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un mirage de moins


lefoudeladefense

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C est LE probleme du Tchad mais aussi de toutes les regions a forte densité aviaire. Et dans ce cas la il y a aussi la france. L occurence des collision aviaire au Tcahd n est pas plus elevé qu en france, les oiseaux sont juste plus gros. Il y a pourtant des methodes simples pour les eviter.

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oui mais bon ca arrivera bien avec des rafales ce genre de galeres....je voudrais savoir....pourquoi un avion de cette taille a posé un probleme???c est une question que je me pose parceque a la vitesse ou va l avion et sa masse il est sensé pulveriser l oiseau non???????[10][10]...desolé..je connais pas trop la technique

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oui mais bon ca arrivera bien avec des rafales ce genre de galeres....je voudrais savoir....pourquoi un avion de cette taille a posé un probleme???c est une question que je me pose parceque a la vitesse ou va l avion et sa masse il est sensé pulveriser l oiseau non???????[10][10]...desolé..je connais pas trop la technique

L'oiseau est bien pulveriser mais en méme temp il pulvérise le moteur (ou bouche l'entrer d'air) ou pire il est deja arriver que des oiseaux transpersent la verriere et se retrouve (enfin ce qu'il en reste) dans le cocpite!
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oui mais bon ca arrivera bien avec des rafales ce genre de galeres....je voudrais savoir....pourquoi un avion de cette taille a posé un probleme???c est une question que je me pose parceque a la vitesse ou va l avion et sa masse il est sensé pulveriser l oiseau non???????[10][10]

Ca arrive avec tous les avions, et la nature des dégats est une simple question d'énergie (e = mV2).

Les "liners" sont moins concernés pour la simple raison qu'il volent trop haut. La période critique est l'atterrissage et le décollage, mais ça se passe dans des zones particulièrement surveillées en ce qui concerne le péril aviaire (effarouchement des volatiles). D'autre part, les vitesses de collision sont naturellement faible. Pour les "chasseurs", il faut ajouter le risque induit par les vols tactiques (très basse altitude), où les vitesses sont très élevées (400 à 600 kts).

Une mouette prise à 400 kts fait des dégâts considérables. J'ai personnellement vu un pod ATLIS pulvérisé par une de ces bestioles (haume métallique de protection explosé et vitre optique perforée), et on pouvait voir des éclats métalliques jusqu'à l'arrière de l'avion. Les piafs sont aussi responsables de quelques bosses (fuselage, bords d'attaque) ou de verrières détruites (pénétration dans le cockpit).

Les aubes de la soufflante ou du compresseur résistent rarement à de tels chocs. La déformation ou la rupture d'une ou plusieurs aubes peut suffire à perturber gravement le fonctionnement du moteur, avec à la clé une perte de puissance considérable. La déformation de la veine d'entrée d'air (débris ou bosses) peut aussi conduire à une perte de puissance du fait des perturbations induites sur le flux d'air.

Finalement, si la perte de puissance est trop importante, l'altitude ne peut pas être maintenue et la seule issue est un crash.

Image IPB

Illustration : M53-P2 après collision volatile (source BEAD)

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