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Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires


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Il y a 15 heures, Akhilleus a dit :

Quelqu'un posait la question de savoir où il y avait de la propagande pro ukrainienne sur le fofo ? ben voilà

C'est sur que l'utilisation massive d'artillerie et de LRM en plein été ne déclenche jamais d'incendies et que donc les incendies en Ukraine sont volontairement le fait des russes pour bruler le grain ukrainien

Nan ? C'est bein ça ?

Bref ........

Tiens, reprend un peu de propagande :

 

 

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il y a 25 minutes, Clairon a dit :

Marioupol est à plus de 100 km du front, donc soit c'est autre chose que du MLRS (Toschka, sabotage, accident, ...), soit les Ukrainiens ont reçu des fusées ER GMLRS ou des missiles ATACMS

Clairon

En fonction des cartes pas forcément, si on suit les cartes de War Monitor ou même war_mapper, il y a des villes (et villages) sous contrôle ukrainien comme Pavlivka, Prechystivka ou Grand Novosilka

ça situe ses villes à environ 70 km de Marioupol, la marge de manœuvre est mince, mais possible

 

Pour illustrer mon propos (même chose chez war monitor mais je ne vais pas m'amuser à poster toutes les cartes)

cyiv.jpg

 

9bi8.jpg

Modifié par Banzinou
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il y a 1 minute, Colstudent a dit :

Avec cette analyse si ils tirent depuis cette zone, Les Russes en mobilisant aviation drône en quantité pourrait ne pas les déloger ?

J'ai pas dit que c'était le cas, j'ai dit que c'était théoriquement possible, après on sait que les HIMARS sont ultra mobiles et tirent généralement de nuit... rendant la contre-batterie quasi-impossible

 

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il y a 50 minutes, Métal_Hurlant a dit :

Tiens, reprend un peu de propagande :

 

 

Il est évident qu'un hélico de combat va volontairement vider ses flares qui ne servent pas du tout à son auto protection,  pas vitale du tout vue l'absence de Manpads en Ukraine, pour mettre le feu à un champ :rolleyes:

Il est évident que mettre le feu à un couvert potentiel de l'ennemi est une technique de guerre jamais utilisée depuis la nuit des temps et que même si c'était fait, le feu resterait circonscrit parceque bien sage, surtout en été:rolleyes:

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il y a 39 minutes, Banzinou a dit :

J'ai pas dit que c'était le cas, j'ai dit que c'était théoriquement possible, après on sait que les HIMARS sont ultra mobiles et tirent généralement de nuit... rendant la contre-batterie quasi-impossible

 

C'est quand même un vrai "gane-changer" le HIMARS, discret comme un bête camion 6x6 de log, mobile, se rechargeant en 5 min avec 3 pax, munitions ultra-précises de 70 à 300 km de portée, dans la nouvelle LPM, va falloir renforcer le 1er RA et ré-activer dare-dare le 74e RAet adopter une version sur camion, j'ai vu je ne sais plus où une version camion avec un panier à 8 roquettes

Clairon 

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il y a 3 minutes, Clairon a dit :

C'est quand même un vrai "gane-changer" le HIMARS, discret comme un bête camion 6x6 de log, mobile, se rechargeant en 5 min avec 3 pax, munitions ultra-précises de 70 à 300 km de portée, dans la nouvelle LPM, va falloir renforcer le 1er RA et ré-activer dare-dare le 74e RAet adopter une version sur camion, j'ai vu je ne sais plus où une version camion avec un panier à 8 roquettes

Clairon 

D'ailleurs, il n'est pas impossible que la France pense à livrer des LRM (et non LRU) stockés depuis plusieurs années qui sait, par contre je ne crois pas qu'ils soient compatibles avec les M31 ? :huh:

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à l’instant, Banzinou a dit :

D'ailleurs, il n'est pas impossible que la France pense à livrer des LRM (et non LRU) stockés depuis plusieurs années qui sait, par contre je ne crois pas qu'ils soient compatibles avec les M31 ? :huh:

Ils ont tous été détruis. La France ayant signé les accords internationaux sur les sous munitions. 

 

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"...Le M142 HIMARS a un temps de mise en place et de déplacement de < 3 minutes. L'équipage de trois personnes (gunner, conducteur et chef d'équipe) peut atteindre un temps de rechargement de la nacelle de 4 minutes ou moins. Le système est capable de lancer toute sa charge utile de six MLRS guidés en 30 secondes environ..."

ça je savais pas :

"...les opérations en mer ont été démontrées pour la première fois il y a plusieurs années. L'armée américaine a conçu et produit le lanceur d'artillerie de campagne palettisé #PFAL pour qu'il soit également capable de tirer à partir de navires maritimes. Cette exigence existe probablement également sur le lanceur autonome multi-domaines..."

 

Modifié par Métal_Hurlant
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il y a 9 minutes, Métal_Hurlant a dit :

Tiens... Certains ont soulevé ce fait ici : il y a une corrélation entre pro-russes et anti-vaccin Covid....

Le même compte twitter donc :

 

 

Pour le coup il me semble bien que les deux bandes blanches sur la poutre de queue sont un marquage ukrainien. 

Par contre c'est peut être un effet visuel mais il est à quelle altitude quand il sort de sa courbe ? On dirait limités que les pales sont à toucher 

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Pause opérationnelle et mobilisation générale à bas bruit au niveau de certains oblasts.

https://www.lemonde.fr/international/article/2022/07/09/le-conflit-en-ukraine-marque-une-pause-operationnelle_6134055_3210.html

Notre EMA affirme que les troupes Ukr sont arrivées à la dernière ligne de défense de Kherson. 

Citation

Le conflit en Ukraine marque une pause opérationnelle

L’armée russe n’a pas réalisé d’avancée depuis la prise de la région administrative de Louhansk, le 3 juillet. Mais le flou persiste sur les ambitions militaires de Moscou.

Par Emmanuel Grynszpan et Cédric Pietralunga

Article réservé aux abonnés

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Un parachutiste du 81e bataillon ukrainien aéromobile, à Siversk (Ukraine), le 5 juillet 2022 ; cette unité a combattu les troupes russes avançant vers Lyssytchansk, dans le Donbass. LAURENT VAN DER STOCKT POUR « LE MONDE »

Poursuite des manœuvres, pause dans les combats ou bascule de la guerre ? Plus de quatre mois après l’entrée de l’armée russe sur le sol ukrainien, difficile de savoir vers quoi s’oriente le conflit. Sur le terrain, l’offensive de Moscou dans le Donbass semble sur la case « pause opérationnelle ». L’armée russe n’a pas réalisé d’avancée depuis sa prise de la région administrative de Louhansk, le 3 juillet ; et si les bombardements se poursuivent, ils semblent davantage là pour épuiser (« ramollir », dans le jargon militaire) les positions ukrainiennes que pour préparer de nouvelles avancées.

Jeudi 7 juillet, le porte-parole du ministère russe de la défense, Igor Konachenkov, a confirmé que les forces russes faisaient une pause pour se reposer et reconstituer leurs capacités. Si Vladimir Poutine continue de dire qu’il est prêt à l’escalade – jeudi, le président a encore déclaré que son pays « n’a, dans l’ensemble, encore rien commencé de sérieux » en Ukraine –, le flou persiste sur les ambitions militaires russes.

La concentration des forces (au moins trente bataillons tactiques), dans le Donbass, confirme l’intention de capturer a minima la région administrative de Donetsk. Mais la Russie dit toujours vouloir aller jusqu’à la Transnistrie (en Moldavie), pour couper l’accès de l’Ukraine à la mer Noire. Et les déclarations politiques russes et biélorusses ne permettent pas d’écarter l’hypothèse d’une deuxième attaque de la capitale, Kiev. Le 5 juillet, le secrétaire du Conseil de sécurité russe, Nikolaï Patrouchev, a assuré que l’opération se poursuivrait « jusqu’à ce que la Russie atteigne ses objectifs de démilitarisation de l’Ukraine ».

« Pénurie de personnel »

Sur le plan tactique, l’analyste militaire russe Sergueï Poletaev décrit, dans un article publié sur le site Globalaffairs, une armée russe s’adaptant progressivement à la réalité du terrain ukrainien. « Les forces armées russes, en combinaison avec celles des républiques populaires [de Donetsk et de Louhansk], ainsi que les [mercenaires] de Wagner, ont adopté une tactique de poussée lente de la ligne de front basée sur l’artillerie. On peut qualifier cela de copie moderne du principe de la première guerre mondiale : “L’artillerie dévaste, l’infanterie submerge.” »

Mais, comme beaucoup d’autres experts russes, M. Poletaev déplore une « pénurie de personnel » découlant du refus politique de la mobilisation de masse en Russie. Cette pénurie entraîne une incapacité à obtenir la domination numéraire nécessaire pour l’attaquant. Sur le terrain, les forces russes ne parviennent ni à manœuvrer ni à percer le front avec des coups rapides qui permettraient l’encerclement de l’ennemi.

Au lieu de changer de tactique, Moscou poursuit ses efforts de mobilisation au niveau régional. C’est plus discret qu’une mobilisation générale au niveau fédéral, qui risquerait de réveiller le mécontentement de la population. Les dirigeants militaires russes créent des bataillons de volontaires ad hoc pour le déploiement en Ukraine. La région de Nijni Novgorod vient ainsi de former son propre bataillon de tankistes volontaires. Le Bachkortostan (dans l’Oural) a envoyé douze autobus de volontaires en Ukraine. Et la liste s’allonge rapidement. La réalisation des objectifs dépendra en grande partie du succès de cette mobilisation feutrée.

De leur côté, les forces ukrainiennes mènent, depuis le retrait russe du nord du pays, intervenu le 2 avril, la même stratégie dans le Sud et dans l’Est, où se concentrent les combats : tenir le plus longtemps possible les positions, pour infliger un maximum de pertes à l’ennemi. Une guerre d’usure destinée à épuiser l’ex-Armée rouge, pour la contraindre à réduire ses ambitions territoriales. « On estime que les Russes ont perdu 5 000 hommes pour prendre Sievierodonetsk et Lyssytchansk, assure le consultant Xavier Tytelman, président du cabinet Aviation NXT. Cette guerre d’attrition est la seule possible pour l’Ukraine, comme elle l’était pour les Afghans, dans les années 1980. »

« Défi logistique »

Si elle ralentit effectivement l’armée russe et lui inflige de lourdes pertes – Kiev affirme avoir mis 37 000 soldats russes hors de combat, depuis le 24 février –, cette stratégie s’avère néanmoins insuffisante pour arrêter la progression des forces de Moscou, qui occupent aujourd’hui 22 % du territoire ukrainien. La raison principale ? Un écart trop important entre les puissances de feu des deux belligérants. Selon les experts de l’institut britannique Royal United Services Institute (RUSI), les Russes tirent en moyenne 20 000 obus par jour sur les positions ukrainiennes, contre environ 6 000 pour leurs adversaires.

Consciente qu’elle ne pourra pas physiquement détruire un à un les centaines de canons russes postés le long du front, l’armée ukrainienne a adapté sa stratégie et vise désormais les dépôts de munitions et de carburant installés par Moscou dans les territoires occupés mais aussi derrière sa frontière. Des stocks ont ainsi été détruits dans plusieurs villes ukrainiennes (Donetsk, Melitopol, Kherson, etc.), mais aussi russes (Belgorod, Koursk, etc.). Selon la BBC, au moins onze dépôts ont été détruits au cours des dix derniers jours. « La principale faiblesse du système d’artillerie russe est le défi logistique posé par le transport et le stockage de la vaste quantité d’obus qui lui permettent de continuer à manœuvrer », pointe le think tank RUSI dans une note publiée le 4 juillet.

Si cette stratégie parvient à ralentir, voire à arrêter, la progression des Russes, le doute persiste néanmoins sur l’aptitude de Kiev à regagner du terrain. « Il y a une vraie interrogation sur la capacité des Ukrainiens à passer d’une position défensive à une manœuvre offensive, qui ne demande pas les mêmes qualités », estime Joseph Henrotin, chargé de recherche au Centre d’analyse et de prévision des risques internationaux (Capri).

Contre-offensive ukrainienne autour de Kherson

Pour les analystes occidentaux, l’Ukraine dispose de plusieurs brigades capables de mener ce type de manœuvres interarmes. Rien qu’en 2021, quelque 21 000 soldats ukrainiens ont participé à des exercices communs avec les pays de l’OTAN. Mais elles n’ont jamais eu à le faire à grande échelle.

Depuis avril, l’armée ukrainienne mène ainsi une contre-offensive dans le sud du pays, où elle tente d’investir Kherson, une ville qui verrouille l’accès à la péninsule de Crimée et dont la prise permettrait de sécuriser la façade maritime de l’Ukraine sur la mer Noire. La progression des troupes de Kiev est toutefois laborieuse. « Les Ukrainiens sont arrivés devant la dernière ligne de défense de Kherson », assure néanmoins l’état-major français. Sauront-ils la franchir ? C’est l’une des clés des prochaines semaines du conflit.

 

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il y a 32 minutes, Banzinou a dit :

Les munitions ont été détruites, mais les lanceurs aussi ? :blink::huh:

Au départ on devait moderniser 16  LRM en LRU

Avec les coupes budgétaires on a fini à 13  mais bon toute la cabine a été refaite et le lancer modifié. 

A voir combien ils nous reste de chassis de M 31 pour servir de rechange aux moteurs et aux systèmes de propulsion sur chenilles. 

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il y a 13 minutes, Fusilier a dit :

Bien sur que non... 

Effectivement, pour la France, c'est 57 LRM au total, dont 48 opérationnels (utilisant la roquette M26 à sous-munition), puis enfin 13 LRM transformés en LRU (a priori utilisant la roquette M31 à charge unique), cf. l'article très intéressant sur LRM/LRU ici https://fr.calameo.com/read/0051415099215e0ab9957. Les roquettes M26 sont démantelées (22 000 roquettes pour la France, cf. le communiqué de presse de MBDA: https://www.mbda-systems.com/wp-content/uploads/2015/07/Press-release-2009-11-06-FR.pdf), mais pas les lanceurs eux-mêmes bien-sûr.

L'utilisation qui est faire des HIMARS par les ukrainiens (en tout cas l'utilisation dont on parle beaucoup en ce moment), à savoir, des frappes sur des objectifs ponctuels comme des dépôts de munitions, semble se faire en "mode LRU".

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il y a 17 minutes, olivier lsb a dit :

Pause opérationnelle et mobilisation générale à bas bruit au niveau de certains oblasts.

https://www.lemonde.fr/international/article/2022/07/09/le-conflit-en-ukraine-marque-une-pause-operationnelle_6134055_3210.html

Notre EMA affirme que les troupes Ukr sont arrivées à la dernière ligne de défense de Kherson. 

 

J'ai le droit de te rappeler l'histoire du gros des opérations finit pour l'été par manque de personnel russe dont tu t'es foutu de ma gueule y a pas longtemps ? Si mobilisation générale même partielle il est vrai que ça pourrait rabattre les cartes mais ce seront des soldats qui n'auront rien à voir en qualité avec des soldats pro dont soldat est le métier en appuie d'une armée pto ça aide pour remplacer des pans entiers d'une armée.... ça va augmenter le body count surtout qu'il va falloir les équiper les gaillards.

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