Saif Posté(e) le 13 octobre 2006 Share Posté(e) le 13 octobre 2006 Je sais que l'algérie a un satellite mais il parrait qu'il ont un autre satellite mais celui-ci militaire est-ce vrai ?J'ai pris ça d'un forum reste a confirmé par une expert mais sa me semble vrai: L’Algérie étend son espionnage spatial sur le Maroc Des sources européennes spécialisées dans les questions de l’aviation affirment que l’Algérie discute avec plusieurs agences spatiales d’Europe, des Etats Unis d’Amérique, de Russie et de Chine dans le but de choisir la partie qui prendra en charge la mise sur orbite d’un nouveau satellite de reconnaissance. L’Algérie veut que ce nouveau satellite soit plus performant que le satellite algérien « Alsat 1 » mis sur orbite le jeudi 28 novembre 2002, officiellement destiné à suivre la situation de l’environnement sur terre, par le contrôle des catastrophes naturelles et des accidents industriels. Toutefois, des sources militaires européennes avaient à l’époque indiqué que le satellite algérien était destiné à la surveillance des activités dans les pays voisins, ainsi que leurs mouvements militaires et leurs installations civiles et militaires. L’appareil d’information des forces spatiales russes avait révélé le 28 novembre 2002 qu’une fusée russe de type « Cosmos 13 M » a été lancée à partir de la base spatiale militaire de Blisitsk au Nord-Ouest de la Russie pour mettre sur orbite deux satellites, l’un russe et l’autre algérien. Les forces spatiales russes avaient indiqué que le satellite algérien pesait près de 90 kg et mis sur orbite à 700 km de la terre. Selon les milieux européens spécialisés dans les questions de l’espace, la mission de ce nouveau satellite algérien, dont la fabrication est assurée par des sociétés européennes, est de surveiller des objectifs sur terre dont la dimension est d’un mètre et demi. Les observateurs relèvent que l’Algérie a depuis 2003 consacré une grande partie des tâches de son satellite pour surveiller les mouvements au Maroc, en Mauritanie et dans une partie du Sénégal. Jusqu’à présent, le coût de fabrication du nouveau satellite algérien ainsi que les frais de sa mise sur orbite demeurent inconnus. Toutefois, les milieux de l’industrie spatiale européens croient que le poids de ce satellite est de près de 130 kg et qu’il permettra, grâce aux caméras dont il est équipé, la prise de photos d’une haute précision, ce qui devrait permettre un agrandissement d’une qualité supérieure pouvant dépasser 1,5 m de diamètre. Les observateurs militaires occidentaux relèvent que les efforts algériens de surveillance des pays voisins s’inscrivent dans le cadre d’une course effrénée à l’armement de la part de l’Algérie et qui s’est accentuée depuis les années 90. La moyenne des dépenses militaires algériennes a augmenté d’une manière sensible et soutenue depuis la deuxième moitié des années 70. Jusqu’à l’an 2004, l’augmentation annuelle a varié entre 22% et 80% dont la grande part est allée pour l’acquisition d’équipements militaires auprès de l’ex-URSS et par la suite auprès des pays qui sont issus de son effritement. Les premières années de l’actuelle décennie ont enregistré la plus grande augmentation en matière d’acquisition d’équipements militaires, des opérations de modernisation de l’aviation militaire, des chars, de l’artillerie. Les forces aériennes algériennes ont accédé au 3ème rang par leur puissance et leur importance, après l’Egypte, au niveau de la partie Nord du continent africain. Il en est de même pour les chars et l’artillerie tractée et automatique. L’effectif des troupes, des unités paramilitaires, de la gendarmerie et de la police a également doublé. L’Algérie a, par ailleurs, accru ses achats en armements en dehors des pays de l’ancien bloc socialiste. Elle a ainsi acquis des avions de transport et de soutien auprès des Etats Unis d’Amérique, de la France ainsi que des radars. Elle a aussi étendu et renforcé ses capacités de reconnaissance aérienne non seulement par des avions, mais aussi par un satellite lancé depuis la Russie vers la fin de 2002, d’autant plus qu’elle est en cours de conclusion d’accord pour l’achat d’équipements militaires auprès de la Chine et de l’Inde. L’Algérie développe, dans un secret total, un programme de missiles sol-sol d’une portée dépassant 560 km, notamment en améliorant les missiles achetés aux pays de l’ex-bloc socialiste et de Corée du Nord. Elle améliore également, avec une cadence accélérée, la maintenance de ses équipements militaires, y compris l’aviation et les blindés et fabrique localement certaines pièces de rechange. Les forces armées algériennes L’armée de terre : 207.000 hommes répartis en 6 régions militaires. La marine : 7.000 hommes répartis en 4 bases navales : Mers El Kebir, Alger, Annaba et Jijel Les fores paramilitaires : 191200 La gendarmerie 68.000 hommes, les forces de la sûreté nationale 30.000 ; la garde républicaine 1200, les forces d’autodéfense près de 100.000. * Source : L’Institut International des Etudes Stratégiques 2003-2004. Omar NAJIB Source : L'Opinion Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Neowens Posté(e) le 13 octobre 2006 Share Posté(e) le 13 octobre 2006 je ne pense pas que ce satellite soit l'equivalent d'un Spot ou d'Helios mais il permet à l'etat major d'avoir pas mal de photos intéressantes sur ses voisins... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Jan-Rémy Posté(e) le 13 novembre 2006 Share Posté(e) le 13 novembre 2006 Quelles seront les caractéristiques du prochaine satellite ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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