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Il y a 3 heures, Patrick a dit :

Gros écueil: son soutien affiché aux turcophones d'Asie centrale et sa position sur le Xinjiang. Il va falloir qu'il montre patte blanche s'il ne veut pas se faire envoyer bouler.

Comme stopgap, oui. Mais s'il y avait eu achat de Leclerc ou développement conjoint avec les sud coréens du K2, l'Altay n'aurait pas vu le jour quoi qu'il en soit. Donc bon...

Effectivement, 

"Ouïghours: Erdogan prône une solution tenant compte des «sensibilités» des deux parties" : http://www.lefigaro.fr/flash-actu/ouighours-erdogan-prone-une-solution-tenant-compte-des-sensibilites-des-deux-parties-20190704

"L'agence officielle chinoise Chine nouvelle a affirmé que lors de sa visite à Pékin et sa rencontre mardi avec le président chinois Xi Jinping, Recep Tayyip Erdogan a déclaré que les gens vivaient «heureux» au Xinjiang, une apparente volte-face. Sans commenter les propos rapportés, le chef de l'Etat turc a toutefois déploré, selon l'interview publiée dans la presse turque ce jeudi, l'approche «émotionnelle» de certains, qui affecte selon lui les relations bilatérales entre Ankara et Pékin et en fait «payer le prix» à la Turquie et à ses citoyens."

la route de la soie est visiblement peut être plus intéressante que les ouïgour. 

Au final la Turquie serait prêt à les accueillir 

 

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Il y a 4 heures, NUBEALTIUS a dit :

"L'agence officielle chinoise Chine nouvelle a affirmé que lors de sa visite à Pékin et sa rencontre mardi avec le président chinois Xi Jinping, Recep Tayyip Erdogan a déclaré que les gens vivaient «heureux» au Xinjiang, une apparente volte-face. Sans commenter les propos rapportés, le chef de l'Etat turc a toutefois déploré, selon l'interview publiée dans la presse turque ce jeudi, l'approche «émotionnelle» de certains, qui affecte selon lui les relations bilatérales entre Ankara et Pékin et en fait «payer le prix» à la Turquie et à ses citoyens."

 la route de la soie est visiblement peut être plus intéressante que les ouïgour. 

 Au final la Turquie serait prêt à les accueillir

C'est rigolo quand même comme cet autocrate adepte des coups de menton et des menaces à peine voilées sait aussi se montrer tout à fait coopératif.

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Article du 12 juillet suite au limogeage du directeur de la banque centrale Turque 

http://bourse.lefigaro.fr/devises-matieres-premieres/actu-conseils/la-livre-turque-penalisee-par-une-erreur-de-politique-monetaire-6681863

((AOF) - Cette semaine, la livre turque a cédé 2,3% à 6,4694 livres pour un euro. Les investisseurs ont sanctionné le limogeage du gouverneur de la Banque centrale, Murat Cetinkaya, par Recep Tayyip Erdoğan. Le président turc jugeait que sa politique monétaire était trop restrictive. Selon Erdoğan en effet, ce sont des taux d'intérêt plus bas et non plus élevés qui réduiraient l'inflation. Pour les économistes, cette erreur d’appréciation s’explique par la mauvaise compréhension par le président turc du lien entre la politique de la banque centrale et l'inflation.

Actuellement le taux d'intérêt de la CBRT est de 24 % pour essayer de contenir l'inflation galopante en Turquie actuellement à environ 18/19%

 

Attention aux montagnes russe ^^^ des échos comme quoi le taux directeur serait abaissé entre 250 ou 450 point de base....

ca risque de secouer ......

 

 

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C'était bancal, ça ne pouvait pas durer, et la Turquie l'utilise évidemment comme moyen de pression (Euractiv) :

Citation

Dans une interview avec TGRT, le ministre turc des Affaires étrangères, Mevlüt Çavusoglu, a annoncé que le gouvernement suspendait l’accord de réadmission des migrants conclu avec l’UE à cause des récentes sanctions européennes, mais aussi car l’UE n’a toujours pas mis en place d’exemption de visas pour les citoyens turcs.

 

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il y a une heure, Boule75 a dit :

C'était bancal, ça ne pouvait pas durer, et la Turquie l'utilise évidemment comme moyen de pression (Euractiv) :

 

En parallèle de l'expulsion de certain migrant....au moment où une partie de la population turque commence à s'opposer à la présence de réfugiés sur son territoire... et des tensions sur la ZEE proche de Chypre sur l'exploitation de gisement de Gaz sous marin...

 

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La France va déployer des missiles SAMP-T en Turquie

Le ministre de la défense Turque, Hulusi Akar, a déclaré aux médias turcs que la France et la Turquie étaient parvenue à un accord afin d’installer des missiles SAMP-T, fabriquées par le consortium franco-italien, le long de la frontière turque au nord de la Syrie.

https://www.medyaturk.info/international/2019/07/25/la-france-va-deployer-des-missiles-samp-t-en-turquie/

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http://www.lefigaro.fr/flash-actu/turquie-plus-de-6000-migrants-arretes-a-istanbul-en-deux-semaines-20190724 (24 juillet 2019)

Les autorités turques ont annoncé mercredi avoir arrêté en deux semaines plus de 6.000 migrants, dont des Syriens, vivant de manière «irrégulière» à Istanbul, dans le cadre d'un coup de filet mené sur fond de fort sentiment antimigrants en Turquie.

Un groupement d'ONG syriennes a toutefois indiqué lundi que «plus de 600 Syriens», pour la plupart titulaires de «cartes de protection temporaires» délivrées par d'autres provinces turques, avaient été arrêtés la semaine dernière à Istanbul et renvoyés en Syrie. Ce tour de vis contre les migrants survient après la défaite du parti du président Recep Tayyip Erdogan lors des élections municipales à Istanbul, en juin, lors desquelles l'accueil des Syriens s'était imposé comme un sujet majeur de préoccupation les électeurs.

Pendant la campagne, le discours hostile aux Syriens s'était déchaîné sur les réseaux sociaux, avec le mot-dièse #LesSyriensDehors. D'après une étude publiée début juillet par l'Université Kadir Has à Istanbul, la part des Turcs mécontents de la présence des Syriens est passée de 54,5% en 2017 à 67,7% en 2019.

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il y a 5 minutes, Banzinou a dit :

La France va déployer des missiles SAMP-T en Turquie

Le ministre de la défense Turque, Hulusi Akar, a déclaré aux médias turcs que la France et la Turquie étaient parvenue à un accord afin d’installer des missiles SAMP-T, fabriquées par le consortium franco-italien, le long de la frontière turque au nord de la Syrie.

https://www.medyaturk.info/international/2019/07/25/la-france-va-deployer-des-missiles-samp-t-en-turquie/

Pour protéger la frontière avec la Syrie ...  

peur des Russes qui viennent de leur vendre des S400 ? Ou peut être la force aérienne Kurde ....

 

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https://taz.de/Unregistrierte-Gefluechtete-in-der-Tuerkei/!5611200/ (24 juillet 2019)

Rien qu'au cours des deux dernières semaines, quelque 6 000 personnes sans papiers ont été arrêtées et déportées à Istanbul ou emmenées dans des camps dans d'autres provinces, dont près de 3 000 Afghans qui ont été déportés en Iran. Des Syriens sans papiers valides auraient été emmenés dans un camp dans la province de Hatay.

Selon un ordre du gouverneur en charge, tous les réfugiés syriens qui ne sont pas enregistrés à Istanbul doivent maintenant quitter la ville avant le 20 août. Au total, 547 000 Syriens en fuite sont enregistrés à Istanbul. En fait, environ 300 000 autres personnes se seraient installées dans la ville, qui sont en fait enregistrées ailleurs.

Ces mesures s'expliquent probablement par le fait que le mécontentement de la population turque à l'égard des fugitifs ne cesse de croître sensiblement, notamment au vu de la crise économique que traverse le pays. Les sondages menés ces derniers mois ont permis d'identifier de plus en plus les quelque quatre millions de fugitifs comme étant le principal problème du pays.

Entre-temps, cependant, il est devenu évident que même après la fin des combats dans le pays voisin, la majorité de ces personnes ne reviendront pas parce que leur gagne-pain en Syrie a été détruit, les enfants en Turquie vont à l'école, il y a des soins médicaux et la plupart ont également trouvé du travail, même si celui-ci est mal payé.

Surtout dans les centres, où de nombreux réfugiés ont débarqué, outre Istanbul Gaziantep, Sanliurfa et la province de Hatay, il y a de plus en plus de ressentiments, qui conduisent à des attaques verbales et en partie aussi physiques.

Le ministre de l'Intérieur Süleyman Soylu a justifié les mesures annoncées pour Istanbul et a rejeté les critiques selon lesquelles les Syriens seraient déportés dans des zones de guerre en violation des conventions internationales. "Aucun Syrien," dit Soylu, "ne sera renvoyé contre sa volonté.

Toutefois, la Turquie soutient les Syriens qui sont disposés à rentrer chez eux et s'efforce de les inciter à s'installer dans les zones contrôlées par la Turquie dans le nord de la Syrie.

Les journaux proches du gouvernement ont déjà fait remarquer aux critiques potentiels de l'UE que la Turquie a jusqu'à présent accepté beaucoup plus de réfugiés que l'UE dans son ensemble. Malgré des cas isolés, l'opposition a jusqu'à présent évité d'exploiter la question des réfugiés.

Cependant, les demandes critiques adressées au gouvernement deviennent plus urgentes, car le président Recep Tayyip Erdoğan et son gouvernement ne montrent aucun concept, expliquant comment ils veulent traiter les réfugiés à long terme.

La Turquie, qui a été jusqu'à présent davantage un pays de transit, voire un pays d'émigration, doit se préparer par des mesures d'intégration de grande envergure pour survivre en tant que pays d'immigration. Il existe des études à ce sujet, mais jusqu'à présent, il n'y a guère d'approches concrètes.

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Trump cherche à éviter de sanctionner la Turquie pour les missiles russes

https://www.lepoint.fr/monde/trump-cherche-a-eviter-de-sanctionner-la-turquie-pour-les-missiles-russes-26-07-2019-2327055_24.php

Citation

 

Après les avertissements sans ambiguïté, place à la modération: l'administration de Donald Trump, embarrassée par l'achat de missiles russes par la Turquie, cherche un moyen d'éviter de devoir imposer des sanctions, théoriquement automatiques, contre cet allié stratégique.

De nombreux membres du Congrès, toutes tendances confondues, s'activent pour que le président des Etats-Unis fasse preuve de fermeté. Mais après une réunion cette semaine avec Donald Trump, les sénateurs républicains ne sont guère optimistes.

"Il en est clairement ressorti que le président n'est pas dans l'état d'esprit, actuellement, de sanctionner la Turquie", déplore, auprès de l'AFP, l'assistant d'un élu qui a participé à la rencontre à la Maison Blanche.

Le milliardaire républicain, qui ne fait pas mystère de ses affinités avec certains hommes forts souvent controversés, affiche une grande entente avec son homologue turc Recep Tayyip Erdogan. Et ce dernier assure que cette proximité permettra à son pays, in fine, d'échapper aux sanctions.

Au coeur de la dispute, le système de défense antiaérienne S-400, acquis par Ankara auprès de Moscou au grand dam de Washington, qui y voit une entorse grave de la part d'un pays membre de l'Otan et une menace pour la sécurité occidentale.

Durant de longs mois, le message américain n'avait pourtant pas varié: le gouvernement turc s'expose à des sanctions "très dures" s'il "va au bout de la réception des S-400".

Seulement voilà, depuis le début de la livraison des missiles russes, mi-juillet, le discours a évolué.

Les Etats-Unis ont certes immédiatement exclu la Turquie de leur programme d'avions furtifs F-35, estimant que les S-400 pouvaient être utilisés par la Russie pour "percer" les "capacités de pointe" du chasseur ultrasophistiqué.

Mais sur le front des sanctions, l'administration Trump semble désormais surtout déterminée à gagner du temps.

"Nous n'envisageons pas cela pour l'instant", a lâché le milliardaire républicain le 18 juillet.

Glissement sémantique

"Il n'y a pas de calendrier", a encore balayé jeudi la porte-parole de la diplomatie américaine Morgan Ortagus, insistant sur le fait que la décision sur les F-35 était déjà une "mesure très, très lourde".

Pourtant, les mesures punitives d'ordre économique sont inscrites dans une loi adoptée en 2017 par le Congrès, quasiment à l'unanimité, pour "contrer les adversaires de l'Amérique à travers les sanctions" (Caatsa).

Ce texte prévoit notamment des sanctions automatiques dès lors qu'un pays conclut une "transaction significative" avec le secteur de l'armement russe.

En fait, dans l'immédiat, la parade semble venir d'un subtil glissement sémantique. Alors que la "livraison" des missiles était jusqu'ici considérée comme l'élément devant déclencher les sanctions, le chef de la diplomatie américaine Mike Pompeo a subitement insisté, ces dernières heures, sur "l'activation" du système antiaérien.

"Il pourrait y avoir d'autres sanctions par la suite, mais franchement, ce qu'on voudrait vraiment, c'est que les S-400 ne deviennent pas opérationnels", a-t-il affirmé jeudi à Bloomberg TV. "L'activation des S-400 est inacceptable".

Le sénateur républicain Lindsey Graham a expliqué à la publication Defense One avoir engagé une médiation avec Ankara, à la demande de Donald Trump, pour éviter cette "activation du système" et proposer en échange l'ouverture de "négociations sur un accord commercial" -- un stratégie que Mike Pompeo n'a pas démentie.

Dans le même temps, le président Erdogan a expliqué que les S-400 ne seraient pas opérationnels avant avril, ce qui augure d'une partie de poker menteur encore longue entre les deux pays.

Certains experts soulignent pourtant que des composants "passifs" des systèmes russes peuvent représenter une menace, sans attendre que les radars soient "activés".

"Il y a un débat juridique sur ce qui constitue une +transaction significative+ susceptible de déclencher les sanctions", reconnaît l'assistant parlementaire républicain. Mais, selon lui, au bout du compte, "l'administration sera confrontée à l'obligation légale de sanctionner la Turquie".

Face aux atermoiements de Donald Trump, certains dans son administration et au Congrès poussent pour une pression renouvelée. Avec comme objet, cette fois, la participation même d'Ankara à l'Alliance atlantique.

"L'Otan a été créée pour être un rempart face à l'agression russe. Cela m'inquiète sérieusement que l'on permette à la Turquie de continuer à profiter de la protection de l'Otan tout en se rapprochant de la Russie", dit à l'AFP le sénateur républicain Rick Scott, auteur d'une résolution pour contraindre le gouvernement à passer à l'acte.

 

 

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il y a 26 minutes, zx a dit :

Ce qui laisse imaginer le pire pour la partie Kurde de la Syrie .....

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oui, Erdo tient Trump par les coucougnettes vu les enjeux géo-stratégique du coin, donc si il hurle un peu trop, couic

il voulait parler a des forts, des durs, il est servi, ca démontre qu'il est un peu court le gars dans ses stratégies et qu'il n'avance sur rien et que les problèmes s'entassent devant sa porte.

Modifié par zx
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Il y a 12 heures, zx a dit :

oui, Erdo tient Trump par les coucougnettes vu les enjeux géo-stratégique du coin, donc si il hurle un peu trop, couic

il voulait parler a des forts, des durs, il est servi, ca démontre qu'il est un peu court le gars dans ses stratégies et qu'il n'avance sur rien et que les problèmes s'entassent devant sa porte.

Il ne participera à aucune guerre durant son mandat comme il l'a dit.... mais il les prépare pour ses successeurs .,.,,

 

Et voila baisse du taux directeur de la BCRT de 425 points de base à 19.75%

plus forte baisse de taux depuis 17 ans 

https://www.lemonde.fr/economie/article/2019/07/26/cedant-a-erdogan-la-banque-centrale-de-turquie-abaisse-son-principal-taux-d-interet_5493843_3234.html

"Marqué par son éducation religieuse, selon laquelle l’usure est haram (« péché »), le numéro un turc mène une guerre sans merci contre les taux d’intérêts élevés, convaincu qu’ils ne font qu’aggraver l’inflation"

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Air & Cosmos du 26 juillet 2019  comporte 4 pages  sur l'Industrie aéronautique turque  ( expo du Bourget 2019 ) et ses produits actuels et futurs, Sachant que le premier exemplaire du S-400 a été livré il y a une dizaine de jours en Turquie, et que la perspective du renoncement aux 100 F-35  est travaillée depuis plusieurs années  ( accord avec BAE,  RR et Selex sur le TF-X, basculement des coopérations des Anglais vers les Russes, sans nécessairement aller jusqu'à un achat de SU-57 )

Le TF-X est envisagé  en combat collaboratif avec une évolution comme RC des drones cibles actuels...

D'autres produits et projets actuels sont évoqués par l'article ( hélicos, drones, avion anti-guérilla, avion d'entrainement avancé ... )

Ceci pour illustrer l'ambition dans l'industrie de défense de la Turquie  et sa recherche d'un positionnement géostratégique fort ... 

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Il y a 1 heure, zx a dit :

je sais pas pourquoi, mais je sens qu'Erdo va se laisser aller à une commande de 100 su 57

En tout cas, les médias turques en font une bonne pub :( je suis pas fan des médias turque mais c'est pour illustrer mes propos )

https://www.trt.net.tr/francais/afrique-asie/2019/04/11/le-su-57-le-chasseur-russe-de-5eme-generation-1181496

https://www.redaction.media/articles/turquie-avions-de-combat-russes-su-35-a-place-f-35-de-fabrication-americaine/

 

Modifié par NUBEALTIUS
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"Turquie: liberté provisoire pour un mathématicien turc enseignant en France" : http://www.lefigaro.fr/flash-actu/turquie-liberte-provisoire-pour-un-mathematicien-turc-enseignant-en-france-20190730

"Détenu depuis 81 jours, le mathématicien, maître de conférences à l'Université Claude-Bernard Lyon 1, est poursuivi en raison de sa participation à une réunion en France d'une amicale kurde accusée par les autorités turques d'être liée au Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK), une groupe armé qui livre une guérilla contre l'Etat turc depuis 1984. La prochaine audience de son procès aura lieu le 19 novembre"

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