut-être leur visage, mais c'est moi dessous! Mooooiiiiiii! Mouhahahaha!" (oui, flippant, je sais).

Non, pour que ton plan fonctionne, il faut que la France demande 0% sur chacun des piliers. Et donc quitte officiellement le FCAS, laissant les larrons s'amuser entre eux.

Et on souhaitera bien du plaisir aux prochains "partenaires" qu'ils se trouveront...

  • Upvote (+1) 4
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

@Patrick, n'ayant pas personnellement les compétences qu'il faut en développement de Jet, je vous cite "ni les allemands ni les espagnols ne savent faire l'avion de combat", et ils sont en train de développer un cloud propriétaire "cloud de combat, ils s'assurent que personne d'autre ne puisse venir y intégrer un matériel dont ils n'accepteraient pas l'intégration!", soyons aussi hypocrite.

Raison de plus pour les laisser se débrouiller seuls sur le jet et reprendre la main sur le cloud de combat, l'UCAV et le système de systèmes. Développer rapidement ces briques qui nous intéressent et soient compatibles avec nos besoins, s'assurer que les systèmes restent ouverts, les impliquer suffisamment pour qu'en final ils aient besoin/intérêt (captif) de les utiliser, et les laisser empêtrés dans leur développement de jet qui va s’éterniser. On aura beau jeux de dire que nous avons fait notre côte-part technique et financière et que finalement le jet c'est leur problème.

Il est toujours intéressant en négociation de prendre à contre-pied la partie adverse. Pour donner une image, imaginez une personne qui n'arrête pas de prendre de l’élan et de donner des coups de boutoir sur une porte et que vous ouvriez en même temps cette porte... le laissiez passé... et repreniez à votre compte son argumentation.... Entre parenthèse c'est ce qui risque de se passer avec le MGCS [Main Ground Combat System] qu'ils n'ont pas cessé de mettre en parallèle avec le SCAF, or si ils claquent la porte du SCAF, .... mais ils ne sont pas cela près!

Donc avec 0% de développement dans le pilier NGF, on ne paierait pas pour leur avion, on paierait pour développer ''ensemble'' des briques (cloud de combat et système de systèmes) qui nous intéressent et nécessitent l'interconnexion au niveau européen. ....

L'objectif, inverser la position dans les piliers (pour cela votre tableau est éloquent), puisqu'ils veulent la place de Dassault, on leur donne entièrement et ils se débrouillent et l'on prend leur place dans les autres piliers, pour garder les 1/3 de coûts (financement) et de 1/3 de développement. L'idée, (c'est ce que vous avez démontré dans votre tableau sur les piliers du SCAF) et bien puisque la place de la France (qui est en défensive) est tant convoitée, enviée, on la leur donne et l'on prend la leur et les % que vous indiquiez voir plus puisque 0% sur le NGF (c'était entre les lignes).

Toujours entre les lignes:

  • Les briques moteurs sont à développer et nous intéressent, comme ça ne se passe pas trop mal à priori, l'on reste sur le même % et la même implication (ce qui justifie qu'on ne quitte pas le ''bateau comme des rats'').
  • En parallèle Dassault va continuer à travailler comme il le fait habituellement par étapes progressives F5, F6 ....
  • Et en final leur NGF, non embarquable et non durci-nucléaire, quand et si il sort un jour et bien peut-être qu'on pourrait l'acheter si on a un besoin, pourquoi pas 

Alors certes ce n'est pas l'optimum, puisque dans un monde parfait on aurait pu diviser par 3 les coûts de développement, mais aussi la production et les bénéfices..., et là en final je me demande si ce n'est pas un avantage.

 

  • Upvote (+1) 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

7 hours ago, Personne said:

@Patrick, n'ayant pas personnellement les compétences qu'il faut en développement de Jet, je vous cite "ni les allemands ni les espagnols ne savent faire l'avion de combat", et ils sont en train de développer un cloud propriétaire "cloud de combat, ils s'assurent que personne d'autre ne puisse venir y intégrer un matériel dont ils n'accepteraient pas l'intégration!", soyons aussi hypocrite.

Raison de plus pour les laisser se débrouiller seuls sur le jet et reprendre la main sur le cloud de combat, l'UCAV et le système de systèmes. Développer rapidement ces briques qui nous intéressent et soient compatibles avec nos besoins, s'assurer que les systèmes restent ouverts, les impliquer suffisamment pour qu'en final ils aient besoin/intérêt (captif) de les utiliser, et les laisser empêtrés dans leur développement de jet qui va s’éterniser. On aura beau jeux de dire que nous avons fait notre côte-part technique et financière et que finalement le jet c'est leur problème.

Il est toujours intéressant en négociation de prendre à contre-pied la partie adverse. Pour donner une image, imaginez une personne qui n'arrête pas de prendre de l’élan et de donner des coups de boutoir sur une porte et que vous ouvriez en même temps cette porte... le laissiez passé... et repreniez à votre compte son argumentation.... Entre parenthèse c'est ce qui risque de se passer avec le MGCS [Main Ground Combat System] qu'ils n'ont pas cessé de mettre en parallèle avec le SCAF, or si ils claquent la porte du SCAF, .... mais ils ne sont pas cela près!

Donc avec 0% de développement dans le pilier NGF, on ne paierait pas pour leur avion, on paierait pour développer ''ensemble'' des briques (cloud de combat et système de systèmes) qui nous intéressent et nécessitent l'interconnexion au niveau européen. ....

L'objectif, inverser la position dans les piliers (pour cela votre tableau est éloquent), puisqu'ils veulent la place de Dassault, on leur donne entièrement et ils se débrouillent et l'on prend leur place dans les autres piliers, pour garder les 1/3 de coûts (financement) et de 1/3 de développement. L'idée, (c'est ce que vous avez démontré dans votre tableau sur les piliers du SCAF) et bien puisque la place de la France (qui est en défensive) est tant convoitée, enviée, on la leur donne et l'on prend la leur et les % que vous indiquiez voir plus puisque 0% sur le NGF (c'était entre les lignes).

Toujours entre les lignes:

  • Les briques moteurs sont à développer et nous intéressent, comme ça ne se passe pas trop mal à priori, l'on reste sur le même % et la même implication (ce qui justifie qu'on ne quitte pas le ''bateau comme des rats'').
  • En parallèle Dassault va continuer à travailler comme il le fait habituellement par étapes progressives F5, F6 ....
  • Et en final leur NGF, non embarquable et non durci-nucléaire, quand et si il sort un jour et bien peut-être qu'on pourrait l'acheter si on a un besoin, pourquoi pas 

Alors certes ce n'est pas l'optimum, puisque dans un monde parfait on aurait pu diviser par 3 les coûts de développement, mais aussi la production et les bénéfices..., et là en final je me demande si ce n'est pas un avantage.

 

Parfait développement de la faon de penser allemande. Business avant opérationnel

Sauf que dans ce raisonnement, certe on dépense autant en étant au coeur de systèmes critiques futurs, MAIS on se retrouve avec un avion limité et ne répondant pas à notre besoin. PIRE, on prend le risque de devoir dev notre propre avion trop tard, on se retrouve avec un trou beant dans notre armée : l'AAE est morte ou obligée d'acheter un avion qui nous convient pas, l'aéronavale est morte ou obligée d'acheter le F/A-XX car elle n'a pas d'avion européen / français a embarquer.

  • Upvote (+1) 3
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il y a 11 heures, Personne a dit :

Désolé, mais je ne comprends pas la problématique du SCAF. S i l'ensemble du projet est bloqué par Airbus qui veut être leader, et qu'en plus les allemands ne veulent pas que le NGF soit embarquable et nucléarisable, en final il faut leur dire, OUI vous avez raison. proposons-leurs que Airbus DS [Defence and Space] Allemagne ait 50% et Airbus DS Espagne ait aussi 50% des parts de développement du NGF. Soyons aussi grand Seigneur, proposons que la partie la plus neutre Airbus DS Espagne prenne le lead.  Evidemment il faudra rééquilibrer les autre piliers...

Le fait que les Allemands et les Français ne veuillent pas du même NGF (!) et qu'il se battent pour en avoir la part majoritaire montre 2 choses

- Les mêmes causes produisant les mêmes effets, la divergence Typhoon/Rafale va se reproduire pour le NGF et se traduire par 2 avions différents

- Les allemands sont persuadés qu'ilsp euvent développer leur propre NGF sans la France, quite à utiliser des ressources extra européennes, par exemple pour le moteur, d'autant que, grace au F35, ils ne sont pas soumis au même calendrier que nous (PANG et dissuasion) pour aoir un NGF opérationnel. Ceci leur donne le temps rattrapper leurs faiblesses conceptuelles par rapport à DA.

La conclusion qui sortiatait de cette analyse est de faire un SCAF qui s'appuierait sur DEUX NGF, faits  sur un socle commun de technologies, de normes et de procédures opérationnelles, au lieu d'un seul.

PS Cette théorie est la base du dernier article de Meta def :biggrin: et je ne la trouve pas dénuée de sens. Elle s'appuie sur une analyse de la puissance industrielle et financière de l'Allemagne qui la rendrait totu à fait capable de ratrapper son retard dans ce domaine.

  • Merci (+1) 2
  • Upvote (+1) 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

52 minutes ago, Claudio Lopez said:

ça sera encore pire car les suedois se laisseront encore moins faire. Et il y a toujours pas de moteur, mais bon, ils demanderons aux USA... Et de l'aide à DA pour les commandes de vol ^^

En vrai, dans un ordre article, cette soit disante alliance est completement debunké. Ils sont signer un accord sur un autre truc pour ''pave the way to ...' Autant vous dire qu'on est tres loin dans les supputations.

  • J'aime (+1) 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Je cite:

il s‘agit tout d’abord du programme Eurofighter « EK » (pour combat électronique). En gros il s’agit de l’intégration de pods de brouillage (en bout d’aile) Saab AREXIS ainsi que de missiles anti-radiation AGM-88G (AARGM-ER). Il me semble que 15 unités sont prévu pour remplacer les Tornado ECR. L’auteur « espère » que cette modification des EF-T ainsi que la visite des ministres de la defence va engager un project NGF germano-suédois au détriment du SCAF.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

il y a 2 minutes, mgtstrategy a dit :

Je cite:

il s‘agit tout d’abord du programme Eurofighter « EK » (pour combat électronique). En gros il s’agit de l’intégration de pods de brouillage (en bout d’aile) Saab AREXIS ainsi que de missiles anti-radiation AGM-88G (AARGM-ER). Il me semble que 15 unités sont prévu pour remplacer les Tornado ECR. L’auteur « espère » que cette modification des EF-T ainsi que la visite des ministres de la defence va engager un project NGF germano-suédois au détriment du SCAF.

Ils ont raison les allemands qu'ils cherchent des alternatives avec SAAB et BAE.

  • J'aime (+1) 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il y a 3 heures, Chimera a dit :

Vous me perdez totalement avec vos histoires de %. 

La situation est beaucoup plus simple que ça : l'Allemagne veut s'imbriquer dans tous les éléments et toutes les phases du SCAF pour récupérer une capacité de conception (quelle est la recette de Dassault), d'expertise dans les choix de design (comment Dassault pense les bons choix) et de maîtrise dans les commandes de vol (comment on fait le coeur du système). Bien evidemment, une ligne d'assemblage final unique est impensable coté allemand et Manching serait à protéger dans la future organisation industrielle. L'objectif a terme, même pas caché puisque déjà fait dans le spatial, c'est de devenir complètement autonome sur la 7eme génération et exportateur d'avions de combat. En clair, les allemands veulent réussir là où ils ont echoué sur l'Eurofighter et toutes ces histoires d'autonomie européenne pour justifier une coopération avec la France ne sont que des arguments bidons (mais qui sonnent bien en France) pour arriver à leurs fins. 

Le reste c'est de la cosmétique.

pas faute de le répéter ad nauseam depuis 2017 avec forces exemples mais bon...

C'est d'ailleurs amusant de constater que ceux du forum qui assuraient le SAV de l'Allemagne  et/ou de l'Europe des coopérations avec des arguments plus éclatés les uns que les autres (et jamais très loin " de toute façon ceux qui veulent un avion et système 100% français ça nous rappelle les heures les plus sombres blablabla" sur ce sujet depuis 2017/2018 soient aujourd'hui aux abonnées absents..

bref comme le rappelle l'adage: quand le mensonge prend l'ascenseur la vérité prend l'escalier et même si elle prend plus de temps elle finit toujours par arriver.

 

  • J'aime (+1) 1
  • Upvote (+1) 3
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

7 minutes ago, elannion said:

C'est d'ailleurs amusant de constater que ceux du forum qui assuraient le SAV de l'Allemagne  et/ou de l'Europe des coopérations avec des arguments plus éclatés les uns que les autres (et jamais très loin " de toute façon ceux qui veulent un avion et système 100% français ça nous rappelle les heures les plus sombres blablabla" sur ce sujet depuis 2017/2018 soient aujourd'hui aux abonnées absents..

La propagande de @Patrick m'a fait oublier ces personnes lol Y'avait qui pour dire ca ? Oo J'ai plutot l'impression que tout le forum était plutot soit vent debout, soit observateur défiant vis à vis de l'Allemagne.

Le programme initial avec les Brits, lui, avaient des partisans. Avec l'allemagne, franchement pas souvenir

  • J'aime (+1) 2
  • Haha (+1) 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

https://www.dassault-aviation.com/fr/groupe/presse/press-kits/inauguration-dune-nouvelle-usine-dassault-aviation/

À cette occasion, Éric Trappier a déclaré :

« C’est la première fois depuis les années 1970 que Dassault Aviation met en service un nouvel établissement de production. C’est un signal positif pour la filière aéronautique et pour l’industrie en générale : la France possède des compétences rares qu’il faut absolument maintenir et développer sur le territoire national. C’est une question de souveraineté, particulièrement cruciale dans la période actuelle. C’est aussi une question économique et sociale, avec l’enjeu de réindustrialiser notre pays et de créer des emplois. »

 

 

« On peut le faire tout seul de A à Z » : la réponse de Dassault à la pression allemande sur l'avion de chasse du futur

https://www.lesechos.fr/industrie-services/air-defense/on-peut-le-faire-tout-seul-de-a-a-z-la-reponse-cinglante-de-dassault-a-la-pression-allemande-sur-lavion-de-chasse-du-futur-2187846

Suite aux pressions d'Airbus et de l'Allemagne sur la gestion du projet SCAF, l'avion de combat européen de sixième génération, le PDG de Dassault Aviation, Eric Trappier, a expliqué que son groupe était tout à faire capable d'assurer seul ce programme vital pour l'Europe et la France s'il le fallait.

 

Comment cela va-t-il finir ? Alors qu'Airbus et l'Allemagne menacent à mots couverts de lancer le projet du futur avion de chasse européen sans la France, la réponse de Dassault a fusé ce mardi matin. « Je veux bien que les Allemands grondent […]. S'ils veulent faire tout seuls, qu'ils fassent tout seuls », a lancé Eric Trappier, le PDG du fabricant du Rafale, en marge de la cérémonie de l'inauguration d'une nouvelle usine de Dassault Aviation à Cergy, au nord-ouest de Paris.

Un avion de combat, « ici, on sait faire, a-t-il poursuivi. On sait faire de A jusqu'à Z. On l'a démontré depuis plus de 70 ans. On a les compétences », a-t-il complété, sans pour autant fermer la porte à toute collaboration : « On est tout à fait ouverts à la coopération, y compris avec les Allemands ».

Eric Trappier réagissait aux informations de presse venant de Berlin selon lesquelles l'Allemagne et l'Espagne pourraient chercher d'autres partenaires pour poursuivre ce projet face à l'intransigeance de Dassault. Lancé en 2017 par la France et l'Allemagne, rejoints plus tard par l'Espagne, le Scaf, le plus grand projet de défense en Europe censé renforcer l'autonomie stratégique du continent, parait encalminé en raison des tensions entre Dassault et Airbus.

Maître d'oeuvre du crucial projet de défense européen Scaf, Dassault Aviation, qui représente la France, juge inefficace la gouvernance qu'il partage avec Airbus, qui représente l'Allemagne et l'Espagne, au grand dam de ses partenaires, qui l'accusent d'en vouloir plus que prévu sur cet avion qui doit pouvoir de l'IA, des flottes de drones, de la maniabilité et de la furtivité, la capacité nucléaire et voler à horizon 2040.

Après une première phase d'étude - financée par la France, l'Allemagne et l'Espagne à hauteur de 3,6 milliards d'euros-, un nouveau contrat de 5 milliards d'euros doit être signé d'ici la fin de l'année pour la phase d'étude suivante. Mais la négociation est houleuse, Dassault affirmant qu'il ne peut garantir un bon avion si on ne lui confie pas au moins un rôle clair d'architecte maître d'oeuvre.


Merz et Macron au chevet du SCAF

Lors d'une visite à Madrid la semaine dernière, le chancelier allemand Friedrich Merz a déclaré que l'Allemagne et l'Espagne voulaient « essayer d'arriver à une solution d'ici fin 2025 » sur le Scaf. « Nous partageons le même avis : la situation actuelle n'est pas satisfaisante. Nous n'avançons pas dans ce projet », a déclaré le chancelier allemand aux côtés de son homologue espagnol à Madrid.

« Comme l'ont réaffirmé le président de la République et le chancelier lors du Conseil franco-allemand de défense et de sécurité du 29 août 2025, la France et l'Allemagne restent déterminées à mener à bien le programme SCAF en coopération avec l'Espagne », rappelle un communiqué envoyé samedi soir par le ministère des Armées français, qui assure être « pleinement investi avec ses homologues allemand et espagnol pour aboutir à une solution mutuellement acceptable d'ici la fin de l'année. »

Modifié par Titus K
  • Merci (+1) 1
  • Upvote (+1) 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Veuillez vous connecter pour commenter

Vous pourrez laisser un commentaire après vous êtes connecté.



Connectez-vous maintenant
  • Statistiques des membres

    6 158
    Total des membres
    4 678
    Maximum en ligne
    Paris_est_magic_2
    Membre le plus récent
    Paris_est_magic_2
    Inscription
  • Statistiques des forums

    21,7k
    Total des sujets
    1,8m
    Total des messages
  • Statistiques des blogs

    4
    Total des blogs
    3
    Total des billets
×
×
  • Créer...