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Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires


Messages recommandés

il y a 1 minute, g4lly a dit :

La réussite de l'action "pipeline" qui a amené plusieurs centaine de fantassin russe dans les faubourg de Sudzha à du foutre un bordel dans l'organisation de la défense, et la retraite à peut être été lancé à la sauvette.

Oui, j'imagine que ça a dû être problématique comme situation.

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il y a 29 minutes, g4lly a dit :

La réussite de l'action "pipeline" qui a amené plusieurs centaine de fantassin russe dans les faubourg de Sudzha à du foutre un bordel dans l'organisation de la défense, et la retraite à peut être été lancé à la sauvette.

Cette histoire de pipeline m'a fait penser à l'utilisation des tunnels qui va provoqué la chute de Avdiïvka. Je me demande à quel niveau de commandement se prends se genre de décision/prise de risque.

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Il y a 5 heures, Rouletabille a dit :

Franchement, je ne crois pas qu'il faille être un tacticien de génie pour penser qu'ils ont trop attendus pour partir en bon ordre de ce coin qu'ils ne pouvaient pas tenir. Comme souvent en Ukraine, le politique et le symbole l'emportent sur le militaire...

L'âme Slave sûrement. La résistance Russe à Stalingrad (2nde GM) était une folie politique et symbolique, et pourtant ça a tenu et fini par être un tournant stratégique majeur pour les Russes. 

Si les Russes avaient abandonné la ville, il n'est pas impossible que Moscou parle allemand aujourd'hui (et je ne parle pas que du locataire propriétaire actuel du Kremlin)

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J’espère que l’Ukraine met tout ce qu’elle a encore sur le front, parce que si le cease-fire est accepté par la Russie (qui va probablement prendre son temps), les lignes ne bougeront plus…

y aura plus qu’à négocier la valeur d’un mètre carré a Koursk contre un autre dans le Donbas…

 

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il y a 3 minutes, vince24 a dit :

J’espère que l’Ukraine met tout ce qu’elle a encore sur le front, parce que si le cease-fire est acepté par la Russie (qui va probablement prendre son temps), les lignes ne bougeront plus…

Le Sud Liban te dirait que le cessez le feu a tenu à partir du moment où les Israéliens ont estimé avoir terminé leur action de retrait, et jusqu'à ce qu'ils estiment qu'il y avait une bonne raison de reprendre une série de bombardements... mais eux ont meilleure presse.

Modifié par rendbo
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Pour cette histoire de pipeline, il y a des articles de presse ukrainienne (big spoiler crédibilité !) qui annoncent que ça a été un gros échec, que les ukrainiens les attendaient à la sortie et que pleins de soldats russes sont morts dedans, entre autre d'asphyxie.

Oui ça ressemble à de la grosse propagande, mais ils affirment que ça fait du bruit chez les milblog russes qui critiquent une décision stupide. Quelqu'un a vu passer quelque chose là dessus ?

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Côté Povrosk les ukrainiens sont à l'initiative. Reprise de plusieurs position antérieur cela feraitsuite a la destructiond'un gros depot de munitions privant provisoirement les russes de soutiens.

J'ai bien l'impression que les ukrainiens ont acté le retour de Koursk aux russes et ce reconcentre sur les lignes du Dombass. 

Petite analyse personnelle Le retour de l'aide américaine aura une vertus après plusieurs jours de coupures les russes ont du amasser de la masse qu'il ca être plus aisé à reduire

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bilan de La Vigie parue dimanche :

- assez peu d'analyse sur l'aspect militaire. Le chroniqueur rappelle ses doutes sur l'intérêt initial de l'offensive vers Koursk 

"S’ils y parviennent, il faudra alors s’interroger sur le sens de l’initiative ukrainienne, au sujet de laquelle nous n’avons jamais caché nos doutes sur son sens militaire, réservant à l’avenir sa signification politique."

- Conclusion très pessimiste pour l'Ukraine sur l'aspect diplomatique (voire pour l'Europe) :

 

Les Européens s’agitent mais ne pèsent pas. Malgré toutes les déclarations, ils feront peu et ce soutien réduit ne suffira pas à l’Ukraine pour continuer le combat. En fait, ils retiennent surtout la fragilisation du lien transatlantique et beaucoup oublient les promesses faites à l’Ukraine. On aperçoit des revirements à l’œuvre. Peu de pays se réunissent pour promettre une aide militaire à l’Ukraine à l’issue d’un accord. Les divergences s’affichent déjà et beaucoup souhaitent négocier avec Trump pour maintenir un minimum de garanties. La question transatlantique domine la question européenne qui domine la question ukrainienne.

Dans ce grand chamboule-tout, l’Ukraine paraît la victime ultime de cette guerre où elle aura quasiment tout perdu, trahie par les Américains et les Européens. Si les combats peuvent encore durer quelque temps, la question se pose de savoir à quoi ils servent encore.

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Ça défouraille le Mamba....

https://www.slate.fr/monde/guerre-ukraine-missiles-franco-italiens-abattent-avion-combat-russie-defense-antiaerienne-systeme-samp-t-mamba-alternative-patriot-aide-militaire-europe-etats-unis

..."Une bonne nouvelle pour Volodymyr Zelensky et pour l'armée ukrainienne, qui peut compter sur un système de défense antiaérienne efficace, sans dépendre du bon vouloir de l'administration Trump..."

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Sur le front, l'Ukraine se bat et résiste grâce aux drones

https://www.lepoint.fr/monde/sur-le-front-l-ukraine-se-bat-et-resiste-grace-aux-drones-12-03-2025-2584594_24.php

Révélation

Sur le front, l'Ukraine se bat et résiste grâce aux drones

Boris Mabillard

Un tapis de verre brisé recouvre les décombres au pied des façades noircies. Des tôles arrachées, des bouts de métal tordus : c'est tout ce qu'il reste des échoppes de ce pâté de maisons. Deux missiles Iskander, un Tornado à sous-munitions et un drone Shahed se sont abattus sur ce quartier de Dobropillia, au nord de Pokrovsk. L'attaque a été planifiée pour faire le plus de victimes possible, le drone kamikaze portant le coup de grâce alors que les secouristes s'affairaient pour dégager les blessés. En tout, 11 corps sans vie et 50 blessés, plusieurs dans un état grave, ont été extirpés des décombres. En quatre jours, plus d'une dizaine de bombes ont visé Dobropillia, Kramatorsk, Kostiantynivka et Druzhkivka, dans le Donbass, faisant des dizaines de morts et de blessés sur des marchés, dans des barres d'immeubles ou dans des maisonnettes. Les habitants déplorent une funeste recrudescence des attaques aériennes, notamment avec des bombes guidées (KAB).

Les négociations de paix et l'arrêt de l'aide américaine – levé depuis l'accord ukrainien sur un cessez-le-feu – se traduisent par des résultats paradoxaux : d'un côté, loin de jouer l'apaisement, la Russie multiplie ses assauts, cible les populations civiles et recourt à des armes sales comme les gaz de combat ; de l'autre, loin de courber l'échine, faisant fi de l'arrêt de l'aide américaine, l'armée ukrainienne réussit à endiguer, grâce à son armée de drones, la progression des forces ennemies, sauf en territoire russe, dans la région de Koursk, où elle recule.

L'avance russe stoppée

Edouard traverse le champ de gravats à l'arrière de son magasin de matériel informatique, alors que tombent encore des pans de façade. Les ruines calcinées qu'ont laissées les deux missiles balistiques Iskander s'abattant sur Dobropillia l'ont interloqué. « Les millions que coûte chaque Iskander valent plus que le budget total de la ville. À quoi ça rime ? Est-ce juste pour terrifier les habitants ? » Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a condamné une attaque vile et cruelle : « La Russie ne cherche pas à mettre fin à la guerre, mais à détruire, et le monde la laisse faire. »

En s'alignant sur les positions russes, Donald Trump a changé les dynamiques à l'œuvre en Ukraine, mais pas forcément dans le sens qu'on attendait. Pour l'instant au moins, l'Ukraine parvient à compenser l'arrêt du soutien militaire américain même dans les domaines où ce dernier est le plus précieux : elle possède assez d'obus de 155 millimètres et de Patriot pour quelques mois encore, le système satellitaire Starlink d'Elon Musk n'a pas été coupé à ce jour, et les Ukrainiens développent des systèmes de remplacement. Quant à l'arrêt par Washington du partage du renseignement, on n'en mesure pas encore les répercussions pour l'armée ukrainienne, mais le front reste inchangé. L'Ukraine a une carte maîtresse : ses drones. L'armée russe s'y casse les dents. Dans le Donbass, où elle progressait lentement depuis l'été, son avance est stoppée.

Entre des bosquets, sur la route qui mène de Sloviansk à Bakhmout, en zone occupée, le commandant Sergey (un nom de guerre) abandonne son véhicule pour monter dans le gros pick-up de Youri qui est, lui, surmonté de nombreuses antennes de brouillage. « Grouillez-vous, lance Sergey aux autres passagers, mettez gilets et casques. Les brouilleurs n'offrent aucune garantie contre la mort. » Des explosions retentissent au loin. Un impact secoue le versant d'une colline d'où s'élève un nuage de fumée : « Ce sont nos positions que les Russes visent avec leurs drones et leur artillerie », explique Sergey. Youri prend le volant dans sa main énorme et avertit : « On ne va pas traîner. Il y a des drones. »

L'infanterie a dû s'adapter à la nouvelle donne dictée par le recours massif aux engins volants. « Ce n'est plus la même guerre, déclare Sergey, nous sortons moins souvent de nos trous. Le plus dangereux c'est d'y aller et d'en revenir. Dans nos tranchées, on regarde juste si personne ne passe. » Le matin même, l'artillerie a tonné, mais, depuis une dizaine de jours, les offensives russes ont baissé. « Nous sommes devenus inutiles. » L'infanterie doit se réinventer. L'artillerie aussi.

Début mars, les Russes ont réuni à l'arrière chars et blindés pour mener une tentative audacieuse d'enfoncement des lignes ukrainiennes au nord de Myrnohrad. Mais les drones ukrainiens, en alerte, ont pilonné les tanks de la colonne avant même qu'elle ait eu le temps de s'ébranler. « J'ai reçu l'ordre de préparer les chars d'assaut pour contrer cette offensive, raconte le commandant Mykyta, mi-figue, mi-raisin. Alors que nos moteurs chauffaient, le contre-ordre est tombé : “N'y allez pas ! La colonne est neutralisée.” »

Équipements dernier cri

Derrière une lourde porte en acier et en béton, dans une cave blindée, aménagée à 2 mètres sous terre et bardée d'équipements dernier cri, une dizaine de gradés surveillent sur des écrans à plasma les images des positions ennemies qu'envoient les drones de reconnaissance. Artem, adjoint du commandant d'un bataillon de la 157 e brigade, communique grâce au réseau Starlink avec son état-major. Il fait partie de ceux qui ont supervisé la dernière contre-offensive face à la colonne de blindés russes. « Le nombre d'offensives a baissé, constate-t-il, mais les Russes continuent à envoyer des hommes à la mort sans logistique ni soutien de l'artillerie. Ils montent parfois au combat sans casque ni gilet pare-balles ! Ils courent par-dessus les cadavres des fantassins qu'on laisse pourrir. Ils subissent des pertes considérables et n'évacuent plus ni morts ni blessés. »

Deux facteurs expliquent le renversement en faveur des Ukrainiens : « Premièrement, nous gagnons la bataille des drones, constate Artem. Nous en avons en plus grand nombre ; nos pilotes et nos différents types de drones sont plus efficaces que les leurs. Deuxièmement, les forces de l'armée russe déclinent à cause du manque d'hommes et de matériel et de la fatigue. »

Faute d’avoir réussi à percer nos lignes, les Russes se sont rabattus sur les drones et sur les gaz de combat.

L'armée ukrainienne manque aussi indéniablement d'hommes, notamment dans l'infanterie. « Par rapport à il y a un an, au début de l'offensive russe sur Avdiivka, nos unités n'ont plus que 60 % à 65 % de leurs effectifs. Il en va de même pour les Russes, ce n'est pas pour rien qu'ils ont recours à des supplétifs d'Afrique, du Népal ou de Corée du Nord. La différence ? En Ukraine, qui est une démocratie, on débat de ce problème. En face, chez les Russes, il est interdit d'en parler. »

Calé sur une chaise inclinable, Artem distribue calmement les ordres. Il n'a pas constaté de conséquences négatives pour son bataillon à la suite de la décision américaine d'arrêter de partager ses informations avec l'état-major ukrainien. « Il y a un mois, au moment où les négociations ont commencé en Arabie saoudite, les Russes ont mené des assauts avec tout ce qu'ils avaient sous la main, comme s'ils avaient reçu un feu vert de Washington. Mais, faute d'avoir réussi à percer nos lignes, ils se sont rabattus sur les drones et sur les gaz de combat. »

Des cadavres sans sépulture

Dans ce qui devait être une remise agricole, non loin du bunker ukrainien, deux soldats russes aux uniformes dépareillés et souillés attendent, presque au garde-à-vous. Le plus grand, Amour de son nom de guerre, parce qu'il vient de la région du fleuve du même nom, 37 ans, a rejoint les rangs de l'armée russe pour la solde. À côté de lui, un blond ébouriffé au regard bleu clair, hagard et fixe, qui répond au surnom de Kazace, semble sonné. Les deux disent être bien traités et ne portent pas de traces visibles de coups, sauf des ecchymoses sur les mains qu'ils disent s'être faites durant l'assaut.

Ils acceptent sans contrainte de raconter ce qui les a conduits là et qui tient autant de la désertion que de la capture. Recrutés en janvier, sans expérience militaire, ils ont suivi une formation sommaire et se sont retrouvés fantassins dans les troupes d'assaut. Ils disent n'avoir jamais rencontré leur commandant, seulement des instructeurs. « Il y a cinq jours, nous avons reçu l'ordre de partir à l'assaut. » Guidés à distance par talkie-walkie, douze soldats progressent ainsi à pied, sans gradé ni chef avec eux ; certains tombent sous le feu des drones ukrainiens. En plus des corps de ses camarades tués lors de l'assaut, Amour dit avoir vu d'autres cadavres russes abandonnés sans sépulture.

L'escouade parvient néanmoins à s'emparer d'une tranchée ukrainienne après un bref combat. Les pertes sont importantes : Amour et Kazace se retrouvent au fond de la tranchée avec un blessé ukrainien et, contre toute attente, les drones de leur propre camp les prennent pour cible, larguant bombes et gaz toxiques. Une contre-offensive ukrainienne est lancée, dirigée par Artem. « Ma hiérarchie, explique ce dernier, m'a donné l'ordre de libérer la position, de sauver notre blessé et d'éliminer les éléments ennemis. Mais j'ai choisi de leur laisser la vie sauve et de les capturer. Nous constatons une intensification des attaques au gaz sur notre partie du front, un pic quasi sans précédent. »

Oleh, un ancien de la Légion étrangère devenu officier des troupes d'assaut du renseignement militaire ukrainien (le GUR), est plus nuancé sur le recours au gaz, généralement du sarin, de la lewisite ou de la chloropicrine. L'utilisation d'armes sales n'est pas systématisée et se ferait plutôt à l'initiative des commandants sur le terrain. « Avec la tenue de négociations, le recours à ces armes décriées n'est pas dans l'intérêt du Kremlin. On constate plutôt une baisse de leur utilisation à l'échelle du front. » Pour Oleh, les Russes se concentrent sur leur objectif principal du moment, la reprise de la portion de territoire russe occupée par les Ukrainiens dans la région de Koursk. Cela contribue à expliquer la baisse de l'intensité des assauts dans le Donbass. « Ils ont redéployé des brigades entières dans la région de Koursk, notamment la 810 e. » Autant d'hommes qui manquent sur le front russe du Donbass, au moment où les dronistes ukrainiens montaient en puissance.

Nouvelle organisation

À Découvrir Le Kangourou du jour Répondre « En outre, relate Oleh, nous réformons l'armée : chaque brigade a désormais son bataillon de dronistes. La nouvelle organisation porte ses fruits. Les Russes conservent toutefois une avance avec leurs drones filaires, mais nous les rattraperons bientôt. » Ces drones, reliés à leurs pilotes respectifs par une fibre optique longue de plusieurs kilomètres, permettent d'éviter le brouillage. Côté ukrainien comme côté russe, l'envie monte de voir les canons se taire. L'ouverture de négociations nourrit l'espoir d'un cessez-le-feu, pour le meilleur ou pour le pire. « Dans les communications que nous avons captées, beaucoup de Russes espèrent une pause avant Pâques, détaille Oleh. Pareil dans le camp ukrainien. Cela diminue l'ardeur au combat : personne ne veut mourir lors de la dernière offensive. »

Sergey, dont l'épouse devrait accoucher en mai, est impatient de rentrer chez lui. « Nous allons avoir une fille, j'aimerais être là pour l'accueillir. Cette guerre technologique est totalement absurde, mais on s'habitue à tout. La première fois que je me suis couché dans une tranchée, j'étais horrifié par les vers de terre et les explosions. Après une semaine, je ne prêtais même plus attention aux souris qui couraient sur mon buste et sur mon visage. Je voulais juste dormir. » Artem, lui, craint que le cessez-le-feu n'arrive à contretemps : « Nous nous renforçons peu à peu sur le front Est. Ce n'est pas le moment de faire des concessions. » 

 

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L'évocation de l'usage (russe) de gaz de combats me laisse un peu perplexe.

Si c'était le cas d'une manière manifeste ou généralisé, il me semble que cela aurait déjà fait l'ouverture des JT, preuves à l'appui, pour influer vers une position "forte" vis-à-vis des barbares sans lois qui utilisent ce type d'armes proscrites.

D'autant que la Russie a ratifié la convention sur l'interdiction des armes chimiques et s'exposerait sans ambiguïté ni nuance à la révélation de leur double jeu (pas vraiment dans leurs habitudes d'avoir une position sans ambiguïté, ni nuance).

 

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https://www.lavoixdunord.fr/1563772/article/2025-03-12/la-russie-atteint-ses-limites-quatre-raisons-de-croire-en-une-victoire-militaire

Les 4 raisons d'y croire pour l'Ukraine si la guerre continue :

- manque d'équipements sur le front pour les Russes 

- l'Ukraine produit massivement des armes et surtout des drones par millions 

- ils contre attaques dans le dombass et on stabilisé ce front

- les Européens se sont réveillés et commence leur réarmement physique comme intellectuel

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il y a 10 minutes, Ronfly a dit :
  1. manque d'équipements sur le front pour les Russes 
  2. l'Ukraine produit massivement des armes et surtout des drones par millions 
  3. ils contre attaques dans le dombass et on stabilisé ce front
  4. les Européens se sont réveillés et commence leur réarmement physique comme intellectuel
  1. Ca ne saute pas aux yeux, et c'est une sorte de mantra qu'on répete depuis 3 ans. A mon sens les ukrainiens en manque au moins autant que les Russes.
  2. Ca c'est pareil on les attend toujours les armes ... ou elles sont bien discrete. A part les drones et encore c'est surout des petits modele qui sont produit en masse.
  3. Il contre attaque certes, mais la question c'est pourquoi et à quel prix. Est contextuel, l'effet Trump et peser sur les négos? Est stratégique, y a t il un projet militaire derriere ... c'est assez peu lisible. Pour le front stabilisé pareil, ca va ca vient, c'est moins pire qu'hier mais on ne voit pas vraiment de stabilisation, plutot des aller retour assez consommateurs de ressource dans les deux camps.
  4. ca va prendre des année non?
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il y a 1 minute, g4lly a dit :
  1. Ca ne saute pas aux yeux, et c'est une sorte de mantra qu'on répete depuis 3 ans. A mon sens les ukrainiens en manque au moins autant que les Russes.
  2. Ca c'est pareil on les attend toujours les armes ... ou elles sont bien discrete. A part les drones et encore c'est surout des petits modele qui sont produit en masse.
  3. Il contre attaque certes, mais la question c'est pourquoi et à quel prix. Est contextuel, l'effet Trump et peser sur les négos? Est stratégique, y a t il un projet militaire derriere ... c'est assez peu lisible. Pour le front stabilisé pareil, ca va ca vient, c'est moins pire qu'hier mais on ne voit pas vraiment de stabilisation, plutot des aller retour assez consommateurs de ressource dans les deux camps.
  4. ca va prendre des année non?

Perso, j'en ai aucune idée étant à 2000km du front, par contre nos grands pontes le savent très bien si c'est réaliste vu qu'ils continuent à les pousser.

J'ai juste résumé un article de presse positif pour l'Ukraine.

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il y a 15 minutes, Ronfly a dit :

Perso, j'en ai aucune idée étant à 2000km du front, par contre nos grands pontes le savent très bien si c'est réaliste vu qu'ils continuent à les pousser.

J'ai juste résumé un article de presse positif pour l'Ukraine.

Il y a des sources sérieuses depuis le début du conflit qui cartographie et informent des combats, avec moult preuve vidéo etc. Aucune meme les Ukrainiennes n'expliquent que l'Ukraine à changer de momentum. Au mieux pour le moment on pense à un regain d'engagement pour donner une image plus positive du rapport de force lors des négociations.

Dans le meme temps la poche Koursk se résorbe à vitesse grand V ... et les troupes dispos ensuite risquent de se mettre en ordre pour instaurer la zone tampon nord annoncé par Poutine.

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Il y a 6 heures, Ronfly a dit :

Ça défouraille le Mamba....

https://www.slate.fr/monde/guerre-ukraine-missiles-franco-italiens-abattent-avion-combat-russie-defense-antiaerienne-systeme-samp-t-mamba-alternative-patriot-aide-militaire-europe-etats-unis

..."Une bonne nouvelle pour Volodymyr Zelensky et pour l'armée ukrainienne, qui peut compter sur un système de défense antiaérienne efficace, sans dépendre du bon vouloir de l'administration Trump..."

Avec combien de missiles?

 

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