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Projet Constellation de la NASA "Go back to the moon !"


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J'ai pas dit que le machin serait prêt pour envoyer un gars sur Mars dans 10ans...  :|

Bien sûr que le système est très limité pour le moment puisqu'on ne fait que commencer à le défricher. On en est à l'équivalent des premiers réacteurs tournant au banc dans les années 30. (50ans après on arrive à faire des trucs plus que potables.  ;) )

Mon message voulait juste souligner que les américains ont néanmoins une avance dans ce domaine technologique que n'ont pas les autres puissances spatiales.

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Aller sur Mars en moins de 40 jours 

Un nouveau moteur mis au point par un ancien astronaute de la Nasa pourrait bientôt révolutionner le transport spatial.

Image IPB

Si Jules Verne promettait de faire le tour du monde en 80 jours, Franklin Chang-Diaz propose, lui, d'aller sur la planète Mars en deux fois moins de temps ! Soit très exactement en 39 jours au lieu des six à huit mois requis avec les moteurs de fusée actuels, le tout grâce à un nouveau système de propulsion. Les avantages sont multiples : outre le gain de temps, ce voyage raccourci permettrait de réduire fortement l'exposition des astronautes aux radiations cosmiques ainsi que les conséquences négatives de l'apesanteur sur l'organisme humain, en particulier les muscles et les os.

Le projet, qui peut paraître surprenant de prime abord, n'a pourtant rien de farfelu. Diplômé du Massachusetts Institute of Technoloy (MIT), Franklin Chang-Diaz a mené, à partir de 1979, une brillante carrière de chercheur et d'astronaute, totalisant pas moins de sept missions à bord de la navette spatiale. Quand il n'était pas dans l'espace, il travaillait à la mise au point du Vasimr (prononcer «vasimare»), son moteur à impulsion magnétoplasmique dont un premier prototype, le VX-200 a été testé avec succès en septembre dans une chambre à vide.

Le principe de ce moteur révolutionnaire, auquel le magazine Ciel & Espace vient de consacrer un long article, consiste à chauffer du gaz argon jusqu'à plusieurs millions de degrés Celsius. Confiné à l'intérieur d'un puissant champ magnétique pour éviter qu'il n'entre en contact avec les parois du moteur, le faisceau de plasma ainsi obtenu est accéléré puis éjecté à travers une bobine électromagnétique de diamètre variable permettant d'obtenir une poussée plus ou moins forte selon son degré d'ouverture.

Lorsqu'elle est à son maximum, la puissance déployée est telle qu'on peut envisager d'utiliser ce nouveau type de moteur pour transporter de grandes quantités de fret (nourriture, équipement, matériel scientifique) depuis l'orbite basse de la Terre vers de futures bases lunaires ou pour envoyer des équipages vers des destinations plus lointaines comme Mars. À condition, toutefois, de le doter d'un réacteur nucléaire capable de lui fournir l'énergie électrique requise.

Un prototype sur la station

Mais le Vasimr peut également servir, en version plus réduite, à réapprovisionner en carburant des satellites géostationnaires (télécoms, météo), dont la durée de vie serait ainsi avantageusement prolongée, où à rehausser l'orbite de la Station spatiale internationale (ISS) qui a tendance à perdre régulièrement de l'altitude. Cette tâche incombe aujourd'hui aux vaisseaux Progress russes ou à l'ATV européen, mais le Vasimr a un bien meilleur rendement. Selon la société Ad Astra Rocket, fondée il y a cinq ans par M. Chang-Diaz, le moteur magnétoplasmique ne consommerait que 320 kg d'argon par an au lieu des 7 tonnes d'ergol utilisés par les Progress et l'ATV pour effectuer le même travail. À 25 000 dollars le kilo lancé en orbite basse, on mesure l'économie qui pourrait être réalisée.

La Nasa a d'ailleurs signé, il y a plusieurs années, avec Ad Astra un accord visant à installer sur l'ISS, en 2013, un second prototype, le VF 200 afin de le tester en condition réelle pendant plusieurs mois. Incapable de fonctionner ailleurs que dans le vide, et donc de décoller seul depuis la Terre, l'engin devra être placé en orbite basse par une fusée classique. Si les résultats sont concluants, une version définitive pourrait prendre le relais.

Nul doute que les travaux de M. Chang Diaz sont suivis de près par les responsables de la Nasa qui s'apprêtent à consacrer 3,1 millions de dollars, d'ici à 2016, dans la recherche de nouvelles technologies spatiales après l'arrêt du programme Constellation décrété par Barack Obama. « Imaginez que les voyages vers Mars ne durent plus que quelques semaines », lançait l'administrateur de la Nasa, Charles Bolden, le 1er février. Pensait-il au Vasimr en rêvant ainsi à haute voix ?

http://www.lefigaro.fr/sciences-technologies/2010/02/13/01030-20100213ARTFIG00191-aller-sur-mars-en-moins-de-40-jours-.php

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Chine-USA: la Lune au cœur des relations

19/02/2010 |

La décision des Etats-Unis de renoncer à la Lune laisse la Chine en lice pour être la prochaine nation à conquérir le seul satellite naturel de la Terre, victoire symbolique d'un programme plus économe et pragmatique que l'américain.

Début février, le président américain Barack Obama a annoncé son intention d'abandonner le coûteux programme "Constellation" de son prédécesseur, George W. Bush, qui a déjà coûté près de dix milliards de dollars, près de dix fois plus que l'ensemble du programme spatial chinois, selon les chiffres officiels.

Si la nouvelle approche de M. Obama dans son projet de budget 2011 est approuvée, les Américains ne retourneront pas sur la Lune, où ils se sont rendus six fois entre 1969 et 1972.

En Chine, aucun responsable n'a réagi et les experts du pays se sont gardés de pavoiser. "On ne peut pas dire que la décision américaine d'arrêter le programme de retour sur la Lune avantage la Chine et encore moins que la Chine rattrape les Etats-Unis", dit Fu Song, de l'Ecole aérospatiale de l'université Tsinghua de Pékin. "La Chine va suivre tranquillement son programme prévu d'exploration spatiale", souligne-t-il.

Les Chinois ont adopté une approche très pragmatique depuis qu'ils se sont lancés dans le programme spatial habité, approuvé par le gouvernement en 1992, en adaptant une technologie russe.

Et Pékin n'a envoyé son premier homme dans l'espace qu'en 2003, devenant le troisième pays à le faire après les Etats-Unis et la Russie. "Ce n'est pas un programme spatial très coûteux et il est assez bien calculé pour le rapport entre autonomie, efficacité et indépendance", souligne Isabelle Sourbès-Verger, chargée de recherche au CNRS (France) et spécialiste du programme spatial chinois.

"La confirmation du déclin américain"

Le programme lunaire chinois "Chang'e" n'a pas de date très précise pour l'envoi d'un homme, les ingénieurs évoquant l'horizon 2020 après le lancement d'une fusée inhabitée avant 2013.

"Même si l'alunissage chinois ne se produit pas selon le calendrier prévu, c'est d'abord l'expertise technique acquise et le renforcement du prestige national qui intéressent le plus le Parti communiste chinois", remarque Peter Cugley, spécialiste de la Chine au centre de recherche américain CNA.

De plus, selon les experts, l'époque n'est plus à la course spatiale des années 1960 et 1970, quand les Etats-Unis et l'Union soviétique étaient engagés dans un affrontement à la fois idéologique et technique pour la domination mondiale.

"De manière générale, la Chine est derrière les Etats-Unis en terme de technologie et de présence dans l'espace. Les Etats-Unis opèrent des dizaines de satellites, les Chinois seulement quelques uns", relève James Lewis, du Centre des études stratégiques et internationales à Washington.

"La vraie inquiétude, ajoute-t-il, c'est la tendance: les capacités chinoises s'accroissent, alors que les Américains semblent être coincés dans une ornière malgré les milliards de dollars dépensés".

Cela peut être vu malgré tout comme l'émergence croissante de la Chine comme puissance de tout premier rang face aux Etats-Unis. "Je le vois plus comme une confirmation du déclin américain. Peut-être que ce déclin est temporaire, le produit de nombreuses erreurs sous Bush", estime M. Lewis.

La perspective de voir un Chinois marcher sur la Lune pourra prendre des allures de première pour ses compatriotes. "En 1969, le nombre de Chinois qui regardaient la télévision ne devait pas être nombreux, donc voir un homme marcher sur la Lune un jour serait une première pour eux, car la première américaine n'est pas ancrée dans l'imaginaire chinois", dit Mme Sourbès-Verger.

Cependant, Pékin devra aussi compter avec d'autres concurrents asiatiques, le Japon et l'Inde, qui ont aussi des ambitions lunaires.

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  • 4 weeks later...
  • 1 month later...

Ils annulent puis ils font un autre projet et ils vont reprendre ares 1 après l'avoir renommée et remanier a leur sauce, je ne vois pas comment ils pourraient faire aussi vite pour 2015, avec un lanceur man rated. La capsule est une petite partie des 9 milliards depensés, c'est le lanceur qui a couté cher.

L'ISS est theoriquement prolongé jusqu'en 2020 si je me souviens bien.

il est clair qu'ils ont besoin au moins d'aller en orbite. Lancer une capsule orion avec une delta ou une atlas, ca va faire court, elle ne sont pas man rated, faut quasiment reprendre toute la conception. meme si elle ne sert que de boué de sauvetage pour l'iss.

http://www.lesechos.fr/info/aero/020478271725-obama-remet-l-exploration-de-l-univers-a-l-ordre-du-jour.htm

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  • 9 months later...

Si constellation est annulé, Ares 1 continu son developpement, a coup de sursis grace aux bagarres du senat/congre, Ares 1 avance.

ca promet de la bagarre.

Fin décembre, le nouveau Congrès à majorité républicaine rédige la loi d'appropriation budgétaire concernant la NASA pour 2011. Le Sénat sortant a "seulement" voté une prolongation de la "Continuing Resolution" qui reconduit encore le budget 2010 de la NASA jusqu'au 4 mars 2011. Donc ce n'est qu'en mars que la NASA saura ce qu'elle peut dépenser jusqu'au 30 septembre 2011.

La Chambre des Représentants sortante vote dans la foulée  la "Continuing Resolution" renvoyant au prochain Congrès, le 112ème, le vote d'appropriation du budget de la NASA sur la base de la loi d'autorisation d'octobre 2010.

Sous la "Continuing Resolution" qui va jusqu'au 4 mars 2011 le développement d'Ares 1 continue avec le SRB 5 segments en cours d'industrialisation chez ATK,  le deuxième étage en cours de construction au MAF par Boeing et le moteur Rocketdine J2X poursuivant son cycle d'essais.

Ces 3 éléments d'Ares 1 seront repris totalement ou de manière dérivée par le futur SLS qui attend son financement par le prochain Congrès avant de connaître un début de mise en oeuvre au 1er semestre 2011.

Quant à Orion le développement se poursuit sous CR en attendant les fonds de 2011.

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C'est vrai, les industriels marchent sur des oeufs, mais les milliards investis dans ares 1 et son premier vol qualifié

de reussi sur les 4 prévus, ont fait beaucoup pour sa survie et ils ont besoin d'un orbiter a court terme pour remplacer la navette. Orion continu aussi son chemin. au final on risque de voir un nouveau projet recuperant ares 1 et orion. ca va se finir par un compromis, il va y avoir beaucoup de suspens quand le deuxieme vol d'ares 1 sera programmé. Mais ils n'ont pas le droit à l'erreur.

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  • 2 months later...

Ares 5 est un vaisseau lourd pour acheminer les composants du vaisseau spatial pour la lune et mars.

Il est Abandonné, ainsi que le vaisseau d'atterisssage lunaire.

Mais Ares 1 continue, ainsi que la capsule orion. Je parle d'Ares 1 qui est un orbiter pour le transport de l'equipage, qui va etre repris sous un autre nom de projet.

Fin décembre, le le nouveau Congrès à majorité républicaine rédige la loi d'appropriation budgétaire concernant la NASA pour 2011. Le Sénat sortant a "seulement" voté une prolongation de la "Continuing Resolution" qui reconduit encore le budget 2010 de la NASA jusqu'au 4 mars 2011. Donc ce n'est qu'en mars que la NASA saura ce qu'elle peut dépenser jusqu'au 30 septembre 2011.

La Chambre des Représentants sortante vote dans la foulée  la "Continuing Resolution" renvoyant au prochain Congrès, le 112ème, le vote d'appropriation du budget de la NASA sur la base de la loi d'autorisation d'octobre 2010.

Sous la "Continuing Resolution" qui va jusqu'au 4 mars 2011 le développement d'Ares 1 continue avec le SRB 5 segments en cours d'industrialisation chez ATK,  le deuxième étage en cours de construction au MAF par Boeing et le moteur Rocketdine J2X poursuivant son cycle d'essais.

Ces 3 éléments d'Ares 1 seront repris totalement ou de manière dérivée par le futur SLS qui attend son financement par le prochain Congrès avant de connaître un début de mise en oeuvre au 1er semestre 2011.

Quant à Orion le développement se poursuit sous CR en attendant les fonds de 2011.

Le prochain match est le lanceur lourd qui remplacera Ares 5, mais obama espère aussi eliminer Ares 1. Mais le congré refuse.

il a d'ailleurs commencé

http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/astronautique/d/la-nasa-a-la-peine-pour-preparer-son-futur-lanceur-lourd_29271/#xtor=RSS-19

Pour respecter l'objectif d'un lanceur lourd opérationnel en 2016, la Nasa va s'appuyer sur ce qui a été fait dans le cadre de Constellation. Elle projette de réutiliser des technologies existantes complétées de quelques avancées guère significatives, seule solution pour tenir le budget et les délais imposés par le Congrès américain

http-~~-//www.youtube.com/watch?v=CFZJdDpZwQQ

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Ares 5 est un vaisseau lourd pour acheminer les composants du vaisseau spatial pour la lune et mars.

Mais Ares 1 continue, ainsi que la capsule orion.

Je parle d'Ares 1 qui est un orbiter pour le transport de l'equipage, qui va etre continuer sous un autre nom de projet.

[...]

Ces 3 éléments d'Ares 1 seront repris totalement ou de manière dérivée par le futur SLS qui attend son financement par le prochain Congrès avant de connaître un début de mise en oeuvre au 1er semestre 2011.

Tu as bonnes sources, mais tu les  interprète mal car apparemment, il te manque des données.

the Constellation program, including Ares I was canceled in October 2010 by the passage of the 2010 NASA authorization bill

Certains éléments sont toujours en développement pour le SLS, comme tu le dit bien, mais le SLS n'a aucun rapport avec ARES-I en dehors de ces briques technologiques, il s'agit d'un lanceur super lourd, qui, en fonction de la version, doit pouvoir satelliser de 70 à 130 tonnes en orbite basse (en fonction de variations au niveau de l'étage supérieur). Il reprend l'architecture générale de l'ARES-V avec deux boosters encadrant un réservoir doté de J2-X

(pour rappel, ARES-V avait une capacité de 180 tonnes et ARES-I une capacité de... 25 tonnes, aucun rapport avec le SLS donc).

Le programme de remplacement de l'ARES-I (qui est totalement abandonné, j'insiste) sera issu des programmes CCDev est soumi à concurrence mais aucun des projets en cours ne reprend l'ARES-I.

Les concurrents les plus sérieux (dans le désordre) sont :

- ATK avec le projet ATK-Astrium de lanceur liberty (le plus proche d'ARES-I dans la forme mais utilisant un étage cryogénique d'ariane-5)

- SpaceX avec une version agrandie de la capsule Dragon lancé par un Falcon 9.

- Cygnus avec une navette dénommée Prometheus lancé par une Atlas-5

- Boeing avec la capsule CST-100 pouvant être lancé par divers lanceurs

- Et pleins d'autres...

À noter qu'il se dit que deux projets devraient êtres choisis, afin d'avoir une redondance en cas de problème et une concurrence effective pour les tarifs.

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Je suis pas encore convaincu, tu as de bons argument, mais tout ce que je lis, rappelle que le futur lanceur doivent reprendre tout ce qui est déjà fait dans le programme anciennement contellation ( la phrase seront repris integralement est la pour me conviancre), tout simplement parce qu'il n'ont pas d'argent pour tout refaire, compte tenu des délais imposés et du bugdet disponible. encore plus vrai en ce moment après les recentes difficultés budgetaire américain.

Le concept du stick est un concept de fusée orbiter simple qui me semblait acquis vu le stade avancé de son developpement, il est de

meme pour la capsule orion. Mettre tout a la poubelle serait un gachis tant sur plan humain que financier après 4 ans de developpement, en ces temps de crise il vaut mieux eviter ca avant que ca retombe sur le bec.

Je ne parle pas encore des projets concurrrents tel que l'excellent projet Falcon 9/Dragon de Space X et des  autres.

Je ne suis pas convaincu par le projet du lanceur liberty, qui est sur papier et qui me fait penser au stick.

je reste circonspect sur l'utilisation de delta ou atlas pour lancer une capsule compte tenu de la complexite du man rated

meme non habité.

Vu que ca part un peu dans tous les sens dans les projets, va falloir attendre pour y voir un peu clair dans tout ca.

Il est clair que j'ai du mal à voir quelle solution va prendre la nasa.

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Je suis pas encore convaincu, tu as de bons argument, mais tout ce que je lis, rappelle que le futur lanceur doivent reprendre tout ce qui est déjà fait dans le programme anciennement contellation ( la phrase seront repris integralement est la pour me conviancre)

Tu fais erreur sur ce point, les phases ne sont pas conservées telle qu'elle, l'objectif ultime reste Mars, mais il n’est pas prévu que le SLS et Orion y aille. Orion devra être lancé du SLS pour l'exploration d'astéroïde et permettra d’affiner les technologies permettant la conception d'un nouveau système d'exploration interplanétaire (le concept en cours à la NASA est nommé Nautilus X) qui serait assemblé via plusieurs lancement de lanceurs lourd. Mars devrait dans le plan actuel être atteint pas un Nautilus en 2035 (A peu près au moment où je risque de me retrouver grand-père quoi...)

Le concept du stick est un concept de fusée orbiter simple qui me semblait acquis vu le stade avancé de son développement, il est de

même pour la capsule orion. Mettre tout a la poubelle serait un gâchis tant sur plan humain que financier après 4 ans de développement, en ces temps de crise il vaut mieux éviter ça avant que ça retombe sur le bec.

Le premier étage était bien avancé, tout restait à faire avec le second. Après, le gâchis, c’est leur problème, quand on a pas les moyens, on ne peut qu'abandonner. L'abandon de l'ARES-I est acté et y revenir n’est même pas envisagé.

Orion n’est lui pas abandonné, comme je l'ai dit plus haut.

Je ne parle pas encore des projets concurrents tel que l'excellent projet Falcon 9/Dragon de SpaceX et des  autres.

C'est pas des concurrents, c’est des successeurs  ;)

Je ne suis pas convaincu par le projet du lanceur liberty, qui est sur papier et qui me fait penser au stick.

Tout les projet en concurrence sont plus où moins sur le papier, et celui là est un de ceux qui l'est le moins  ;)

je reste circonspect sur l'utilisation de delta ou atlas pour lancer une capsule compte tenu de la complexite du man rated.

Tu fait ressortir un point intéressant, mais ne t’inquiète pas, les ingénieurs e la NASA ne sont pas idiots, ils y ont bien pensés. Les sociétés qui défendent ces projets concourent justement pour avoir des financement permettant d'améliorer la fiabilité de ces lanceurs existant déjà. Le coût des options étant primordial, c'est une stratégie qui a du sens.

Vu que ca part un peu dans tous les sens dans les projets, va falloir attendre pour y voir un peu clair dans tout ca.

Il est clair que j'ai du mal à voir quelle solution va prendre la nasa.

Moi de même, réponse dans environ un an sjmsb

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Effectivement, cette fois c'est bient terminé pour Ares 1, j'avais un coup de retard, je suis moins qu'avant, ils vont mettre les equipes au chomage ou elle seront integrés dans le  projet SLS de boeing, c'est un beau gachi et ils refont un lanceur lourd.

C'est dommage j'aimais bien le stick en tant que simple orbiter pour le transport d'equipage vers l'iss, je pensais bien qu'il etre quand meme termine sous une forme ou une autre en complement du lanceur lourd. Boeing a pris l'avantage.

Meme si on le retrouve dans le projet liberty, je crains qu'ils ne trouvent pas les fond pour realiser ce programme.

http://www.spacenews.com/civil/110401-boeing-sls-work-needed-avert-layoffs.html

http://www.systranet.fr/turl/?systrangui=www.systran.fr%3B/snetfr/web&systranbanner=1&systranuid=aHR0cC13d3cuc3BhY2VuZXdzLmNvbS9jaXZpbC8xMTA0MDEtYm9laW5nLXNscy13b3JrLW5lZWRlZC1hdmVydC1sYXlvZmZzLmh0bWwvZW5fZnI=

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