Aller au contenu
Fini la pub... bienvenue à la cagnotte ! ×
AIR-DEFENSE.NET

Les missiles : comment ça marche ?


cvs

Messages recommandés

Les technologies du guidage

D'un point de vue technique, il existe de nombreux systèmes de guidage différents. Ils dépendent des caractéristiques de la cible et du degré de précision que la mission et la munition rendent nécessaires.

* Guidage inertiel : tout d'abord utilisé sur les missiles à longue portée (missiles stratégiques et missiles de croisière) ; il utilise une centrale inertielle associant trois gyroscopes (un pour chaque axe), ce qui leur permet de maintenir un cap de façon prolongée. Cependant, les gyroscopes étant victimes d’une certaine dérive sur les longues distances, on tend à leur adjoindre aujourd’hui un système de guidage par GPS pour recaler leur positionnement. Des bombes et missiles de dernière génération mis en œuvre par l'armée américaine fonctionnent ainsi.

* Guidage topographique : certains missiles de croisière comparent en permanence la topographie du terrain survolé à une carte préalablement établie qu’ils gardent en mémoire, repérant ainsi toute variation par rapport à l’itinéraire fixé.

* Guidage laser : lorsqu’une grande précision est requise (missile anti-char ou anti-bunker), on utilise généralement un guidage laser. La cible est illuminée par un laser dont la tache est perçue par le système d'autoguidage du missile qui s'aligne dessus pour assurer l'impact.

* Guidage vidéo : une caméra de télévision, permettant généralement une vision nocturne est installée dans le nez du missile et permet de guider le missile à distance.

* Guidage infrarouge : essentiellement utilisé par les missiles sol-air et air-air de courte portée, un autodirecteur infrarouge permet de se caler sur le rayonnement infrarouge émis par les tuyères du turboréacteur ou du turbomoteur de l'appareil ennemi. L'avantage de ce genre de système est son autonomie et son fonctionnement passif, il ne produit que peu de signaux détectables. La portée du détecteur d'infrarouges n’excède toutefois guère une vingtaine de kilomètres.

* Guidage radar : tout d'abord employé sur les missiles sol-air et air-air de moyenne et longue portée, qui ont généralement recourt à un guidage radar actif (le missile possède alors son propre radar) ou bien semi-actif (dans ce cas, le missile utilise le radar de l’avion lanceur). Le guidage radar semi-actif est utilisé sur le AH-64 Apache de dernière génération pour guider ses missiles antichar et remplace le fil ou de la fibre optique de guidage jusqu'alors utilisé. Certains missiles, souvent anti-navires, utilisent successivement plusieurs types de guidages (inertiel juste après leur lancement puis radar lorsqu’ils ont localisé leur cible). D'autres se calent sur les ondes électromagnétiques émises par leurs cibles (cas des missiles anti-radar).

* Filoguidage : certains missiles à courte portée (comme les missiles anti-char) utilisent un guidage par fibre optique ou par câble électrique. Ils dévident derrière eux, durant leur vol, un long fil grâce auquel un opérateur leur expédie des informations depuis la station de tir, souvent afin de les guider. Le poste de tir est généralement constitué d'un système de pointage optique opéré par un tireur.

Source: wiki

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Les technologies du guidage

D'un point de vue technique, il existe de nombreux systèmes de guidage différents. Ils dépendent des caractéristiques de la cible et du degré de précision que la mission et la munition rendent nécessaires.

* Guidage inertiel : tout d'abord utilisé sur les missiles à longue portée (missiles stratégiques et missiles de croisière) ; il utilise une centrale inertielle associant trois gyroscopes (un pour chaque axe), ce qui leur permet de maintenir un cap de façon prolongée. Cependant, les gyroscopes étant victimes d’une certaine dérive sur les longues distances, on tend à leur adjoindre aujourd’hui un système de guidage par GPS pour recaler leur positionnement. Des bombes et missiles de dernière génération mis en œuvre par l'armée américaine fonctionnent ainsi.

* Guidage topographique : certains missiles de croisière comparent en permanence la topographie du terrain survolé à une carte préalablement établie qu’ils gardent en mémoire, repérant ainsi toute variation par rapport à l’itinéraire fixé.

* Guidage laser : lorsqu’une grande précision est requise (missile anti-char ou anti-bunker), on utilise généralement un guidage laser. La cible est illuminée par un laser dont la tache est perçue par le système d'autoguidage du missile qui s'aligne dessus pour assurer l'impact.

* Guidage vidéo : une caméra de télévision, permettant généralement une vision nocturne est installée dans le nez du missile et permet de guider le missile à distance.

* Guidage infrarouge : essentiellement utilisé par les missiles sol-air et air-air de courte portée, un autodirecteur infrarouge permet de se caler sur le rayonnement infrarouge émis par les tuyères du turboréacteur ou du turbomoteur de l'appareil ennemi. L'avantage de ce genre de système est son autonomie et son fonctionnement passif, il ne produit que peu de signaux détectables. La portée du détecteur d'infrarouges n’excède toutefois guère une vingtaine de kilomètres.

* Guidage radar : tout d'abord employé sur les missiles sol-air et air-air de moyenne et longue portée, qui ont généralement recourt à un guidage radar actif (le missile possède alors son propre radar) ou bien semi-actif (dans ce cas, le missile utilise le radar de l’avion lanceur). Le guidage radar semi-actif est utilisé sur le AH-64 Apache de dernière génération pour guider ses missiles antichar et remplace le fil ou de la fibre optique de guidage jusqu'alors utilisé. Certains missiles, souvent anti-navires, utilisent successivement plusieurs types de guidages (inertiel juste après leur lancement puis radar lorsqu’ils ont localisé leur cible). D'autres se calent sur les ondes électromagnétiques émises par leurs cibles (cas des missiles anti-radar).

* Filoguidage : certains missiles à courte portée (comme les missiles anti-char) utilisent un guidage par fibre optique ou par câble électrique. Ils dévident derrière eux, durant leur vol, un long fil grâce auquel un opérateur leur expédie des informations depuis la station de tir, souvent afin de les guider. Le poste de tir est généralement constitué d'un système de pointage optique opéré par un tireur.

Source: wiki

Merci Tomcat-2000, j'ai de quoi plancher, ç'a m'a l'air bien complexe tout-ça. Le jour ou t'envoies un missile nucléaire et que l'électronique plante en plein lancement, ça risque d'être chaud.
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Normalement sa ne plante pas, pour éviter ce qui serait le principale probleme pour un missile balistique: les rayonement du soleil, l'électronique est entourer par un mur d'eau l'eau! On peut ajouter a ce que Tomcat a dit la détectabiliter du type de guidage (intervention de contre messures): Guidage inertie: Peu cher, insensible au brouillage, mais peu précis. Le guidage est en lui méme indétectable mais un tir de missile balistique est tre facilement détectable -Guidage topographique: tres précis mais technologie plus cher -Guidage laser: peut cher, tres précis et aujourd'hui inbrouiable mais necessite que la cible soit éclairer par des troupes au sol ou un avion -Guidage vidéo: assez precis et simple a métre en place mais portée de détectabiliter faible par rapport a un radar par ex et leurable -Guidage infrarouge: passif, peut cher, détecte tout appareil méme B2 ou f-22, par contre faible portée qui fait que les missiles équiper son utiliser en dogfight ou pour le mica IR qui fait exception a la régle posibiliter de BVR -Guidage radar: longue portée et tres éficasse mais est les technologie de brouillage se dévellopent, si il éclaire ca cible dès le tir il laise plus de temps a la cible pour le brouiller -Filoguidage: pour missile sol-sol, hélicopére-sol et sous marin, permet une bonne presision mais faible portée

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

c'est quoi le carburant utilisé pour la propulsion ?

presque tout les missiles utilisent du propergol solid qui est composer du perchlorate d'ammonium pour comburant et du chlorure de polyvinyle pour le carburant a part les missiles balistique qui utilise du propergol liquide la plus part d'entre eux comme le SCUD utilise acide nitrique et le térébenthine ou bien pour les lanceurs tel que ariane-5 de l'oxygene liquide et l'hydrogene liquide sinon tout les autres missiles air-air,sol-air,roquette,ATGM utilise du propergol solide
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

propergol solid

C'est un moteur fusée siple, c'est la méme chose que pour les feu d'artifice mais en plus éficasse!

mais en se propulsant le missile ne brule t il pas le fil ? il le fait pas fondre ?

Nan sa ne fond pas puisque sinon le missile n'est plus guider, je pense que le fil qui est pres du propulseur est renforcer mais apres je ne sait pas!

c'est quoi le carburant utilisé pour la propulsion

Il y a aussi les turboréacteurs qui équiperon par ex. le meteor, l'ASMP, et l'exocet block 3, ils offrent une porter netément supérieur par rapport a un missile au propergol mais coute plus cher et est technologiquement plus complexe!

Pour les missile a turboréacteur il y a des entrées d'air caratéristique

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant
  • Statistiques des membres

    6 014
    Total des membres
    1 749
    Maximum en ligne
    gladiateur
    Membre le plus récent
    gladiateur
    Inscription
  • Statistiques des forums

    21,6k
    Total des sujets
    1,7m
    Total des messages
  • Statistiques des blogs

    4
    Total des blogs
    3
    Total des billets
×
×
  • Créer...