Tancrède Posté(e) le 16 janvier 2007 Share Posté(e) le 16 janvier 2007 Je me corrige: j'ai mentioné Epaminondas de Sparte: erreur de frappe. C'est de Leonidas dont je parle. l'homme des Thermopyles. Est-il besoin de plus préciser? A Davout: J'avais mentioné le Chevalier Paul. Na. [08] Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Boucicault Posté(e) le 16 janvier 2007 Share Posté(e) le 16 janvier 2007 Oui car Epaminondas est thébain et a justement battu les spartiates à Mantinée entre autres. J'aime bien Cortez personnellement, le coté tête brulé. Le gars brule ses navires et part avec une centaine de gars envahir une terre inconnue (qui commence par de la jungle plutot impénétrable). Bon la motivation n'est pas la plus noble mais c'est la classe. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Fusilier Posté(e) le 16 janvier 2007 Share Posté(e) le 16 janvier 2007 Oui car Epaminondas est thébain et a justement battu les spartiates à Mantinée entre autres. J'aime bien Cortez personnellement, le coté tête brulé. Le gars brule ses navires et part avec une centaine de gars envahir une terre inconnue (qui commence par de la jungle plutot impénétrable). Bon la motivation n'est pas la plus noble mais c'est la classe. Ah! c'est vrai qu'il y a toute la bande des conquistadors, quoique de tous Cortez est peut-être le plus sensé, comparé à Pizarro par exemple....Drôle de terre l'Extremadure pour donner des gars comme ça (ils étaient quasiment tous originaires d'Extremadure) Après sur les motivations on a beaucoup glossé sur la "soif de l'or" mais c'est oublier que l'on tout juste au début de la Rénaissance, ce sont des types qui sortent du Moyen Age; pour eux le droit de conquête est dans l'ordre des choses... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
FX Posté(e) le 16 janvier 2007 Share Posté(e) le 16 janvier 2007 n'allez pas chercher sur le wiki "n'importe quel type" (je m'entends par "ni'importe quel"), choisissez en un GRAND, un MYTHIQUE en voici un(e) autre (il n'ya que des hommes dans vos choix): Jeanne d'Arc [11] [27] Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Nkg-56 Posté(e) le 16 janvier 2007 Share Posté(e) le 16 janvier 2007 n'allez pas chercher sur le wiki "n'importe quel type" (je m'entends par "ni'importe quel"), choisissez en un GRAND, un MYTHIQUE en voici un(e) autre (il n'ya que des hommes dans vos choix): Jeanne d'Arc [11] [27] Je veux bien pour le mythique de Jeanne d'Arc - mais en dehors de sa portée symbolique ce n'est pas quelqu'un de très intéressant. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Fusilier Posté(e) le 16 janvier 2007 Share Posté(e) le 16 janvier 2007 n'allez pas chercher sur le wiki "n'importe quel type" (je m'entends par "ni'importe quel"), choisissez en un GRAND, un MYTHIQUE en voici un(e) autre (il n'ya que des hommes dans vos choix): Jeanne d'Arc [11] [27] La question était : quels sont vos personnages militaires préfèrés. Il se trouve que dans l'histoire militaire les femmes militaires sont plutôt rares...Il y a bien quelques héroines (plus ou moins mythiques) de ci de là mais franchement pas grand chose de vraiment intéressant .... Tu as parfaitement le droit d'avoir Jeanne D'Arc comme personnage préfèré, mais bon du point de vue militaire.... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Davout Posté(e) le 16 janvier 2007 Share Posté(e) le 16 janvier 2007 La question était : quels sont vos personnages militaires préfèrés. Il se trouve que dans l'histoire militaire les femmes militaires sont plutôt rares...Il y a bien quelques héroines (plus ou moins mythiques) de ci de là mais franchement pas grand chose de vraiment intéressant .... Tu as parfaitement le droit d'avoir Jeanne D'Arc comme personnage préfèré, mais bon du point de vue militaire.... C'est quand même la guerre de cent ans qui l'a révélée et puis elle a commandé une armée française alors si l'on fait abstraction du côté religieux, elle a quand même joué le rôle d'un chef de guerre (en armure). Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Fusilier Posté(e) le 16 janvier 2007 Share Posté(e) le 16 janvier 2007 C'est quand même la guerre de cent ans qui l'a révélée et puis elle a commandé une armée française alors si l'on fait abstraction du côté religieux, elle a quand même joué le rôle d'un chef de guerre (en armure). Tu y crois vraiment? C'est une super légende ça d'accord... Mais si mes souvenirs sont bons elle dévait avoir dans les 17 ans et toute cette histoire (en ne comptant pas le procès) à du durer un an au maximum....Et à moins d'évoquer effectivement les puissances divines je vois mal comment une simple bergère (et même une démoiselle..) aurait pu apprendre quoi que ce soit qui tienne la route en termes militaires à cette époque (la formation des chévaliers était plutôt longue..) Et un an c'est un peu court pour se former... Et puis vous imaginez une frêle démoiselle porter l'armure? Vous savez combien ça pessait ces trucs là? Et puis de toutes manières les stratégie et tactique militaires à cette époque s'étaient plutôt ras des paquerettes... Mais comme je l'ai déjà dit on le droit d'admirer Jeanne ce n'est pas le problème Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Davout Posté(e) le 16 janvier 2007 Share Posté(e) le 16 janvier 2007 Tu y crois vraiment? C'est une super légende ça d'accord... Mais si mes souvenirs sont bons elle dévait avoir dans les 17 ans et toute cette histoire (en ne comptant pas le procès) à du durer un an au maximum....Et à moins d'évoquer effectivement les puissances divines je vois mal comment une simple bergère (et même une démoiselle..) aurait pu apprendre quoi que ce soit qui tienne la route en termes militaires à cette époque (la formation des chévaliers était plutôt longue..) Et un an c'est un peu court pour se former... Et puis vous imaginez une frêle démoiselle porter l'armure? Vous savez combien ça pessait ces trucs là? Et puis de toutes manières les stratégie et tactique militaires à cette époque s'étaient plutôt ras des paquerettes... Mais comme je l'ai déjà dit on le droit d'admirer Jeanne ce n'est pas le problème D'accord avec toi, aucune tactique ou stratégie militaire juste du charisme et qui sait une chance insolente... Mais sans cette guerre, nul n'aurait jamais entendu parlé d'elle, c'est la guerre qui l'a révélée. Selon moi, elle fait pleinement partie de l'histoire militaire française. Ce n'est pas le psychopathe qui l'a secondé, le connétable Gilles de Rais qui peut être gratifié des victoires qu'elle a remporté... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Fusilier Posté(e) le 16 janvier 2007 Share Posté(e) le 16 janvier 2007 D'accord avec toi, aucune tactique ou stratégie militaire juste du charisme et qui sait une chance insolente... Mais sans cette guerre, nul n'aurait jamais entendu parlé d'elle, c'est la guerre qui l'a révélée. Selon moi, elle fait pleinement partie de l'histoire militaire française. Ce n'est pas le psychopathe qui l'a secondé, le connétable Gilles de Rais qui peut être gratifié des victoires qu'elle a remporté... En fait à Orleans il avait d'autres chefs mais là j'avoue ne pas me souvenirs des noms. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Tancrède Posté(e) le 16 janvier 2007 Share Posté(e) le 16 janvier 2007 C'est justement là où le sujet me pose problème chers amis: si on touche uniquement au mythique, aux personnages de dimensions titanesques, on va retomber sur les 3 ou 4 mêmes tout le temps: Alexandre, Gengis Khan, César, Qin, Napoléon, Babhur le grand, Tamerlan et quelques autres, plus peut être un ou deux héros bien sexy et plus ou moins réels (Hector, Roland, Bayard, Guillaume le Maréchal). D'où mon insistance sur le terme de "personnage" et ma classification en chefs de guerres/officiers de tous rangs/soldats/aventuriers. Tous appartiennent à l'histoire, mais ils n'y ont pas participé ni à la même échelle, ni de la même façon. Du coup, on ne les admire pas pour les mêmes raisons. Mais tous sont exemplaires de qualités, de principes, de valeurs, de capacités, mais aussi de défauts et d'erreurs correspondants à leurs niveaux et à leurs modes d'action. Exemples, à chaque degré: - Louis VIII le lion: fils de Philippe Auguste, il n'a régné que 3 ans (1223-1226) en raison d'une mort prématurée. Mais avant même de régner, quelle vie! Il est vainqueur de Jean Sans Terre, roi d'Angleterre, à la Roche Aux Moines dans le même temps où son père ratatine l'Empereur, les Flandres et une troupe anglaise à Bouvines. Avant cela, il a été de toute la reconquête de la France par Philippe Auguste. Et la cerise sur le gâteau, il se voit proposer la couronne d'Angleterre par les barons anglais révoltés. Il envahit l'Angleterre en 1216, prend Londres et s'y fait reconnaître roi (non couronné encore cependant) en recevant l'hommage des grands seigneurs d'Angleterre (y compris du roi d'Ecosse). Pendant un an, il conquiert les deux tiers de l'Angleterre. Seuls la défection des barons anglais (qui, parce que Jean vient de mourir, préfèrent le jeune Henri III, plus faible qu'un Louis VIII énergique et puissant) et l'interdit du pape (qui empêche Philippe Auguste d'approvisionner l'armée de Louis VIII et surtout de lui envoyer des renforts) l'empêchent de s'imposer. Il est contraint de quitter l'Angleterre en 1217. C'est l'un des plus grands "et si ..." de l'histoire européenne. - officiers: le général puis colonel (sur sa volonté) Magrin-Vernerey, dit Monclar: un héros, un chef charismatique, un meneur d'hommes, un tacticien hors pair à la bravoure fabuleuse, mais aussi le 2ème papa de la Légion, celui qui l'a reformée après guerre pour en faire un outil de combat terrible. Héros de la 1ère Guerre Mondiale (7 blessures, réformé à 90%, 2 trépanations, 11 citations), il est de tous les points chauds de l'entre deux guerres (Ukraine, Levant, Rif, Syrie...) où il continue à montrer sa valeur. Vainqueur à Narvik en 40, il est le seul rallié à De Gaulle à ramener une unité complète, la 13ème DBLE. De la Syrie à Tunis en passant par l'Erythrée, il fait toutes les campagnes du Levant et d'Afrique. En 1951, il se porte volontaire pour diriger le bataillon de Corée comme simple Lieutenant Colonel (il était déjà général de division): inutile de rappeler l'eceptionnel comportement de ce bataillon. C'est l'un des plus grands théoriciens et meneur d'hommes de l'histoire de l'infanterie. - Soldats: Théophile Malo Corret de la Tour d'Auvergne. Incarnation de l'honnêteté, de la modestie, de la générosité et du courage; ce fils de régisseur, descendant par la main gauche de la famille de Turenne (il obtient le droit de porter le nom de la famille grâce à un descendant de Turenne qu'il a aidé à recouvrer son héritage; celui-ci lui propose une partie de cet héritage, et l'homme refuse) commence sa carrière dans les mousquetaires du roi, passe un moment au service de l'Espagne, rallie les armées de la Révolution et dirige les compagnies de grenadiers utilisées comme troupes de choc dans l'armée des Pyrénées. Par la suite, prisonnier sur un ponton anglais, il revient en France et remplace le fils d'un ami recruté de force par la conscription, comme simple troufion dans l'armée du Rhin, à 55 ans. Il meurt au combat en 1800. Dans toute sa carrière militaire, il fut loué pour sa bravoure et son efficacité exemplaires autant que pour sa générosité et sa modestie: titulaire de nombreuses décorations (y compris espagnoles), il en refusa toujours les bénéfices financiers (s'offrant aussi le luxe de refuser ceux offerts par le roi d'Espagne). Il refusa de même un siège de Parlementaire au Corps Législatif après le 18 Brumaire, préférant le combat. Lazare Carnot, Napoléon, St Cyr, Hoche, Augereau, Ney, Lecourbe, Dugommier, Turreau, Dagobert, D'Aoust.... Tous ces généraux ne tarissaient pas d'éloges sur le personnage. Tous les généraux sous lesquels il servit demandaient sa présence lors des conseils de guerre, mais il refusa toutes les offres de promotion. Napoléon lui donna le seul titre qu'il accepta, celui de "1er grenadier de la République". A sa mort, l'armée entière observa le deuil, et un monument lui fut dédié. Son nom apparaît sur l'Arc de Triomphe, alors qu'en théorie, il n'y a que des noms de victoires, de révolutionnaires (politiques) et d'officiers. - Les hors catégorie: Sir Sydney Smith; "cet homme m'a fait manquer ma fortune" a dit de lui Napoléon. Que peut-on ajouter? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Tancrède Posté(e) le 16 janvier 2007 Share Posté(e) le 16 janvier 2007 La grandeur de Jeanne d'Arc, c'est d'avoir été le plus grand porte étendard de l'histoire du monde. Elle a, à elle seule, inversé le cours de la guerre en faisant changer l'espoir et la résolution de camp. Après cela, qu'elle ait eu ou non des compétences militaires ou le QI d'un pois-chiche, on s'en tape. Ce qui est sûr et accepté par tous les historiens, c'est sa bravoure insensée, son charisme et sa capacité de meneuse d'hommes. Et ça, ça compte sacrément. Sinon, elle est arrivée à un moment où de vrais capitaines compétents émergeaient du processus darwinien qui avait vu disparaître les grands seigneurs qui passaient leur temps à refuser de coopérer, à se tirer dans les pattes et à sa faire des illusions sur le maintien d'une guerre de chevaliers. Dunois, le bâtard d'Orléans, a été la tête pensante de l'armée. Les autres chefs: Alençon, Gille de Rais, La Hire, Poton de Xaintrailles, Jean De Brosse, Jean Burrau... Mais des femmes héroïques au combat et/ou chef de guerre existent autrement que pour l'anecdote. le XXème siècle en est rempli, mais même avant: - Bouddica, reine des Icéniens et chef de la révolte des Bretons contre Rome - Sikelgaita, femme de Robert Guiscard, reine et combattante à Dyrrachium contre les Bizantins - Et une héroïne: Thérèse Figueur, dite Mlle Sans-Gêne (la "vraie" !). D'elle, dans une lettre au colonel Coulommier, le général comte Cafarelli disait : "Je n'ai jamais connu de soldat plus brave ! Née à Talmay, près de Dijon, le 17 janvier 1774, orpheline l'âge de neuf ans, Thérèse se trouve en Avignon avec son oncle, Joseph Viart, sous-lieutenant dans le régiment de Dienne-Infanterie, qui l'a recueillie lorsque la province, irritée par la proscription des Girondins par la Convention le 2 juin 1793, se rebelle contre Paris et arme des troupes. La Convention leur donne le nom de Fédéralistes. Parmi eux, Thérèse Figueur qui confesse avoir eu, à cette époque, des sympathies royalistes. Soldats d'occasion, les Fédéralistes ne tiennent pas devant les Républicains du général Carteaux, et la troupe avec laquelle combat Thérèse Figueur en tenue de canonnier - habit bleu de roi, pantalon de coutil rayé bleu et blanc - est défaite près de Marseille. Emmenée prisonnière à Lambesc malgré de très véhémentes protestations, dans lesquelles son sobriquet puiserait son origine (ou peut-être après on son enrôlement), la jeune fille soldat se voit confrontée à une alternative simple : l'enrôlement sous la bannière de la République ou le "rasoir national" (entendez: la guillotine). Sagement, elle choisit le premier terme, et s'enrôle dans la Légion des Allobroges. A l'automne 1793, elle se retrouve au siège de Toulon (elle est blessée à la poitrine) auquel l'un des subordonnés du général en chef, Dugommier, prend une part active avec ses canons pour chasser les Anglais qui occupent la ville. Ce subordonné deviendra célèbre sous le nom de Napoléon. Mlle Sans-Gêne guerroie ensuite à l'armée des Pyrénées-Orientales en lutte contre les Espagnols. Là, lorsque le Comité de Salut Public décrète que les femmes ne pourront plus servir dans l’armée française, les officiers de l’armée des Pyrénées orientales signent une pétition pour demander une exception pour Thérèse : celle-ci peut rester. Elle fait ensuite la deuxième campagne d'Italie. Sa conduite lui attire une certaine sympathie de la part de Bonaparte qui l'invite à venir tenir le rôle de dame de compagnie auprès de Joséphine. En dépit des avantages attachés à la fonction, Thérèse se lasse vite de cette existence douillette et morne. L'Empire fraîchement institué lui permet de reprendre définitivement le collier militaire. Attachée au régiment de dragons, la demoiselle Sans-Gêne assiste "couverte de boue des pieds la tête et la figure toute noire de poudre", à la capitulation d'Ulm, qui, le 20 octobre 1805, oblige dix-huit généraux autrichiens et vingt-cinq mille soldats à défiler devant leurs vainqueurs. La bataille d'Austerlitz ne laisse, le croira-t-on, aucune impression particulière à Thérèse ! Mais celle d'Iéna, 9 mois plus tard, lui donne la satisfaction du devoir (bien) accompli, car elle a fait sa "petite partie dans le grand concert que nous donnâmes dans les plaines d'Iéna à messieurs les Prussiens". Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Suchet Posté(e) le 16 janvier 2007 Auteur Share Posté(e) le 16 janvier 2007 Le Monclar dont vous parlez, c'est celui qui apparait dans le film "Le dernier des Mohicans" ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Tancrède Posté(e) le 16 janvier 2007 Share Posté(e) le 16 janvier 2007 Gné??!! [57] Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Suchet Posté(e) le 16 janvier 2007 Auteur Share Posté(e) le 16 janvier 2007 Il y a un certain personnage qui est un officier français et son nom c'est Monclar, c'est l'époque de la guerre entre les Français et les Anglais pour contrôler l'Amérique du Nord. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Tancrède Posté(e) le 16 janvier 2007 Share Posté(e) le 16 janvier 2007 Ah? Là je parle du Général Raoul Magrin-Vernerey, dit Monclar (du nom d'un bled; c'est son nom de guerre en 39-45), un très grand bonhomme. C'est juste pour vous foutre de moi, ou vous apprenez authentiquement son existence? [16][09][08] Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Davout Posté(e) le 16 janvier 2007 Share Posté(e) le 16 janvier 2007 Il y a un certain personnage qui est un officier français et son nom c'est Monclar, c'est l'époque de la guerre entre les Français et les Anglais pour contrôler l'Amérique du Nord. Le film raconte la prise du fort William-Henry en 1755 si mes souvenirs sont bons et je crois que tu confonds avec le marquis de Montcalm... [08] Sinon merci Tancrède pour tes récits intéressants [11] J'ai lu récemment une histoire des descendants des Hauteville fondateurs du royaume normand dans le sud de l'Italie, en effet c'était de sacrés bougres ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Tancrède Posté(e) le 16 janvier 2007 Share Posté(e) le 16 janvier 2007 Et le patriarche fondateur des Hauteville était un certain.............. Tancrède d'Hauteville!!! Merci d'avoir participé! [13][08] Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Davout Posté(e) le 16 janvier 2007 Share Posté(e) le 16 janvier 2007 Et le patriarche fondateur des Hauteville était un certain.............. Tancrède d'Hauteville!!! Merci d'avoir participé! [13][08] De rien... [30] Ne serais-tu pas normand par hasard? [28] En parlant de normands, on peut ajouter Rollon dans notre liste de guerriers opportunistes ou grands stratèges... Ainsi que ses cousins qui ont mis à genoux les anglo-saxons en les vassalisant et en leur imposant tribut, le Danelaw. http://fr.wikipedia.org/wiki/Harald_II http://fr.wikipedia.org/wiki/Danelaw Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Suchet Posté(e) le 16 janvier 2007 Auteur Share Posté(e) le 16 janvier 2007 Le film raconte la prise du fort William-Henry en 1755 si mes souvenirs sont bons et je crois que tu confonds avec le marquis de Montcalm... [08] C'est exact... oui, j'ai confondu. Pardon de mon ignorance[10] [08] Je viens de me renseigner sur le général Monclar: quel soldat [57] !!!. 53 ans de service et 7 guerres à son actif plus la Grande Croix de la Légion d'honneur (ouf) v'la les décorations... Il aurait mérité le titre de Maréchal ... c'est un héro cet homme. http://fr.wikipedia.org/wiki/Raoul_Magrin-Vernerey Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Tancrède Posté(e) le 17 janvier 2007 Share Posté(e) le 17 janvier 2007 Le nommer Maréchal? Je suis quasiment sûr qu'il aurait été capable de refuser! C'était un commandant de terrain: un capitaine dans l'âme, expert en tactiques d'infanterie et un meneur d'hommes. A Davout: non, j'suis pas normand (bien que je sois au tiers Suédois; ça rapproche du côté Northman, même si ceux de Normandie, d'Angleterre et d'Irlande étaient plus Danois et Norvégiens): Parigot, Poitevin, Vendéen, Saintongeais, Breton, Aunissois, Cévenol; ouais, y'a de tout ça. De l'Allemand, de l'Italien, un poil de Norvégien aussi. Mais du Normand, pas un brin. Et j'ai cherché dans la généalogie. Pour Rollon; bouef. M'a jamais fasciné çui-là. Chais pas pourquoi; question de goût sans doute. Mais à la même époque, j'ai mentioné les 12 du Petit Pont lors du grand siège de Paris de 885 par les vikings. Mais j'ajoute aussi les deux meneurs de la résistance: l'évèque Gozlin, grand archer et couillu comme tout; et le Comte Eudes de paris, de la famille des Robertiens (d'après Robert le Fort) qui deviendra celle des Capétiens. J'aime bien les religieux cogneurs aussi: outre Gozlin, l'évèque de Beauvais qui participa aux charges de cavalerie à Bouvines avec Philippe Auguste en 1214; mais aussi St Martin de France (évèque d'Orléans si je me souviens bien) et St Germain dit l'Auxerrois qui alla combattre l'envahisseur saxon aux côtés des Bretons (de Grande Bretagne) et fit le coup d'épée en France aussi. Ca me donne envie d'aller me confesser ces gars là. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Tancrède Posté(e) le 17 janvier 2007 Share Posté(e) le 17 janvier 2007 Les 12 du Petit Pont, pour mémoire de Français et de Parigot: Ermenfride, Hervé, Eriland, Odoacre, Erwig, Arnold, Soties, Gozbert, Guy, Ardrade, Eynard et Goswin. Honneur aux braves, sacrifiés dans la tour de défense du Petit Pont (ce qui deviendra plus tard le Petit Châtelet) sur la Rive Gauche. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Fusilier Posté(e) le 17 janvier 2007 Share Posté(e) le 17 janvier 2007 J'avoue Tancrede que tu me laisses sur le c...l Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
lacatapulte Posté(e) le 17 janvier 2007 Share Posté(e) le 17 janvier 2007 Et tous le monde oublie Guy Moquêt, résistant parisien fussilié à l'âge de 15 ans par les Nazis lors du massacre de Chateaubriand parcequ'il était communiste et qu'il avait osé faire des tracts appelant à la grêve. Si ça c'est pas un vrai héros !!! Aux victimes de Chateaubriand, la France se doit d'être reconnaissante !!! Lacatapulte Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Davout Posté(e) le 17 janvier 2007 Share Posté(e) le 17 janvier 2007 Les 12 du Petit Pont, pour mémoire de Français et de Parigot: Ermenfride, Hervé, Eriland, Odoacre, Erwig, Arnold, Soties, Gozbert, Guy, Ardrade, Eynard et Goswin. Honneur aux braves, sacrifiés dans la tour de défense du Petit Pont (ce qui deviendra plus tard le Petit Châtelet) sur la Rive Gauche. Cette histoire me fait penser au combat des trente en Bretagne durant la guerre de cent ans. http://fr.wikipedia.org/wiki/Combat_des_Trente Juste une petite histoire dans l'Histoire... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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