Kelkin Posté(e) le 9 octobre 2020 Share Posté(e) le 9 octobre 2020 Ne peut-on pas satisfaire les séparatistes en les séparants du territoire de la république pour les envoyer en Turquie, où ils seront sans doute bien plus heureux ? 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Fanch Posté(e) le 9 octobre 2020 Share Posté(e) le 9 octobre 2020 Bon la mosquée des Mureaux est à 30 mètres du commissariat (neuf lui aussi) Histoire de quand même mettre un peu de république dans tout ça Vendredi 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
FATac Posté(e) le 9 octobre 2020 Share Posté(e) le 9 octobre 2020 Il y a 2 heures, Fanch a dit : Vendredi Jour de prière ??? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kiriyama Posté(e) le 9 octobre 2020 Share Posté(e) le 9 octobre 2020 @Alexis Bon, Macron a parfaitement raison dans son analyse. Maintenant, à part les discours il faut voir les actes, et là je pense que ça risque vite de bloquer... Sans compter qu’outre la préférence de Macron pour les discours (a la place des actes), il faut s’attendre à une entrée en campagne de tout ce que la France compte d’idiots utiles de l’islamisme si jamais il se décidait à bouger. Je suis d’avis que toutes ces écoles islamistes/islamiques devraient être fermées sur le champ, les associations pro-islamiste dissoutes et interdites et les imams venant de l’étranger recevoir leur billet de retour, mais Macron a-t-il les moyens et même l’envie de s’y mettre ? 2 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Benoit Posté(e) le 9 octobre 2020 Share Posté(e) le 9 octobre 2020 (modifié) Il y a 5 heures, Fanch a dit : Bon la mosquée des Mureaux est à 30 mètres du commissariat (neuf lui aussi) Histoire de quand même mettre un peu de république dans tout ça Vendredi Reste à voir lequel des deux brulera en premier... pas sur que ce soit la mosquée. Modifié le 9 octobre 2020 par Benoit 3 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Scarabé Posté(e) le 11 octobre 2020 Share Posté(e) le 11 octobre 2020 La Turquie va déployer un troisième navire de forage à la recherche d’hydrocarbures https://www.turquie-news.com/la-turquie-va-deployer-un-troisieme-navire-de Cette fois en Mer Noire Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alexis Posté(e) le 11 octobre 2020 Share Posté(e) le 11 octobre 2020 il y a une heure, Scarabé a dit : La Turquie va déployer un troisième navire de forage à la recherche d’hydrocarbures https://www.turquie-news.com/la-turquie-va-deployer-un-troisieme-navire-de Cette fois en Mer Noire Très bien. Il n'y a pas à ma connaissance de théorie turque comme quoi leur ZEE en Mer Noire devrait être étendue aux dépens des autres pays (*) La Turquie est donc dans son droit, et ça leur fera une utile distraction de leurs aventures en Méditerranée et Mer Egée. (*) Peut-être parce qu'en face... c'est la Russie ? 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
LBP Posté(e) le 11 octobre 2020 Share Posté(e) le 11 octobre 2020 Il y a 1 heure, Alexis a dit : Très bien. Il n'y a pas à ma connaissance de théorie turque comme quoi leur ZEE en Mer Noire devrait être étendue aux dépens des autres pays (*) La Turquie est donc dans son droit, et ça leur fera une utile distraction de leurs aventures en Méditerranée et Mer Egée. (*) Peut-être parce qu'en face... c'est la Russie ? Franchement Erdogna accumule les problèmes ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Arland Posté(e) le 12 octobre 2020 Share Posté(e) le 12 octobre 2020 (modifié) Il y a 17 heures, Scarabé a dit : La Turquie va déployer un troisième navire de forage à la recherche d’hydrocarbures https://www.turquie-news.com/la-turquie-va-deployer-un-troisieme-navire-de Cette fois en Mer Noire Citation Le navire d'exploration turc Oruc Reis sera en Méditerranée orientale «du 12 au 20 octobre» dans la zone où il se trouvait en août et septembre, générant de vives tensions avec la Grèce, a annoncé dimanche la marine turque. https://www.lefigaro.fr/flash-actu/la-turquie-va-renvoyer-le-navire-controverse-en-mediterranee-orientale-20201012 Modifié le 12 octobre 2020 par Arland Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Alexis Posté(e) le 12 octobre 2020 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 12 octobre 2020 Il y a 3 heures, Arland a dit : https://www.lefigaro.fr/flash-actu/la-turquie-va-renvoyer-le-navire-controverse-en-mediterranee-orientale-20201012 La politique allemande renvoyant dos à dos l'agresseur et l'agressé, refusant toute sanction économique envers la Turquie au sommet européen du 1er octobre, contre les propositions de la France, de la Grèce et de Chypre, est un succès retentissant. 1 11 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
NUBEALTIUS Posté(e) le 12 octobre 2020 Share Posté(e) le 12 octobre 2020 "Syrie, Méditerranée, Haut-Karabakh... La dangereuse surenchère d’Erdogan" : https://www.lefigaro.fr/international/syrie-mediterranee-haut-karabakh-la-dangereuse-surenchere-d-erdogan-20201011 DÉCRYPTAGE - La Turquie multiplie les foyers de confrontation et se comporte de plus en plus en puissance régionale. Correspondante à Istanbul Avec Erdogan, une crise en cache toujours une autre. Alors qu’un fragile cessez-le-feu se mettait en place ce week-end autour du Haut-Karabakh, Ankara était déjà en train de rallumer les braises avec la Grèce en faisant rouvrir en plein scrutin présidentiel nord-chypriote la ville fantôme de Varosha, décrétée zone interdite depuis la partition de l’île en 1974. Syrie, Libye, Méditerranée orientale, Grèce, Chypre, Caucase… Depuis le début de l’année, le président turc joue aux pompiers pyromanes, déclenchant un nouvel incendie dès qu’un autre faiblit. «Aujourd’hui, le président turc mise sur une politique de coups tactiques successifs», observe Jean Marcou, professeur des universités à l’IEP de Grenoble et spécialiste de la Turquie, la Méditerranée et du Moyen-Orient. » LIRE AUSSI - La Turquie avance ses pions dans la partie nord de Chypre Mais à quelle fin? «Erdogan n’a qu’une idée en tête: sa survie politique. Il est en perte de vitesse dans son propre pays. L’économie va mal. Fini la période faste de son parti, l’AKP, au pouvoir depuis dix-huit ans. Guidé par sa nouvelle alliance avec les ultranationalistes du MHP, il poursuit un agenda de crises à répétition», remarque un diplomate occidental. Le curseur est évidemment réglé sur le scrutin présidentiel de 2023, qu’il veut à tout prix remporter. «Ouvrir de nouveaux fronts pour faire diversion, c’est le propre des gouvernements populistes», poursuit Jean Marcou. La politique de «zéro problème avec nos voisins» si chère à l’ex-premier ministre Ahmet Davutoglu, qui a depuis rejoint l’opposition, semble bien loin. Si les séries télévisées et les vols de la Turkish Airlines continuent à faire partie du «soft power» turc, ce sont de ses drones et de ses provocations militaires en Méditerranée qu’il est désormais plus souvent question. Ce nouveau «hard power» ne peut se lire qu’à travers un prisme domestique. «Ce virage en politique étrangère est porté par deux événements majeurs: les soubresauts régionaux de l’après-printemps arabe de 2011 et le putsch raté de juillet 2016», estime Jean Marcou. Que ce soit à Tunis, au Caire ou encore à Damas, le «modèle turc», alliant islam et démocratie a échoué à convaincre les révolutionnaires. En Égypte, l’éviction du président Mohammed Morsi, un Frère musulman proche des islamo-conservateurs de l’AKP, par le maréchal Sissi, allié de l’Arabie saoudite, a même renforcé la rupture, entraînant également un rapprochement stratégique des Turcs avec le Qatar. En Syrie, avec qui elle partage plus de 800 kilomètres de frontière, c’est la guerre qui a bouleversé l’agenda de la Turquie: après avoir misé, en vain, sur la chute de Bachar el-Assad, Ankara a progressivement réorienté sa politique vers une campagne militaire concentrée sur les milices kurdes d’Irak et du Nord syrien, accusées de collusion avec la guérilla du PKK. Cette offensive s’est accélérée après le coup d’État avorté de 2016: en l’espace de quatre ans, l’armée turque a mené trois incursions militaires en Syrie, appuyée par des supplétifs syriens. «Aujourd’hui, on assiste à une politique beaucoup moins idéaliste fondée sur la défense des intérêts stratégiques de la Turquie, qui s’avère beaucoup plus offensive sur le plan régional», remarque Jean Marcou. » LIRE AUSSI - Le premier ministre grec au Figaro : «La Turquie doit comprendre qu’il y a des règles à respecter» Au printemps 2020, l’intervention libyenne prend un nouveau cap. En volant militairement au secours du chef du Gouvernement d’union nationale de Tripoli, Fayez al-Sarraj, contre le général Haftar, la Turquie s’est montrée capable de s’affirmer militairement au-delà de simples opérations transfrontalières. Certains y voient l’illustration directe des ambitions néo-ottomanes d’un président qui se rêve en sultan. Mais d’autres motivations animent Erdogan. Énergétiques, d’abord. La découverte de nouvelles ressources gazières en Méditerranée orientale a poussé Ankara à sceller, dès le mois de novembre 2019, un double accord militaire et maritime avec Tripoli. Le récent soutien affiché à l’Azerbaïdjan dans la guerre qui l’oppose à l’Arménie répond, aussi, à une volonté de diversifier ses sources d’approvisionnement en gaz, et de réduire sa dépendance vis-à-vis de la Russie. Ces derniers mois, la Turquie a également tiré pleinement profit de la crise liée à l’épidémie du Covid-19 mais aussi du désengagement américain pour étendre son influence. «Il y a un vide géopolitique évident avec une Amérique de plus en plus en retrait. C’est une aubaine pour Ankara», relève le chercheur turc Emre Kursat Kaya, associé au think-tank Edam. Dès lors que la place est libre, la Turquie multiplie les initiatives: dénonçant le traité de Sèvres et les frontières tracées par le passé, redessinant les cartes, ressortant d’anciens manifestes, comme celui de la «patrie bleue», ou fustigeant le «groupe de Minsk» (Russie, États-Unis, France) à propos du Haut-Karabakh. «La Turquie se positionne comme un pays émergent qui cherche à peser dans le règlement des affaires du monde. Sa stratégie consiste à dire: les temps ont changé, nous avons notre mot à dire», constate Jean Marcou. Le processus d’Astana sur la Syrie en est le meilleur exemple: en s’affichant, avec la Russie et l’Iran, comme l’un des maîtres du jeu syrien, Ankara s’est imposé comme un interlocuteur clé. «Qu’on l’apprécie ou non, on doit accepter l’idée d’une Turquie qui a réussi à s’imposer comme acteur régional incontournable», concède le diplomate. » LIRE AUSSI - Erdogan mène l’Europe par le bout du nez Mais cette politique de «coups tactiques» semble difficilement pérenne. «À force de démultiplier rapprochements et brouilles au sein d’alliances établies, les ambitions turques trouvent leurs limites. Ainsi, si Ankara se place en marge de l’Otan, elle ne rompt pas pour autant avec elle. Si elle fâche les Américains en achetant des S-400 russes, elle se retourne naturellement vers eux quand les Russes attaquent ses soldats à Idlib (…) À terme, elle risque également l’isolement. On en a eu l’exemple cet été dans ses rapports avec l’Europe dans l’affaire de la Méditerranée, et la menace de sanctions», estime Jean Marcou. » À VOIR AUSSI - François Hollande interpelle l’Otan sur «l’attitude belliqueuse de la Turquie» 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Benoit Posté(e) le 12 octobre 2020 Share Posté(e) le 12 octobre 2020 http://www.opex360.com/2020/10/11/lukraine-envisage-dacquerir-et-de-produire-48-drones-tactiques-turcs-bayraktar-tb2/ En tout cas l'affaire du Haut-Karabakh aura été une bonne pub pour le matos turc. C'est Poutine qui doit être content. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Lezard-vert Posté(e) le 12 octobre 2020 Share Posté(e) le 12 octobre 2020 (modifié) Il y a 4 heures, Alexis a dit : La politique allemande renvoyant dos à dos l'agresseur et l'agressé, refusant toute sanction économique envers la Turquie au sommet européen du 1er octobre, contre les propositions de la France, de la Grèce et de Chypre, est un succès retentissant. notre mutisme vis à vis à vis de cette politique allemande que l'on peut qualifier de désastreuse est aussi pas mal ... il serait temps de hausser le ton sur cet état de fait que les Allemand prennent le reste de l'Europe pour des imbéciles car je ne peux imaginer qu'ils pensaient sincèrement que la Turquie allaient se montrer conciliante. Modifié le 12 octobre 2020 par Lezard-vert 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Wallaby Posté(e) le 12 octobre 2020 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 12 octobre 2020 https://nationalinterest.org/blog/buzz/dilemma-america’s-strategy-europe-170516 (11 octobre 2020) Une stratégie américaine productive pour l'Allemagne a désespérément besoin d'une stratégie de communication solide, dirigée à la fois vers la classe politique et le grand public. Nous avons cessé de bien présenter le dossier américain, alors que les médias allemands sont pleins de désinformation russe. Toutefois, une meilleure communication et de meilleures relations publiques ne suffisent guère. La diplomatie américaine doit explorer les possibilités d'une collaboration productive avec l'Allemagne. Une occasion inattendue pourrait consister à unir nos forces pour reconstruire les ponts avec la Turquie. L'Allemagne a désespérément besoin d'une relation de travail avec Ankara comme pivot de sa stratégie visant à limiter l'immigration en Europe, tandis que Washington a tout intérêt à cultiver le lien avec cet important allié de l'OTAN. Une initiative diplomatique conjointe germano-américaine envers la Turquie pourrait également s'appuyer sur la profonde suspicion d'Ankara envers Moscou. De plus, alors qu'une telle initiative ne ferait pas renoncer la Grèce et la Turquie à leurs griefs réciproques, elle pourrait simplement empêcher ces deux alliés de l'OTAN d'entrer en guerre l'un contre l'autre. 1 5 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Lezard-vert Posté(e) le 12 octobre 2020 Share Posté(e) le 12 octobre 2020 il y a 10 minutes, Wallaby a dit : https://nationalinterest.org/blog/buzz/dilemma-america’s-strategy-europe-170516 (11 octobre 2020) Une stratégie américaine productive pour l'Allemagne a désespérément besoin d'une stratégie de communication solide, dirigée à la fois vers la classe politique et le grand public. Nous avons cessé de bien présenter le dossier américain, alors que les médias allemands sont pleins de désinformation russe. Toutefois, une meilleure communication et de meilleures relations publiques ne suffisent guère. La diplomatie américaine doit explorer les possibilités d'une collaboration productive avec l'Allemagne. Une occasion inattendue pourrait consister à unir nos forces pour reconstruire les ponts avec la Turquie. L'Allemagne a désespérément besoin d'une relation de travail avec Ankara comme pivot de sa stratégie visant à limiter l'immigration en Europe, tandis que Washington a tout intérêt à cultiver le lien avec cet important allié de l'OTAN. Une initiative diplomatique conjointe germano-américaine envers la Turquie pourrait également s'appuyer sur la profonde suspicion d'Ankara envers Moscou. De plus, alors qu'une telle initiative ne ferait pas renoncer la Grèce et la Turquie à leurs griefs réciproques, elle pourrait simplement empêcher ces deux alliés de l'OTAN d'entrer en guerre l'un contre l'autre. tout est dans le titre du site : THE NATIONAL INTEREST (américain) 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Tetsuo Posté(e) le 12 octobre 2020 Share Posté(e) le 12 octobre 2020 (modifié) oui , et si le gouvernement américain décide que c est une bonne stratégie, ils y mettront tous leur poids pour que ça aille dans ce sens ... en gros , on remplace les anglais par les allemands . et après avoir foutu la merde partout (et obtenu ce qu il veut ) non seulement on l aura dans l os mais en plus , RTE sera réélu ; bah oui quel victoire ! bref , croisons les doigts que ce soit uniquement la lubie d un journaleux . Modifié le 12 octobre 2020 par Tetsuo ortho Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. kalligator Posté(e) le 12 octobre 2020 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 12 octobre 2020 Plus le temps passe plus je reste sur ma position : il faut le contrer chaque fois qu'il fout le bordel quelque part, avec des proxy, avec des armes données discrètement ou bien ouvertement (comme à Chypre) à force de se faire ratatiner il perdra tout prestige à l'interne et on peut espérer le voir gicler 1 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Wallaby Posté(e) le 13 octobre 2020 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 13 octobre 2020 (modifié) https://en.wikipedia.org/wiki/CapX CapX est un site d'information en ligne et un agrégateur britannique fondé par le Centre for Policy Studies, et présente des chroniqueurs et des contributeurs tels que Tim Montgomerie, Daniel Hannan et V. S. Naipaul. https://en.wikipedia.org/wiki/Centre_for_Policy_Studies Le Centre for Policy Studies (CPS) est un groupe de réflexion et de pression au Royaume-Uni. Son objectif est de promouvoir des politiques cohérentes et pratiques fondées sur ses principes fondateurs : marchés libres, petit État, faible imposition, indépendance nationale, autodétermination et responsabilité. Tout en étant indépendant, le centre a des liens historiques avec le Parti conservateur. Il a été cofondé par Sir Keith Joseph, Alfred Sherman et Margaret Thatcher en 1974 pour contester le consensus d'après-guerre du keynésianisme et pour défendre le libéralisme économique en Grande-Bretagne. https://capx.co/europe-must-wake-up-to-erdogans-neo-ottoman-ambition/ (10 octobre 2020) Le néo-Ottomanisme du président Erdogan consiste à projeter la puissance de la Turquie au-delà de ses frontières en diffusant un programme inspiré par les Frères musulmans dans des points chauds comme la Syrie, la Libye et les eaux grecques. La Turquie a adopté la stratégie de l'Iran qui consiste à utiliser des activités par procuration pour masquer la nature exacte de ses plans. L'ignorance occidentale de cette nouvelle ambition islamiste pure et dure n'est pas nouvelle. Au cours du printemps arabe, au début des années 2010, Obama a tacitement embrassé les Frères musulmans, sans comprendre fondamentalement leur éthos déstabilisant et antidémocratique. De même, les puissances européennes non seulement n'agissent pas sur l'expansionnisme de la Turquie, mais semblent ne pas avoir bien compris l'idéologie qui le motive. Les liens d'Erdogan avec la Confrérie remontent aux années 1970, lorsqu'il était l'élève de Necmettin Erbakan, le père de l'islamisme turc. Les branches des Frères musulmans dans le Golfe ont contribué à soutenir Erbakan et les islamistes turcs pendant une période de domination laïque. Lorsque l'AKP et Erdogan sont arrivés au pouvoir, ils étaient prêts à leur rendre la pareille. Le fait que l'administration Obama ait donné carte blanche à la Turquie, apparemment par soutien aux idéaux démocratiques qu'ils croyaient erronément voir incarnés dans la Confrérie, a également contribué à cette situation. En conséquence, nous voyons la Turquie, en partenariat étroit avec le Qatar et l'Iran, étendre considérablement son influence déstabilisatrice dans toute la région. Ils ont contribué à développer les affiliés des Frères musulmans, qui prêchent tous une doctrine dure visant à saper l'approche modérée et ouverte adoptée par de nombreux États du Moyen-Orient. Parmi les exemples, citons le Front d'action islamique en Jordanie, le Parti islamique irakien, le Front d'action islamique au Liban et le Parti de la justice et de la construction en Libye. En outre, la Turquie et le Qatar ont injecté de l'argent et des ressources dans les mosquées d'Europe qui diffusent des messages islamistes, cherchant à séparer les fidèles du tissu des sociétés largement laïques dans lesquelles ils vivent. On a lâché la bride de la Turquie, avec une réelle liberté d'action grâce à l'absence de coordination de la réponse européenne. L'absence de toute réaction concertée aux coups de sabre imprudents d'Erdogan contre la Grèce en est un exemple. Si l'Union européenne est censée être une organisation d'intérêts communs qui protège ses États membres, alors elle laisse tomber la Grèce. Un récent sommet du Conseil européen a été prolongé, la Grèce et Chypre ayant rejeté des déclarations sous prétexte qu'il n'y avait aucune perspective de sanctions contre la Turquie. Ces pays étant directement confrontés à la menace turque, leurs préoccupations ont été largement ignorées. Si l'Europe doit effectivement se défendre contre les problèmes que M. Erdogan est en train de semer, elle doit commencer à écouter ces préoccupations. Cependant, pour vraiment comprendre comment repousser l'agression turque, les dirigeants occidentaux doivent d'abord se pencher sur ses racines islamistes. Malheureusement, cela ne semble pas probable de sitôt. Modifié le 13 octobre 2020 par Wallaby 3 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 13 octobre 2020 Share Posté(e) le 13 octobre 2020 La Russie exprime ses plus vifs remerciements envers la Turquie pour débarrasser la Syrie des gentils rebelles au cœur pur ... et les envoyer au Haut Karabagh. Quote The Ministry of Defense of the Russian Federation is concerned about information about the transfer of militants of terrorist groups from the Middle East to the conflict area in Nagorno-Karabakh Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Lezard-vert Posté(e) le 13 octobre 2020 Share Posté(e) le 13 octobre 2020 (modifié) il y a 52 minutes, g4lly a dit : La Russie exprime ses plus vifs remerciements envers la Turquie pour débarrasser la Syrie des gentils rebelles au cœur pur ... et les envoyer au Haut Karabagh. C'est pas une traduction très fidèle ..... je pense que pour ces "voyageurs" il ne s'agit que d'un aller simple et que la Russie organisera leur retour dans des sacs plastiques. Modifié le 13 octobre 2020 par Lezard-vert Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alexis Posté(e) le 13 octobre 2020 Share Posté(e) le 13 octobre 2020 il y a 12 minutes, Lezard-vert a dit : C'est pas une traduction très fidèle ..... je pense que pour ces "voyageurs" il ne s'agit que d'un allé simple et que la Russie organisera leur retour dans des sacs plastiques. Pour l'instant au moins, seuls les Arméniens sont censés s'en charger... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
debonneguerre Posté(e) le 13 octobre 2020 Share Posté(e) le 13 octobre 2020 Le 12/10/2020 à 09:50, Benoit a dit : http://www.opex360.com/2020/10/11/lukraine-envisage-dacquerir-et-de-produire-48-drones-tactiques-turcs-bayraktar-tb2/ En tout cas l'affaire du Haut-Karabakh aura été une bonne pub pour le matos turc. C'est Poutine qui doit être content. Si les ukrainiens se voient déjà en train de bouter les séparatistes du Dombass avec ces machines ca n'augure de rien de bon. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Benoit Posté(e) le 13 octobre 2020 Share Posté(e) le 13 octobre 2020 Il y a 3 heures, debonneguerre a dit : Si les ukrainiens se voient déjà en train de bouter les séparatistes du Dombass avec ces machines ca n'augure de rien de bon. Sauf que les frontières du Donbass sont bien plus poreuses que celles de la Géorgie... ça permettra de voir ce que les Russes savent vraiment faire en matière de guerre électronique ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ciders Posté(e) le 13 octobre 2020 Share Posté(e) le 13 octobre 2020 Le 11/10/2020 à 12:05, LBP a dit : Franchement Erdogna accumule les problèmes ? Allez, un de plus ! https://www.lefigaro.fr/flash-actu/turquie-l-alcool-frelate-fait-44-morts-en-une-semaine-20201013 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Snapcoke Posté(e) le 13 octobre 2020 Share Posté(e) le 13 octobre 2020 il y a 48 minutes, Ciders a dit : Allez, un de plus ! https://www.lefigaro.fr/flash-actu/turquie-l-alcool-frelate-fait-44-morts-en-une-semaine-20201013 C'est dingue... Il cumulent les problèmes... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Messages recommandés
Créer un compte ou se connecter pour commenter
Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire
Créer un compte
Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !
Créer un nouveau compteSe connecter
Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.
Connectez-vous maintenant