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@Alexis

Bon, Macron a parfaitement raison dans son analyse. Maintenant, à part les discours il faut voir les actes, et là je pense que ça risque vite de  bloquer...

Sans compter qu’outre la préférence de Macron pour les discours (a la place des actes), il faut s’attendre à une entrée en campagne de tout ce que la France compte d’idiots utiles de l’islamisme si jamais il se décidait à bouger. 

Je suis d’avis que toutes ces écoles islamistes/islamiques devraient être fermées sur le champ, les associations pro-islamiste dissoutes et interdites et les imams venant de l’étranger recevoir leur billet de retour, mais Macron a-t-il les moyens et même l’envie de s’y mettre ?

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Il y a 5 heures, Fanch a dit :

Bon la mosquée des Mureaux est à 30 mètres du commissariat  (neuf lui aussi) :biggrin:

Histoire de quand même mettre un peu de république dans tout ça 

 

Vendredi

Reste à voir lequel des deux brulera en premier... pas sur que ce soit la mosquée.

Modifié par Benoit
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il y a une heure, Scarabé a dit :

La Turquie va déployer un troisième navire de forage à la recherche d’hydrocarbures

https://www.turquie-news.com/la-turquie-va-deployer-un-troisieme-navire-de

 

Cette fois en Mer Noire :unsure:

Très bien.

Il n'y a pas à ma connaissance de théorie turque comme quoi leur ZEE en Mer Noire devrait être étendue aux dépens des autres pays (*) La Turquie est donc dans son droit, et ça leur fera une utile distraction de leurs aventures en Méditerranée et Mer Egée.

 

(*) Peut-être parce qu'en face... c'est la Russie :tongue: ?

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Il y a 1 heure, Alexis a dit :

Très bien.

Il n'y a pas à ma connaissance de théorie turque comme quoi leur ZEE en Mer Noire devrait être étendue aux dépens des autres pays (*) La Turquie est donc dans son droit, et ça leur fera une utile distraction de leurs aventures en Méditerranée et Mer Egée.

 

(*) Peut-être parce qu'en face... c'est la Russie :tongue: ?

Franchement Erdogna accumule les problèmes ?

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Il y a 17 heures, Scarabé a dit :

La Turquie va déployer un troisième navire de forage à la recherche d’hydrocarbures

https://www.turquie-news.com/la-turquie-va-deployer-un-troisieme-navire-de

 

Cette fois en Mer Noire :unsure:

Citation

Le navire d'exploration turc Oruc Reis sera en Méditerranée orientale «du 12 au 20 octobre» dans la zone où il se trouvait en août et septembre, générant de vives tensions avec la Grèce, a annoncé dimanche la marine turque.

https://www.lefigaro.fr/flash-actu/la-turquie-va-renvoyer-le-navire-controverse-en-mediterranee-orientale-20201012

Modifié par Arland
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"Syrie, Méditerranée, Haut-Karabakh... La dangereuse surenchère d’Erdogan" : https://www.lefigaro.fr/international/syrie-mediterranee-haut-karabakh-la-dangereuse-surenchere-d-erdogan-20201011

DÉCRYPTAGE - La Turquie multiplie les foyers de confrontation et se comporte de plus en plus en puissance régionale.

Correspondante à Istanbul 

Avec Erdogan, une crise en cache toujours une autre. Alors qu’un fragile cessez-le-feu se mettait en place ce week-end autour du Haut-Karabakh, Ankara était déjà en train de rallumer les braises avec la Grèce en faisant rouvrir en plein scrutin présidentiel nord-chypriote la ville fantôme de Varosha, décrétée zone interdite depuis la partition de l’île en 1974. Syrie, Libye, Méditerranée orientale, Grèce, Chypre, Caucase… Depuis le début de l’année, le président turc joue aux pompiers pyromanes, déclenchant un nouvel incendie dès qu’un autre faiblit. «Aujourd’hui, le président turc mise sur une politique de coups tactiques successifs», observe Jean Marcou, professeur des universités à l’IEP de Grenoble et spécialiste de la Turquie, la Méditerranée et du Moyen-Orient.

» LIRE AUSSI - La Turquie avance ses pions dans la partie nord de Chypre 

Mais à quelle fin? «Erdogan n’a qu’une idée en tête: sa survie politique. Il est en perte de vitesse dans son propre pays. L’économie va mal. Fini la période faste de son parti, l’AKP, au pouvoir depuis dix-huit ans. Guidé par sa nouvelle alliance avec les ultranationalistes du MHP, il poursuit un agenda de crises à répétition», remarque un diplomate occidental. Le curseur est évidemment réglé sur le scrutin présidentiel de 2023, qu’il veut à tout prix remporter. «Ouvrir de nouveaux fronts pour faire diversion, c’est le propre des gouvernements populistes», poursuit Jean Marcou. La politique de «zéro problème avec nos voisins» si chère à l’ex-premier ministre Ahmet Davutoglu, qui a depuis rejoint l’opposition, semble bien loin. Si les séries télévisées et les vols de la Turkish Airlines continuent à faire partie du «soft power» turc, ce sont de ses drones et de ses provocations militaires en Méditerranée qu’il est désormais plus souvent question.

Ce nouveau «hard power» ne peut se lire qu’à travers un prisme domestique. «Ce virage en politique étrangère est porté par deux événements majeurs: les soubresauts régionaux de l’après-printemps arabe de 2011 et le putsch raté de juillet 2016», estime Jean Marcou. Que ce soit à Tunis, au Caire ou encore à Damas, le «modèle turc», alliant islam et démocratie a échoué à convaincre les révolutionnaires. En Égypte, l’éviction du président Mohammed Morsi, un Frère musulman proche des islamo-conservateurs de l’AKP, par le maréchal Sissi, allié de l’Arabie saoudite, a même renforcé la rupture, entraînant également un rapprochement stratégique des Turcs avec le Qatar. 

En Syrie, avec qui elle partage plus de 800 kilomètres de frontière, c’est la guerre qui a bouleversé l’agenda de la Turquie: après avoir misé, en vain, sur la chute de Bachar el-Assad, Ankara a progressivement réorienté sa politique vers une campagne militaire concentrée sur les milices kurdes d’Irak et du Nord syrien, accusées de collusion avec la guérilla du PKK. Cette offensive s’est accélérée après le coup d’État avorté de 2016: en l’espace de quatre ans, l’armée turque a mené trois incursions militaires en Syrie, appuyée par des supplétifs syriens. «Aujourd’hui, on assiste à une politique beaucoup moins idéaliste fondée sur la défense des intérêts stratégiques de la Turquie, qui s’avère beaucoup plus offensive sur le plan régional», remarque Jean Marcou.

» LIRE AUSSI - Le premier ministre grec au Figaro : «La Turquie doit comprendre qu’il y a des règles à respecter» 

Au printemps 2020, l’intervention libyenne prend un nouveau cap. En volant militairement au secours du chef du Gouvernement d’union nationale de Tripoli, Fayez al-Sarraj, contre le général Haftar, la Turquie s’est montrée capable de s’affirmer militairement au-delà de simples opérations transfrontalières. Certains y voient l’illustration directe des ambitions néo-ottomanes d’un président qui se rêve en sultan. Mais d’autres motivations animent Erdogan. Énergétiques, d’abord. La découverte de nouvelles ressources gazières en Méditerranée orientale a poussé Ankara à sceller, dès le mois de novembre 2019, un double accord militaire et maritime avec Tripoli. Le récent soutien affiché à l’Azerbaïdjan dans la guerre qui l’oppose à l’Arménie répond, aussi, à une volonté de diversifier ses sources d’approvisionnement en gaz, et de réduire sa dépendance vis-à-vis de la Russie.

Ces derniers mois, la Turquie a également tiré pleinement profit de la crise liée à l’épidémie du Covid-19 mais aussi du désengagement américain pour étendre son influence. «Il y a un vide géopolitique évident avec une Amérique de plus en plus en retrait. C’est une aubaine pour Ankara», relève le chercheur turc Emre Kursat Kaya, associé au think-tank Edam. Dès lors que la place est libre, la Turquie multiplie les initiatives: dénonçant le traité de Sèvres et les frontières tracées par le passé, redessinant les cartes, ressortant d’anciens manifestes, comme celui de la «patrie bleue», ou fustigeant le «groupe de Minsk» (Russie, États-Unis, France) à propos du Haut-Karabakh. «La Turquie se positionne comme un pays émergent qui cherche à peser dans le règlement des affaires du monde. Sa stratégie consiste à dire: les temps ont changé, nous avons notre mot à dire», constate Jean Marcou. Le processus d’Astana sur la Syrie en est le meilleur exemple: en s’affichant, avec la Russie et l’Iran, comme l’un des maîtres du jeu syrien, Ankara s’est imposé comme un interlocuteur clé. «Qu’on l’apprécie ou non, on doit accepter l’idée d’une Turquie qui a réussi à s’imposer comme acteur régional incontournable», concède le diplomate.

» LIRE AUSSI - Erdogan mène l’Europe par le bout du nez 

Mais cette politique de «coups tactiques» semble difficilement pérenne. «À force de démultiplier rapprochements et brouilles au sein d’alliances établies, les ambitions turques trouvent leurs limites. Ainsi, si Ankara se place en marge de l’Otan, elle ne rompt pas pour autant avec elle. Si elle fâche les Américains en achetant des S-400 russes, elle se retourne naturellement vers eux quand les Russes attaquent ses soldats à Idlib (…) À terme, elle risque également l’isolement. On en a eu l’exemple cet été dans ses rapports avec l’Europe dans l’affaire de la Méditerranée, et la menace de sanctions», estime Jean Marcou.

» À VOIR AUSSI - François Hollande interpelle l’Otan sur «l’attitude belliqueuse de la Turquie»

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Il y a 4 heures, Alexis a dit :

La politique allemande renvoyant dos à dos l'agresseur et l'agressé, refusant toute sanction économique envers la Turquie au sommet européen du 1er octobre, contre les propositions de la France, de la Grèce et de Chypre, est un succès retentissant.

notre mutisme vis à vis à vis de cette politique allemande que l'on peut qualifier de désastreuse est aussi pas mal ... il serait temps de hausser le ton sur cet état de fait que les Allemand prennent le reste de l'Europe pour des imbéciles car je ne peux imaginer qu'ils pensaient sincèrement  que la Turquie allaient se montrer conciliante.

Modifié par Lezard-vert
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il y a 10 minutes, Wallaby a dit :

https://nationalinterest.org/blog/buzz/dilemma-america’s-strategy-europe-170516 (11 octobre 2020)

Une stratégie américaine productive pour l'Allemagne a désespérément besoin d'une stratégie de communication solide, dirigée à la fois vers la classe politique et le grand public. Nous avons cessé de bien présenter le dossier américain, alors que les médias allemands sont pleins de désinformation russe. Toutefois, une meilleure communication et de meilleures relations publiques ne suffisent guère. La diplomatie américaine doit explorer les possibilités d'une collaboration productive avec l'Allemagne. Une occasion inattendue pourrait consister à unir nos forces pour reconstruire les ponts avec la Turquie. L'Allemagne a désespérément besoin d'une relation de travail avec Ankara comme pivot de sa stratégie visant à limiter l'immigration en Europe, tandis que Washington a tout intérêt à cultiver le lien avec cet important allié de l'OTAN. Une initiative diplomatique conjointe germano-américaine envers la Turquie pourrait également s'appuyer sur la profonde suspicion d'Ankara envers Moscou. De plus, alors qu'une telle initiative ne ferait pas renoncer la Grèce et la Turquie à leurs griefs réciproques, elle pourrait simplement empêcher ces deux alliés de l'OTAN d'entrer en guerre l'un contre l'autre.

 

 

tout est dans le titre du site : THE NATIONAL INTEREST (américain)

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oui , et si le gouvernement américain décide que c est une bonne stratégie, ils y mettront tous leur poids pour que ça aille dans ce sens ...

en gros , on remplace les anglais par les allemands . 

et après avoir foutu la merde partout (et obtenu ce qu il veut ) non seulement on l aura dans l os mais en plus , RTE sera réélu ; bah oui quel victoire !

 

bref , croisons les doigts que ce soit uniquement la lubie d un journaleux .

Modifié par Tetsuo
ortho
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La Russie exprime ses plus vifs remerciements envers la Turquie pour débarrasser la Syrie des gentils rebelles au cœur pur ... et les envoyer au Haut Karabagh. :bloblaugh:

Quote

The Ministry of Defense of the Russian Federation is concerned about information about the transfer of militants of terrorist groups from the Middle East to the conflict area in Nagorno-Karabakh

 

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il y a 52 minutes, g4lly a dit :

La Russie exprime ses plus vifs remerciements envers la Turquie pour débarrasser la Syrie des gentils rebelles au cœur pur ... et les envoyer au Haut Karabagh. :bloblaugh:

 

C'est pas une traduction très fidèle ..... je pense que pour ces "voyageurs"  il ne s'agit que d'un aller simple et que la Russie organisera leur retour dans des sacs plastiques.

Modifié par Lezard-vert
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il y a 12 minutes, Lezard-vert a dit :

C'est pas une traduction très fidèle ..... je pense que pour ces "voyageurs"  il ne s'agit que d'un allé simple et que la Russie organisera leur retour dans des sacs plastiques.

Pour l'instant au moins, seuls les Arméniens sont censés s'en charger...

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Le 12/10/2020 à 09:50, Benoit a dit :

http://www.opex360.com/2020/10/11/lukraine-envisage-dacquerir-et-de-produire-48-drones-tactiques-turcs-bayraktar-tb2/

En tout cas l'affaire du Haut-Karabakh aura été une bonne pub pour le matos turc.

C'est Poutine qui doit être content.

Si les ukrainiens se voient déjà en train de bouter les séparatistes du Dombass avec ces machines ca n'augure de rien de bon.

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Il y a 3 heures, debonneguerre a dit :

Si les ukrainiens se voient déjà en train de bouter les séparatistes du Dombass avec ces machines ca n'augure de rien de bon.

Sauf que les frontières du Donbass sont bien plus poreuses que celles de la Géorgie... ça permettra de voir ce que les Russes savent vraiment faire en matière de guerre électronique ?

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