C’est un message populaire. Banzinou Posté(e) le 16 mai 2022 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 16 mai 2022 C'est un délire 7 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Loïc C. Posté(e) le 16 mai 2022 Share Posté(e) le 16 mai 2022 Il y a 2 heures, Fusilier a dit : C'est la procédure standard semble-t-il. C'est un canon assez léger dans le 4 T de mémoire Oui, mais c'est surtout une recherche d'équilibre de la charge en conditions de transport, l'affût du M 777 pesant un "âne mort". En amarrant le tube - c'est prévu pour! - au tracteur, on soulage les suspensions de ce dernier et on ne pénalise pas sa motricité. Sinon, je rejoins la remarque de Pascal... "Bon quand je regarde ces images et que je compare avec les séances de tir sur TR F1 je me dis que l'instruction sur M 777 a encore des progrès à faire" ... Pas moins de 51 secondes pour "tirer un coup"! Même en admettant qu'il n'est pas nécessaire de vérifier et corriger les réglages de la pièce, entre chaque tir, vu la "valse" des servants et pourvoyeurs autour de la susdite, la cadence de tir serait, au mieux, de 2 coups/minute. Question à un"Hryvnia", c'est la monnaie ukrainienne , le M 777 utilise-t-il des gargousses + une douille ou uniquement des gargousses ? Apparemment, ce serait la seconde hypothèse, dans ce cas, le chef de pièce et les pourvoyeurs ont, tous, sérieusement besoin d'un nécessaire complément d'instruction pour le service de l'obusier! Sinon, ils sont bons pour s'en prendre une sévère de la part d'un tir de contre-batterie russe! Il y a fort à parier que cette vidéo n'avait qu'une valeur "informative"... Vous voyez, nous venons de réceptionner les M 777, généreusement attribués par les Ricains! ... et que le tir, ainsi que l'amarrage de la pièce à son tracteur n'étaient, eux-mêmes, que des démonstrations. Comme "d'habe", à la première vue, on se fait bourrer le mou avec de "l'infox". Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Paschi Posté(e) le 16 mai 2022 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 16 mai 2022 https://soldat-und-technik.de/2022/05/bewaffnung/31586/loitering-munition-ukraine/ Munitions rôdeuses dans la guerre en Ukraine Les munitions rôdeuses ne sont pas un nouveau moyen d'action, mais ce type de moyen d'action n'a été connu du grand public que lors de la guerre du Mont Karbach en 2020. Tout comme les drones, ces munitions sont disponibles dans différentes tailles, capacités et paramètres de performance. Les versions les plus petites peuvent être tirées à partir de lance-grenades de 40 mm ou de conteneurs de lancement légers et portables. l'autre extrémité du spectre, on trouve des moyens d'action transportés et lancés par véhicule, avec des temps de vol dépassant largement l'heure et la capacité de combattre efficacement les chars de combat à toute heure du jour et dans de mauvaises conditions météorologiques. Il n'est donc pas surprenant que l'annonce de la livraison de tels systèmes à l'Ukraine ait suscité un grand écho médiatique. De plus, de nombreux rapports, photos et vidéos - disponibles pour la plupart sur les médias sociaux - témoignent de l'efficacité mais aussi des problèmes liés à l'utilisation de ces systèmes d'armes. La liste ci-dessous énumère tous les types de munitions rôdeuses dont l'utilisation en zone de guerre est prouvée à l'heure actuelle, avec une brève description. La liste sera complétée au fur et à mesure. Munitions rôdeuses des forces armées ukrainiennes Les forces armées ukrainiennes ont reconnu depuis un certain temps déjà le potentiel de ces munitions et ont également lancé des achats. L'industrie locale a également reconnu le besoin et a présenté des projets correspondants. Citons par exemple le ST-35 Silent Thunder ou l'UJ-32 LASTIVKA et l'UJ-31 ZLYVA présentés par UKRJET quelques jours avant le début de la guerre. Il n'est toutefois pas certain que ces moyens d'action puissent être fabriqués dans les conditions actuelles. De même, aucune preuve de l'utilisation de ces armes n'a pu être trouvée jusqu'à présent, de sorte qu'elles ne figurent pas dans la liste. Warmate La munition Warmate du fabricant polonais WB Electronics est introduite dans sa propre armée depuis 2017. La même année, la coopération avec le fabricant ukrainien CheZaRa a débuté avec pour objectif un complexe de moyens d'action appelé Sokil, basé sur le véhicule à roues protégé Varta. Selon les médias, l'intégration a été menée à bien jusqu'à la fin 2021, mais la mise en service officielle n'a pas encore eu lieu. Néanmoins, des moyens d'action Warmate ont été documentés à plusieurs reprises pendant la guerre d'Ukraine depuis avril 2022. Il est également probable que les stocks aient été à nouveau complétés par des livraisons polonaises au cours de la guerre. Portée / autonomie : 30 km / 70 minutes Vitesse maximale : 150 km/h Vitesse de croisière : 80 km/h Ogive : ogive HE/ ogive thermobarique/ ogive à charge creuse Switchblade 300 À la mi-mars 2022, il a été annoncé que les États-Unis avaient livré les 100 premiers systèmes de munitions Switchblade à l'Ukraine dans le cadre d'un paquet d'aide de 800 millions de dollars. Depuis lors, d'autres lots de ce moyen d'action ont été remis dans le cadre d'autres livraisons d'armes. La Switchblade 300 est introduite dans les forces armées américaines depuis 2011 et a été utilisée avec succès en Irak, en Afghanistan et en Syrie. Le Switchblade 600, nettement plus grand et spécialisé dans la défense antichar, est également prévu par le gouvernement américain et, selon les déclarations du Pentagone, également financé. Une livraison effective ne semble toutefois pas avoir eu lieu jusqu'à présent. Portée / autonomie : 10 km / 15 minutes Vitesse maximale : 100 km/h Vitesse de croisière : inconnue Ogive : ogive HE Phoenix Ghost La deuxième munition rôdeuse fournie à l'Ukraine par les Etats-Unis dans le cadre d'un paquet d'aide est le Phoenix Ghost. On ne sait que peu de choses sur ce moyen d'action développé par l'entreprise américaine Aevex Aerospace pour le compte de l'armée de l'air américaine. Les paramètres techniques ne sont pas non plus encore publiés. D'après les informations, cette munition est toutefois équipée d'une ogive à charge creuse pour combattre les véhicules blindés de taille moyenne, ce qui laisse supposer qu'il s'agit d'un engin à voilure fixe. Portée / autonomie : inconnu Vitesse maximale : inconnue Vitesse de croisière : inconnue Ogive : probablement à charge creuse Les munitions russes L'utilisation de munitions rôdeuses n'est guère médiatisée du côté russe. Ainsi, les connaissances sur les moyens utilisés se limitent principalement aux systèmes capturés ou à leurs restes après leur utilisation. Dans ce dernier cas, les munitions non explosées qui apparaissent régulièrement sont très révélatrices. Outre la variante mentionnée, on peut supposer que des moyens d'action Lancet 1 ou Lancet 3 pourraient également être utilisés. La famille de munitions Lancet a déjà été testée par la Russie dans le cadre du conflit syrien. Aucun cas clairement documenté n'a toutefois été signalé à ce jour en Ukraine. KUB-BLA Le KUB-BLA est un produit du groupe Kalashnikov et a été présenté pour la première fois en 2019 à l'IDEX aux Émirats arabes unis. Son concepteur et fabricant est l'entreprise Zala Aero, spécialisée dans les véhicules aériens sans pilote. Il est commercialisé à l'international par le groupe public Rostec. Selon le fabricant, la munition, d'une envergure de 1,2 m, est équipée d'une intelligence artificielle capable de traiter les données de ses propres capteurs et de choisir une cible de manière autonome. Au niveau international, cette pratique est fortement contestée en raison de l'absence de contrôle par un opérateur humain (human in the loop). De plus, plusieurs KUB-BLA ont été retrouvés au cours de la guerre d'Ukraine, présentant manifestement des défauts d'allumage, ce qui laisse planer des doutes sur la fiabilité du système. Autonomie/temps de vol : 30 minutes Vitesse maximale : 130 km/h Vitesse de marche : 80 km/h Ogive : ogive HE de 3 kg 2 2 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kelkin Posté(e) le 16 mai 2022 Share Posté(e) le 16 mai 2022 il y a 11 minutes, Banzinou a dit : C'est un délire Échappé d'un zoo, je suppose. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 16 mai 2022 Share Posté(e) le 16 mai 2022 2 hours ago, Métal_Hurlant said: C'est vraiment des teubés chez Air et couscous ... seul les Ka-50 et Mi-28 ont un cockpit blindé ... Pour comprendre a quel point ce n'est pas blindé ... une photo haute résolution de celui planté dans un champ pres de Kiev. On voit la verriere en plexi cassée ... sauf le pare-brise pour éviter que les piaf de rentre dans le cockpit. 1 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Nec temere Posté(e) le 16 mai 2022 Share Posté(e) le 16 mai 2022 il y a 45 minutes, Loïc C. a dit : Question à un"Hryvnia", c'est la monnaie ukrainienne , le M 777 utilise-t-il des gargousses + une douille ou uniquement des gargousses ? Je ne sais pas s'il s'agissait du M777 mis j'ai déjà vu une vidéo d'une pièce servi probablement par des marines, avec fût plus court chargé avec un obus plus une douille dernière avec la quantité de poudre souhaité rempli à la dernière minute. Ça semblait relativement artisanale comme méthode mais j'y connais pas grand chose Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
olivier lsb Posté(e) le 16 mai 2022 Share Posté(e) le 16 mai 2022 Il y a 3 heures, Métal_Hurlant a dit : Une série de twitts qui décrit un document de l'armée russe énumérant les pertes pour différentes unités dans les 1ers jours du conflit : Mieux encore, ce compte twitter s'est amusé à comparer les pertes rapportées dans ce document versus celles d'Oryx rapportées à la même époque + le temps du désengagement de Kiev, sur la population des T-80. Verdict, Oryx serait juste à hauteur de 77% - 82% des pertes consignées de T-80 dans ce document (l'incertitude étant liée à l'inclusion ou non d'une part des chars non identifiés dans la population des T-80), pour la bataille de Kiev. 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 16 mai 2022 Share Posté(e) le 16 mai 2022 13 minutes ago, Nec temere said: Je ne sais pas s'il s'agissait du M777 mis j'ai déjà vu une vidéo d'une pièce servi probablement par des marines, avec fût plus court chargé avec un obus plus une douille dernière avec la quantité de poudre souhaité rempli à la dernière minute. Ça semblait relativement artisanale comme méthode mais j'y connais pas grand chose C'est comme ça sur le 105 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Banzinou Posté(e) le 16 mai 2022 Share Posté(e) le 16 mai 2022 Citation C'est vraiment des teubés chez Air et couscous ... seul les Ka-50 et Mi-28 ont un cockpit blindé ... Pour comprendre a quel point ce n'est pas blindé ... une photo haute résolution de celui planté dans un champ pres de Kiev. On voit la verriere en plexi cassée ... sauf le pare-brise pour éviter que les piaf de rentre dans le cockpit. T'es bien sûr de toi ? Car tous les articles que j'ai regardé justement indiquent qu'il est blindé... C'est même les premiers concernés qui le disent -> http://roe.ru/esp/catalog/las-fuerzas-aeroespaciales/helicópteros/ka-52/ "heavily-armored cockpit" Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 16 mai 2022 Share Posté(e) le 16 mai 2022 Tu peux avoir un étui monobloc ou pas. https://en.wikipedia.org/wiki/Shell_(projectile)#Separate_loading_cased_charge Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
cracou Posté(e) le 16 mai 2022 Share Posté(e) le 16 mai 2022 il y a 1 minute, g4lly a dit : C'est comme ça sur le 105 La charge est effectivement adaptée. Il y a deux écoles: mettre plus de galettes ou bien avoir un étui et en retirer. Il y a du mérite aux deux systèmes. L'OTAN est plus "on a une charge pleine et on retire ce qui n'est pas nécessaire". Dans la pratique on peut raper souvent au même endroit avec deux charges différents et en faisant varier l'angle de tir mais pour la durée de vue du canon, moins de charge c'est mieux. Les charges sont assez inertes (dans le sens "elles explosent vraiment pas pour faire chier ou selon le sens du vent) mais tolèrent passez mal le Grad ou autre obus. D'ailleurs un bon artilleur qui le sent pas devient très très bon à la course et il est d'usage de ne pas laisser les charges trop près ou bien là où elles peuvent exploser en faisant de la casse. Les mettre dans un trou pas trop près, c'est bien... sauf que si c'est trop loin, ça devient chiant à manipuler. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Delbareth Posté(e) le 16 mai 2022 Share Posté(e) le 16 mai 2022 Il y a 4 heures, Niafron a dit : En particulier sa capacité à opérer au plus près du front ( décollage court, bonne vitesse ascensionnelle, agilité, etc...). Pas sûr que ce paramètre soit primordial pour monter à 20m d'altitude Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Elemorej Posté(e) le 16 mai 2022 Share Posté(e) le 16 mai 2022 Concernant la bande audio qui tourne sur l'appel à l'aide du Moskva, vous pensez que c'est probable? Un lien du fameux appel, mais ça se trouve dans plusieurs média. https://www.bfmtv.com/international/asie/russie/navire-moskva-coule-un-enregistrement-audio-revele_VN-202205160413.html Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Banzinou Posté(e) le 16 mai 2022 Share Posté(e) le 16 mai 2022 (modifié) Mais bordel, on nage en plein délire là https://www.lejdd.fr/International/personne-ne-peut-plus-rien-pour-nous-un-responsable-du-bataillon-azov-se-confie-a-bernard-henri-levy-4111465 Un moment faut être cohérent, ça ne lui cause pas des problèmes de dissonance cognitive à notre BHL national ? Modifié le 16 mai 2022 par Banzinou 1 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Fusilier Posté(e) le 16 mai 2022 Share Posté(e) le 16 mai 2022 Il y a 2 heures, FATac a dit : Bah oui, mais mes références datent un peu et j'étais habitué à voir deux flèches écartées pour stabiliser la chose, et rassemblées pour servir de barre de traction, le canon tourné vers l'arrière, pas vers la remorque. Ca ne tire pas trop sur le mécanisme d'amortissement du recul ? Il a un verrouillage pour une position "route" ? Je ne connais pas bien ce canon (moi fusilier, pas canonnier ) Mais , il me semble que sous la bouche du tube il y a un crochet de remorque, on peut supposer que les blocages, si nécessaires, sont prévus. C'est une arme, plus rustique (pas d'aide au chargement, il me semble) et légère (4 tonnes) que le TRF 1 (10 tonnes) ; ce sont deux 39 calibres. Le M 777 à la "philosophie" transportable d'un 105 mm. presque aussi léger (1, 7 pour le Nexter qui est un léger, 2,5 T pour un HM2) et la puissance et l'allonge d'un 155. Pour de l'infanterie légère (aéroportée, amphibie , etc) ce n'est pas un mauvais canon, ça peut remplacer le 105 et le mortier de 120... Il y a 1 heure, Loïc C. a dit : Sinon, je rejoins la remarque de Pascal... L'équipe manque d'entrainement. Mais bon, ils viennent de les recevoir, faut leur laisser un peu de temps... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. funcky billy II Posté(e) le 16 mai 2022 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 16 mai 2022 (modifié) Au sujet des pertes quelques points intéressants sont soulevés (entre autres) par Michael Kofman (analyste spécialisé sur l'armée Russe sur Twitter). Il conseille de rester très méfiant face aux estimations que l'on voit passer. Cela reste des estimations qui devraient être accompagnés d'un commentaire ("estimation haute" par exemple) et d'un intervalle de confiance pour bien faire. Cela va sans dire mais pour en arriver à une estimation globale, on est forcé de poser des hypothèses dont la valeur est parfois douteuse. Très compliqué d'extrapoler un nombre de pertes d'un nombre de véhicules détruits. Sans parler des véhicules abandonnés en début de conflit où l'équipage a pu se replier sain et sauf et des véhicules détruit pour éviter qu'ils ne tombent aux mains de l'ennemi, le sous-effectif de certaines unités russes a pu conduire certains véhicules à partir au combat à moitié pleins et un BMP ou un BTR totalement détruit ne veut peut-être dire que trois ou quatre personnes hors de combat. Certains extrapolent 2 tués par blindé perdu en moyenne. Si on compte en BTG, qu'est-ce qu'un BTG ? A priori, dans leur briefings, les américains ont parfois inclus les séparatistes pro-russes et parfois non (a priori le compte initial était sans, puis maintenant on les compte dans le total). De plus, le nombre de soldats constituant un BTG a pu varier fortement dans l'armée russe qui a envahi l'Ukraine parfois du simple au double. Toujours est-il que la moyenne d'un BTG, ça a l'air d'être en moyenne plus proche de 600 soldats que des 800 initiaux. Et que dire :"l'armée russe a tant de % de ses BTG toujours opérationnels" (ou "l'armée russe à 10 BTG dispos à Belgorod" en fait) ne veut pas dire grand chose non plus. Sachant en plus que toutes les unités n'ont pas été déployées sous forme de BTG. Les situations varient localement entre les unités: si les troupes séparatistes sont vraiment employées comme chair à canon envoyés en vague humaines, elle vont exploser les taux de pertes et pour en extrapoler quelque chose au global, ou inversement, déduire leurs pertes de ce que l'on sait déjà d'ailleurs, ça va être coton. Après, une fois qu'on a ces pertes, on les applique à un nombre de soldats total pour avoir un taux. Sauf qu'a priori on est même pas sûr du nombre de soldats qui ont pris part à l'opération initialement. (150k, 190k ?). Et c'est pas dit que l'armée russe le sache vu le foutoir que ça a l'air d'être. Le coefficient pour passer des morts au nombre total de pertes dépend d'énormément de facteurs (qualité des services médicaux, santé des soldats, nombre d'accidents hors-combat, désertions, prisonniers, qu'est-ce que l'armée qu'on étudie ou à laquelle on appartient considère comme étant un blessé...). Lui part sur un coefficient de 3. 5 mais peut-être qu'en réalité c'est 5.5 c'est très compliqué à dire. En faisant varier ces différentes hypothèses, on peut arriver à des conclusions totalement différentes sur les pertes et sur leur impact sur l'état de l'armée russe. Avec 3 300 morts et certaines hypothèses, tu as la moitié des BTG hors de combat mais on peut aussi imaginer, avec d'autres hypothèses, que 12 000 morts signifie en réalité 1/3 des unités russes qui ont franchi la frontière hors d'état de nuire. Finalement, lui pense qu'une estimation pas trop délirante, ça serait 10-12k morts au combat et, avec son multiplicateur de 3.5, 35-42k pertes totales. Mais il précise bien que c'est une hypothèse. Pour lui, ces pertes sont lourdes à supporter pour l'armée russe. Mais peut-être pas... Modifié le 16 mai 2022 par funcky billy II 1 5 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Métal_Hurlant Posté(e) le 16 mai 2022 Share Posté(e) le 16 mai 2022 il y a 16 minutes, Banzinou a dit : Mais bordel, on nage en plein délire là https://www.lejdd.fr/International/personne-ne-peut-plus-rien-pour-nous-un-responsable-du-bataillon-azov-se-confie-a-bernard-henri-levy-4111465 Dommage qu'on ai accès libre qu'au début de l'interview seulement, il y a plus de renseignements que dans tous les reportages qui ont précédé ! Si quelqu'un peut afficher le texte complet, merci d'avance ! 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. g4lly Posté(e) le 16 mai 2022 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 16 mai 2022 54 minutes ago, Banzinou said: T'es bien sûr de toi ? Car tous les articles que j'ai regardé justement indiquent qu'il est blindé... Certain. Le blindage des Ka-50 n'est plus possible dans la config Ka-52 à cause du surpoids de l'équipage à deux ... de la grande surface à blinder ... et de tous les équipement additionnel. Le canopy est en plexi comme sur le Tigre ... les flanc du cockpit en nid d'abeille comme sur AH-64 ... etc. etc. En gros ce qu'il doit rester du blindage c'est le plancher/baignoire ... et les addon qu'ils ont mis dehors. De toute façon c'est bien simple on ne sait quasiment pas faire de blindage transparent non-plat ... donc tout ce qui est transparent est rond c'est forcément pas blindé. Pour le reste tu peux voir sur la photo ... les trapettes donne sur des cases équipement classique, et sont en nid d'abeille classique. Le plexi n'est pas plus épais que sur Gazelle ... seul le pare brise doit résister aux piafs. D’ailleurs le Ka-52 n'est pas fait pour se mêler intimement aux combats à la base ... il est conçu pour s'en prendre aux unité mécanisé d'en face, de loin grâce à ses missiles et son radar. Pas vraiment pour faire des passe canon au dessus de la mitraille. --- Dans le papelard de Rosoboron ... il y a marqué siege éjectable aussi ... tu le vois le siège éjectable sur la photo? 11 minutes ago, Métal_Hurlant said: Dommage qu'on ai accès libre qu'au début de l'interview seulement, il y a plus de renseignements que dans tous les reportages qui ont précédé ! Si quelqu'un peut afficher le texte complet, merci d'avance ! Quote « Personne ne peut plus rien pour nous » : un responsable du bataillon Azov se confie à Bernard-Henri Lévy Bernard Henri-Lévy 11-15 minutes C’est l’interview la plus bouleversante que j’ai menée depuis longtemps. Cet homme s’appelle Ilya Samoïlenko. Il a 27 ans, un beau visage très pâle, un œil qui semble mort, un collier de barbe noir, étrangement bien taillé. C’est le commandant en second du dernier carré de combattants qui tiennent le complexe sidérurgique d’Azovstal à Marioupol, en Ukraine . Il est trente mètres sous terre, au bout d’un lien Zoom, dans une lumière terne et froide. Il pense qu’il va, avec son millier de camarades, mourir dans les jours, peut-être les heures, qui viennent. La conversation est filmée – je résume. « Je suis très ému de vous parler. – Et moi très content. Vous vous êtes connus, avec notre commandant, l’année dernière, à Marioupol. Il a des mots chaleureux pour vous. – Quelle est la situation, aujourd’hui, à Azovstal ? – La même qu’hier. Et la même que le jour d’avant. Et que le jour encore avant. Cela fait sept jours, peut-être huit, je ne sais plus, on ne voit plus le temps passer, on ne fait plus la différence entre les jours et les nuits, cela fait huit jours que la pression de l’ennemi croît, qu’il fait donner ses chars, ses canons de marine, ses avions, tout. – On dit, en Occident, que les Russes attaquent surtout par les airs. – C’était vrai. Ça ne l’est plus. Ils multiplient, depuis quelques jours, les assauts terrestres, avec forces spéciales. " Nous n’arrivons plus à suivre, ni à récupérer entre deux assauts " – Donc des combats au corps à corps ? – Oui. Par vagues. Et ces vagues nous épuisent. Nous avons la réputation d’être le meilleur bataillon du Donbass. Là, nous fatiguons. C’est un rythme d’enfer. Nous n’arrivons plus à suivre, ni à récupérer entre deux assauts. – À combien d’hommes estimez ces forces spéciales russes ? – Plusieurs centaines. Appuyées par un armement sophistiqué que nous n’avons, nous, plus. Mais nous sommes mobiles. Nous connaissons comme notre poche les moindres tunnel, coude, chambre forte et blindage des douze kilomètres carrés de l’usine. C’est notre territoire. Nous ne les laissons pas solidifier des positions. » Lire aussi - EXCLUSIF. La métamorphose de Zelensky : les extraits de la première biographie sur le président ukrainien Dans sa voix, jusqu’ici accablée, un instant de résolution et presque d’allégresse. « Où en êtes-vous avec les munitions ? – C’est le problème numéro 1. Une semaine. Peut-être deux. Mais pas plus. Pareil pour les vivres et pour l’eau. Et zéro armes lourdes, tanks, mortiers, véhicules blindés, zéro. La vérité c’est que personne ne prévoyait que les combats dureraient si longtemps. Pas même nous. » " Ils veulent nous tuer. Tous. Et un à un " Je suis en contact, à Washington, avec un groupe de vétérans qui projettent de faire voler des drones pour réapprovisionner l’usine. Je l’en informe. La réponse fuse, qu’il doit répéter, car une détonation sourde l’a couverte. « Ça ne marchera pas. – Pourquoi ? – D’abord l’aire de lancement la plus proche serait à 150 kilomètres. Et puis le premier drone qui survolerait nos cheminées serait immédiatement abattu. Non. C’est impossible. À moins d’un miracle, nous sommes condamnés. Ce n’est plus qu’une question de jours. » Je pense à Masada. Au ghetto de Varsovie. Au Roncevaux de La Chanson de Roland. À l’héroïsme de cette garde qui, comme à Waterloo, meurt mais ne se rend pas. Je le lui dis. Il hoche la tête. Ces références semblent lui être familières. « Il y a une chose, Ilya, que je ne comprends pas. Pourquoi, si le siège est hermétique, les Russes ne se contentent-ils pas de vous laisser mourir de soif et de faim ? D’attendre ? – Parce qu’ils veulent nous tuer. Tous. Et un à un. Nous avons des cas de camarades qu’ils ont capturés. Ils les ont exécutés, au mépris des lois de la guerre. Leurs mères ont reçu leur photo, prise avec leur propre portable. Il y en a un qui suffoque, la tête dans un sac plastique, au milieu d’un champ de seigle. » Je demande si je peux avoir ces images. Lire aussi - Front de l’Est : « Pour l’armée ukrainienne, c’est une course contre la montre » « Nous vous les ferons passer. Mais il faut que vous compreniez une chose. Notre résistance les rend fous. Sans nous, ils auraient, le 9 mai, déclaré victoire à Marioupol. Nous sommes le caillou dans la chaussure de Poutine. L’arête qu’il a en travers de la gorge. Un symbole qu’il veut détruire. – Pour le monde, vous êtes des héros. – Oh, des héros… Il paraît que les gens disent cela. Mais non. Nous sommes des soldats. Nous avons reçu des ordres. Nous obéissons. – Quels ordres, au juste ? – Tenir. Tenir encore. Une semaine de plus. Une autre. L’état-major sait que chaque jour gagné est un jour de perdu pour l’agresseur. Et le peuple ukrainien, lui, nous regarde. Tant que nous tenons, il tient. Si nous capitulons, ce sera un coup de massue. » " La seule chose interdite, c’est de céder, de se rendre " Il a dit cela d’un air d’évidence et sans fierté particulière. Il répète. « Tous, ici, nous avons frôlé la mort. Mais nos vies ne valent rien. Ce qui compte c’est l’Ukraine. Et il faut que l’Ukraine gagne. Pour cela, nous devons tenir. Puis mourir. La seule chose interdite, c’est de céder, de se rendre. Il y a beaucoup de lignes de front, en Ukraine, où notre exemple donne du courage. Nous n’avons pas le droit de l’oublier. Nous sommes dans une position historique. » J’objecte que les héros ne sont pas faits pour mourir, qu’ils sont plus utiles à leur peuple vivants que morts. Il me le concède, mais presque de mauvais gré. « C’est vrai que nous avons des choses à partager, une expérience du combat, une histoire. L’Ukraine ne manque pas de héros. Mais les patriotes au sang jeune ont encore à apprendre. » La ligne coupe. Je rappelle. « Pour que vous puissiez transmettre, Ilya, il faut vivre. Il faut que vos frères d’armes, l’état-major, trouvent le moyen de vous tirer de là. – Oh, l’état-major… Il nous fera un beau monument ! – Non. Sauver votre garnison est devenu, à Kyiv, je le sais, une priorité stratégique. » " Trop des nôtres sont morts. Ils ne peuvent pas être morts pour rien " Il semble surpris. Mais j’entrevois, dans son œil le plus vivant, une lueur de joie juvénile. « Peut-être. Merci. Il est vrai que notre commandant a parlé avec le président Zelensky. Plusieurs fois, ces deux dernières semaines. Mais nous ne pouvons pas baisser pavillon. Trop des nôtres sont morts. Des centaines. Ils ne peuvent pas être morts pour rien. – J’ai bien compris. Mais une opération de sauvetage, d’extraction, pourquoi pas ? – Ça n’existe pas. Nous préférons encore mourir qu’avoir à subir l’humiliation d’une reddition. Ce mot, reddition, n’est pas dans notre vocabulaire. » La même formule, curieusement, que celle du jeune Massoud, au lendemain du 16 août , quand il m’avait confié sa première interview et démentait être en tractation avec les talibans. Il esquisse un faible sourire. Change de ton. « Il y a tout de même une bonne nouvelle, cela dit… » Il s’interrompt, regarde au-dessus de sa tête – il semble avoir, tout à coup, du mal à respirer. « Une bonne nouvelle ? – Oui. Il n’y a plus de civils sur le site… » " Cette chambre froide, l’ennemi l’a attaquée et détruite. Depuis, nous vivons au milieu des morts " Il répète, pédagogue. « Nous avons évacué les civils. Maintenant, c’est plus facile. Nous n’avons plus d’innocents que les opérations mettent en danger. Nous avons les mains libres pour nous battre. – Quel est le moral de vos hommes ? – Bon. Ils ont le poids du pays sur les épaules et ils n’ont plus le choix. Ils doivent garder le moral et tenir. Le problème, c’est les blessés… – Vous en avez beaucoup ? – Plusieurs centaines. Il faudrait les évacuer. Mais les Russes s’y opposent. Alors, ils restent là. Ils tournent en rond. Ils dépérissent. Moi-même, j’ai été plusieurs fois blessé. – Vous avez des médecins ? – Des médecins militaires. Ils n’ont pas de matériel. Ils en sont réduits aux soins d’urgence. Mais ils font des miracles. Quand il y a un trou, ils le bouchent. Quelque chose de cassé, ils l’attachent. Et les hommes repartent au combat, grelottant de fièvre, un œil crevé, un membre amputé, avec leurs béquilles et leurs bandages. – Et, bien sûr, vous avez des morts ? – Bien sûr. – Auxquels vous rendez les honneurs ? Que vous enterrez ? – On fait une cérémonie militaire. Mais nous ne pouvons pas leur donner de sépulture. Un jour, on le fera. Car c’est aussi notre devoir. Mais, pour l’heure, nous les gardons dans un grand réfrigérateur, au bout d’un sous-sol. Sauf que… » De nouveau, un coup d’œil vers le ciel. Comme si l’information était sensible. « Sauf que cette chambre froide, l’ennemi l’a attaquée et détruite. Depuis, nous vivons au milieu des morts. Ils sont nos compagnons. Nous espérons que quelqu’un, un jour, après nous, prendra soin d’eux. » " Le bataillon a changé. Il s’est purgé de son passé obscur " La voix se casse, le regard s’embue, le teint devient cireux. « Et puis, poursuit-il, il y a les compagnons dont nous ne pouvons pas récupérer les corps. Ils sont tombés entre les lignes. L’ennemi nous empêche d’accéder et de les recueillir. – Pour des gens qui, comme les Russes, se veulent les fils aînés de l’orthodoxie, c’est un péché. » Il rit. « Ils n’en sont pas à un péché près ! – Certes. Mais tous ces popes qui soutiennent la guerre, bénissent les missiles, etc. : ce sacrilège ne les gêne pas ? – L’autre semaine, un convoi de popes ukrainiens s’est présenté à l’accès Est de la ville. Ils venaient récupérer des corps pour éviter qu’ils ne finissent aux chiens. L’ennemi a fait semblant de laisser passer. Puis, il a pillé le convoi, volé les voitures et laisser pourrir les cadavres. – Il y a des Juifs parmi vos morts ? – Bien sûr. Il y a des gens de toutes les confessions. Donc des Juifs. Des hommes fiers et de bons combattants. » Je connais la réputation sulfureuse du bataillon. Je sais comment, à ses débuts, comme toutes les résistances du monde, il a ramassé tout ce qu’il pouvait et qui savait manier une arme – y compris des éléments d’extrême droite. C’est comme s’il lisait dans mes pensées. « Ne croyez pas la propagande russe. Le bataillon a changé. Il s’est purgé de son passé obscur. Notre seul radicalisme, aujourd’hui, c’est notre volonté de défendre radicalement l’Ukraine. – Je le sais. – Merci. Et nous savons ce que signifie, chez les Juifs, de n’être pas proprement enterré. Il faudrait un rabbin. " Personne ne peut plus rien pour nous " – M’autorisez-vous à le dire ? – Bien sûr. – À porter votre message en Israël ? – Évidemment. Ce sont nos frères. En Israël, on sait se battre et mourir. » Lire aussi - Eli Samoilenko, combattant du Bataillon Azov, à Marioupol : « Nous résisterons jusqu’au bout » Je n’aime pas le ton de résignation sacrificielle que prend la conversation. Je répète : « Il ne faut pas mourir. Il y a des pétitions, aux États-Unis, en Europe. Il y a un mouvement qui s’active, mené par vos épouses, qui dit qu’il faut sauver Azovstal. » De nouveau, un éclair de joie triste dans son regard souffrant. « Merci. Mais c’est trop tard. Personne ne peut plus rien pour nous. » J’insiste. « Imaginez un grand pays. La France par exemple. Elle se porterait garante de votre évacuation dans l’honneur. – Avec nos armes ? – Bien sûr, avec vos armes. Vous quitteriez Azovstal avec vos armes, dans l’honneur. La communauté internationale a organisé cela, il y a quarante ans, pour les Palestiniens de Beyrouth. – Ils avaient gardé leurs armes de poing ? » Il semble incrédule. « Je crois. Et il y avait pourtant, parmi eux, des terroristes. » Il secoue la tête. « Poutine dit que, nous aussi, nous sommes des terroristes. – Peut-être. Mais pas Macron. Pour un Français, ou un Américain, votre bravoure rappelle celle des résistants contre Hitler. » Il hoche la tête. Me laisse lui raconter l’histoire de Yasser Arafat embarquant sur un navire marchand sous la protection de 2 500 soldats français, américains et italiens. M’autorise à souffler, à qui voudra l’entendre, cette idée d’un bateau pour Marioupol, escorté par une force nationale ou internationale. Ce que l’on fit pour les Palestiniens, on ne le ferait pas pour ces vrais braves, en train de mourir pour l’Europe, que sont les damnés des souterrains d’Azovstal ? La ligne coupe encore. La conversation devient hachée. Confuse. Je sais ce qui me reste à faire. Le commandant Ilya Samoïlenko raccroche. 1 5 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
olivier lsb Posté(e) le 16 mai 2022 Share Posté(e) le 16 mai 2022 Un MI-28 au tapis, pourrait dater un peu mais découvert maintenant, région de Kharkiv. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 16 mai 2022 Share Posté(e) le 16 mai 2022 Intéressant de voir ce qu'il reste du cockpit après l'incendie. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Clairon Posté(e) le 16 mai 2022 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 16 mai 2022 il y a 6 minutes, olivier lsb a dit : Un MI-28 au tapis, pourrait dater un peu mais découvert maintenant, région de Kharkiv. Aucune machine à laver retrouvée parmi les débris ? Clairon 5 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Banzinou Posté(e) le 16 mai 2022 Share Posté(e) le 16 mai 2022 L'armée ukrainienne a traversé 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Métal_Hurlant Posté(e) le 16 mai 2022 Share Posté(e) le 16 mai 2022 il y a 26 minutes, g4lly a dit : « Tous, ici, nous avons frôlé la mort. Mais nos vies ne valent rien. Ce qui compte c’est l’Ukraine. Et il faut que l’Ukraine gagne. Pour cela, nous devons tenir. Puis mourir. La seule chose interdite, c’est de céder, de se rendre. Il y a beaucoup de lignes de front, en Ukraine, où notre exemple donne du courage. Nous n’avons pas le droit de l’oublier. Nous sommes dans une position historique. » Je sais que beaucoup ricanent dès que l'on évoque BHL mais il vient de réaliser la meilleure interview depuis le début du conflit... 1 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Banzinou Posté(e) le 16 mai 2022 Share Posté(e) le 16 mai 2022 (modifié) il y a 41 minutes, g4lly a dit : Certain. Le blindage des Ka-50 n'est plus possible dans la config Ka-52 à cause du surpoids de l'équipage à deux ... de la grande surface à blinder ... et de tous les équipement additionnel. Le canopy est en plexi comme sur le Tigre ... les flanc du cockpit en nid d'abeille comme sur AH-64 ... etc. etc. En gros ce qu'il doit rester du blindage c'est le plancher/baignoire ... et les addon qu'ils ont mis dehors. De toute façon c'est bien simple on ne sait quasiment pas faire de blindage transparent non-plat ... donc tout ce qui est transparent est rond c'est forcément pas blindé. Pour le reste tu peux voir sur la photo ... les trapettes donne sur des cases équipement classique, et sont en nid d'abeille classique. Le plexi n'est pas plus épais que sur Gazelle ... seul le pare brise doit résister aux piafs. D’ailleurs le Ka-52 n'est pas fait pour se mêler intimement aux combats à la base ... il est conçu pour s'en prendre aux unité mécanisé d'en face, de loin grâce à ses missiles et son radar. Pas vraiment pour faire des passe canon au dessus de la mitraille. --- Dans le papelard de Rosoboron ... il y a marqué siege éjectable aussi ... tu le vois le siège éjectable sur la photo? Bah la Ka-52 est censé être un hélico résistant qui attaque les colonnes de chars et a toujours été annoncé avec un siège éjectable (deux du coup), donc pour moi c'est logique Je pensais plutôt que les pilotes de Ka-52 ne s’éjectaient pas car ils avaient moyennement confiance dans le système Et tu parles de blindages transparent non plat, mais le pare-brise à l'avant sont plates elles, quand ils parlent de cockpit blindé je pense qu'il font référence à ça, et ça se justifie par rapport à l'emploi de l'hélico qui est censé faire des passes contre des colonnes. Après loin de moi de remettre en cause ce que tu dis, mais du constructeur aux différents articles spécialisés (hors A&C), tous indiquent un cockpit blindé... Modifié le 16 mai 2022 par Banzinou Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Métal_Hurlant Posté(e) le 16 mai 2022 Share Posté(e) le 16 mai 2022 Analyse d' Igor Guirkine ; Pour lui l'offensive russe dans le Donbass est d'ores et déjà un échec https://fr.wikipedia.org/wiki/Igor_Guirkine 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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