C’est un message populaire. g4lly Posté(e) le 30 juin 2022 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 30 juin 2022 36 minutes ago, Mangouste said: Merci pour la précision. C'est donc plutôt du tir d'opportunité possiblement en raison du manque de volume. Tu ne peux pas réserver les engins qui tirent à 40km uniquement pour les tirs à 40km ... en pratique tu fais avec ce que tu as ... Si tes engins sont ici ... et qu'on te demande de taper là ... et bien tu regardes avec quels engins c'est possible ... puis dans le lot avec lesquels c'est plus pertinents - c'est basé aussi bien sur la consommation de munition, que la vulnérabilité à la contre batterie, ou le besoin de discrétion ... -. Une fois cet arbitrage vite fait - c'est l'affaire de quelques minutes au plus - tu demandes à tel ou tel pièces de tirer sur tels ou tels objectifs. Tu ne vas pas faire reculer tes Caesar à 40km de la cible juste pour dire que tu as pleinement utilisé leur potentiel, c'est du gâchis de temps, de gasoil, et d'usure du canon. En plus que la prise de risque de déplacer le canon à la débottée alors que dans le ciel des yeux rodent. Tiré là ou tu es ça veut dire un seul déplacement en sortie de batterie pour te diluer. Se déplacer pour tirer ça veut dire deux déplacement un avant et un après le tir ... donc deux fois plus de malchance de se faire repérer. Que tu arbitre sur la portée maxi entre des MLRS tirant à 100km et un canon tirant à 40 je comprends ... commencer à jongler outre mesure la dessus entre des pièces tirant à 30 et d'autre tirant 40 ... c'est à mon sens trop de contraintes et de risques sur d'autre plan. D'autant qu'ici il n'y a pas de grosses surprise ... le front bouge lentement ... tu peux prépositionner tes pièces suffisamment habilement pour ne pas avoir à faire des choix à la con à la sauvette. 5 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Mangouste Posté(e) le 30 juin 2022 Share Posté(e) le 30 juin 2022 il y a 1 minute, g4lly a dit : Tu ne peux pas réserver les engins qui tirent à 40km uniquement pour les tirs à 40km ... en pratique tu fais avec ce que tu as ... Si tes engins sont ici ... et qu'on te demande de taper là ... et bien tu regardes avec quels engins c'est possible ... puis dans le lot avec lesquels c'est plus pertinents - c'est basé aussi bien sur la consommation de munition, que la vulnérabilité à la contre batterie, ou le besoin de discrétion ... -. Une fois cet arbitrage vite fait - c'est l'affaire de quelques minutes au plus - tu demandes à tel ou tel pièces de tirer sur tels ou tels objectifs. Tu ne vas pas faire reculer tes Caesar à 40km de la cible juste pour dire que tu as pleinement utilisé leur potentiel, c'est du gâchis de temps, de gasoil, et d'usure du canon. En plus que la prise de risque de déplacer le canon à la débottée alors que dans le ciel des yeux rodent. Tiré là ou tu es ça veut dire un seul déplacement en sortie de batterie pour te diluer. Se déplacer pour tirer ça veut dire deux déplacement un avant et un après le tir ... donc deux fois plus de malchance de se faire repérer. Que tu arbitre sur la portée maxi entre des MLRS tirant à 100km et un canon tirant à 40 je comprends ... commencer à jongler outre mesure la dessus entre des pièces tirant à 30 et d'autre tirant 40 ... c'est à mon sens trop de contraintes et de risques sur d'autre plan. Oui bien sûr, je revenais en fait sur le post initial d'hier soir qui pouvait laisser penser qu'il s'agissait d'un problème de munitions. https://www.lefigaro.fr/flash-actu/la-russie-dit-detenir-plus-de-6000-prisonniers-de-guerre-ukrainiens-20220630 Comme tous les chiffres... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Valy Posté(e) le 30 juin 2022 Share Posté(e) le 30 juin 2022 il y a 49 minutes, herciv a dit : Excellente question. As-tu été voir le fil CAESAR ? Non, pas vu d'info précise OS sur une précision quantifiée des Caesar, même sur le fil Caesar, comme on peut les trouver sur les M777 en OS. Des anecdotes et des on-dit (Le Caesar aurait 20m de precision à 30Km). Mais rien de publié de précis sur le CEP. C'est pourquoi j'étais resté sur des décalartions de militaires qui disaient pouvoir loger un obus sur un demi-stade de foot à 40 Km. Mais ça doit exister... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alexis Posté(e) le 30 juin 2022 Auteur Share Posté(e) le 30 juin 2022 Le 29/06/2022 à 00:47, Métal_Hurlant a dit : 3+3=6 C'est mieux que rien mais peuvent donner plus quand même... L'Allemagne a déjà donné 7 obusiers PZH 2000 issus de ses stocks, avec les 3 supplémentaires ça fera 10. En 2016, elle possédait 123 PzH, dont 61 à disposition et 41 en service Je n'ai pas compris ce que sont exactement les 62 PzH 2000 qui sont en stock mais pas "à disposition". Faut-il comprendre "réserve de pièces détachées", faut-il comprendre "on pourrait le remettre en service en quelques mois" ? Mais dans le cas le plus pessimiste, si ces 62 là sont complètement hors service, l'Allemagne va donner au total 1 / 6ème de sa meilleure artillerie. Pas tout à fait comme la France qui en a donné 1 / 4, mais comparable. Non, ils ne peuvent pas forcément donner plus ... Et KMW a bien proposé de fabriquer 100 PzH 2000 de plus, mais ce serait pour 2027, avec les trente premiers disponibles seulement 30 mois après signature du contrat. 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Mangouste Posté(e) le 30 juin 2022 Share Posté(e) le 30 juin 2022 il y a 10 minutes, Claudio Lopez a dit : Il va y avoir du bluff des 2 côtés ou chacun des protagonistes va faire croire à l'autre qu'il est encore très fort et qu'il pourra continuer la guerre Ad vitam eternam.. A mon avis les russes ont une vue assez exacte du potentiel Ukrainien. Il suffit de suivre les annonces de livraison. Et inversement les américains doivent avoir une vision assez identique avec peut être le bémol de l'état réel des matériels stockés. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Banzinou Posté(e) le 30 juin 2022 Share Posté(e) le 30 juin 2022 La dernière frappe ukrainienne qui aurait décidé la Russie à quitter l'île https://twitter.com/Militarylandnet/status/1542431114320568322 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Claudio Lopez Posté(e) le 30 juin 2022 Share Posté(e) le 30 juin 2022 Effectivement le départ de l'île était inéluctable Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Connorfra Posté(e) le 30 juin 2022 Share Posté(e) le 30 juin 2022 (modifié) Il faudra pour les ukrainiens garder un œil sur l'ile il suffit qu'elle soit non occuper pour conserver son accès à la mer c'est déjà un gros échec pour les russes Modifié le 30 juin 2022 par Connorfra 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 30 juin 2022 Share Posté(e) le 30 juin 2022 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 30 juin 2022 Share Posté(e) le 30 juin 2022 Pour comprendre ce que çà fait de se retrouver sous un bombardement d'artillerie : Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Connorfra Posté(e) le 30 juin 2022 Share Posté(e) le 30 juin 2022 il y a 9 minutes, herciv a dit : Pour comprendre ce que çà fait de se retrouver sous un bombardement d'artillerie : Il manque le côté viscéral essayez de faire correspondre la vidéo avec la sensation interne d'un feu d'artifice multiplié par 3 et avec la connaissance des chances de mourir et on commence à ce rapprocher... Le fait de devoir ouvrir la bouche pour que les poumons comprimés n'explosent pas et sentir l'air s'ejecter du corps sans respirer et une sensation étrange... 1 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 30 juin 2022 Share Posté(e) le 30 juin 2022 Ca veut dire quoi ? Il y a à la fois l'aveux que l'Ukraine pourrait perdre cette guerre, mais qu'en plus on s'en fout de tout ce qui compte c'est faire la guerre quelque soient les conséquences.??? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
DrWho Posté(e) le 30 juin 2022 Share Posté(e) le 30 juin 2022 un petit rappel historique sur le " shell shock" https://fr.wikipedia.org/wiki/Obusite 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. herciv Posté(e) le 30 juin 2022 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 30 juin 2022 (modifié) Must read : https://www.washingtonpost.com/national-security/2022/06/17/long-war-ukraine/ Avec peu d’options en Ukraine, les États-Unis et leurs alliés se préparent à une longue guerre Par Missy Ryan et Dan Lamothe Juin 17, 2022 à 7:33 p.m. EDT Les États-Unis et leurs alliés se préparent à un conflit prolongé en Ukraine, ont déclaré des responsables, alors que l’administration Biden tente de nier la victoire de la Russie en augmentant l’aide militaire à Kiev tout en s’efforçant d’atténuer les effets déstabilisateurs de la guerre sur la faim dans le monde et l’économie mondiale. L’annonce par le président Biden cette semaine d’une aide supplémentaire de 1 milliard de dollars en matière de sécurité pour l’Ukraine, la plus grande tranche de l’aide américaine à ce jour, a fourni la dernière preuve de la détermination de Washington à faire en sorte que l’Ukraine puisse survivre à une bataille punitive pour la région orientale du Donbass. Des pays européens, dont l’Allemagne et la Slovaquie, ont dévoilé leurs propres cargaisons d’armes avancées, notamment des hélicoptères et des systèmes de fusées à lancements multiples. « Nous sommes ici pour creuser dans nos élans », a déclaré le secrétaire à la Défense Lloyd Austin après avoir convoqué des dizaines de pays à Bruxelles pour promettre un plus grand soutien à Kiev. La décision de fournir à l’Ukraine des armes de plus en plus sophistiquées telles que des missiles antinavires et de l’artillerie mobile à longue portée – capables de détruire des moyens militaires importants ou de frapper profondément en Russie – reflète une volonté croissante dans les capitales occidentales de risquer une escalade involontaire avec la Russie. Le soutien semble avoir enhardi le gouvernement du président Volodymyr Zelensky, qui a promis cette semaine de reprendre toute l’Ukraine contrôlée par la Russie, même les zones annexées par Moscou bien avant l’invasion du président russe Vladimir Poutine le 24 février. Mais les analystes disent que malgré l’augmentation de l’aide extérieure et le moral élevé des troupes ukrainiennes, Kiev et ses partisans ne peuvent espérer guère plus qu’une impasse avec l’armée russe beaucoup plus grande et mieux armée. Contrairement à la tentative ratée de Moscou de s’emparer de la capitale Kiev, la bataille du Donbass a joué sur les forces militaires de la Russie, lui permettant d’utiliser des frappes d’artillerie pour pilonner les positions ukrainiennes et étendre progressivement sa portée. L’ambassadeur ukrainien à Berlin ne se soucie pas s’il offense sa cause Ivo Daalder, un ancien ambassadeur des États-Unis auprès de l’OTAN qui dirige maintenant le Chicago Council on Global Affairs, a déclaré que l’impasse sur le champ de bataille laisse aux États-Unis un choix difficile: soit continuer à aider l’Ukraine à maintenir un statu quo potentiellement sanglant, avec les conséquences mondiales dévastatrices que cela implique; ou arrêter le soutien et permettre à Moscou de l’emporter. « Cela signifierait nourrir l’Ukraine des loups », a déclaré Daalder, faisant référence à un retrait du soutien. « Et personne n’est prêt à le faire. » Un haut responsable du département d’État, qui s’est exprimé sous couvert d’anonymat pour décrire les délibérations internationales en cours, a déclaré que les responsables de l’administration Biden avaient discuté de la possibilité d’un conflit prolongé avec des retombées mondiales avant même février, alors que les services de renseignement américains suggéraient que Poutine se préparait à envahir. L’administration Biden espère que les nouvelles armes, en plus des vagues successives de sanctions et de l’isolement diplomatique de la Russie, feront une différence dans une éventuelle conclusion négociée de la guerre, diminuant potentiellement la volonté de Poutine de poursuivre le combat, a déclaré le responsable. Même si cette réalité ne se matérialise pas immédiatement, les responsables ont décrit les enjeux de s’assurer que la Russie ne puisse pas engloutir l’Ukraine – un résultat qui, selon les responsables, pourrait encourager Poutine à envahir d’autres voisins ou même à frapper les membres de l’OTAN – comme si élevés que l’administration est prête à tolérer même une récession mondiale et une faim croissante. Déjà, la guerre, aggravant les effets de la pandémie de coronavirus, a plongé l’économie mondiale, qui devrait maintenant subir des années de faible croissance, dans une nouvelle crise. Cela a également aggravé une urgence alimentaire mondiale alors que les combats font grimper les prix des produits de base et paralysent les exportations de céréales de l’Ukraine – qui nourrissent généralement des centaines de millions de personnes par an – poussant quelque 44 millions de personnes plus près de la famine, selon le Programme alimentaire mondial. « Bien que ce soit certainement un défi – nous ne sommes certainement pas en train de sucrer cela – en termes de navigation dans ces eaux tumultueuses, notre lumière directrice est que le résultat de la Russie capable de réaliser ses exigences maximalistes est vraiment mauvais pour les États-Unis, vraiment mauvais pour nos partenaires et alliés, et vraiment mauvais pour la communauté mondiale », a déclaré le responsable du département d’État. Elle a été violée en Ukraine. Combien d’autres ont des histoires comme la sienne ? Vendredi, les forces ukrainiennes ont tenté de défendre les zones en déclin sous leur contrôle à Severodonetsk, une ville stratégique de la province de Lougansk que les responsables du Pentagone s’attendent à voir tomber bientôt. Signe de la façon dont l’armement occidental a le potentiel d’entraîner l’Occident plus profondément dans la guerre, un responsable de la défense américaine a confirmé vendredi qu’un missile anti-navire Harpoon de fabrication américaine avait frappé un remorqueur russe dans la mer Noire. Pour la première fois dans le cadre du dernier paquet d’armes de Biden, les États-Unis ont déclaré qu’ils fourniraient à l’Ukraine des lanceurs mobiles Harpoon. L’ambition de longue date des dirigeants ukrainiens de s’intégrer davantage en Europe s’est rapprochée de la réalité vendredi, lorsque la Commission européenne a recommandé que l’Ukraine soit officiellement candidate à l’adhésion à l’Union européenne. Zelensky a salué ce qu’il a appelé une « décision historique », même si l’adhésion pourrait prendre des années. « Les Ukrainiens sont prêts à mourir pour la perspective européenne », a déclaré la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen. « Nous voulons qu’ils vivent avec nous le rêve européen. » Poutine, s’en prenant à l’Occident dans un discours vendredi, a déclaré qu’il n’avait rien contre l’idée que l’Ukraine rejoigne l’UE, mais a également averti que « toutes les tâches de l’opération spéciale seront remplies », comme le Kremlin appelle l’invasion, et a déclaré que son pays pourrait utiliser des armes nucléaires si sa souveraineté était menacée. Soulignant ce que les pays occidentaux qualifient de perspectives de sécurité radicalement modifiées, les dirigeants de l’OTAN devraient dévoiler de nouveaux déploiements en Europe de l’Est lors d’un sommet fin juin à Madrid. Avant cette réunion, le général Mark. A. Milley, président des chefs d’état-major interarmées, a défendu la nécessité d’arrêter la Russie dans des affirmations sévères, assimilant les souffrances parmi les civils en Ukraine à ce que l’Allemagne nazie a infligé à l’Europe. Mais il a également averti que si Moscou fait face à des problèmes chroniques dans son offensive en Ukraine, y compris le leadership, le moral et la logistique, les chiffres « favorisent clairement les Russes » dans l’est de l’Ukraine. La perspective d’une conclusion négociée semble lointaine, Poutine semblant sans se décourager, poursuivant probablement ce que les analystes décrivent comme une stratégie consistant à s’emparer de toute la région du Donbass, puis à proposer un cessez-le-feu qui gèlerait en place le contrôle de la Russie sur cette région et d’autres. « Ce qui m’inquiète, c’est que fondamentalement, la Russie d’un côté et les Ukrainiens et leurs partenaires de l’autre poursuivent des objectifs mutuellement incompatibles », a déclaré Samuel Charap, expert de la Russie à la RAND Corporation. « Cela conduit les Russes à continuer à pousser de plus en plus fort et nous à donner de plus en plus. » De nombreux experts pensent que la guerre est susceptible de s’installer dans un conflit de moindre intensité ou une situation comme celle de la péninsule coréenne, où les combats nord-sud ont été interrompus lors d’un armistice en 1953 sans fin officielle de la guerre. Une frontière fortement militarisée s’est développée entre les deux Corées, avec des flambées occasionnelles, et c’est un scénario que certains analystes prédisent pourrait se produire entre l’Ukraine et les parties de son territoire contrôlées par Moscou. « Je ne pense pas que Poutine ou Zelensky puissent continuer au niveau actuel du combat pendant des années », a déclaré James Stavridis, amiral de la marine à la retraite et ancien commandant suprême allié de l’OTAN, dans un courrier électronique. « Certainement pour quelques mois, mais des années improbables. » Au fur et à mesure que le conflit se poursuit, il suscite des conversations sur les compromis que les États-Unis pourraient avoir besoin de faire dans leurs objectifs plus larges de politique étrangère ou leur budget militaire massif. La commission des forces armées du Sénat, citant l’inflation et la guerre en Ukraine, a ajouté jeudi 45 milliards de dollars au budget de la défense, portant la facture probable à 847 milliards de dollars pour le prochain exercice. Stacie Pettyjohn, directrice du programme de défense au Center for a New American Security à Washington, a déclaré que la guerre continuait également à consommer la bande passante des hauts responsables américains qui pourrait être consacrée à la planification et à la modernisation à long terme. Dans le passé, les responsables ont cité des crises comme la guerre pluriannuelle contre l’État islamique comme des facteurs qui ont retardé un changement planifié pour se concentrer sur la Chine. Publicité « Ils continuent d’avoir à traiter avec l’Ukraine parce que la situation évolue et qu’elle est immédiate, et nous devons fournir l’aide que nous pouvons et trouver comment soutenir les Ukrainiens », a-t-elle déclaré. « Mais cela signifie qu’ils n’ont pas le temps et l’attention nécessaires pour aller de l’avant sur ces autres questions qui sont vraiment importantes, et ces changements à long terme qui seraient nécessaires si les États-Unis veulent vraiment tourner leur attention et se concentrer sur le Pacifique. » L’administration Biden a promis qu’elle ne ferait pas pression sur Kiev pour qu’elle accepte des concessions pour cimenter une résolution à la guerre. Les responsables soulignent que Zelensky, même s’il était enclin à céder de grandes parties du territoire ukrainien, pourrait faire face à une révolte des Ukrainiens s’il acceptait les conditions de Moscou. « Notre travail n’est pas de définir ces termes », a déclaré le conseiller à la sécurité nationale de Biden, Jake Sullivan, lors d’un événement de groupe de réflexion jeudi. « Notre travail consiste à leur donner les outils dont ils ont besoin pour se mettre dans la position la plus forte possible. » Modifié le 30 juin 2022 par herciv 3 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
MoX Posté(e) le 30 juin 2022 Share Posté(e) le 30 juin 2022 il y a 55 minutes, Claudio Lopez a dit : Effectivement le départ de l'île était inéluctable Et oui, un beau geste, la grandeur de l'âme slave révélée ... par des livraisons de Harpoon et HIMARS. Livrons-leurs encore l'équivalent matériel de quelques divisions, et les russes feront à n'en pas douter preuve d'encore plus de bonté. J'en vient à me demander, avec quelques Asmp-A entre les mains ukrainiennes, jusqu'où pourrait aller cette charité désintéressée, cet amour de son prochain, cette humble générosité qui caractérise si bien les dirigeants du kremlin ? Bref, déjà dit à de nombreuses reprises : le rapport de force. Car même si ils vantent à longueur de journée la "résilience légendaire" de leur population "robuste et patriotique", il ne faut pas croire qu'il soient complétement cons, le cailloux peux se faire balayer au LRM à sous-munition et les opérations de soutien "lourdes" sont empêchées par les harpoons ... 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Mangouste Posté(e) le 30 juin 2022 Share Posté(e) le 30 juin 2022 il y a 11 minutes, herciv a dit : Must read : https://www.washingtonpost.com/national-security/2022/06/17/long-war-ukraine/ Avec peu d’options en Ukraine, les États-Unis et leurs alliés se préparent à une longue guerre Par Missy Ryan et Dan Lamothe Juin 17, 2022 à 7:33 p.m. EDT Les États-Unis et leurs alliés se préparent à un conflit prolongé en Ukraine, ont déclaré des responsables, alors que l’administration Biden tente de nier la victoire de la Russie en augmentant l’aide militaire à Kiev tout en s’efforçant d’atténuer les effets déstabilisateurs de la guerre sur la faim dans le monde et l’économie mondiale. L’annonce par le président Biden cette semaine d’une aide supplémentaire de 1 milliard de dollars en matière de sécurité pour l’Ukraine, la plus grande tranche de l’aide américaine à ce jour, a fourni la dernière preuve de la détermination de Washington à faire en sorte que l’Ukraine puisse survivre à une bataille punitive pour la région orientale du Donbass. Des pays européens, dont l’Allemagne et la Slovaquie, ont dévoilé leurs propres cargaisons d’armes avancées, notamment des hélicoptères et des systèmes de fusées à lancements multiples. « Nous sommes ici pour creuser dans nos élans », a déclaré le secrétaire à la Défense Lloyd Austin après avoir convoqué des dizaines de pays à Bruxelles pour promettre un plus grand soutien à Kiev. La décision de fournir à l’Ukraine des armes de plus en plus sophistiquées telles que des missiles antinavires et de l’artillerie mobile à longue portée – capables de détruire des moyens militaires importants ou de frapper profondément en Russie – reflète une volonté croissante dans les capitales occidentales de risquer une escalade involontaire avec la Russie. Le soutien semble avoir enhardi le gouvernement du président Volodymyr Zelensky, qui a promis cette semaine de reprendre toute l’Ukraine contrôlée par la Russie, même les zones annexées par Moscou bien avant l’invasion du président russe Vladimir Poutine le 24 février. Mais les analystes disent que malgré l’augmentation de l’aide extérieure et le moral élevé des troupes ukrainiennes, Kiev et ses partisans ne peuvent espérer guère plus qu’une impasse avec l’armée russe beaucoup plus grande et mieux armée. Contrairement à la tentative ratée de Moscou de s’emparer de la capitale Kiev, la bataille du Donbass a joué sur les forces militaires de la Russie, lui permettant d’utiliser des frappes d’artillerie pour pilonner les positions ukrainiennes et étendre progressivement sa portée. L’ambassadeur ukrainien à Berlin ne se soucie pas s’il offense sa cause Ivo Daalder, un ancien ambassadeur des États-Unis auprès de l’OTAN qui dirige maintenant le Chicago Council on Global Affairs, a déclaré que l’impasse sur le champ de bataille laisse aux États-Unis un choix difficile: soit continuer à aider l’Ukraine à maintenir un statu quo potentiellement sanglant, avec les conséquences mondiales dévastatrices que cela implique; ou arrêter le soutien et permettre à Moscou de l’emporter. « Cela signifierait nourrir l’Ukraine des loups », a déclaré Daalder, faisant référence à un retrait du soutien. « Et personne n’est prêt à le faire. » Un haut responsable du département d’État, qui s’est exprimé sous couvert d’anonymat pour décrire les délibérations internationales en cours, a déclaré que les responsables de l’administration Biden avaient discuté de la possibilité d’un conflit prolongé avec des retombées mondiales avant même février, alors que les services de renseignement américains suggéraient que Poutine se préparait à envahir. L’administration Biden espère que les nouvelles armes, en plus des vagues successives de sanctions et de l’isolement diplomatique de la Russie, feront une différence dans une éventuelle conclusion négociée de la guerre, diminuant potentiellement la volonté de Poutine de poursuivre le combat, a déclaré le responsable. Même si cette réalité ne se matérialise pas immédiatement, les responsables ont décrit les enjeux de s’assurer que la Russie ne puisse pas engloutir l’Ukraine – un résultat qui, selon les responsables, pourrait encourager Poutine à envahir d’autres voisins ou même à frapper les membres de l’OTAN – comme si élevés que l’administration est prête à tolérer même une récession mondiale et une faim croissante. Déjà, la guerre, aggravant les effets de la pandémie de coronavirus, a plongé l’économie mondiale, qui devrait maintenant subir des années de faible croissance, dans une nouvelle crise. Cela a également aggravé une urgence alimentaire mondiale alors que les combats font grimper les prix des produits de base et paralysent les exportations de céréales de l’Ukraine – qui nourrissent généralement des centaines de millions de personnes par an – poussant quelque 44 millions de personnes plus près de la famine, selon le Programme alimentaire mondial. « Bien que ce soit certainement un défi – nous ne sommes certainement pas en train de sucrer cela – en termes de navigation dans ces eaux tumultueuses, notre lumière directrice est que le résultat de la Russie capable de réaliser ses exigences maximalistes est vraiment mauvais pour les États-Unis, vraiment mauvais pour nos partenaires et alliés, et vraiment mauvais pour la communauté mondiale », a déclaré le responsable du département d’État. Elle a été violée en Ukraine. Combien d’autres ont des histoires comme la sienne ? Vendredi, les forces ukrainiennes ont tenté de défendre les zones en déclin sous leur contrôle à Severodonetsk, une ville stratégique de la province de Lougansk que les responsables du Pentagone s’attendent à voir tomber bientôt. Signe de la façon dont l’armement occidental a le potentiel d’entraîner l’Occident plus profondément dans la guerre, un responsable de la défense américaine a confirmé vendredi qu’un missile anti-navire Harpoon de fabrication américaine avait frappé un remorqueur russe dans la mer Noire. Pour la première fois dans le cadre du dernier paquet d’armes de Biden, les États-Unis ont déclaré qu’ils fourniraient à l’Ukraine des lanceurs mobiles Harpoon. L’ambition de longue date des dirigeants ukrainiens de s’intégrer davantage en Europe s’est rapprochée de la réalité vendredi, lorsque la Commission européenne a recommandé que l’Ukraine soit officiellement candidate à l’adhésion à l’Union européenne. Zelensky a salué ce qu’il a appelé une « décision historique », même si l’adhésion pourrait prendre des années. « Les Ukrainiens sont prêts à mourir pour la perspective européenne », a déclaré la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen. « Nous voulons qu’ils vivent avec nous le rêve européen. » Poutine, s’en prenant à l’Occident dans un discours vendredi, a déclaré qu’il n’avait rien contre l’idée que l’Ukraine rejoigne l’UE, mais a également averti que « toutes les tâches de l’opération spéciale seront remplies », comme le Kremlin appelle l’invasion, et a déclaré que son pays pourrait utiliser des armes nucléaires si sa souveraineté était menacée. Soulignant ce que les pays occidentaux qualifient de perspectives de sécurité radicalement modifiées, les dirigeants de l’OTAN devraient dévoiler de nouveaux déploiements en Europe de l’Est lors d’un sommet fin juin à Madrid. Avant cette réunion, le général Mark. A. Milley, président des chefs d’état-major interarmées, a défendu la nécessité d’arrêter la Russie dans des affirmations sévères, assimilant les souffrances parmi les civils en Ukraine à ce que l’Allemagne nazie a infligé à l’Europe. Mais il a également averti que si Moscou fait face à des problèmes chroniques dans son offensive en Ukraine, y compris le leadership, le moral et la logistique, les chiffres « favorisent clairement les Russes » dans l’est de l’Ukraine. La perspective d’une conclusion négociée semble lointaine, Poutine semblant sans se décourager, poursuivant probablement ce que les analystes décrivent comme une stratégie consistant à s’emparer de toute la région du Donbass, puis à proposer un cessez-le-feu qui gèlerait en place le contrôle de la Russie sur cette région et d’autres. « Ce qui m’inquiète, c’est que fondamentalement, la Russie d’un côté et les Ukrainiens et leurs partenaires de l’autre poursuivent des objectifs mutuellement incompatibles », a déclaré Samuel Charap, expert de la Russie à la RAND Corporation. « Cela conduit les Russes à continuer à pousser de plus en plus fort et nous à donner de plus en plus. » De nombreux experts pensent que la guerre est susceptible de s’installer dans un conflit de moindre intensité ou une situation comme celle de la péninsule coréenne, où les combats nord-sud ont été interrompus lors d’un armistice en 1953 sans fin officielle de la guerre. Une frontière fortement militarisée s’est développée entre les deux Corées, avec des flambées occasionnelles, et c’est un scénario que certains analystes prédisent pourrait se produire entre l’Ukraine et les parties de son territoire contrôlées par Moscou. « Je ne pense pas que Poutine ou Zelensky puissent continuer au niveau actuel du combat pendant des années », a déclaré James Stavridis, amiral de la marine à la retraite et ancien commandant suprême allié de l’OTAN, dans un courrier électronique. « Certainement pour quelques mois, mais des années improbables. » Au fur et à mesure que le conflit se poursuit, il suscite des conversations sur les compromis que les États-Unis pourraient avoir besoin de faire dans leurs objectifs plus larges de politique étrangère ou leur budget militaire massif. La commission des forces armées du Sénat, citant l’inflation et la guerre en Ukraine, a ajouté jeudi 45 milliards de dollars au budget de la défense, portant la facture probable à 847 milliards de dollars pour le prochain exercice. Stacie Pettyjohn, directrice du programme de défense au Center for a New American Security à Washington, a déclaré que la guerre continuait également à consommer la bande passante des hauts responsables américains qui pourrait être consacrée à la planification et à la modernisation à long terme. Dans le passé, les responsables ont cité des crises comme la guerre pluriannuelle contre l’État islamique comme des facteurs qui ont retardé un changement planifié pour se concentrer sur la Chine. Publicité « Ils continuent d’avoir à traiter avec l’Ukraine parce que la situation évolue et qu’elle est immédiate, et nous devons fournir l’aide que nous pouvons et trouver comment soutenir les Ukrainiens », a-t-elle déclaré. « Mais cela signifie qu’ils n’ont pas le temps et l’attention nécessaires pour aller de l’avant sur ces autres questions qui sont vraiment importantes, et ces changements à long terme qui seraient nécessaires si les États-Unis veulent vraiment tourner leur attention et se concentrer sur le Pacifique. » L’administration Biden a promis qu’elle ne ferait pas pression sur Kiev pour qu’elle accepte des concessions pour cimenter une résolution à la guerre. Les responsables soulignent que Zelensky, même s’il était enclin à céder de grandes parties du territoire ukrainien, pourrait faire face à une révolte des Ukrainiens s’il acceptait les conditions de Moscou. « Notre travail n’est pas de définir ces termes », a déclaré le conseiller à la sécurité nationale de Biden, Jake Sullivan, lors d’un événement de groupe de réflexion jeudi. « Notre travail consiste à leur donner les outils dont ils ont besoin pour se mettre dans la position la plus forte possible. » C'est une analyse qui se défend. Cependant penser que la Russie aurait les moyens ou la volonté d'aller plus avant est loin d'être acquis. Enfin tout irait de plus en plus mal chez nous mais quelle est et sera la situation économique de la Russie ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Akhilleus Posté(e) le 30 juin 2022 Share Posté(e) le 30 juin 2022 Citation avec quelques Asmp-A Mais bien sur ..... /facepalm Y'a un peu de trop de va-t-en guerre de canapés sur ce forum à mon gout .... Je serais plutot tiens pour fournir aux ukrainiens tous les "volontaires" du fil Ca ferait d'une pierre plein de coups, win win pour tout le monde 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Minitel Posté(e) le 30 juin 2022 Share Posté(e) le 30 juin 2022 il y a une heure, Mangouste a dit : C'est une analyse qui se défend. Cependant penser que la Russie aurait les moyens ou la volonté d'aller plus avant est loin d'être acquis. Enfin tout irait de plus en plus mal chez nous mais quelle est et sera la situation économique de la Russie ? Penser que les États-Unis vont "lacher" l'Ukraine au moment où la diplomatie américaine a besoin de rétablir une confiance vis à vis de ses alliés (européens et surtout asiatiques) ? Je ne pense pas. Et l'argument de la crainte d'une crise économique n'est, à mon sens, pas valable car c'est exactement ce que s'apprêtait à faire le pays via l'augmentation des taux directeur de la FED pour calmer l'inflation (surtout en période de plein emploi). Le seul problème que traverse les États-Unis est situé au niveau du bouchon d'essence de la voiture de l'américain "moyen". 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 30 juin 2022 Share Posté(e) le 30 juin 2022 il y a 18 minutes, Minitel a dit : Le seul problème que traverse les États-Unis est situé au niveau du bouchon d'essence de la voiture de l'américain "moyen". L'américain moyen n'a simplement pas encore réalisé que son bouchon d'essence n'était pas son seul problème. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Deres Posté(e) le 30 juin 2022 Share Posté(e) le 30 juin 2022 Il y a 2 heures, Valy a dit : Page précédente Page suivante Le CEP (rayon du disque ou 50% des obus tombent en moyenne) des M777 varie en fonction de la distance de la façon suivante : 95m à 15Km 115m à 20Km 140m à 25 Km 275m à 30Km Donc tirer à 30Km plutot qu'à 15 Km disperse sur une surface 8 fois plus grande (ou baisse la probabilité de kill d'un facteur 8) Pour le Caesar, je n'en sait rien. J'ai entendu un militaire sur le collimateur dire qu'à 40 Km on logeait u obus dans un demi terrain de football avec un Ceasar. Soit un CEP de 70m à 40Km? Si vous avez des infos... Page précédente Page suivante C'est un peu plus compliqué que cela. Tout d'abord, la dispersion n'est pas circulaire en réalité car l'erreur en distance vient en grande partie de la variation de masse de la poudre. L'erreur en distance est donc plus grande qu'en latérale usuellement. D'où aussi l'intérêt d'un tir en flanquement sur un saillant car ta dispersion couvre alors mieux une position défensive allongée que de face. Ensuite, si tu as un observateur et que tu fais des coup de préparation avec correction, une bonne partie de la dispersion est reproductible, donc la précision sera bien meilleure quand tu lanceras la salve avec tout tes tubes. Mais tu ne peux le faire que si tu as tout ton temps et que tu ne risques pas un tir de contre-batterie ... Et contre des cibles à découvert, cela leur laisse le temps de justement se mettre à couvert donc c'est plutôt contre des cibles statiques. il y a 24 minutes, Minitel a dit : Penser que les États-Unis vont "lacher" l'Ukraine au moment où la diplomatie américaine a besoin de rétablir une confiance vis à vis de ses alliés (européens et surtout asiatiques) ? Je ne pense pas. Et l'argument de la crainte d'une crise économique n'est, à mon sens, pas valable car c'est exactement ce que s'apprêtait à faire le pays via l'augmentation des taux directeur de la FED pour calmer l'inflation (surtout en période de plein emploi). Le seul problème que traverse les États-Unis est situé au niveau du bouchon d'essence de la voiture de l'américain "moyen". Au contraire, c'est très favorable car il est possible de "faire porter le chapeau" de la crise à Poutine. Biden répète 10 fois par discours "l'inflation de Poutine" pour se dédouaner ce qui est assez croustillant quand on se rappelle la dénonciation de Trump ânonnant "le virus du parti communiste chinois". Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
almanae Posté(e) le 30 juin 2022 Share Posté(e) le 30 juin 2022 Le 17/06/2022 à 16:31, bubzy a dit : S22 Bohdana qui tire sur l'ile au serpent semble t'il. Si c'est bien lui qui tire: bonne portée même si ça tire un peu au fraise au début. L'angle du canon est elle compatible avec un tire de 32km ?? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Akhilleus Posté(e) le 30 juin 2022 Share Posté(e) le 30 juin 2022 Une carte de situation de source pro russe La (petite) poche de Lysychansk est en court de fermeture. Mais ca on savait déjà. Ce qui est peut etre plus intéressant est de regarder le ratio engagement au sol et frappes d'artillerie ou aériennes On est a 6 engagements au sol marqués contre 38 frappes indirectes marquées Ca confirme (encore une fois) l'importance des appuis indirects dans ce conflit 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 30 juin 2022 Share Posté(e) le 30 juin 2022 C'est pas un CAESAR finalement : 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Claudio Lopez Posté(e) le 30 juin 2022 Share Posté(e) le 30 juin 2022 Peu importe que l'information soit vraie ou pas . C'est le CEASAR qui est cité ! Donc encore de la bonne pub pour le CEASAR ! :) 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Deres Posté(e) le 30 juin 2022 Share Posté(e) le 30 juin 2022 Il y a 1 heure, Connorfra a dit : Il manque le côté viscéral essayez de faire correspondre la vidéo avec la sensation interne d'un feu d'artifice multiplié par 3 et avec la connaissance des chances de mourir et on commence à ce rapprocher... Le fait de devoir ouvrir la bouche pour que les poumons comprimés n'explosent pas et sentir l'air s'ejecter du corps sans respirer et une sensation étrange... Le sifflement des éclats aussi. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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