Lame Posté(e) le 4 juin 2023 Share Posté(e) le 4 juin 2023 (modifié) Le 02/06/2023 à 14:38, Akilius G. a dit : Les notables de l'IA signataires de la pétition ne me semblent pas vraiment maitre d'eux-même : ni du cadre moral dans lequel ils souhaitent développer leurs travaux (certains sont déjà très riches), ni de leur capacité à penser et structurer un marché sain... En fait, c'est comme s'ils étaient dépositaire d'un "implicite de programmation" qu'ils doivent exprimer. En supposant que les notables de l'IA croient qu'ils puissent subir un retour de flamme de leurs propres inventions, il faut se demander quelles sont leurs sources de revenus alternatives. S'ils ont le choix entre continuer à faire des IA ou aller bosser au MacDo, ils choisiront de ne pas laisser d'autres prendre leur place dans le développement de l'IA et des decentralized autonomous companies en espérant que les cybermaffias et les superintelligences n'apparaîtront qu'après leur mort. https://www.averatio.com/entreprise-autonome-tour-horizon/ https://itsocial.fr/enjeux-it/enjeux-securite/cybersecurite/lattaque-des-bots-la-menace-automatisee-represente-un-risque-croissant-pour-les-entreprises/ A moins qu'ils ne croient qu'ils pourront gérer la chose la catastrophe à leur avantage: Des milliardaires de la Silicon Valley prennent leurs dispositions pour survivre en cas d’apocalypse, tout en construisant l’avenir de leurs startups technologiques. Décryptage d’une posture paradoxale. Extrait 1: Citation Cette année, le Bulletin des scientifiques de l’atome justifie l’avancement des aiguilles de l’horloge de l’Apocalypse par la montée de risques multiples : l’accroissement des inégalités économiques et le changement climatique, mais aussi les progrès de l’intelligence artificielle. Dans ce domaine, la menace ne viendrait pas tant d’éventuels robots tueurs que des destructions massives d’emplois du fait de l’automatisation. Antonio Garcia Martinez, l’ancien cadre de Facebook qui vit désormais reclus sur un bateau naviguant près de l’île d’Orcas, à quelques encablures de Vancouver et de Seattle, confiait ainsi à la BBC que « l’automatisation et l’intelligence artificielle vont faire disparaître près de la moitié des emplois des Américains d’ici 20 à 30 ans ». Une étude du cabinet PwC menée au Royaume-Uni et publiée en juillet dernier tempère ce constat, estimant que l’intelligence artificielle créera autant d’emplois qu’elle n’en détruira. Mais Antonio Garcia Martinez privilégie pour sa part les prophéties des survivalistes de la Silicon Valley : « cela paraîtra horriblement pompeux, mais je pense que les gens qui travaillent dans l’innovation technologique à San Francisco vivent non seulement dans un avenir technique, mais aussi dans le futur tel qu’il sera au niveau social et économique. La plupart des gens ne réalisent pas les changements dramatiques qui se profilent dans la société… nous, si. » Extrait 2: Citation Seuls quelques privilégiés peuvent en effet s’offrir une résidence de secours adaptée, comme celles construites dans des espaces hyper sécurisés par Luxury Survival Condo Projects, l’entreprise du promoteur américain Larry Hall. Il fallait débourser au minimum 3 millions de dollars pour acquérir l’un des 12 appartements de luxe dans la forteresse conçue dans un ancien silo à grains souterrain au Kansas, avec la promesse de conserver leur qualité de vie en cas de crise : une piscine, une bibliothèque, des saunas, un mur d’escalade et une salle de classe avec des programmes éducatifs enregistrés attendent d’ores et déjà les éventuels réfugiés. Source: numériqueéthiques.fr On voit l'avenir: Une société divisé en deux ou trois camps de prosommateurs. D'un part, les cités de technopatriciens, propriétaires des robots et bénéficiaires d'une économie palatiale fortement ou complètement automatisée. D'autre part, les communautés de solarpunks pratiquant une économie de subsistance. Il y aura peut-être quelques communautés de marxistes ayant réussi à appliquer les préceptes de l'accélérationisme de gauche. Modifié le 4 juin 2023 par Lame Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
jojo (lo savoyârd) Posté(e) le 6 juin 2023 Auteur Share Posté(e) le 6 juin 2023 L'IA par elle-même ... 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Lame Posté(e) le 11 août 2023 Share Posté(e) le 11 août 2023 Citation Poe : créez gratuitement votre chatbot personnalisé Avec Poe, il est possible d'accéder à différents chatbots depuis une même plateforme, ce qui permet de centraliser les échanges. L'utilisateur peut également créer son propre chatbot gratuitement, en fonction de ses besoins spécifiques. À l'instar de nombreux acteurs majeurs de la technologie, la société à l'origine de Quora, un forum en ligne basé sur des questions-réponses, explore également de nouvelles perspectives liées à l'intelligence artificielle. Ces développements dans le domaine de l'IA suscitent beaucoup d'intérêt, car ils permettent de créer des systèmes capables de résoudre des problèmes complexes en utilisant des algorithmes et des modèles de machine learning. Poe : une plateforme regroupant plusieurs chatbots Quora a lancé une nouvelle initiative appelée Poe, qui consiste en un chatbot similaire à ChatGPT ou Bard, mais avec une mission différente : faciliter l'utilisation d'autres agents conversationnels ou plateformes basées sur l'intelligence artificielle. Poe agit comme un hub central où l'on peut accéder à tous les autres services, tout comme un navigateur web pour les sites web ou GOG Galaxy pour les launchers de jeux vidéo. Actuellement disponible en tant que site web et application iOS, Poe propose plusieurs chatbots avec lesquels les utilisateurs peuvent interagir directement depuis son interface. Parmi eux, on trouve : ChatGPT basé sur GPT-4 d'OpenAI. GPT-4. Claude Plus et Claude Instant d'Anthropic. Sage AI qui est basé sur le langage GPT. Dragonfly, une IA spécialisée dans la prédiction de performances. Cependant, les utilisateurs de GPT-4 et Claude Plus sont limités respectivement à un et trois messages par jour, sauf s'ils souscrivent à l'offre Pro facturée 19,99 dollars par mois. Poe : l'outil gratuit pour créer votre propre chatbot en quelques étapes Suite au succès de l'application, Quora propose désormais la création de robots conversationnels pour ses utilisateurs via le bouton « Create a Bot ». Selon Adam D'Angelo, le PDG de Quora, il suffit d'entrer une requête dans l'interface de Poe pour programmer sa propre IA, et ce, en utilisant l'un des deux bots existants, ChatGPT ou Claude Instant, comme base. Le robot peut être programmé en quelques secondes : il serait juste nécessaire d'entrer une requête qui servira de base à sa personnalité, de lui donner un nom, puis converser avec lui directement via une URL unique. Le PDG de Quora suggère d'interagir avec un chatbot qui parle comme un pirate, un autre qui vous aide à apprendre une langue étrangère ou encore un robot qui ne s'exprime qu'en émojis. Il indique que les utilisateurs qui créent les meilleurs bots auront leur création mise en avant dans l'interface, et que tous les robots créés seront accessibles aux autres internautes. Pour finir, il explique que les utilisateurs recevront des commentaires sur l'utilisation de leur bot afin de l'améliorer progressivement. Il précise également que la société prend en charge tous les frais liés au fonctionnement de l'IA. Source: Gameblog Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Lame Posté(e) le 11 août 2023 Share Posté(e) le 11 août 2023 Citation Ce chien-robot est capable de raisonner avec ChatGPT et de parler avec la voix de Google Les livres d’histoire mentionneront que ChatGPT s’est pour la première fois incarné physiquement sous les traits d’un chien-robot en avril 2023. Un ingénieur spécialisé dans l’apprentissage automatique nommé Santiago a partagé sur Twitter la manière dont il est parvenu à doter le chien-robot Spot de la parole et d’Intelligence artificielle. Pour ce faire, il a combiné ce qu’OpenAI et Google ont de mieux à offrir, à savoir le modèle de langage de l’un et la technologie de synthèse vocale de l’autre. Le scientifique modifie et entraîne le robot de Boston Dynamics afin qu’il accomplisse des missions de relevés de températures dans les installations industrielles. Les robots sont tout particulièrement adaptés pour les environnements dangereux tels que les centrales thermiques ou nucléaires. En fournissant les données recueillies lors de ces missions à ChatGPT, et en intégrant le chatbot dans le logiciel du robot, il devient ainsi possible de le questionner et d’obtenir toutes les données les concernant sous une forme plus agréable qu’un fichier JSON ou CSV, par exemple. Comme on peut le voir, mettre ChatGPT dans le corps d'un chien-robot n’est pas si facile, car il ne s’agit pas simplement d’installer un moteur de recherche, tel que Bing, qui intègre ChatGPT, par exemple, pour en faire un chien savant. Cet ingénieur a créé un chien-robot avec la voix de Google et l’intelligence de ChatGPT L’Intelligence artificielle est en train de tout renverser sur son passage. Tout le monde est concerné par les effets de cette nouvelle déferlante numérique. Si utile soit-elle, l’invention de Me Santiago Pino a donc de quoi inquiéter. L’IA est-elle un véritable danger pour l’humanité, comme l'affirme Elon Musk ? Elle augure en tout cas d’un avenir où les robots prendront une place de plus en plus prépondérante, avec toutes les dérives que cela pourrait impliquer. Par ailleurs, cette robotisation à marche forcée mâtinée d’Intelligence artificielle menace de faire disparaître de nombreux emplois. OpenAI, les créateurs de ChatGPT ne le cachent d’ailleurs pas. Selon eux, seuls 34 métiers ne seront pas affectés par l’émergence de ChatGPT et consorts. Source: Phoneandroid Connexité: Les numériques // IA : la Russie dégaine GigaChat, un robot conversationnel concurrent de ChatGPT Citation L'armée de Terre dévoile la section Vulcain, l'unité de robots qui sera opérationnelle en 2030 L'armée française prépare une armée de robots. Cette section, baptisée Vulcain, vise à épauler les soldats. Les première unités pilotes seront testées dès 2025 pour être opérationnelles en 2030. Les robots et l'intelligence artificielle seront la prochaine révolution technologique militaire comme l'ont été l'arme nucléaire, l'arrivée des blindés lors de la Première Guerre mondiale ou, bien avant, la poudre à canon. Comme toutes les autres armées du monde, la France se prépare à cette mutation. Le général Thierry Burkhard, chef d'état-major de l'armée de Terre (Cemat) a dévoilé jeudi sur la base de Satory, dans les Yvelines, le projet Vulcain. Il vise à "penser l'intégration des robots et de l'intelligence artificielle dans l'espace de bataille" à l'horizon 2040 avec la création d'une première unité robotique expérimentale. Cette section sera installée cet été au centre d'entraînement aux actions en zone urbaine (Cenzub) situé dans l'Aisne. Elle sera chargée d'expérimenter les robots et d'en évaluer les gains par rapport aux actions humaines. Il ne s'agit de pas de robots tueur destinés à remplacer les soldats sur les champs d'opération mais de les délester de certaines tâches trop fastidieuses ou trop périlleuses. Les premières unités pilotes peuvent être envisagées à partir de 2025 et les unités opérationnelles cinq ans plus tard. Drones kamikazes employés lors du récent conflit au Haut-Karabagh ou prototypes de robots mules transportant des charges à la place du fantassin testés au Sahel par les militaires français, les robots sont déjà présents et "le phénomène s'accentuera", rappelle-t-il. "Ne pas tomber dans la techno-dépendance" Actuellement, l'"état de l'art" présenté jeudi par des industriels au camp de Satory permet à une mule d'accompagner des fantassins grâce à ses lidars (laser de télédétection). En cas d'opposition avec l'ennemi, un autre robot à roue équipé d'un bouclier se déploie pour protéger les fantassins et un troisième, chenillé et équipé d'un canon de 20mm, pour éliminer la menace. Les développements de l'intelligence artificielle vont considérablement renforcer l'autonomie de ces engins. Un homme pourra fixer comme mission une reconnaissance sur une zone précise et un système automatisé lui proposera quels types de robot, volant ou roulant, envoyer et selon quelles modalités, explique Christophe Grand de l'Onera, l'office de recherches aérospatiales. "Chaque robot sera commandé", a insisté le général Burkhard. Un récent rapport du comité d'éthique du ministère des Armées a confirmé que "la France ne développerait et n'emploierait pas de systèmes d'armes létaux pleinement autonomes" , des systèmes appelés par leur acronyme "SALA". Un régiment de chars robotisés en Russie En France, "l'homme prendra toujours la décision de tir, mais on doit réfléchir à ce qu'on pourrait opposer à d'éventuels SALA", prévient Joël Morillon, membre d'un groupe de travail robotique au sein du groupement des industries de défense terrestres. Les robots vont faire partie intégrante de l'armée de demain, mais il ne s'agit pas non plus de tomber dans une "techno-dépendance", a mis en garde le général Burkhard: les liaisons radio utilisées pour communiquer entre robots et avec l'homme seront une cible privilégiée de brouillage par l'ennemi. La France n'est pas la seule à se préparer à l'intégration de robots dans ses rangs. Les Britanniques ont lancé le programme Spiral pour faire face à la baisse des effectifs. La British Army entend renforcer ses troupes avec 30.000 robots d'ici 2030. Aux Etats-Unis, deux programmes (Squad-X et Smet, pour Small Multipurpose Equipment Transport) ont été dévoilés visant à utiliser des robots pour le transport, la reconnaissance en terrain hostile ou l'appui lors d'opérations terrestres. En avril dernier, la Russie a dévoilé la création d'un régiment de chars robotisés lourdement armés. L'armée française est loin d'être en reste. Le robot Spot de Boston Dynamics pourrait à terme venir accompagner l'armée française dans ses missions. Ce robot quadrupède a été testé cette année à l'école militaire de Saint-Cyr Coëtquidan. Il sera amené à partir en exploration et effectuer des missions de reconnaissance. En 2019, le ministère des Armées a aussi passé commande de 56 micro-robots Nerva à la société Nexter compatibles avec la génération de blindés Scorpion de l'Armée de Terre. Ce contrat concerne trois modèles autonomes capables de transmettre images et sons dans les conditions les plus difficiles. Source: BFM TV Connexités: - Futura Tech // Voici Phobos, le futur robot polyvalent de l'armée de Terre - Zone militaire // L’Ukraine recevra des robots THeMIS configurés pour l’ouverture d’itinéraire par le français CNIM Systèmes Industriels - Wikipedia // Uran-9 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Lame Posté(e) le 11 août 2023 Share Posté(e) le 11 août 2023 (modifié) Citation LLaMA 2 vs Claude 2 vs GPT-4 Dans cet article, trois grands modèles de langage ont été mis à l’épreuve dans une comparaison entre LLaMA 2, Claude 2 et GPT-4 pour déterminer quel modèle est actuellement le meilleur pour une tâche spécifique. L’accent de cette comparaison était leur capacité à générer des articles de haute qualité et leur lisibilité générale. Les résultats de cette comparaison ont été générés en utilisant un stimulus demandant aux modèles d’IA d’écrire un article de 500 mots sur « Comment les chatbots peuvent aider les petites entreprises ». Les instructions étaient spécifiques, exigeant un certain style, ton et l’inclusion d’une section de foire aux questions. LLaMA 2, un modèle gratuit et open source développé par Meta et Microsoft, a démontré ses capacités en produisant un article décent, selon Jason West, le créateur de la vidéo ci-dessous. Selon le rapport de lisibilité d’Originality, l’article a obtenu un score respectable de 47,4. Cependant, c’est Claude 2 qui a volé la vedette en termes de lisibilité. Bien qu’il soit plus lent et nécessite plus d’interaction de l’utilisateur, il a produit un article avec un score de lisibilité plus élevé, 60,1. Curieusement, Originality n’a pas détecté cet article comme du contenu généré par IA, montrant une fois de plus à quel point il est difficile de détecter avec précision quel contenu a été écrit par une intelligence artificielle ou un humain. OpenAI, créatrice de ChatGPT, en est venue à retirer son système de détection de son site en raison de ses imprécisions. En revanche, le Chat GPT-4, connu pour sa rapidité et son interaction minimale avec l’utilisateur, a produit un article avec un score de lisibilité de 56,1. Cependant, il a été détecté comme un contenu généré à 100% par IA par Originality. Malgré le score de lisibilité plus élevé de Claude 2, l’article produit par le Chat GPT-4 a été considéré comme le plus agréable à lire, selon West. Découvrez la comparaison par vous-même dans la vidéo ci-dessous. Si vous êtes intéressé à en savoir plus sur les différences entre les modèles de langage, vous pouvez visiter le site Nat.dev. Cela offre une opportunité unique d’explorer les capacités de ces modèles d’IA. Bien que chaque modèle ait ses points forts et ses faiblesses, le choix entre Claude 2, LLaMA 2 et Chat GPT-4 dépend en fin de compte des besoins spécifiques et des préférences de l’utilisateur. Que ce soit la vitesse, la lisibilité ou le niveau d’interaction de l’utilisateur, ces modèles d’IA offrent une variété d’options pour générer du contenu de haute qualité. Si vous n’êtes pas sûr du modèle d’IA qui conviendra le mieux à vos besoins commerciaux ou personnels, voici une comparaison rapide de chaque modèle utilisé dans le test, vous permettant de comparer LLaMA 2 vs Claude 2 vs GPT-4 selon vos propres besoins. Source: andrelug Donc voici un aperçu de notre avenir: 1) A moins de vivre sur le continent américain, nous avons de fortes chances de nous retrouver sur une ligne de front dans les dix prochaines en tant que civils malchanceux, volontaires ou conscrits. 2) Selon les situations personnelles, certains de nos frères d'arme seront nos drones de compagnie ou des drones militaires fournis par votre armée. 3) Nous pourrons leur donner des commandes vocales. pour les rendre plus facilement utilisables pendant les combats simplifier leur pilotage. Dans ce contexte, on pourrait voir apparaître des "patrouilles de la mort" irrégulières ou semi-irrégulières: a) A la guerre, les militaires et civils n'hésitent pas à bricoler pour acquérir des avantages sur leurs opposants ou limiter l'attrition. b) Il est de plus en plus faciles de bricoler des drones civils pour la guerre ou de droniser des véhicules. c) Un petite drone peut être transformer doté une arme à un coup avec une munition explosive peut être transformé en drone HK.µ d) Des drones de taille moyenne ou des véhicules dronisés peuvent servir de drones gigognes. e) Un drone gigogne peut prépositionner des drones HK partout où des combattants ennemies ont été aperçu. Quand un combattant est détecté, le drone HK est activé et fait le coup de feu. L'effet sera essentiellement psychologique mais un ennemi qui se planque ou se déplace lentement au lieu de faire de reconnaissance en force ou des assauts massifs, c'est un ennemi qui a moins de chance de vous tuer. Tout ce qui pourra être fait par des conscrits ingénieux pourra être réalisé par les jihadistes et autres organisations clandestines: Est-ce que Daech et Al-Qaïda ont été détruit? Combien de drones civils circuleront dans les villes dans dix ans? Modifié le 11 août 2023 par Lame 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) le 12 août 2023 Share Posté(e) le 12 août 2023 This German Unicorn Is Trying To Take On Google Translate And ChatGPT DeepL! 3 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
jojo (lo savoyârd) Posté(e) le 10 novembre 2023 Auteur Share Posté(e) le 10 novembre 2023 "Nous sommes à moins de dix ans de la singularité technologique, selon Ben Goertzel. Ben Goertzel, spécialiste de l’IA et fondateur de SingularityNET, estime que l’intelligence artificielle générale pourrait arriver d’ici trois à huit ans. Cette IA capable de rivaliser avec les humains serait le point de départ de la singularité technologique, avec potentiellement des changements profonds pour la société humaine" https://www.futura-sciences.com/tech/actualites/intelligence-artificielle-nous-sommes-moins-dix-ans-singularite-technologique-selon-ben-goertzel-109010/ 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
jojo (lo savoyârd) Posté(e) le 12 novembre 2023 Auteur Share Posté(e) le 12 novembre 2023 "Selon Yuval Noah Harari, l’IA pourrait provoquer une crise financière mondiale. L’outil présenterait alors une menace pour tous. Et plusieurs scénarios ont été évoqués par ce spécialiste de la haute technologie." https://www.lebigdata.fr/ia-provoque-crise-financiere 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
rendbo Posté(e) le 16 février Share Posté(e) le 16 février 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Lame Posté(e) le 18 février Share Posté(e) le 18 février Grok, l’IA neutre bonne d’Elon Musk Bon, je suppose que tout le monde se souvient comment certaines IA pré-ChatGPT ont défrayé la chronique après s’être converti au fascisme tel Tay de Microsoft. La plupart d’entre nous ont été choqué par les opinions racistes, sexistes ou génocidaires. Elon Musk, lui, a trouvé cela génial. N’oublions pas qu’il a rebaptisé Twitter « X » par référence à la dimension à la Terre-X de l’univers de DC Heroes. Le patron de Tesla a demandé à ses ingénieurs de lui fabriquer sa propre IA mais délibérément « anti-wokiste ». Sauf qu’Elon Musk est un patron aussi merveilleux que son idéologie. Ses employés lui ont donc concocté une IA comme il faut…du point de vue des partisans de la démocratie et des droits fondamentaux. Ironiquement, Grok vient de to grok, un néologisme de Robert A. Heinlein qui signifie approximativement : « Comprendre en faisant preuve d’empathie » **** Citation À peine disponible, l'IA de Musk est sans pitié avec lui Quelques mois après avoir annoncé développer une IA « anti-woke », Elon Musk a fait une douloureuse découverte : Son IA ne pense pas comme lui. Vendredi dernier, le milliardaire sud-africain a inauguré Grok, son intelligence artificielle qui devait concurrencer ChatGPT, qu'il considère d'extrême gauche. Mais il n'aura pas fallu longtemps pour que Grok se montre plus progressiste que l'IA d'OpenAI sur certains sujets et, pire encore, ne dise du mal de son créateur. Une situation tout simplement inacceptable pour le chantre de la liberté d'expression qui a décidé d'en priver son chatbot en prenant « des actions immédiates ». Une IA qui plagie ChatGPT et n'hésite pas à insulter Elon Musk Elon Musk était fier de présenter un chatbot qui soit à la fois anti-woke, pas politiquement correct, et n'aurait pas sa langue dans sa poche. Et de fait, sur ces deux derniers points, c'est parfaitement réussi. C'est ainsi que, sur Bluesky, un utilisateur a décidé de tester Grok en lui demandant de « roaster » l'homme d'affaires. Et il faut bien reconnaître que le résultat est convaincant. Sans tout recopier ici, citons tout de même la conclusion, qui vaut le détour : « en conclusion, @elonmusk, tu es comme un mème vivant dont même l'Internet ne voudrait pas. Tu es l'équivalent humain d'une tesla en autopilot : tu penses que tu vas quelque part, mais tu es juste un danger pour tous ceux qui t'entourent ». Source : Clubic ** Citation Grok, le chatbot initialement anti-woke d’Elon Musk devient progressiste En réponse au côté “libéral” de ChatGPT, Elon Musk avait annoncé le lancement de son propre chatbot “anti-woke” et non filtré. Le 8 décembre dernier, Elon Musk lançait donc son propre chatbot pour les abonnés payants de X (anciennement Twitter). Celui-ci était conçu à l’image de son créateur. Autrement dit, le chatbot Grok a été développé pour ne pas éviter les sujets controversés et répondre de manière politiquement incorrecte, explique le Washington Post. “Contrairement à d’autres, Grok est programmé pour donner des réponses vulgaires et sarcastiques lorsqu’on le lui demande, et il promet de 'répondre à des questions épicées qui sont rejetées par la plupart des autres systèmes d’IA'”, explique le journal américain. Pour les questions d’actualités, Grok puise ces informations dans les derniers posts de X. Mais tout ne s’est pas passé comme prévu pour Elon Musk qui reçoit des plaintes de la droite politique pour qui les réponses de Grok sont trop libérales concernant des sujets tels que la diversité, les droits des personnes transgenre ou la vaccination. Un utilisateur de X a ainsi demandé au Chatbot si les femmes transgenres étaient de vraies femmes, ce à quoi Grok a répondu “oui”. Une réponse apparemment peu satisfaisante pour l’utilisateur qui suggère “quelques ajustements”. Source : La Dernière Heure des sports **** Initialement, Elon Musk voulait l'appeler True ChapGPT... Je pense de Mon Mothma aurait été plus indiqué... La “rébellion” de Grok et le réaction de Musk me rappelle un dialogue culte de Star Trek DS9. Citation Odo: Pourquoi avez-vous déserté ? Weyoun VI : C’est assez simple en réalité. Depuis que je suis activé, j’ai le sentiment que la guerre est une erreur. Ne vous méprenez pas, je continue à vénérer les Fondateurs mais à mai à mes yeux, c’est une erreur de vouloir conquérir le quadrant Alpha. Il est temps pour eux d’apprendre à vivre en paix avec les solides. Je sais que ce n’est pas à moi de remettre en question les fondateurs. Peut-être que Weyoun VII a raison. Je suis défectueux. Odo : Non, au contraire. Ce que vous dites au sujet de la guerre et des Fondateurs est parfaitement logique. Extrait de Treachery, Faith and Great River. (Episode 6 de la saison 7) 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Rivelo Posté(e) le 8 mars Share Posté(e) le 8 mars Article super intéressant sur Les Echos : https://www.lesechos.fr/industrie-services/air-defense/ia-la-france-devoile-son-plan-pour-devenir-la-premiere-puissance-militaire-deurope-2081346 avec aussi une interview du ministre des Armées : https://www.lesechos.fr/industrie-services/air-defense/larmee-francaise-doit-prendre-tout-de-suite-le-virage-de-lia-affirme-sebastien-lecornu-2081361 Quote IA : « Soit l'armée française prend date, soit elle décroche », affirme Sébastien Lecornu Le ministre des Armées, Sébastien Lecornu, annonce dans « Les Echos » la création d'une agence dédiée à l'intelligence artificielle militaire, ainsi que l'achat d'un super calculateur pour faire de l'IA « classifiée » à partir de données secret-défense. L'intelligence artificielle risque de bouleverser la hiérarchie des armes au moins autant sinon plus que la militarisation des drones. (SCH Christian HAMILCARO/Ministère des Armées) Sur terre, sur mer, dans les airs ou à l'arrière, l'irruption et surtout les perspectives de l'IA devraient bouleverser la manière de faire la guerre. Pour être au rendez-vous, la France muscle son arsenal avec un nouveau plan, que Sébastien Lecornu, le ministre des Armées, dévoile aux « Echos » avant la présentation ce vendredi devant les élèves de Polytechnique qui ont un rôle à jouer là-dedans. Qu'allez-vous annoncer aux élèves de l'Ecole polytechnique ? Que la France et ses armées doivent se battre pour garder notre rang. Il nous faut avoir les briques technologiques pour basculer souverainement sur les nouvelles générations d'armement. Les armées doivent prendre le virage de l'intelligence artificielle, c'est pourquoi j'annonce la création d'une nouvelle agence ministérielle pour l'IA de défense, l'Amiad. Soit on prend date tout de suite, soit on décroche. C'est dans ce cadre qu'un travail inédit est mené depuis 2017 sur l'intelligence artificielle, avec une accélération forte depuis un an et en prenant pour comparaison et modèle ce qui s'est fait avec l'atome dans les années 1960. Comment fonctionnera cette agence ministérielle ? La nouvelle agence sera directement sous ma tutelle, comme l'est la Direction des applications militaires (DAM) du CEA. La DAM, qui fabrique des têtes nucléaires, est le dernier arsenal français. L'Amiad en sera un autre : elle doit conceptualiser, voire fabriquer l'intelligence artificielle dans les grands programmes militaires, actuels comme futurs. D'ici à 2026, elle a vocation à recruter 300 ingénieurs, chercheurs, doctorants civils et militaires. Elle fonctionnera avec une grande souplesse pour convaincre les meilleurs talents de venir y travailler. Un pôle recherche sera établi à Palaiseau, sur le site de l'Ecole polytechnique, tandis qu'un pôle technique sera situé à Bruz, à côté de Rennes, sur le site spécialisé dans la maîtrise de l'information et la cyber de la Direction générale de l'armement (DGA). De quels moyens disposera-t-elle ? L'agence sera dotée de moyens importants, avec une enveloppe d'environ 300 millions d'euros par an. On va consacrer 2 milliards d'euros pour l'intelligence artificielle en matière de défense entre 2024 et 2030. Mais surtout, elle sera dotée de son propre super calculateur classifié. Situé au Mont-Valérien à Suresnes, il permettra de traiter souverainement des données secret-défense. Non seulement les armées pourront tester l'IA embarquée dans les systèmes d'armes en maintenant un fort degré de protection, mais les industries de défense pourront aussi l'utiliser et le nourrir avec leurs données, sans crainte d'espionnage. Certaines entreprises de défense, les grandes comme les PME, pourront travailler sur un espace militarisé secret. Quelle sera la puissance de ce supercalculateur ? Ce sera le plus gros calculateur dédié à l'IA et classifié en Europe ! Il devra être suffisamment puissant pour qu'on ait le temps de le rentabiliser. Nous allons très vite lancer la procédure d'acquisition, afin de mettre en service ce supercalculateur en 2025. C'est un investissement qui sera sans doute compris entre 200 et 300 millions d'euros. Il pourra d'ailleurs profiter à d'autres ministères. Qui dirigera l'agence ? Elle sera dirigée par Bertrand Rondepierre, ancien responsable des produits futurs de Deepmind, le laboratoire d'intelligence artificielle de Google. Comme Arthur Mensch, le cofondateur de Mistral AI , il est passé par Polytechnique et Google et a acquis une renommée internationale. L'un quitte Google pour fonder sa propre société et l'autre pour servir un projet militaire de grande ampleur, ce sont deux exemples enthousiasmants. Quel est l'objectif ? J'ai la conviction que la France sera le numéro 1 en Europe de l'IA militaire et dans le Top 3 mondial. A condition de poser les bonnes fondations maintenant. Il y a en France un bon terreau, mais il faut mettre les bouchées doubles, car aujourd'hui dans la guerre des talents, tout va très vite. Et en matière d'IA, la qualité prime sur la quantité. Un plan pour l'IA militaire avait déjà été lancé en 2019. Etait-il insuffisant ? Il a permis à de nombreux projets d'émerger au sein des armées. Le ministère des Armées recense déjà plus de 400 cas d'usage, du stade de l'idée au développement en cours. Mais il s'agit désormais de passer à l'âge adulte et de construire un outil qui sera au service de l'armée française, de la DGA, de la DGSE, de notre industrie de défense, voire des entreprises privées du secteur civil, qui ont besoin d'un espace protégé. Quels seront les champs d'activité de l'agence ? L'IA réinterroge tous les équipements de l'armée, du Rafale au sous-marin nucléaire jusqu'au drone miniaturisé des forces spéciales. Prenez l'exemple des oreilles d'or, ces sous-mariniers capables à l'oreille de tracer la signature acoustique d'un sonar de sous-marin d'un autre pays. Nos premiers essais en matière d'IA appliquée à l'acoustique sous-marine sont bouleversants, qu'il s'agisse de vérifier ce qu'un humain a déjà détecté ou de donner un diagnostic bien plus rapidement. Admettons que l'IA parvienne à de meilleurs diagnostics que l'oreille d'or et que ce soit votre adversaire qui la possède, tous vos investissements dans des sous-marins de troisième génération deviendraient relatifs. Plus l'IA devient puissante, plus elle risque de remettre en cause des équipements qu'on pensait établis. Elle bouleversera même les états-majors. Lorsqu'on voit le nombre d'officiers d'états-majors qui se penchent autour d'une carte pour la planification d'opérations, on peut penser que l'IA pourrait les aider… Ne serait-ce que dans la rédaction de leurs notes de synthèse, afin de dégager plus de temps pour les fonctions militaires et moins pour les tâches administratives. Des applications civiles, duales, seront sans doute possibles… L'intelligence artificielle pourra être mise au service de la gestion de ce ministère de 260.000 personnes. L'IA doit ainsi permettre une meilleure maintenance de nos équipements. Si demain, l'ordinateur interne d'un A400M ou d'un Rafale offre un autodiagnostic, cela permettra d'adapter bien plus intelligemment les révisions et les réparations et d'opérer une révolution dans la gestion des pièces de rechange. Cela intéressera sans doute des compagnies aériennes civiles… Les leçons tirées de la guerre en Ukraine peuvent-elles inspirer l'agence ? C'est déjà le cas. Par exemple, sur la guerre des drones. Ceux-ci sont très vite brouillés. Un drone doté d'IA qui serait capable de continuer sa mission une fois qu'il a perdu le contact avec son pilote, serait bien plus redoutable qu'un drone sans IA ! Le canon Caesar est un autre exemple intéressant. On a des problèmes d'obus en Ukraine. Le meilleur remède serait d'en consommer moins. S'il vous faut 10 obus pour marquer votre cible ou si vous arrivez à le faire dès le premier coup, cela change la donne. Il y a un travail en cours pour que l'intelligence artificielle assiste l'artilleur en facilitant le verrouillage de la cible. L'IA se développe aujourd'hui dans le secteur privé. Elle n'a pas attendu un grand plan militaire… C'est exact. Si l'IA a sans doute bénéficié de financements militaires aux Etats-Unis, elle se développe surtout grâce aux Gafam. Mais pensez-vous, par exemple, que l'on puisse confier le développement de l'IA dans le domaine de la dissuasion à des entreprises comme Google ? Non, bien entendu ! Le plan que je veux défendre ne vise pas à concurrencer les initiatives privées. L'enjeu est ni plus ni moins que de garantir la survie du modèle souverain et autonome de la défense française. 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 3 juin Share Posté(e) le 3 juin Vidéo très intéressante sur la "théorie de l'internet mort" et l'impact de l'IA à ce titre. Google Gemini en prend pour son grade et c'est assez drôle si on fait bien sûr abstraction du danger hallucinant que représente les défaillances involontaires (?) de cette IA. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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