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Israël est le 4ème exportateur mondial d’armes !


Mani

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Saudi choice for targeting pod won’t be Israeli

Typhoon combat aircraft destined for Saudi Arabia are set to be fitted with a French-made targeting pod rather than the Israeli system fitted by the British Royal Air Force.

BAE Systems inked a deal earlier this year to deliver 72 Typhoons to the Saudi air force. Part of that agreement involves Thales supplying the Damocles designator pod, said industry sources at the show.

Thales said it didn’t know anything about the decision. BAE wouldn’t comment.

The British have purchased 20 Litening III pods from Israel’s Rafael as an urgent operational requirement to fit out Typhoon aircraft with an initial air-to-ground capability.

But fitting Israeli equipment to a Saudi fighter is a nonstarter, so the British have opted to use the Damocles.

The designator pod is already being delivered to the Saudi air force as part of an upgrade to its Tornado strike fleet being undertaken by the British.

The Dubai 2007 Show News reported Nov. 13 that the Saudis were acquiring 30 pods for its Tornado update.

The French company has teamed with Riyadh-based AEC to produce parts for the Damocles, according to Show News.

Thales declined to comment on the Tornado deal, but a picture in the paper of a Saudi Tornado flying with the targeting pod fitted appears to settle any debate on the issue.

France, Malaysia and the UAE have already purchased the pod.

Britain could become another customer as the Royal Air Force considers what to do about a targeting pod beyond the 20 already ordered from Rafael to meet immediate requirements.

The British are already investigating their options and have test-flown at least one pod other than the Litening recently.

Industry sources here said the Lockheed Sniper pod, Damocles and a possible British/French development could be among the options. The Sniper was selected recently for use on Harrier GR9s as an urgent operational requirement for aircraft in Afghanistan.

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ISRAEL BUSINESS : Le total des ventes d’IAI atteint 2,4 milliards de dollars pour les 3 premiers trimestres de 2007.

Le total des ventes d’IAI atteint 2,4 milliards de dollars pour les 3 premiers trimestres de 2007, en progression de +20%.

Israel Aerospace Industries vient de publier son rapport financier pour le 3ème trimestre de 2007.

La société israélienne pulvérise ses records avec déjà 2,4 milliards de dollars atteints à la fin du mois de septembre, dont 777 millions de $ au 3ème trimestre.

83% de cette somme, soit environ 1,8 milliards de dollars, correspond à des exportations.

Les bénéfices nets d’IAI sont de 36 millions de dollars pour le troisième trimestre, ils ont augmenté de 56% par rapport à la même période de 2006.

Itzhak Nissan, le PDG d’IAI remarque que toutes ces performances ont été réalisées en « interne », c’est-à-dire sans fusions ni acquisitions.

Il a également souligné les grandes réussites de la compagnie, le test réussi du missile anti missile Arrow, le lancement du satellite Ofek 7, les ventes de plus de 60 jets privés…

Yair Shamir, le président d’IAI affirme : « le management s’aligne sur sa stratégie, ce qui se retrouve dans les bénéfices d’exploitation qui ont augmenté de 170% par rapport au trimestre correspondant (de 2006, ndlr) ».—

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Il parait que c'est un vehicule d'origine Israelienne, le Ram-2000

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Tchad: combats très violents à l'est

Les combats en cours, pour la troisième fois en quatre jours, dans l'extrême est du Tchad entre armée et rebelles sont d'une violence et d'une intensité rares, ont affirmé des sources militaires tchadiennes.

Selon ces sources, des combats d'une telle violence ne s'étaient pas déroulés depuis longtemps dans l'est du Tchad.

"Depuis lundi, c'est la troisième fois que les deux camps se font face colonne contre colonne, sans se défiler, avec un très forte détermination de part et d'autre", a expliqué une source militaire.

Selon les deux camps, l'Armée nationale tchadienne (ANT), lancée depuis lundi à la poursuite des rebelles de l'Union des forces pour la démocratie et le développement (UFDD), ont reçu pendant la nuit de mercredi à jeudi de nombreux renforts près du massif d'Hadjer Marfaïn, à 150 km au nord-est d'Abéché, principale ville de l'est du Tchad.

Signe de l'intensité des affrontements qui se succèdent depuis lundi, et qui ont fait voler en éclat un accord de paix signé le 25 octobre : entre 250 à 300 militaires gouvernementaux blessés ont été évacués sur N'Djamena et hospitalisés dans les différents établissements hospîtaliers de la capitale, ont affirmé des sources médicales tchadiennes.

Source: AFP

Il semble que le Ram-2000 fasse partie du parc de vehicule de la rébélion, je me demandais par quel intermédiaire il pouvait bien avoir eu ce genre de blindé ?

edit : En fin de compte les véhicules sont ceux des forces régulières du Tchad.

Il est plus sexy entier.

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11:22 L'entreprise sécuritaire israélienne Rafael va moderniser les systèmes de l'armée de l'air allemande. Elle a signé un contrat de 25 millions de dollars pour perfectionner les systèmes de pilotage, de détection d'objectifs et de ciblage d'attaque de type Lightning.  (Guysen.International.News)

Ces systèmes ont eux-mêmes été fournis par Rafael et sont installés sur les avions de chasse Eurofighter.

Les israéliens utilisent ces même systèmes ?

Je dis ça car à ma connaissance, dans un autre registre, il me semble qu'ils n'ont pas de missile Derby sur leurs avions et utilisent des AMRAAM pour des raisons de budget alors qu'ils vendent ce même Derby à l'export. :-[

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En 2006, c'est la France le quatrième exportateur d'armes avec 5,74 milliards d'euros de prises de commandes et 4 milliards d'euros de livraisons.

Détails dans le journal "Le Monde" :

Le marché mondial de l'armement n'est guère soumis à la conjoncture : si la concurrence est parfois acharnée entre les principaux vendeurs, ceux-ci ont une réputation bien établie auprès de leurs clients. D'une année sur l'autre, on retrouve une grande stabilité. En 2006, dernière année de référence du "Rapport au Parlement sur les exportations d'armement de la France", publié, mardi 4 décembre, par le ministère de la défense, les commandes d'exportation françaises se sont élevées à 5,74 milliards d'euros et les livraisons à 4,03 milliards d'euros.

C'est un résultat comparable à celui de 2005, l'année 2004 (avec 7,125 milliards d'euros) ayant été exceptionnelle. Ces exportations ont une incidence non négligeable sur l'équilibre de la balance commerciale, puisque le solde positif des transferts d'armement s'élève chaque année à plus de 3,7 milliards d'euros, alors même que les exportations d'armement ne représentent qu'environ 1,6 % des exportations françaises.

La volonté du gouvernement est de fortement dynamiser ce secteur, comme le montre la mise en place de la Commission interministérielle de soutien aux exportations de défense et de sécurité, le 1er octobre.

Le classement des clients de la France reste stable : l'Arabie saoudite (premier client avec 0,89 milliard de prises de commande), les Emirats arabes unis, l'Australie, la Corée du Sud et le Maroc représentent 50 % des commandes, alors que les achats des Etats-Unis, de la Malaisie et de la Bulgarie progressent.

PROGRESSION DE LA RUSSIE

Les avions de combat et armements associés ont représenté à eux seuls le tiers des exportations françaises au cours des vingt dernières années, grâce, notamment, aux ventes de Mirage 2000. Les missiles surface-air (Crotale, Mistral et Roland) et les bâtiments de surface constituent les second et troisième postes d'exportations, suivis par les missiles antinavires (Exocet) et antichars (Hot, Milan). Le segment des hélicoptères est en forte croissance avec les appareils NH-90 et Tigre.

Au total, la France reçoit entre 4 000 et 6 000 contrats d'armement, de tous montants, chaque année. Le nombre de demandes d'agréments préalables examinées a augmenté de 45 %, de 1996 à 2006.

En 2006, 85 refus d'exportation français ont été notifiés. Ils concernent principalement l'Asie du sud, l'Afrique du nord et l'Asie du nord-est. Les deux principaux motifs de refus sont liés à la situation intérieure dans le pays de destination finale (tensions, conflits armés) et la préservation de la paix et de la stabilité régionale. Les matériels visés par ces refus sont souvent les mêmes : composants électroniques (transferts de technologies), équipements de surveillance (caméras, radars) ou d'intervention (hélicoptères), ainsi que les munitions et les armes légères.

Ces résultats permettent à la France de se maintenir au 4e rang mondial, derrière les Etats-Unis, le Royaume-Uni et la Russie. Celle-ci poursuit une nette remontée depuis 2000, ce qui lui a permis de ravir à la France la 3e place en 2005. Les fortes ambitions de Moscou dans ce domaine s'appuient sur une restructuration du secteur industriel russe et une amélioration qualitative de l'offre. La part des Etats-Unis a tendance à se renforcer (55 % du total mondial), alors que l'Union européenne approche les 30 %.

Globalement, le volume mondial des transferts d'armement se situe depuis une dizaine d'années à un niveau moyen de 55 milliards d'euros par an, avec cependant une progression à 65 milliards d'euros en 2006. Le plus marquant est la progression du marché de l'occasion, avec l'apparition "d'un foisonnement de matériels relativement rustiques vendus à bas prix, souvent issus des surplus des anciens protagonistes de la confrontation Est-Ouest ou des conflits plus récents".

De 1996 à 2006, les quatre premiers exportateurs mondiaux ont représenté plus de 85 % du total des ventes d'armement. Si l'on ajoute l'Allemagne et Israël, plus de 90 % du commerce mondial est couvert. Viennent ensuite la Chine, l'Italie, l'Espagne, la Suède, le Brésil, l'Afrique du Sud et la Corée du Sud.

Laurent Zecchini

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Dommage qu'Israël ne vende pas ses merkava ou ne produise pas ses propres avions et bâteaux, ça ferait plus de rentrées. =|

A mon avis pour vendre à des pays tiers, Israel a besoin du feu vert de Washington sans cela pas question.

Il suffit de regarder la vente des Awacs, Phalcon, Barak, Spyder, Derby, UAVs, ... tout passe par un accord préalable des Etats-Unis.

La France n'a pas ce genre de problème, c'est un état indépendant en la matière.

J'ai lu un article comme quoi Israel a dû annuler un contrat avec l'Inde sous pression américaine.

Non seulement, les Israéliens sont pris par leur piège d'alliance avec les Etats-Unis mais de plus les industriels américains d'armement font pression sur la Maison Blanche pour écarter Israel de juteux contrats avec des pays tiers. Exemples : Chine & Inde.

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A mon avis pour vendre à des pays tiers, Israel a besoin du feu vert de Washington sans cela pas question.

Il suffit de regarder la vente des Awacs, Phalcon, Barak, Spyder, Derby, UAVs, ... tout passe par un accord préalable des Etats-Unis.

La France n'a pas ce genre de problème, c'est un état indépendant en la matière.

J'ai lu un article comme quoi Israel a dû annuler un contrat avec l'Inde sous pression américaine.

Non seulement, les Israéliens sont pris par leur piège d'alliance avec les Etats-Unis mais de plus les industriels américains d'armement font pression sur la Maison Blanche pour écarter Israel de juteux contrats avec des pays tiers. Exemples : Chine & Inde.

ouais c'est vrai et c'est bien dommage. =(

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A mon avis pour vendre à des pays tiers, Israel a besoin du feu vert de Washington sans cela pas question.

Il suffit de regarder la vente des Awacs, Phalcon, Barak, Spyder, Derby, UAVs, ... tout passe par un accord préalable des Etats-Unis.

La France n'a pas ce genre de problème, c'est un état indépendant en la matière.

J'ai lu un article comme quoi Israel a dû annuler un contrat avec l'Inde sous pression américaine.

Non seulement, les Israéliens sont pris par leur piège d'alliance avec les Etats-Unis mais de plus les industriels américains d'armement font pression sur la Maison Blanche pour écarter Israel de juteux contrats avec des pays tiers. Exemples : Chine & Inde.

Rappelons quand même que officiellement, le Merkava n'est pas commercialisé hors Israël pour "secret militaire", et pourquoi pas après tout ? c'est une mentalité particulière que celle de ce pays qui vit "entouré d'ennemis" comme ils le disaient à une époque (pas is lointaine)
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Il me semble que le Merkava III Baz est proposé à l'exportation... Il en est de même pour le Sabra (un M60A3 modernisé) vendu à la Turquie. Israël propose de revaloriser les M60 encore en ligne de part le monde avec ses technologies et en a le monopole, les Etats-Unis ne proposant pas ce genre de retrofit pour un char qui est pourtant américain.

Pour les autres exportations israéliennes faisant l'objet de pressions américaines, il faut dire que la plupart des matériels israéliens comprennent des technologies américaines ou sont conçus pour des matériels américains (vu qu'Israël en ait équipé majoritairement). Par conséquent, il est assez logique que les Etats-Unis exercent un droit de regard sur ces exportations voire se permettent de couler la concurrence israélienne lorsqu'ils proposent leur propre technologie. Mais Israël peut faire le jeu des Etats-Unis également quand ces derniers ne peuvent exporter leurs technologies directement pour des raisons politiques et laissent faire Israël.

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Il me semble que le Merkava III Baz est proposé à l'exportation... Il en est de même pour le Sabra (un M60A3 modernisé) vendu à la Turquie. Israël propose de revaloriser les M60 encore en ligne de part le monde avec ses technologies et en a le monopole, les Etats-Unis ne proposant pas ce genre de retrofit pour un char qui est pourtant américain.

Ouais j'ai vu que les israéliens faisaient beaucoup d'upgrade à l'export, il y a un gros marché ?

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ISRAEL CHINE ARMES - CONFIDENTIEL - La Chine passe à la vitesse supérieure en matière d'achats de Technologies d'Israël

Une délégation militaire chinoise se rend en Israël cette semaine pour, officiellement, faire “une visite amicale”.

Selon des informations exclusives d’IsraelValley à Jérusalem, la visite des représentants des forces armées Chinoise en Israël va aller largement au-delà d’une visite “d’amitié”.

Ehoud Barak, le Ministre israélien de la Défense pense que la Chine doit devenir le partenaire PRIORITAIRE d’ISRAEL en matière de coopérations dans le secteur de l’armement.

Israël fait donc TOUT pour transmettre aux Chinois des technologies sensibles. Les Américains ferment les yeux sur cette collaboration qui dans certains cas porte préjudice à des firmes US qui veulent travailler en direct en Chine.

Selon nos informations la RUSSIE, qui vend des armes à la SYRIE, est devenue aux yeux des Israéliens un pays non-ami. La Chine et l’Inde sont les deux pays cibles d’Israël.

Communiqué officiel Chinois : “Une délégation de l’Armée Populaire de Libération (APL) de Chine a quitté Beijing vendredi matin pour une visite officielle d’amitié en Israël, selon le ministère chinois de la Défense nationale.

La délégation, conduite par Zhang Li, chef adjoint de l’Etat major de l’APL, effectue cette visite sur les invitations respectives des forces armées israéliennes”.—

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Dans le classement on a oublié les Britanniques.  ;)

Cette année, beaucoup de contrats français nous sont passés sur le nez.

2 BPC 250 à Canberra, 3 à 6 sous-marins au Pakistan, 197 Fennec en Inde, 24 Rafale au Maroc....des contrats en Arabie-Saoudite, cela m'étonnerait qu'on soit toujours dans le tiercé de tête.  ;)

Vendre des armes à la Chine, c'est enrhummer Washington.

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  • 4 weeks later...

Israeli radar for Indian Navy 

New Delhi, Jan 3: Sophisticated Israeli counter electronic equipment and radar systems would soon be installed on board new Indian naval warships.

The way for joint production of such systems within India could be paved during Naval Chief Admiral Sureesh Mehta's visit to Tel Aviv beginning tomorrow.

Mehta's four-day visit comes close on the heels of a tour here by a top-level Israeli defence team headed by the country's Director General of the Ministry of Defence Brig Gen Pinchas Buchris.

During his stay in Tel Aviv, Mehta will hold talks with his Israeli counterpart Vice Admiral David Ben Bashat and also call on the Israeli Defence Minister. He will also visit some key defence industries. (Agencies)

India signals strong defence cooperation with Israel

JERUSALEM: Ways to explore possibilities of furthering Indo-Israel defence cooperation are expected to figure in talks Indian Navy Chief Admiral Sureesh Mehta will have with top defence officials of the Jewish state during his four-day visit which began in Jerusalem on Sunday.

Mehta, who is the Chairman of the Chiefs of Staff Committee, will also be meeting Israel's Defence Minister Ehud Barak tomorrow, besides Israel Defence Forces (IDF) Chief of Staff, Gabi Ashkenazi, director general of the defence ministry, Pinchas Buchris, and heads of different branches of the IDF.

"The meetings will explore possibilities of further cooperation and review ongoing exchanges between the two sides," defence sources here said, adding they "attach a lot of significance to ties with India".

His visit being described by defence sources here as "protocol exchanges at the level of Navy chief" means that the chiefs of all the three wings of the Indian defence establishment have been to Israel during the last one and a half years, sending a clear message of further strengthening wide-ranging defence ties between the two countries.

India and Israel earlier this week held a Joint Working Group meeting on defence in Delhi in which the Israeli team was headed by Buchris.

According to the Israeli defence ministry, India is single largest importer of its defence equipment, which constitutes about 50 per cent of Israel's defence exports and about 30 per cent of India's imports.

The Indian Air Force is likely to get four Phalcon airborne early warning radar systems (AWACS) worth 1.1 billion USDs sometime this year boosting India's reconnaissance capabilities.

 
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  • 4 months later...

ISRAEL INDE DEFENSE - Des milliards de dollars de contrats pour IAI qui forme une JV avec TATA.

IAI vient de signer un accord qui fixerait le cadre d’une coopération avec le groupe indien TATA pour créer une joint venture en Inde spécialisée dans le secteur de la Défense.

Les signataires de cet accord seraient Itzhak Nissan, le CEO d’IAI, et Ratan N. Tata.

Un autre accord entre l’Inde et le groupe IAI a été récemment signé pour la création d’une joint-venture avec le groupe indien TATA dans le domaine des drones et des missiles. Cet accord devrait atteindre 1,5 milliard de dollars.

D’après certains spécialistes, l’Inde devrait investir plus de 100 milliards de dollars dans des nouveaux systèmes de défense dans les dix prochaines années, ce qui en fait l’un des plus importants marchés de ce secteur.

TATA s’intéresse de plus en plus à Israël, elle a annoncé récemment son intention de recruter 500 employés pour son unité israélienne spécialisée dans les logiciels, et cela dans les trois prochaines années.

Selon Shmuel Bank, patron de TCS, la division « high tech » de Tata en Terre sainte, la priorité sera donnée au recrutement local.

Tata est installée en Israël depuis deux ans et demi.

Notons que Ratan Tata, à la tête de la plus grande compagnie indienne, est actuellement en Israël accompagné par une délégation de hauts dirigeants indiens.

Mr Tata a été invité par le président Shimon Peres à l’occasion du soixantième anniversaire de l’Etat d’Israël. Il doit profiter de cette visite pour étudier les opportunités de coopération avec les sociétés israéliennes.

Tata a récemment fait la une des journaux avec le lancement de sa voiture la moins chère du monde. Bien que ce véhicule ne respecte pas les normes de sécurité des pays développés, ses ventes devraient exploser dans les pays en voie de développement.

Rappelons enfin que les commandes d’IAI ont atteint 7,3 milliards de dollars fin 2007.—

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