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Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires


Messages recommandés

il y a 3 minutes, Mangouste a dit :

Voilà qui est intéressant parce que ça montre une limite claire à la capacité russe en armement. Quand t'en es a déshabillé Pierre pour habillé Paul c'est que ça va pas fort.

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Il y a 14 heures, Valy a dit :

Bonjour,

Selon mediazona (https://zona.media/article/2022/08/26/svodka-184)

- À Berdiansk, une explosion a tué un chef adjoint de la police de la circulation collaborant avec l'administration russe.

- Après les explosions en Crimée, la Russie a commencé à retirer ses avions de combat de la péninsule. cette info vient en fait d'un journal Allemand Business insider (https://www.businessinsider.de/politik/welt/explosionen-auf-der-krim-russland-zieht-laut-nato-geheimbericht-kampfflieger-aus-der-ukraine-ab/)dont l'article est masqué mais qui révelerait certains détails d'un rapport de l'OTAN du 22 AOut. 10 avions de combat auraient été déplacés. Il en resterait 32 à l'aérodrome de Belbek près de Sébastopol.

Une série de twitts sur le 3eme corps d'armée que la russie a réussi à lever, fondé sur des volontaires régionaux. Pas mal équipés en tanks (T90) . Semble-t-il a vocation offensive. A voir :

 

 

Surprenant les T90M et les BVM dans un corps de volontaires récemment formé de je ne sais quoi. Le premier n'a pratiquement pas été engagé dans des unités d'active et de première ligne. Le second doit être en ce moment bien difficile à produire. 

Modifié par Mangouste
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il y a 33 minutes, gustave a dit :

Les militaires aussi…

D'ailleurs, est-ce que quelqu'un s'y connaît un peu sur les protections qu'ont les drones militaires contre le piratage ? Est-ce qu'il est plus simple de brouiller le drone pour le forcer à tourner en rond comme un poulet sans tête, ou de le pirater pour le forcer à s'écraser ?

(j'imagine évidemment que le plus dur serait de pirater le drone, le faire se poser de son côté et le récupérer pour le démonter, si l'ennemi, pas con, n'a pas truffé ses bouzins de balises).

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Il y a 2 heures, Mangouste a dit :

Surprenant les T90M et les BVM dans un corps de volontaires récemment formé de je ne sais quoi. Le premier n'a pratiquement pas été engagé dans des unités d'active et de première ligne. Le second doit être en ce moment bien difficile à produire. 

Le premier est surtout disponible en très peu d'exemplaires (moins de 100 début 2022)

Le plus surprenant étant de faire appel à des volontaires pour le char le plus moderne et le plus capable de l'inventaire.

D'ailleurs on pourrait dire la même chose pour le T-80BVM...

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Classique, on espère compenser le manque d'expérience par la qualité du matériel (voir les panzer-brigades créées fin 44 par le IIIème Reich et équipées de Panther neufs).

Il y a 3 heures, herciv a dit :

Bon les drone civil laisse passer quand même les hackeurs :

 

 

Je trouve la réaction des gars (si je comprends bien les Russes qui se sont fait hacker leur DJI) très professionnelle: ils comprennent ce qui se passent et réagissent avec calme et intelligence.

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il y a 10 minutes, gustave a dit :

Classique, on espère compenser le manque d'expérience par la qualité du matériel (voir les panzer-brigades créées fin 44 par le IIIème Reich et équipées de Panther neufs).

 

Le contexte était fort différent pour les allemands. L'armée russe n'est sûrement pas au bord du précipice. Je pense plus sûrement un petit coup de propagande sur les moyens " illimités et modernes" .

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Récit sur les amputés de la guerre: parcours de soin, prise en charge, prothèse, témoignages. 

Les amputés de la guerre en Ukraine

https://www.lemonde.fr/international/article/2022/08/23/les-amputes-de-la-guerre-en-ukraine_6138759_3210.html

Citation

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Les amputés de la guerre en Ukraine

Par Thomas d'IstriaPublié le 23 août 2022 à 12h00

Temps deLecture 4 min.Read in English

Réservé à nos abonnés

FACTUEL - Le nombre de soldats ayant perdu un membre n’est pas rendu public de peur de « démoraliser les Ukrainiens ».

Les deux hommes se sont liés d’amitié en réapprenant à marcher. Aleksandr vient de Kiev, Yevgen de Tchernihiv. Ils ne se connaissaient pas, n’ont pas combattu ensemble, mais ont tous deux perdu une jambe au mois de mars, quelques jours après le début de la guerre. « Aleksandr m’a proposé de rester chez lui le temps des soins », raconte Yevgen, qui a préféré ne pas donner son nom, tout comme son acolyte. « En échange du loyer, je lui ai demandé de faire la vaisselle et le ménage », blague Aleksandr.

Depuis que leurs plaies ont cicatrisé, les deux pères de famille se rendent chaque jour dans les locaux du centre de rééducation Bez Ozmezhen (« sans limites »), un petit bâtiment dans la banlieue de Kiev. Entre les ateliers de confection des prothèses temporaires, le long d’un couloir, les hommes marchent et effectuent des exercices sous l’œil attentif d’un médecin. Depuis le 24 février, le jeune patron de l’entreprise, Andriy Ovcharenko, dit avoir reçu plus de 50 Ukrainiens gravement blessés, certains avec plusieurs membres sectionnés.

Premier bilan officiel des morts

Pour la première fois, lundi 22 août, le commandant en chef des forces armées, Valeri Zaloujny, a donné un bilan des pertes que l’Ukraine déclare avoir subies depuis le début de la guerre, six mois plus tôt, en affirmant que 9 000 soldats ukrainiens ont été tués. Andriy Ovcharenko ne connaît pas le nombre d’amputés dans le pays. Les autorités ne communiquent pas ces chiffres, « afin de ne pas démoraliser les Ukrainiens », confie-t-il, avant d’ajouter : « Si les gens savaient combien de personnes perdent leurs jambes et leurs bras, personne ne rejoindrait l’armée. » Le directeur s’attend à recevoir un afflux de soldats en provenance des lignes de front de l’est et du sud de l’Ukraine. Aujourd’hui, la majorité de ses patients ont été blessés dans les premières semaines du conflit.

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Un soldat blessé du bataillon Azov se fait soigner dans une clinique privée de réhabilitation, à Kiev, en Ukraine, le 5 juillet 2022. RAFAEL YAGHOBZADEH POUR « LE MONDE »

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Alexandr (à gauche) et Yevgen (au centre) écoutent les conseils de leur prothésiste (à droite) au centre de rééducation Bez Ozmezhen, dans la banlieu de Kiev, en Ukraine, le 15 août 2022. ADRIEN VAUTIER/LE PICTORIUM POUR « LE MONDE »

Yevgen a rejoint la défense territoriale de Tchernihiv le 3 mars. La ville du Nord a été encerclée et pilonnée quotidiennement jusqu’au retrait des troupes russes, à la fin du mois. L’homme de 35 ans combattait dans une tranchée. Le 15 mars, il s’est retrouvé sous un bombardement. Les shrapnels lui ont déchiré la jambe. « Un ami a été blessé à la tête et est décédé deux semaines plus tard », raconte le gaillard rasé qui porte une balafre sur une partie du visage. Au total, deux morts et cinq blessés. Yevgen a été transporté dans un hôpital de l’Ouest.

Aleksandr faisait partie des réservistes de l’armée ukrainienne. Entre 2015 et 2016, il avait combattu dans le Donbass, cette région minière de l’Est où la guerre entre des séparatistes soutenus par la Russie et l’armée ukrainienne avait débuté en 2014. A la veille du déclenchement de l’« opération spéciale » du président russe, l’invasion de son pays, l’homme de 36 ans est alors appelé pour rejoindre la 95e brigade d’assaut aérien afin de défendre la ville de Makariv, à l’ouest de la capitale. Le matin du 13 mars, « un jour plus calme que d’habitude », un tank ouvre le feu sur sa position. Sa jambe est touchée par un éclat. « J’ai allumé une cigarette, se rappelle-t-il. Je me disais que c’étaient sûrement les dernières minutes de ma vie et j’ai essayé d’appeler mes parents. Ils n’ont pas répondu. » L’armée ukrainienne finit par répliquer avec des mortiers face à l’ennemi russe. Aleksandr est évacué avec un autre homme, éborgné.

Soins pris en charge par l’Etat

Bien souvent, quand cela est possible, les amputés de la guerre sont envoyés en convalescence dans l’ouest du pays, dans des zones relativement épargnées par les bombardements. Il faut plusieurs semaines avant que la plaie ne cicatrise. Yevgen, dont la jambe a été coupée au niveau du genou, a dû se faire réamputer plus haut afin de pouvoir supporter une prothèse. La blessure d’Aleksandr s’est nécrosée. Là aussi il a fallu recouper. L’Etat ukrainien prend les coûts des opérations et des prothèses en charge, libre aux soldats de choisir le centre de rééducation.

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Vlad, soldat du bataillon Azov blessé à Marioupol lors de la première semaine de la guerre contre la Russie, à Irpine, en Ukraine, le 6 juillet 2022. RAFAEL YAGHOBZADEH POUR « LE MONDE »

Dans le cas de Yevgen, c’est un vétéran rencontré dans un hôpital, amputé deux ans plus tôt, qui lui a conseillé de se rendre dans la clinique Bez Ozmezhen. L’entreprise a ouvert son premier local à Kiev, en 2014. Elle en possède désormais neuf à travers l’Ukraine. Rien qu’à Kiev, Andriy Ovcharenko dénombre une dizaine d’autres d’entreprises privées spécialisées dans le secteur. Les hôpitaux publics souffrent d’une mauvaise réputation. Là-bas, le personnel est mal payé, peu motivé, selon le jeune patron. Dans une de ces cliniques gérées par l’Etat, raconte Aleksandr, un de ses amis se serait retrouvé avec une prothèse plus longue que sa jambe.

Dans le centre de rééducation Bez Ozmezhen, les patients reçoivent des appareillages temporaires fabriqués en grande partie d’éléments produits sur le territoire. Cette première étape dure plusieurs semaines, le temps pour les chairs et leurs muscles de s’habituer. Ensuite, les patients passent à l’étape finale. Yevgen et Aleksandr ont passé commande pour des prothèses confectionnées aux Etats-Unis et en Grande Bretagne. Selon les deux hommes, les soldats ukrainiens se refusent à commander les produits d’une entreprise allemande depuis que le bruit circule qu’elle proposerait également ses services aux soldats russes.

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L’atelier d’une clinique spécialisée dans la création de prothèses, à Kiev, le 15 août 2022. ADRIEN VAUTIER/LE PICTORIUM POUR « LE MONDE »

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Andreï est accompagné par son petit frère dans une clinique de réhabilitation publique à Kiev, le 4 juillet 2022. Andreï a été blessé à la jambe et au bras au début de la guerre aux environs de Kiev. RAFAEL YAGHOBZADEH POUR « LE MONDE »

Lorsqu’ils recevront leurs nouvelles prothèses, plus lourdes et sophistiquées, ils devront là encore passer par une étape d’exercices et de soins réguliers pendant quelques mois. Difficile de penser au futur. Ce qui est certain, explique Yevgen, c’est qu’ils ne pourront pas retourner à la vie civile tant que la guerre durera dans le pays. « On ne pourra pas aller dans les tranchées, mais il y a plein d’autres métiers dans l’armée », glisse Aleksandr. « Je pourrai être conducteur, apporter des munitions et des vivres sur la ligne de front, s’enthousiasme Yevgen. On doit gagner cette guerre et ne pas la laisser à nos enfants. On ne veut pas d’un accord [cédant une partie du] pays. Ce serait un conflit gelé et les Russes réattaqueraient à nouveau deux ans plus tard. »

 

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il y a 46 minutes, olivier lsb a dit :

Récit sur les amputés de la guerre: parcours de soin, prise en charge, prothèse, témoignages. 

Les amputés de la guerre en Ukraine

https://www.lemonde.fr/international/article/2022/08/23/les-amputes-de-la-guerre-en-ukraine_6138759_3210.html

 

extrait :

 Andriy Ovcharenko ne connaît pas le nombre d’amputés dans le pays. Les autorités ne communiquent pas ces chiffres, « afin de ne pas démoraliser les Ukrainiens », confie-t-il, avant d’ajouter : « Si les gens savaient combien de personnes perdent leurs jambes et leurs bras, personne ne rejoindrait l’armée. »

:sad:

"...Mise à jour du 27 août #Kherson #Antonovskiy Bridge . Le pont-barge reste sur une longueur de 630 mètres, inchangé depuis le 25. Le côté nord a une rampe de véhicules plus importante sur la barge. Les dommages récents semblent non réparés. Aucun engin de chantier visible..."

 

 

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Il y a 4 heures, Mangouste a dit :

Le contexte était fort différent pour les allemands. L'armée russe n'est sûrement pas au bord du précipice. Je pense plus sûrement un petit coup de propagande sur les moyens " illimités et modernes" .

Pas besoin d'être au bord de l'effondrement pour adopter cette logique. Il n'est pas sans intérêt de former de nouvelles unités sur des équipements performants plutôt que rééquiper des unités sur le front (donc les désengager) qui maitrisent l'usage de leur matériel parfois ancien. Et la qualité de l'équipement peut pallier en partie le manque d'expérience.

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il y a 34 minutes, gustave a dit :

Pas besoin d'être au bord de l'effondrement pour adopter cette logique. Il n'est pas sans intérêt de former de nouvelles unités sur des équipements performants plutôt que rééquiper des unités sur le front (donc les désengager) qui maitrisent l'usage de leur matériel parfois ancien. Et la qualité de l'équipement peut pallier en partie le manque d'expérience.

Dans le cas présent les 2 modèles ne me semblent pas à ce point supérieurs pour compenser l'inexpérience mais ce n'est que mon avis. Par contre, ils peuvent maintenir une relative parité face aux K2 et Abrams que vont recevoir les Polonais. On verra dans les mois à venir si ces unités de volontaires sont engagées en Ukraine avec les 2 chars les plus modernes de l'inventaire russe.

 

 

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il y a une heure, leclercs a dit :

il suffit d'observer le taux de pertes des nouveaux arrivants en 1944 même équipés des tout derniers PANTHER: la machine ne fait pas tout, l'important c'est l'entrainement avant d'aller au front!

Sachant au passage que les Panzer-Brigade, outre les problèmes de "trop peu, trop tard" se sont révélées déficientes sur le plan de l'organigramme. Elles n'ont d'ailleurs pas vécu longtemps.

il y a une heure, Mangouste a dit :

Dans le cas présent les 2 modèles ne me semblent pas à ce point supérieurs pour compenser l'inexpérience mais ce n'est que mon avis. Par contre, ils peuvent maintenir une relative parité face aux K2 et Abrams que vont recevoir les Polonais. On verra dans les mois à venir si ces unités de volontaires sont engagées en Ukraine avec les 2 chars les plus modernes de l'inventaire russe.

Attention, les K2 et les Abrams c'est pas pour tout de suite (encore que, les seconds non) et surtout peu de chances qu'un T-90 M rencontre un M1 du côté de Kharkiv. Mais si ça devait arriver, dix roubles sur le second, la cote est trop basse pour miser plus.

Modifié par Ciders
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En vrac :

  • il est tout à fait possible que l'on puisse trouver en Crimée des sympathisants pro-ukrainiens et un appui, au moins passif, parmi une partie de la population
  • que certains Tatars puissent participer, en soutien ou plus avant, à ces opérations peut aussi s'envisager pour plusieurs raisons. A noter qu'ils sont plus nombreux au nord-est et à l'est, et quasiment absents dans les grandes villes du littoral. Le levier religieux (ils sont sunnites) et le fait que les Russes les aient assez peu à la bonne peuvent jouer aussi pour les motiver*
  • si les Russes n'ont pas la capacité d'empêcher les Ukrainiens de faire rentrer des gens voire des équipements en Crimée, c'est un sérieux problème. Même si numériquement les opérateurs locaux/infiltrés sont peu nombreux, cela induit une insécurité sur les arrières russes
  • un autre problème potentiel est que ces unités seraient donc (si confirmé) en mesure de frapper de grosses infrastructures théoriquement protégées (Saki pour l'essentiel) et éventuellement de guider les frappes ou ce qui entraîne que des radars ou des dépôts explosent ou prennent feu
  • les 100 000 soldats en réserve prêts à bondir... sceptique je suis. Quant à les engager au détail dans la mère de toutes les contre-attaques, ça me rappelle vaguement quelques titres ronflants et des échecs piteux derrière, sur tous les continents
  • les sabotages en Russie même : sceptique aussi. Des raids locaux pour prélever des informations ou agiter les défenseurs locaux en allant leur brûler leur UAZ, sans doute. Infiltrer Kaliningrad pour aller repeindre la guérite à l'entrée de la base de Baltysk en jaune et bleu ou couler le yacht de Poutine, je suis dubitatif
Révélation

*Ironiquement, vous savez où vivent la plupart des Tatars de Crimée ? En Turquie

 

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il y a 25 minutes, Ciders a dit :

Sachant au passage que les Panzer-Brigade, outre les problèmes de "trop peu, trop tard" se sont révélées déficientes sur le plan de l'organigramme. Elles n'ont d'ailleurs pas vécu longtemps.

Attention, les K2 et les Abrams c'est pas pour tout de suite (encore que, les seconds non) et surtout peu de chances qu'un T-90 M rencontre un M1 du côté de Kharkiv. Mais si ça devait arriver, dix roubles sur le second, la cote est trop basse pour miser plus.

A ce que j'ai lu les K2 du premier lot sont prévus pour cette fin d'année.

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Il y a 8 heures, Valy a dit :

Les défenses aériennes soviétiques et russes auraient été construites pour contrer l'utilisation à grande échelle d'avions typiques  de l'OTAN (bombardiers). Il y aurait  un champ radar solide qu'à partir d'une hauteur de quelques kilomètres avec  de gros "trous" en dessous et une réelle vulnérabilité aux drones.

Sachant que, depuis près de 40 ans les exercices d'attaques tactiques ou stratégiques en occident se font à basse altitude et/ou en suivie de terrain, cette information semble, une fois de plus, particulièrement crédible... à force de prendre les russes pour des c... j'ai l'impression que le réveil de certains sera pénible...

 

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Il y a 6 heures, Ciders a dit :

En vrac :

  • les 100 000 soldats en réserve prêts à bondir... sceptique je suis. Quant à les engager au détail dans la mère de toutes les contre-attaques, ça me rappelle vaguement quelques titres ronflants et des échecs piteux derrière, sur tous les continents
  Révéler le contenu masqué

*Ironiquement, vous savez où vivent la plupart des Tatars de Crimée ? En Turquie

 

L'article n'est pas très clair à ce propos. La source serait ukrainienne. ces forces seraient-elles déja infiltrées? Vouées à être infiltrées? Ou une force de réaction en réserve au centre de l'Ukraine en cas d'offensive russe. J'avoue que n'ai pas bien compris. 

 

Il y a 5 heures, Yorys a dit :

Sachant que, depuis près de 40 ans les exercices d'attaques tactiques ou stratégiques en occident se font à basse altitude et/ou en suivie de terrain, cette information semble, une fois de plus, particulièrement crédible... à force de prendre les russes pour des c... j'ai l'impression que le réveil de certains sera pénible...

 

L'article citerait un expert militaire russe non nommé pour cause de domiciliation en russie. Je vous laisse faire le tri des infos ...

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Il y a 5 heures, Yorys a dit :

Sachant que, depuis près de 40 ans les exercices d'attaques tactiques ou stratégiques en occident se font à basse altitude et/ou en suivie de terrain, cette information semble, une fois de plus, particulièrement crédible... à force de prendre les russes pour des c... j'ai l'impression que le réveil de certains sera pénible...

 

Mouais...

En attendant, s'il y a une armée qui a un réveil pénible, c'est pas celle de l'OTAN. Donc si faut caser une incompétence/mauvaise stratégie, j'aurai tendance à la coller à ceux qui en ont déjà fait preuve. Mais c'est peut-être du wishfull thinking...

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