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La Place de la France dans un monde de blocs


Messages recommandés

il y a 14 minutes, Ciders a dit :

wagdoox Une époque bénie où l'influence française s'est élevée très haut, permettant de rafler des contrats par dizaines, de signer des accords par centaines et même de remporter l'Eurovision à six reprises !

Non je déconne. Tout le monde nous crachait dessus. Même les Ivoiriens.

Mettons ! 
il faut faire quoi ? 

il y a 13 minutes, herciv a dit :

Les allemands sont encore plus dans la merde que nous. Un monde de blocs c'est un monde avec des frontières commerciales immenses. Le seul marché que les Allemands vont pouvoir prendre c'est celui du bloc qu'ils vont choisir.

D’ou la pression max que trump avait mis sur eux, car jugé trop proche de la chine. Tant que les usa regnent sur les mers, ils resteront avec. 

Modifié par wagdoox
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il y a 4 minutes, wagdoox a dit :

D’ou la pression max que trump avait mis sur eux, car jugé trop proche de la chine. 

Les allemands doivent se sentir à l'étroit dans un marché trop petit pour eux. Mais au lieu de pousser à l'intégration européenne pour pouvoir avancer groupé ils ont forcé la désunion.

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il y a une heure, FATac a dit :

A lire un certain nombre de commentaires récents, je me demande si la place de la France dans un monde de blocs ne risque pas de devenir celle d'un rogue state ...

Je pense tout au contraire qu’il faut jouer la concurrence et ne sutout pas se laisser enfermer dans la guerre froide 2.0

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il y a 5 minutes, wagdoox a dit :

Mettons ! 
il faut faire quoi ?

AVOIR DES MOYENS.

Et ensuite voir où on peut/doit les utiliser. Parce que bon, vous êtes tous très gentils (sauf Shorr Kan) mais vos idées de "on va mettre trois FDI à Noumea", bof.

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il y a 1 minute, Ciders a dit :

AVOIR DES MOYENS.

Developpe s’il te plait 

il y a 3 minutes, herciv a dit :

Les allemands doivent se sentir à l'étroit dans un marché trop petit pour eux. Mais au lieu de pousser à l'intégration européenne pour pouvoir avancer groupé ils ont forcé la désunion.

Parce que l’europe les sert deja aux maximum aller plus loin irait contre leurs interets nationaux. 

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il y a 4 minutes, wagdoox a dit :

Developpe s’il te plait 

Des sous. Des équipements. Des armes. Des troupes. Un plan.

On ne va pas se voiler la face. Défendre nos possessions, oui. Développer une influence régionale partout, non. Nous n'en avons pas les moyens. Et en admettant que nous les ayons, il y aura fatalement un choix à faire.

De là, trois possibilités :

  • la classique, vaguement tiers-mondiste et le cul entre deux chaises (d'aucuns diraient gaulliste pour le côté vendeur) : ni américains, ni chinois, le juste milieu. Même si on sait que comme en vélo, les c**lles pencheront rapidement et discrètement d'un seul côté
  • la classique bis : on se place partout, on pêche au gros en se vendant au plus offrant et on s'allie à ce qui mord
  • la rogue state powaa : "qui veut des Exocet à pas cher ?"
Modifié par Ciders
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J'ai le sentiment que nonobstant le fait que l'Empire britannique au fil des décennies ou siècles se soit morcelé/éclaté en plusieurs entités différentes et "indépendantes", l'état d'esprit est resté très anglais ... avec cette rivalité maladive avec la France. 

Ils n'ont été alliés que pour des raisons opportunes et jamais ils ne nous respecterons. Ils nous piétinent à la moindre occasion. 

Bref, je ne dis pas qu'il faut se jeter dans les bras des Allemands ( qui ne sont pas mieux ) ou de la Russie ou de la Chine mais on ne peut pas être alliés à ceux qui cherchent à nous nuire. Quitte à faire comme dans le passer et sortir de la logique des blocs.

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https://www.meta-defense.fr/2021/09/16/en-australie-joe-biden-ouvre-une-bien-dangereuse-boite-de-pandore/
 Rapidement, biden a ouvert le commerce des batiments a propulsion nucleaire. 

la france pourrait en faire de meme. Comme la russie, la chine …

enfin la france va devoir faire le choix de l’autonomie strategique NATIONALE ou se coucher. 
 

peut importe l’auteur, je suis parfaitement d’accord avec l’analyse.  

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il y a 6 minutes, wagdoox a dit :

Parce que l’europe les sert deja aux maximum aller plus loin irait contre leurs interets nationaux. 

Eh bien il y a quelques analyses anglo-saxone qui pense que c'est l'Euroep entière qui prend dans la tronche :

"Le problème pour M. Morrison est qu'il a trompé M. Macron au moment même où le président succède à la chancelière allemande Angela Merkel, qui prend sa retraite, en tant que leader de facto de l'Europe. L'Australie ne s'est pas seulement battue avec la France, mais aussi avec l'Union européenne. Les relations entre les deux pays étaient déjà tendues depuis que l'UE a bloqué l'envoi de millions de doses de vaccin d'AstraZeneca en Australie au début de l'année."

https://www.smh.com.au/world/europe/emmanuel-macron-has-good-reason-to-feel-angry-and-deceived-by-australia-20210916-p58s0z.html

Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)

Emmanuel Macron a de bonnes raisons de se sentir en colère et trompé par l'Australie
Bevan Shields
Par Bevan Shields
16 septembre 2021 - 11 h 42

Londres : En ce qui concerne les gifles, il n'y en a pas de plus grandes que celle-ci. Et le revers géant que l'Australie vient d'infliger à la France et à son président, Emmanuel Macron, ne manquera pas de lui être rendu en nature.

Tout comme le Premier ministre Scott Morrison peut invoquer des raisons légitimes pour mettre fin à un contrat de 90 milliards de dollars avec la France pour l'aider à construire la nouvelle flotte de sous-marins australiens, M. Macron a des raisons plus que raisonnables de se sentir en colère et trompé.

Dire que les Français sont furieux du nouveau pacte de défense surprise entre l'Australie, les États-Unis et le Royaume-Uni serait un euphémisme. Du jour au lendemain, Paris est passé du statut d'ami et d'allié de l'Australie à celui de nation à laquelle on ne peut pas faire confiance.
Le président français Emmanuel Macron fait un discours sur l'Indo-Pacifique à bord du navire australien HMAS Canberra à Sydney en 2018.

Le président français Emmanuel Macron prononce un discours sur l'Indo-Pacifique à bord du navire australien HMAS Canberra à Sydney en 2018.Credit:AFP

"Cette décision est contraire à la lettre et à l'esprit de la coopération qui prévalait entre la France et l'Australie", ont déclaré le ministre des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian et la ministre des Armées Florence Parly dans un communiqué commun.

Ce changement "marque une absence de cohérence que la France ne peut que constater et regretter", ont-ils ajouté.

Macron avait investi un sérieux capital politique pour transformer le contrat des sous-marins en quelque chose de plus durable. En 2018, il s'est tenu sur un navire de guerre à la base militaire de Garden Island à Sydney et a promis une nouvelle ère d'engagement français dans l'Indo-Pacifique - quelque chose que la Coalition souhaitait depuis des années et qu'elle a accueilli à bras ouverts.

En juin de cette année, il a pris la défense de l'Australie dans son bras de fer avec la Chine. Debout à côté de M. Morrison dans la cour de l'Elysée, M. Macron a déclaré que la France était déterminée à "défendre l'équilibre de la région indo-pacifique" et a souligné "combien nous considérons que le partenariat que nous avons avec l'Australie est au cœur de cette stratégie indo-pacifique".

Ce que Macron ne savait pas, c'est que quatre jours plus tôt, Morrison avait profité d'une réunion avec le président américain Joe Biden et le Premier ministre britannique Boris Johnson au sommet du G7 à Cornwall, en Angleterre, pour discuter d'un plan secret visant à abandonner les sous-marins français et à les remplacer par une flotte à propulsion nucléaire utilisant la technologie américaine et britannique.
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Le raisonnement de M. Morrison n'était pas que le constructeur naval français Naval Group, en proie à des difficultés, ne parviendrait pas à respecter les délais ou le budget, mais que la menace croissante de la Chine signifiait que le programme avait besoin du poids supplémentaire de l'armée américaine.
Le premier ministre Scott Morrison et le président français Emmanuel Macron à Paris en juin.

Le premier ministre Scott Morrison et le président français Emmanuel Macron à Paris en juin. Crédit:AP

Le Premier ministre australien a dit à Macron lors de cette réunion à l'Elysée, et dans les jours qui ont suivi, que l'Australie étudiait ses options. Mais il n'a pas parlé à Macron du plan élaboré en secret avec les États-Unis et le Royaume-Uni.

Pour des raisons qui n'ont pas encore été expliquées, Morrison et Macron ne se sont pas parlés au téléphone cette semaine malgré la nouvelle capitale. Et dans une allocution télévisée commune avec Biden et Johnson, Morrison n'a pas mentionné une seule fois la France. C'est à M. Biden qu'il revient d'insister sur le fait que la France reste un allié clé dans la région.

"Nous avons été imprudents et insensibles à l'égard d'une puissance très sensible qui se rapprochait de nous", déclare un haut responsable impliqué dans les relations entre l'Australie et la France. "Cela va nous faire du tort. Nous serons coupés du monde en Europe."

Le problème pour Morrison est qu'il a dupé Macron juste au moment où le président prend le relais de la chancelière allemande Angela Merkel, qui prend sa retraite, en tant que leader de facto de l'Europe. L'Australie ne s'est pas seulement battue avec la France, mais aussi avec l'Union européenne. Les relations étaient déjà tendues après que l'UE a bloqué l'envoi de millions de doses de vaccin d'AstraZeneca en Australie au début de l'année.

Comment la France va-t-elle réagir ? La première étape pourrait être de réévaluer l'étendue de son engagement dans la région indo-pacifique. Les observateurs pensent que l'annonce de jeudi mettra également en péril les négociations en vue d'un accord de libre-échange entre l'Australie et l'UE, un marché à haut revenu de près de 450 millions de personnes dont le PIB avoisine les 15 000 milliards de dollars (20 000 milliards d'euros).

"Tout le monde à Paris est sous le choc", déclare Benjamin Haddad, directeur du centre européen de l'Atlantic Council. Selon lui, cette annonce représente le point le plus bas des relations entre les États-Unis et la France depuis 2003, lorsque Paris avait ouvertement critiqué Washington pour l'invasion de l'Irak.

Gérard Araud, ancien ambassadeur de France aux États-Unis, l'a exprimé ainsi : "Le monde est une jungle. La France vient de se voir rappeler cette vérité amère par la façon dont les États-Unis et le Royaume-Uni l'ont poignardée dans le dos en Australie".

Toutes les parties calculent que les avantages à long terme du resserrement des liens de défense entre l'Australie, le Royaume-Uni et les États-Unis l'emportent sur les dommages à moyen terme infligés à leur relation avec la France.

Mais Macron ne va nulle part dans l'immédiat. Et il aura la mémoire très longue.

Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)

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il y a 7 minutes, Shorr kan a dit :

Bon, je crois qu'il est temps de ressortir un vieux projet de ses cartons

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Il faut pas oublier la faiblesse géostratégique de la France vient en grande partie des ambitions du bonhomme. C'est le pire exemple à suivre donc ... il vaut mieux suivre les logiques de gestion de Louis XIV et même Louis XV (surtout après la guerre de sept ans), qui savaient déjà l'époque d'avoir des visions à long terme.

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il y a 2 minutes, wagdoox a dit :

Certes mais on peut chercher a les obtenir plutot que de nous laisser pillier. Le marché francais est trop ouvert. 

Je parle sobrement de budget militaire. Le soft power et l'influence politique d'accord, mais sans moyens derrière...

il y a 2 minutes, Rochambeau a dit :

Il faut pas oublier la faiblesse géostratégique de la France vient en grande partie des ambitions du bonhomme. C'est le pire exemple à suivre donc ... il vaut mieux suivre les logiques de gestion de Louis XIV et même Louis XV (surtout après la guerre de sept ans), qui savaient déjà l'époque d'avoir des visions à long terme.

Louis XV ? Pitié ! On n'a jamais été aussi mauvais qu'en ce temps là !

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il y a 5 minutes, herciv a dit :

Eh bien il y a quelques analyses anglo-saxone qui pense que c'est l'Euroep entière qui prend dans la tronche :

"Le problème pour M. Morrison est qu'il a trompé M. Macron au moment même où le président succède à la chancelière allemande Angela Merkel, qui prend sa retraite, en tant que leader de facto de l'Europe. L'Australie ne s'est pas seulement battue avec la France, mais aussi avec l'Union européenne. Les relations entre les deux pays étaient déjà tendues depuis que l'UE a bloqué l'envoi de millions de doses de vaccin d'AstraZeneca en Australie au début de l'année."

https://www.smh.com.au/world/europe/emmanuel-macron-has-good-reason-to-feel-angry-and-deceived-by-australia-20210916-p58s0z.html

Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)

Emmanuel Macron a de bonnes raisons de se sentir en colère et trompé par l'Australie
Bevan Shields
Par Bevan Shields
16 septembre 2021 - 11 h 42

Londres : En ce qui concerne les gifles, il n'y en a pas de plus grandes que celle-ci. Et le revers géant que l'Australie vient d'infliger à la France et à son président, Emmanuel Macron, ne manquera pas de lui être rendu en nature.

Tout comme le Premier ministre Scott Morrison peut invoquer des raisons légitimes pour mettre fin à un contrat de 90 milliards de dollars avec la France pour l'aider à construire la nouvelle flotte de sous-marins australiens, M. Macron a des raisons plus que raisonnables de se sentir en colère et trompé.

Dire que les Français sont furieux du nouveau pacte de défense surprise entre l'Australie, les États-Unis et le Royaume-Uni serait un euphémisme. Du jour au lendemain, Paris est passé du statut d'ami et d'allié de l'Australie à celui de nation à laquelle on ne peut pas faire confiance.
Le président français Emmanuel Macron fait un discours sur l'Indo-Pacifique à bord du navire australien HMAS Canberra à Sydney en 2018.

Le président français Emmanuel Macron prononce un discours sur l'Indo-Pacifique à bord du navire australien HMAS Canberra à Sydney en 2018.Credit:AFP

"Cette décision est contraire à la lettre et à l'esprit de la coopération qui prévalait entre la France et l'Australie", ont déclaré le ministre des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian et la ministre des Armées Florence Parly dans un communiqué commun.

Ce changement "marque une absence de cohérence que la France ne peut que constater et regretter", ont-ils ajouté.

Macron avait investi un sérieux capital politique pour transformer le contrat des sous-marins en quelque chose de plus durable. En 2018, il s'est tenu sur un navire de guerre à la base militaire de Garden Island à Sydney et a promis une nouvelle ère d'engagement français dans l'Indo-Pacifique - quelque chose que la Coalition souhaitait depuis des années et qu'elle a accueilli à bras ouverts.

En juin de cette année, il a pris la défense de l'Australie dans son bras de fer avec la Chine. Debout à côté de M. Morrison dans la cour de l'Elysée, M. Macron a déclaré que la France était déterminée à "défendre l'équilibre de la région indo-pacifique" et a souligné "combien nous considérons que le partenariat que nous avons avec l'Australie est au cœur de cette stratégie indo-pacifique".

Ce que Macron ne savait pas, c'est que quatre jours plus tôt, Morrison avait profité d'une réunion avec le président américain Joe Biden et le Premier ministre britannique Boris Johnson au sommet du G7 à Cornwall, en Angleterre, pour discuter d'un plan secret visant à abandonner les sous-marins français et à les remplacer par une flotte à propulsion nucléaire utilisant la technologie américaine et britannique.
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Le raisonnement de M. Morrison n'était pas que le constructeur naval français Naval Group, en proie à des difficultés, ne parviendrait pas à respecter les délais ou le budget, mais que la menace croissante de la Chine signifiait que le programme avait besoin du poids supplémentaire de l'armée américaine.
Le premier ministre Scott Morrison et le président français Emmanuel Macron à Paris en juin.

Le premier ministre Scott Morrison et le président français Emmanuel Macron à Paris en juin. Crédit:AP

Le Premier ministre australien a dit à Macron lors de cette réunion à l'Elysée, et dans les jours qui ont suivi, que l'Australie étudiait ses options. Mais il n'a pas parlé à Macron du plan élaboré en secret avec les États-Unis et le Royaume-Uni.

Pour des raisons qui n'ont pas encore été expliquées, Morrison et Macron ne se sont pas parlés au téléphone cette semaine malgré la nouvelle capitale. Et dans une allocution télévisée commune avec Biden et Johnson, Morrison n'a pas mentionné une seule fois la France. C'est à M. Biden qu'il revient d'insister sur le fait que la France reste un allié clé dans la région.

"Nous avons été imprudents et insensibles à l'égard d'une puissance très sensible qui se rapprochait de nous", déclare un haut responsable impliqué dans les relations entre l'Australie et la France. "Cela va nous faire du tort. Nous serons coupés du monde en Europe."

Le problème pour Morrison est qu'il a dupé Macron juste au moment où le président prend le relais de la chancelière allemande Angela Merkel, qui prend sa retraite, en tant que leader de facto de l'Europe. L'Australie ne s'est pas seulement battue avec la France, mais aussi avec l'Union européenne. Les relations étaient déjà tendues après que l'UE a bloqué l'envoi de millions de doses de vaccin d'AstraZeneca en Australie au début de l'année.

Comment la France va-t-elle réagir ? La première étape pourrait être de réévaluer l'étendue de son engagement dans la région indo-pacifique. Les observateurs pensent que l'annonce de jeudi mettra également en péril les négociations en vue d'un accord de libre-échange entre l'Australie et l'UE, un marché à haut revenu de près de 450 millions de personnes dont le PIB avoisine les 15 000 milliards de dollars (20 000 milliards d'euros).

"Tout le monde à Paris est sous le choc", déclare Benjamin Haddad, directeur du centre européen de l'Atlantic Council. Selon lui, cette annonce représente le point le plus bas des relations entre les États-Unis et la France depuis 2003, lorsque Paris avait ouvertement critiqué Washington pour l'invasion de l'Irak.

Gérard Araud, ancien ambassadeur de France aux États-Unis, l'a exprimé ainsi : "Le monde est une jungle. La France vient de se voir rappeler cette vérité amère par la façon dont les États-Unis et le Royaume-Uni l'ont poignardée dans le dos en Australie".

Toutes les parties calculent que les avantages à long terme du resserrement des liens de défense entre l'Australie, le Royaume-Uni et les États-Unis l'emportent sur les dommages à moyen terme infligés à leur relation avec la France.

Mais Macron ne va nulle part dans l'immédiat. Et il aura la mémoire très longue.

Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)

Je sens plus un article d’opinion, de qualité mais comme il le rappelle a la fin, les calculs sont que la france avalera la pillule ! 
Tant que cette certitude est là … la france est un paillasson sur lequel il fait bon marcher 

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à l’instant, Ciders a dit :

Louis XV ? Pitié ! On n'a jamais été aussi mauvais qu'en ce temps là !

Le territoire nationale n'a pas était envahi et ce malgré les défaites, et après il a su mettre tout les moyens en oeuvre pour corriger les manques comme le système Gribeauval et la refonte de la Royale sont les exemples les plus évident.

 

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il y a 4 minutes, Rochambeau a dit :

Le territoire nationale n'a pas était envahi et ce malgré les défaites, et après il a su mettre tout les moyens en oeuvre pour corriger les manques comme le système Gribeauval et la refonte de la Royale sont les exemples les plus évident.

Sur la fin et encore. Mais avant cela, que de désastres et d'abandons de terrains !

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il y a 24 minutes, Ciders a dit :

Sur la fin et encore. Mais avant cela, que de désastres et d'abandons de terrains !

Il faut aussi prendre en considération que l'homme était sincèrement pacifiste et manqué de confiance en soi avant la guerre de Sept Ans, après il a assumé d'avantage son  rôle de chef de guerre. Pour l'abandon de terrain, c'est assez logique la France n'avait pas les moyens de les récupérer, et la logique de donner la Louisianne est pas absurde tant elle prend de fait que la France est incapable de gérer cette immense territoire ... pourtant il a réussi à préserver Saint-Domingue qui était très lucratif en son temps. (chose que je signale que Napoléon va perdre !) Et la France est un pays prospère durant son règne.

On est très loin devant le bilan de Napoléon ...

Modifié par Rochambeau
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Si vous voulez mon avis, plutôt que de partir sur des grands plans romantiques qu'on appliquera pas parce qu'on est trop liés aux US, on ferait mieux en pratique de se demander comment on retrouve un peu d'indépendance.

Alors allons y.

Ok, on quitte l'OTAN.

Pas le commandement intégré hein, j'ai bien dit l'OTAN.

Déjà, on perd quoi?

Faisons la liste, on verra comment régler les pb au fil de l'eau.

Je commence, premier truc qui me vient en tête, ptet pas le plus important, mais bon, la formation de nos pilotes de l'aéronavale. Pas nécessairement parce que les ricains suspendront le programme, mais tout simplement parce qu'on ne pourra plus dépendre d'eux pour ça. 

Solution: Bah les former nous mêmes… ou plus d'aéronavale… point ( si quelqu'un se sent de chiffrer le surcoût d'un tel rapatriement, ce serait pas mal, on verra à la fin de la liste le cout global de la rupture d'alliance ).

Quoi d'autre messieurs?

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@Scarabé

Genial ton article. Je te le repique ici il y a sa place parfaitement.

 

il y a 1 minute, Niafron a dit :

Si vous voulez mon avis, plutôt que de partir sur des grands plans romantiques qu'on appliquera pas parce qu'on est trop liés aux US, on ferait mieux en pratique de se demander comment on retrouve un peu d'indépendance.

Alors allons y.

Ok, on quitte l'OTAN.

Pas le commandement intégré hein, j'ai bien dit l'OTAN.

Déjà, on perd quoi?

Faisons la liste, on verra comment régler les pb au fil de l'eau.

Je commence, premier truc qui me vient en tête, ptet pas le plus important, mais bon, la formation de nos pilotes de l'aéronavale. Pas nécessairement parce que les ricains suspendront le programme, mais tout simplement parce qu'on ne pourra plus dépendre d'eux pour ça. 

Solution: Bah les former nous mêmes… ou plus d'aéronavale… point ( si quelqu'un se sent de chiffrer le surcoût d'un tel rapatriement, ce serait pas mal, on verra à la fin de la liste le cout global de la rupture d'alliance ).

Quoi d'autre messieurs?

C'est sûr que tout çà va représenter un coût conséquent. Mais est-ce évitable ? Toi tu penses qu'on a le choix ? Moi je crois pas. Je pense qu'il est l'heure de faire notre choix d'alignement. La présidence française de l'Europe permettra également de compter nos alliés.

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53 minutes ago, wagdoox said:

Je sens plus un article d’opinion, de qualité mais comme il le rappelle a la fin, les calculs sont que la france avalera la pillule ! 
Tant que cette certitude est là … la france est un paillasson sur lequel il fait bon marcher 

Ce n'est pas comme ça que je lis la fin de l'article. Il sous-entends que le PR ne va pas faire d'esclandre mais que (la vengeance étant un plat qui se mange froid) il fera payer l'Australie en profitant du rôle central de la France dans l'UE pour bloquer des accords commerciaux ou assimilés.

De facto, la France va bientôt prendre la présidence de l'UE.

Modifié par Rivelo
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il y a 8 minutes, herciv a dit :

@Scarabé

Genial ton article. Je te le repique ici il y a sa place parfaitement.

 

C'est sûr que tout çà va représenter un coût conséquent. Mais est-ce évitable ? Toi tu penses qu'on a le choix ? Moi je crois pas. Je pense qu'il est l'heure de faire notre choix d'alignement. La présidence française de l'Europe permettra également de compter nos alliés.

Bah le truc, c'est que sur le fofo ( et particulièrement dans la rubrique PE/RI), souvent, on pense avant d'avoir réfléchi en fait…

Du coup, si on faisait l'inverse pour une fois?

Bref, on va au bout du truc, on voit tout ce que ça coûte, tout ce qu'il va falloir faire et après on se fait une opinion? Non? 

Donc, je reviens à la charge, si on quitte l'OTAN, on perd quoi et comment on comble?

 

Modifié par Niafron
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il y a 1 minute, Niafron a dit :

Bah le truc, c'est que sur le fofo ( et particulièrement dans la rubrique PE/RI), souvent, on pense avant d'avoir réfléchi en fait…

Du coup, si on faisait l'inverser pour une fois?

Bref, on va au bout du truc, on voit tout ce que ça coûte, tout ce qu'il va falloir faire et après on se fait une opinion? Non? 

Donc, je reviens à la charge, si on quitte l'OTAN, on perd quoi et comment on comble?

 

Je comprend ta démarche comptable, mais si d'un côté tu veux absolument compter les charges il faut aller au bout de la démarche et compter aussi les produits, non ?

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