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Armée Sud-Africaine


Vietnamien

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En parlant du sida, c'est l'un des problème de l'armée Sud Af (et de d'autres armées Africaines). En théorie, leurs soldats séropositifs ne sont pas déployables, en pratique, je crois que c'est pas toujours appliqué parce que ça concernerait trop de soldats.

Modifié par TimTR
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Que faudrait t-il faire pour remédier a cette crise que traverse l'armée sud-africaine ?

Pour remonter la barre, il faudrait conduire deux actions en parallèle.

On pense tous à une hausse des crédits. Quand il n'y a plus d'argent pour faire quoi que ce soit, il n'est pas possible de progresser. Des chars ou des avions sans carburants, munitions, pièces détachées, ça ne va pas loin.

Le second volet est, comme souvent, qualitatif. Il faut monter les critères de sélection des cadres et mettre fin aux mécanismes de discrimination en cours. Celui-ci fait avancer les mauvais sur le seul argument de la naissance et démotive les bons sur le même argument, sauf qu'ils n'ont pas la bonne origine du moment.

Il faut être bien conscient que l'absorption du MK et d'autres mouvements a provoqué un effondrement du niveau général. Ainsi, les chefs des branches armées contestataires se sont retrouvés à de hauts postes sans maîtriser les outils nécessaires. Ils ne connaissent pas le fonctionnement de l'armée, sa doctrine, ne savent pas ce qu'est le commandement, l'avancement. Ils poussent leurs anciens ça stades de lutte. A cela se rajoutent de nombreuses rivalités. D'anciens cadres quittent l'armée pour raison politique. Et quand deux clans existent dans une branche, ils s'affrontent pour en prendre le contrôle.

Les armées ont une différence radicale avec toutes autres formes de groupe économique, d'entreprises. Pour être à la tête, il faut avoir commencé à la base. Un poste dans une entreprise peut être satisfait ou par recrutement externe ou par promotion interne. On peut rentrer à tout âge dans une entreprise pour tout type de poste jusqu'à la direction. La seule règle est d'être recruté. Et si on ne fait pas l'affaire, on est débarqué.

Dans les armées, il n'existe que la promotion interne.

Recourir au recrutement externe est un cas très particulier où l'on cherche un vécu opérationnel dont on ne dispose pas. Mais ce recrutement se fait toujours en très petit nombre pour ne pas casser le rythme de progression des jeunes et, par la, leur motivation au travers d'un avancement dont ils acceptent les règles. Là, ce fut massif. Et le résultat est explosif.

Si nous avions eu un recrutement normal, alors le premier lieutenant noir serait sorti d'école en 1996 (plus sérieusement plus tard hors promotion de sous-officiers anciens) et les premiers colonels noir n'arriveraient que maintenant, pour des chefs d'état major dans 10 à 15 ans. Or, ce mécanisme normal pour une bonne formation des cadres est politiquement inconcevable. D'autant que la classe politique sud-africaine est un modèle de prévarication.

Modifié par Serge
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En parlant du sida, c'est l'un des problème de l'armée Sud Af (et de d'autres armées Africaines). En théorie, leurs soldats séropositifs ne sont pas déployables, en pratique, je crois que c'est pas toujours appliqué parce que ça concernerait trop de soldats.

Effectivement ,s'est un très gros problème .

 

Pour remonter la barre, il faudrait conduire deux actions en parallèle.

On pense tous à une hausse des crédits. Quand il n'y a plus d'argent pour faire quoi que ce soit, il n'est pas possible de progresser. Des chars ou des avions sans carburants, munitions, pièces détachées, ça ne va pas loin.

Le second volet est, comme souvent, qualitatif. Il faut monter les critères de sélection des cadres et mettre fin aux mécanismes de discrimination en cours. Celui-ci fait avancer les mauvais sur le seul argument de la naissance et démotive les bons sur le même argument, sauf qu'ils n'ont pas la bonne origine du moment.

Il faut être bien conscient que l'absorption du MK et d'autres mouvements a provoqué un effondrement du niveau général. Ainsi, les chefs des branches armées contestataires se sont retrouvés à de hauts postes sans maîtriser les outils nécessaires. Ils ne connaissent pas le fonctionnement de l'armée, sa doctrine, ne savent pas ce qu'est le commandement, l'avancement. Ils poussent leurs anciens ça stades de lutte. A cela se rajoutent de nombreuses rivalités. D'anciens cadres quittent l'armée pour raison politique. Et quand deux clans existent dans une branche, ils s'affrontent pour en prendre le contrôle.

Les armées ont une différence radicale avec toutes autres formes de groupe économique, d'entreprises. Pour être à la tête, il faut avoir commencé à la base. Un poste dans une entreprise peut être satisfait ou par recrutement externe ou par promotion interne. On peut rentrer à tout âge dans une entreprise pour tout type de poste jusqu'à la direction. La seule règle est d'être recruté. Et si on ne fait pas l'affaire, on est débarqué.

Dans les armées, il n'existe que la promotion interne.

Recourir au recrutement externe est un cas très particulier où l'on cherche un vécu opérationnel dont on ne dispose pas. Mais ce recrutement se fait toujours en très petit nombre pour ne pas casser le rythme de progression des jeunes et, par la, leur motivation au travers d'un avancement dont ils acceptent les règles. Là, ce fut massif. Et le résultat est explosif.

Si nous avions eu un recrutement normal, alors le premier lieutenant noir serait sorti d'école en 1996 (plus sérieusement plus tard hors promotion de sous-officiers anciens) et les premiers colonels noir n'arriveraient que maintenant, pour des chefs d'état major dans 10 à 15 ans. Or, ce mécanisme normal pour une bonne formation des cadres est politiquement inconcevable. D'autant que la classe politique sud-africaine est un modèle de prévarication.

 

 

+ 100000000 .

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  • 1 year later...

Adoption d'un canon d'artillerie :

Citation

South African Army lines up Denel T5-45 howitzers

Helmoed-Römer Heitman, Pretoria - IHS Jane's Defence Weekly 

15 July 2016

1682122_-_main.jpg
A Denel 155 mm T5-45 self-propelled howitzer seen on the range. Source: Denel Land Systems 

The South African Army is discussing with Denel Land Systems the possible acquisition of six 155 mm T5-45 self-propelled howitzers, a source in the Denel group has revealed.

The T5-45 is comprised of a 155 mm 45 calibre gun mounted on an 8x8 Tatra T815-7 truck that has a road speed of 85 km/h and a range of some 600 km. The complete system weighs 28 tonnes.

The truck is powered by a 300 kW turbo-charged diesel, coupled to a seven-speed manual gearbox with a two-speed transfer gearbox. A central tyre inflation system aids mobility over soft ground.

The gun has an elevation of -3° to +72°, a 60° unrestricted arc of fire at all elevations, 360° at 48° elevation, can engage targets with direct fire over a 180° arc out to 3,000 m, and can fire a five-round time-on-target mission to ranges between 13 and 30 km.

It uses the same ammunition family as the army's existing G5-45 towed and G6-45 self-propelled howitzers.

An auxiliary power unit (APU) provides hydraulic and electrical power for deployment, loading and firing of the gun, with a truck-mounted hydraulic pump for back-up hydraulic power.

It can be brought into action within one minute of stopping in its firing position and can be taken out of action within one minute to avoid counter-battery fire. There is on-board stowage for 24 projectiles and 24 charges. A power-operated projectile loading arm simplifies loading ammunition from the ground next to the vehicle.

The integral command-and-control system is comprised of an automatic laying and navigation system, muzzle velocity radar, gun management computer, and a communications system, as well as a back-up optical/mechanical panoramic sight with cant compensation. A telescopic sight allows self-defence direct fire.

The army could upgrade to a 52 calibre gun by changing just the barrel and acquiring the new M2000 Assegaai or M9 ERFB projectiles.

 

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Olifant, Rooikat et Ratel, vidéo concernant les moyens blindés Sud-Af'.

A 3:13 Kézaco ??

Euhhh T-72 à 3:37 ??

En bonus une petite séance de tir Air-Sol d'un Rooivalk à partie de  4:24

 

 

Modifié par ascromis
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C'est vrai que c'est bizarre. Selon wiki, ils n'ont que des Olifant comme chars, aucun T-72 ou même autre T-XX. Ils en ont même jamais reçus selon Wiki. A part quelques T-55LD destinés à la Rhodésie. Mais cela m'étonnerait qu'ils soient encore en service. Et ce n'est sûrement pas un T-55 aussi ancien sur la photo. 

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C'est un T-72 fournis par l'Algérie pour concevoir un proto pour une modernisation avec le FCS de l'Oliphant. Finalement il n a pas été donné suite car les systèmes de visées étaient bien trop exposés, une modernisation plus classique en Russie a été préférée

 

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Il y a 2 heures, Kiriyama a dit :

L'Afrique du Sud avait aussi étudié un châssis de T-72 avec une tourelle de G6 mais je n'ai pas trouvé de photos.

Pour compléter le lien de LBP.

La T6 était faite pour le marché indien. C'est pour cela que l'article cite l'Arjun. Le concurrent direct n'était autre que la tourelle 155 GCT de GIAT Industrie, celle de l'AUF1. L'ensemble était exposé à Eurosatory 92.

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En fait j'ai l'impression que les transformations radicales de T-72/80 ne se vendent jamais : ce T-72 obusier, GIAT avait aussi proposé un système semblable, le transport de troupes ukrainiens dérivés du T-80, un projet de tourelle Leclerc sur un châssis de T-80... 

Aucun n'a trouvé preneur. 

Modifié par Kiriyama
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La tourelle est gigantesque. On voit bien qu'elle n'est pas au contact direct du châssis. 

t6_gjhh2.jpg

Sinon le Vektor CR-21, le bullpup sud-africain. L'arme était dérivée du R4 et, en restant théoriquement simple et bon marché, n'en était pas moins très moderne. 

L'effondrement des budgets de la défense en Afrique du Sud a sonné son glas. 

 

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  • 4 weeks later...

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