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Conneries et idées de cinglés.


Kobalt

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Max a ecrit

Et là je comprend le truc, avec l'aide d'un autre sous-Off péter de rire qui me le confirme. Dans la nuit, l'alcool et l'émotion aidant, ma vessie m'a lachement abandonné après les tonnes de produits que mon petit corps a ingurgité. Je précise qu'étant le moins gradé, c'est moi qui dormait dans le lit superposé le plus haut, le troisième. Alors de guerre lasse mes fuites urinaires rebelles ont suivie la loi de la persanteur et avant de toucher le sol sont passées par la case "capitaine".

C'est chouette la vie, à en pisser de rire.

Tu as du drolement écluser pour en arriver a ce point là. Les autres ne se sont pas trop foutu de toi après parce que dans l'armée quand une galère de ce genre t'arrives tout le monde est vite au courant, c'est amplifié et déformé avec radio bidasse. Moi en sortie de boite en stage à Chateaurou, un mec du 2ème REP et deux autres du 8ème RPIMa m'ont réveillé à coté du parking de la boite en train roupillé dans la gadou, voila l'état et les jours qui ont suivis je te raconte pas les commentaires, ils se sont vraiment foutus de ma gueule.
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deux petites anecdotes d'un ami, ancien de l'Indo et de l'Algerie

l'action se passe pour les deux histoires en Mauritanie, début des années 60

je parle a la 1ere personne, car ca donne mieux et c'est comme ça que je l'ai entendu!

En maneuvre depuis l'aube, a la fin de la journée on avait une faim de loup... sur le chemin du retour au camp, on était plusieurs jeep , et voila qu'on croise des antilopes: "ca doit pas etre mauvais ça! laissons la jeep du capitaine prendre un peu d'avance!"

Ni une ni deux on pretexte un souci mecanique et le capitaine s'eloigne... au bout de 10 minutes, j'attrape mon fusil et hop je descends l'antilope. On la place a l'arriere de la jeep, et on la ramene au camp.

Manque de pot le capitaine vient voir si tout va bien... et distingue sous la bache l'animal.... quel savon!!!!!!!!!!!! "OUAIS C'EST INTERDIT, VOUS NE VOUS RENDEZ PAS COMPTE,CA PEUT ENTRAINER DES HISTOIRES, etc etc...."

Puis au bout de quelques instants, grand silence de 20 secondes, et le capitaine nous dit "bon on fera ça discretement...."

et le soir meme, mechoui auquel le capitaine a d'ailleurs participé, et pour la petite histoire, l'antilope c'est fameux!"

deuxieme histoire, plus perilleuse:

"sur l'aerodrome on fetait l'anniversaire d'un ami, pilote de Dassault Flamand, petit bimoteur de liaison. Apres avoir arrosé un peu trop l'evenement, le pilote et son copi decident de nous faire faire un tour dans les airs, on etait 5 ...

Voila que le pilote, pas mal ebreché, s'installe aux commandes, et nous derriere, de moins en moins rassurés vu son etat!

Roulage interminable, et surtout de plus en plus desaxé par rapport a la piste, on decolle en dehors du balisage, non seulement au dela mais a coté... et pendant un quart d'heure, passages bas au dessus de bergers affolés, arbres frolés, on parvient a le convaincre de revenir se poser, non sans peine...

arrive l'atterrisage, j'ai bien cru que c'etait la fin pour nous: approche beaucoup trop courte, on se pose dans la broussaille, je peux vous dire que le Flamand c'est du costaud! soubresauts, bing bang arrive la piste, et alors que l'avion volait encore plus ou moins, on arrache au passage 2 balises, avec pneu crevé au final, l'avion s'arrete par miracle.... et ce a nouveau a coté de la piste.....

On change vite fait la roue, au pire on dira qu'elle a crevé a cause d'une saloperie sur la piste!

Conclusion: si vous etes un peu (pas trop quand meme) bourré, faites un tour en avion avec un VRAI bourré, ca vous reveillera!" [08]

il m'a raconté tous ça comme si c'etait hier, on s'est marré pendant 10 bonnes minutes, fou rire apres coup, mais sur le moment il m'a dit avoir eu la peur de sa vie

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J'ai fais mes classes il y a une quinzaine d'années au 120°RT à Fontainebleau, le régiment de formation pour les pistonnés qui faisaient leur service à Paris - et aussi une grosse minorité de bretons destinés à la cuisine et la vaisselle. Déjà que le train n'est pas l'arme de prédilection des warriors, mais on sentait bien que ce régiment servait de placard pour les engagés à qui il aurait été dangereux de confier de vraies responsabilités. Ce fut une expérience intéressante: En arrivant, on nous a classé en trois groupes d'état physique général - en nous faisant pédaler sur un vélo d'appart en mesurant le rythme cardiaque. Le groupe I, c'étaient les sportifs entraînés, le II les gens normaux et le III, attention fragile peut casser en marchant - je rigole à peine, un type s'est cassé le tibia en faisant du footing, il n'est pas tombé, il a juste posé le pied par terre et paf!. Bien sûr, moi qui ne fait jamais de sport, je me suis retrouvé avec les sportifs entraînés, et le gars de ma section qui était prof de gym s'est retrouvé dans le III. On avait des cours théoriques, sisi, premier cours, logique, "à quoi sert l'armée?". La question n'était pas si tordue, on était en 1992, les russes étaient en pleine débandade et on était loin de parler des chinois comme maintenant. C'est le pitaine qui nous a fait ce cours crucial. Sa réponse? pour résumer, c'était "faut se méfier des allemands, ils peuvent encore être dangereux". Quelques jours plus tard, première instruction tir, on nous explique le canon, la crosse, par quel bout ça se tient et dans quel sens il faut viser (je ne rigole pas). Et on nous apprend le calibre du bidule: 5,56. Je me dis tiens? c'est la même chose que le M-16, je me demande si les munitions sont interchangeables? alors je demande au MdL: il ne sait pas. on demande à ses collègues, itou. Le lieut frais émoulu de l'X, pareil. En fait, le seul de la dizaine de sous-off et au-dessus qui étaient là qui savait que le Famas et le M-16 utilisent la même cartouche, c'était le juteux-chef responsable de l'instruction tir! quand on se dit que c'est le train qui est responsable de l'approvisionnement en munitions, ça fait un peu peur. Mais poursuivons: au bout d'un mois de jogging autour de la cour de la caserne, on nous emmène faire 3 jours de camping dans la forêt. Ca devait être le coin à la mode, parce qu'on a eu du mal à trouver de la place au milieu des autres régiments qui faisaient comme nous. Le temps de négocier un coin pour s'installer, on a monté les tentes dans le noir, bouffe vite fait, la journée était pliée. Le lendemain, on nous a appris, entre autres chose plus spécifiquement militaires, à courir et sauter (par-dessus le fossé au bord du chemin forestier, sisi!). Au bout de quelques "ateliers" de ce style, la MdL nous réuni autour d'elle et nous dit: "je vais vous apprendre ce qu'il faut faire quand on fait un prisonnier". Il eut été judicieux, vu la bande de bras cassés qu'on était, de commencer par la case "comment faire un prisonnier", mais bon, on ne sait jamais... admettons! Elle continue:"Quand vous faites un prisonnier, la première chose à faire, c'est de neutraliser son arme" (jusque-là, il y a une certaine logique) "pour ça, la meilleure façon, c'est de la démonter". Là je n'ai pas pu m'empêcher d'ouvrir ma gueule et je lui demande (dialogue texto): - Excusez-moi, MdL, est-ce vous savez démonter un AK-74? - Euh, non, qu'est-ce que c'est? - Ben, c'est le fusil standard de l'ex-pacte de Varsovie. Nous on a des Famas, et eux ils ont des AK-74. - Ah... je ne connais que les armes françaises! Je vous jure!!! moralité: on ne pouvait faire que des prisonniers français... La séance de camping s'est achevée par une marche de section qui aurait dû durer 1h, mais qui a pris du côté de 4-5 parce qu'il n'y avait pas un gradé de fichu de lire une carte d'état-major et de se repérer dans les GR de la forêt de fontainebleau. On est rentrés en se tenant par les bretelles des sacs en suivant le grillage de l'autoroute dans la nuit du coup tombée. Et je n'ai pas fini!!!! Arrive le cross régimentaire, mon meilleur souvenir du service: rappelez-vous, j'avais été classé "sprotif entraîné", moralité, un jour je me tape la répète du parcours avec les autres sportifs entraînés - certains l'étaient vraiment - derrière la taupe bien décidée à faire gagner sa section. Waaaouuuch! les courbatures, j'vous dis pas! en rentrant au baraquement, je croise le prof de gym, qui, rappelez-vous encore, n'avait lui pas le droit de courir, et qui me fait part de la chance que j'ai de pouvoir m'esquinter les guibolles et m'essorer les poumons. Et là, le tilt! je lui propose de courir à ma place le jour du cross: il accepte avec enthousiasme. Le jour dit, à la fin de l'échauffement - où j'étais à la traîne comme d'habitude - je fais un détour par le baraquement, je lui donne mon dossard, il part courir, et moi je passe une heure ou deux à jouer aux echecs contre un pote bien planqués derrière un grosse armoire au fond de la chambrée. Manip inverse à l'arrivée, et j'ai fini la journée avec les félicitations du sous-lieut: pensez, j'avais amélioré mon temps d'un quart d'heure! La dernière gratinée de mes classes, c'est vers la fin. Le budget était épuisé, on passait nos journée dans les chambrées à astiquer tout ce qui pouvait être sale. Au bout d'une dizaine de jours à faire ça, ça commençait à exiger de l'imagination pour trouver quelque chose qui ne brille pas. Un beau jour en fin de matinée on prenait une pause bien méritée sur nos paddocks quand le MdL passe tout excité dans le couloir: - Le colonel fait une inspection, restez pas à glander comme ça, faites quelque chose! - Oui, mais quoi, MdL? - Chépas, nettoyez les tabourets!? - Mais on les a déjà nettoyé deux fois ce matin, MdL... - Ben alors, faites semblant! Alors on a fait semblant de nettoyer les tabourets. C'est ce jour-là que j'ai vraiment compris Astérix Légionnaire et le 20° de Cavalerie où les punis font semblant d'éplucher des patates que le colonel fait semblant d'inspecter, je suis sûr que ça a dû vraiment arriver! Après ça, j'en ai vu d'autres du même genre au 1° train et à l'école militaire, mais ce sera pour une autre fois.

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Bonjour, A mon tour, j'ai fait mon service dans l'Air en 82/83, ma période d'instruction s'est effectuée dans des conditions à peu près comparables à celles narrées par Leridan. Mais bon, on était pas destinés à des unités combattantes de 1° ligne, à part la surveillance des bases... Notre encadrement non plus, et la légereté de notre formation, qui a surtout tenté d'apprendre aux bourrins que nous étions à marcher au pas, n'aurait pas fait de nous des combattants de grande valeur. Néanmoins, cette formation comprenait des éléments essentiels du métier du soldat tels qu'apprendre à tirer. Pour ce faire, nous étions dotés du Mat 49 et avions droit à 2 ou 3 séances sur le champ de tir. Chose étonnante, la commission de réforme avait laissé échapper quelques spécimens de simplets qui n'auraient JAMAIS dû être incorporés (alors que tant d'autres...). Nous étions assistés chacun d'un instructeur et avions le droit de tirer (quel bonheur) une vingtaine de cartouches en courtes rafales sur des cibles situées à une cinquantaine de mêtres (?). Les gars se mettent à arroser le sable, chacun prend son tour, et voilà que vient l'un de ces "simplets" qui se retrouve avec un PM dans les mains et dont il semble avoir du mal à saisir le fonctionnement et même la signification. Les autres commencent à tirer, il ne peut pas faire comme les autres et se retourne en gémissant "Ca marche pas !" Grosse frayeur de l'instructeur qui se retrouve avec le canon du Mat sous le nez et grosse présence d'esprit aussi qui fait repivoter illico le gugusse en direction des cibles. Il lui avait pourtant armé la machine, il lui réexplique donc qu'il faut appuyer sur la gachette et derrière la crosse (j'ai oublié le nom du bitonio) simultanément pour qu'il puisse faire comme les autres du bruit et de la fumée. Aussitôt dit, aussitôt fait. Il était le seul de sa ligne à tirer encore et donc le centre de l'attention de toute la Cie, et voilà que l'animal se met à gigoter, et le PM de concert, en tout sens en hurlant qu'une guêpe l'attaque. Tout le monde se jette à terre (mourir à la guerre, d'accord, mais sur champ de tir...) sauf l'instructeur qui, après un moment de stupeur, parvient, sans gestes brusques à désarmer l'agité. De passage, quelques mois plus tard, sur la base de Metz, je l'ai retrouvé, rayonnant de bonheur, aux commandes d'un motoculteur. Ils l'avaient collé jardinier. Et sur une B.A, c'est pas les pelouses qui manquent. Comme quoi, il fallait de tout dans cette armée de 82. Entre-temps, j'avais été muté à Berlin (c'est mon côté teuton, ça peut rendre des services) et là-bas ce sont d'autres histoires... A+

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Moi j'en ai une que mon pere m'a racontee de son service militaire dans la marine. A l'époque ils avaient fait un exercice de plusieurs semaines ou mois je sais plus trop avec l'escorteur sur lequel il était et il avaient un petit bizuttage pour un des malchanceux qui venait d'arriver. Pendant le ravitaillement en mer le navire ravitailleur envoie un cable entre lui et le bateau a approvisionner pour faire glisser des palettes une variante a tres vite ete trouvee qui concistait a faire passer une chaise avec un bleu solidement attache dessus lorsqu'il n'y avait aucun gradé dans le coin.

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tien ca m'en fais revenir une autre.... Chez les nouveaux incorporés qui devaient passer à l'infirmerie pour les vaccins et les tests médicaux, on reperait les "neuneus" un peu simplets et lors de tests on leurs faisait fair des tests maison du genre : "saute de la chaise en fermant les yeux c'est pour voir si tu peux faire para" (arf, para ?? bien sur, dans un rgt d'infanterie mécanisée [08]), ou met tes pieds dans cette bassine d'eau, c'est pour voir si tu peux faire homme grenouille (et on faisait semblant de chronometrer...) ou alors tiens toi un certain temps sur une jambe puis sur l'autre c'est pour tester ton equilibre....etc etc et les gars (selectionnés bien sur), le faisait sans poser de question Sinon y'avais les gars qui se la ramenait..... "moi j'ai peur de rien, jsuis balaise pas peur des piqures" La consigne c'est qu'après la vaccination il fallait que la jeune recrue reste allongée 1 ou 2 min pour eviter un malaise vaguale, evidemment y'avais toujours les fiers a bras pour se lever direct jusqu'au jour ou y'en a un qu'es tombé la tete la première contre le coin de porte de l'infirmerie... le con et moi qui l'avais pas vu parceque je m'occupais de faire tenir tranquille 10 autres braillards et il a reussi a se faire une commotion cerebrale (yeux revulsés, crane ensanglanté, vomissements et direct à l'hosto pour scanner cerebral, sans trop de bobo au final). En tout cas ca a au moins eu le merite de calmer ses camarades

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A mon tour, j'étais appelé affecté au Groupement des fudiliers marins de Brest, section chargé de la protection du SNLE en carénage au bassin 10, à l'époque des plongeurs avaient missions de vérifier le systéme d'alerte installé sous l'eau protégeant l'accés nautique au bassin et de prévenir toute intrusion de plongeur hostile. Toutefois quand la visibilité était réduite, notamment en cas de houle dans la rade de brest, nous avions mission de balancer des grenades off dans la flotte, moments intenses pour un jeune appelé... Ce soir là le gradé se présente au bord du quai et me demande de balancer deux trois grenade dans l'eau, la premiére détonne en provoquant un joli remou mais la deuxiéme n'esplose pas. Aprés verification on se rend comte que le couillon d'armurier à installer un détonateur destiné au grenade d'exercice, du coup sous l'eau la grenade "bonne de guerre" n'a pu détonné. Branle bas de combat, que faire car le lendemain des plongées sont programmées à cet endroit avec risque potentiel de laisser une grenade non explosé au fond. Au bout de quelque minute, un des engagés commando marine, décide de balancer 3 grenades assemblées ensembles au même endroit!Et là méga détonnation et mise à l'eau du zodiac pour récupérer les dizaines et dizaines de pauvres poissons surpris par la déflagration. on en a mangé pendant quelques jours et dorénavant on balançait les grenades d'un seul coup en nous assurant ainsi un extra améliorant l'ordinaire du cuistot.

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Sushi a écrit:

mais au fait dites moi pour les filles, ces "incidents" sont-ils courant et durs??

voudrais pas stresser mdr

Une petite histoire rapportée.

Une section d'EVAT faisait une marche de nuit pendant leurs classes, la section fit une halte, une fille qui avait un besoin prèssant c'est donc isolée dans les kékés pour se soulager. Quelques minutes plus tard tous entendent une petite voie de souris, de petite plaintes et des appels à l'aide (ils étaient en ambiance tactique donc un minimum de bruit). C'était la fille qui en fait s'était accroupie pour faire ces affaires, mais avait gardée sur elle tout son bardas, arme sac à dos 110 litres. Avec la fatigue, la pauvre était restée coincée, toujours accroupie, le cul à l'air dans l'impossibilité de se relever. Mais bien heureusement, il y avait une autre féminine qui s'est emprèssée d'aller lui donner un coup de main, si il n'y avait eu que des mecs cela aurait été plus délicat mais bon comme on dit, à la guerre, comme à la guerre.

Une histoire qui à bien fait rire tout le monde.

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Il est une bête que l on ne s'attend pas à voir dans un complexe militaire et industriel comme l arsenal de brest: Des renards. Et oui les fameux goupils qui venaient régulierement mettre le bordel dans la ZMS (Zome Miliatire spéciale ) du Bassin 10. Nous avions donc pris l'habitude de nous doter en double dotation de Paintball afin de faire fuir les renards intrus. Cela pouvait durer tard dans la nuit, mais bon quelles parties de rigolades!!!!

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Il est une bête que l on ne s'attend pas à voir dans un complexe militaire et industriel comme l arsenal de brest: Des renards.

Et oui les fameux goupils qui venaient régulierement mettre le bordel dans la ZMS (Zome Miliatire spéciale ) du Bassin 10.

Nous avions donc pris l'habitude de nous doter en double dotation de Paintball afin de faire fuir les renards intrus.

Cela pouvait durer tard dans la nuit, mais bon quelles parties de rigolades!!!!

C'est bon le renard - après les poissons - pour changer un peu de menu ?
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c'est vrai que y'a de la bestiole sur les terrains de manoeuvre .... A Mailly y'avais des mastards de sangliers qui venaient roder la nuit autour des tentes et des positions de combat.... quand tu dors d'un sommeil bien lourd après plusieurs jours de manoeuvre et que t'a un truc qui secoue le bas de ta tente en grognant, ca fais un peu film d'horreur.... idem quand t'es chargé de la protection rapprochée de ta position, que t'es tout seul a faire ta garde, que tu es en ambiance tactique (cad pas de lumière et silence) et que t'a un troupeau de ces trucs qui passent en courant dans le champ devant toi en grognant comme des bestioles sorties des enfers..... Et en plus je vous dis pas, comme on avait grave la dalle (voir mon post en ambiance froid), l'oeil torve qu'on leur jettait quand ils venaient fourrager de jour ...mais bon pas le droit d'y toucher [17] Tant pis j'aurais bien tapé un gigeot de sanglier....

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"t en plus je vous dis pas, comme on avait grave la dalle (voir mon post en ambiance froid), l'oeil torve qu'on leur jettait quand ils venaient fourrager de jour ...mais bon pas le droit d'y toucher Tant pis j'aurais bien tapé un gigeot de sanglier...." Tu t'en remettras obélix - va en croatie ils en font tout le long des routes - à la broche.

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Une petite histoire rapportée.

Une section d'EVAT faisait une marche de nuit pendant leurs classes, la section fit une halte, une fille qui avait un besoin prèssant c'est donc isolée dans les kékés pour se soulager. Quelques minutes plus tard tous entendent une petite voie de souris, de petite plaintes et des appels à l'aide (ils étaient en ambiance tactique donc un minimum de bruit). C'était la fille qui en fait s'était accroupie pour faire ces affaires, mais avait gardée sur elle tout son bardas, arme sac à dos 110 litres. Avec la fatigue, la pauvre était restée coincée, toujours accroupie, le cul à l'air dans l'impossibilité de se relever. Mais bien heureusement, il y avait une autre féminine qui s'est emprèssée d'aller lui donner un coup de main, si il n'y avait eu que des mecs cela aurait été plus délicat mais bon comme on dit, à la guerre, comme à la guerre.

Une histoire qui à bien fait rire tout le monde.

lol et oui à la guerre comme à la guerre^^
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je me souviens également d'une sortie réalisée dans le brest by night, nous avions décidés de partager avec les engagés un resto, parmi eu il y avait un gars qui postuler chez le commando hubert (nageurs de combat), toute la soirée il a ramassé un maximun de vannes plus ou moins bien senties de la part des "anciens" possédant le béret vert et se trouvant "au repos" à brest. En repassant le pont de recouvrance, le gars irrité, décide de lancer un defi aux autres gars, et là sous nos yeux il se balance à la flotte et rentre à la nage au casernement! l'histoire ne dit pas si le gars à intégré ou non l'unité des nageurs de combat?

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