Aller au contenu
Fini la pub... bienvenue à la cagnotte ! ×
AIR-DEFENSE.NET

Cyberwarfare


wielingen1991

Messages recommandés

Les salauds, à cause d'eux je suis obligé de me refaire tout un book de liens en cherchant de nouveaux sites ou de me mettre au téléchargement pour être plus tranquille (oui je n'est pas les 999999999999999999 milliards d'euro qui me permettraient de m'acheter les séries que je regarde en streaming  :oops:)...

Quel bande de bachibouzouk , si je les avais en face de moins je leurs dirais le fond de ma pensé !

Image IPB

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Pinaise en plus il y a les lois US qu'ils essaient de faire passer, PIPA et SOPA contre lesquelles Wiki, google, youtube et bien d'autres sites c'étaient mobilisés en coupant leurs sites, ça vas finir avec un net aussi fourni et diversifié que dans la fin des années 90 ou on pouvait pas faire grand chose sur internet à par regarder encarta, aller voir une vidéo d'un singe qui s'urine dans la bouche sur un site du genre Koreus (sous entendu racoleur avec des vidéos de ricains stupides), trouver des soluces de jeux sur JV.com etc.  O0

Tien d'ailleurs il y a une pétition que l'on peut encore signer et qui s'oppose à ces textes de lois, pour ceux que ça botte voila un article qui explique tout ça et le lien de la pétition :

https://secure.avaaz.org/fr/save_the_internet_action_center_fr/?aTYOzcb&s=1

Et ce n'est pas fini cette histoire avec MU/MV car apparemment videoBB aurait été victime d'un grand nettoyage de printemps, ça sent la mort du streaming à plein nez  :-[

Comment vais voir la saison 2 de GoT moi !!! :'(

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Hollywood et les maison de disque US défendent leur bout de gras, ça pèse lourd dans la richesse US l'air de rien. Pendant longtemps l'industrie de la musique et du cinéma a été la poule aux œufs d'or, ils ont pas vraiment envie que la poule arrête de pondre. Ce qui est étonnant c'est qu'a priori tout cela ne fait que retarder l'échéance ... le modèle de la rémunération de l'auteur basé sur l'achat du support physique - le livre, le disque, VHS, le blue ray - est révolu, et presque plus personne n'ai prêt a payer pour juste un droit d'usage d'un "bidule" immatériel, surtout vu les volume consommé! aujourd'hui un môme qui télécharge de la musique a du écouter plus d'album entre 0 et 15 ans qu'un adulte de la génération précédente dans toute sa vie!

Le souci c'est que l'industrie de l'entertainement est pas prête a la transition ... alors elle essaye désespérément de gagner du temps en faisant des exemples.

L'autre souci c'est que si une partie des utilisateur "illégaux" cesse, une grosse partie continue en se retranchant dans des réseaux plus discret, voire même très discret. Et le souci c'est qu'on côtoie dans ce recoin du net des gens pas forcément super fréquentable.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Le pire c'est que ce n'est plus pour des questions de copyright ou de défense des artistes à ce niveau là, c'est juste les marges des majors qui rentrent en jeu, les artistes continuant à gagner plein d'argent de leurs coté  :P

La poule au œufs d'or je sais pas mais des vaches à lait en ce qui nous concerne c'est sûr  >:(

Le pire c'est que les gens qui téléchargent le plus sont aussi ceux qui achètent le plus de musiques ou de DVD, forcément un mec qui n'en écoute pas ne vas pas non plus en acheter, mais forcément le streaming est bénéfique à des artistes inconnus ou des séries non diffusés chez nous qui souvent sont produit par de petits labels du coup ça fait aussi chier les majors.

Au passage, il y a à peine plus d'un mois de grandes stars américaines ont fait un feat contre PIPA et SOPA avec Megaupload :

C'est la fin d'une époque pour des centaines millions de personnes à travers le monde, on vas devoir se remettre au téléch... hum hum  :oops:

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

C'est spectaculaire, mais ca ne donnera rien, pour une tête coupée, 1000 vont apparaitre,  y en a d'autre, tel que rapidshare, par contre c'est génant pour

ceux qui faisait de l'échange fichier légal. on risque de voir apparaitre de nouvelles offres avec des VPN, tunnel sécurisé, la ca va devenir dur pour savoir

ce qui s'échange. dans le pire des cas, on reviendra à l'échange de DD usb.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il y a tellement de moyens de partages dispo que je ne suis pas inquiet. Les petits réseaux retranchés dans leur coin ou le retour à l'USB club c'est pas pour demain.

Je me demande pourquoi les lobbies s'acharnent comme ça, ils ont déjà perdu. Et là ils fédèrent contre eux de plus en plus de monde et des groupes qui commencent à être en mesure de riposter. Parce que les petites attaques DDOS de Anonymous c'est plus symbolique qu'autre chose, ça ne fait pas de casse. Mais imaginez un groupe qui prenne le contrôle d'un des relais centralisé de l'internet (doit falloir introduire du hardware sur place j'imagine, mais déjà à distance ça peut être rigolo), voir prendre le contrôle du réseau d'une banque, d'une bourse ?

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Les attaques DDOS ce n'était que la riposte immédiate il y a des chances qu'ils préparent autre chose, les grosses boites doivent être sur les dents, après tout ils ont déjà piraté STEAM et les services de Sony pour ça PS3 il y a des chances qu'ils puissent faire beaucoup mieux  ;)

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

C'est spectaculaire, mais ca ne donnera rien, pour une tête coupée, 1000 vont apparaitre,  y en a d'autre, tel que rapidshare, par contre c'est génant pour ceux qui faisait de l'échange fichier légal. on risque de voir apparaitre de nouvelles offres avec des VPN, tunnel sécurisé, la ca va devenir dur pour savoir ce qui s'échange. dans le pire des cas, on reviendra à l'échange de DD usb.

Pour les seedbox et les vpn/proxy anonymisant, c'est déjà assez courant pour ceux qui sont pret a payer quelques euros par mois. Le gros souci avec Megaupload pour les industriels, c'est que c'était super accessible, n'importe qui avec un navigateur internet pour télécharger naturellement n'importe quoi, en cliquant bêtement sur un lien, ca s'adresser donc a vraiment tout le monde, même a celui  qui ne maitrise rien a internet. Les autres solutions plus "actives" limitent le nombre d'utilisateur, par le coté un peu plus complexe. En gros l'industrie aimerait bien séparer les téléchargeurs impénitent qui téléchargeront tout le temps, et les autres les réconciliables qui pourrait revenir dans le droit chemin si on les effarouche suffisamment.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 2 weeks later...
  • 1 month later...

Et hop pour éviter la mainmise sur les lien physique d'internet certain utilisateur envisage une infrastruture décentralisé - du moins des fournisseur d'acces sous controle des états -.

http://www.lemonde.fr/culture/article/2012/03/20/le-site-the-pirate-bay-dans-les-airs_1672901_3246.html

The Pirate Bay (TPB), généralement considéré comme le site de partage de fichiers le plus important au monde par sa fréquentation et le nombre de morceaux de musique, de films, livres, logiciels et jeux vidéos échangés entre ses utilisateurs, vient d'annoncer dans sa partie blog (TPB Loss) qu'il envisageait d'installer ses serveurs dans des drones (aéronef sans pilote à bord). L'équipe du site, par lequel transitent de nombreux fichiers sans autorisation des ayant-droits, précise avoir pris cette décision afin de minimiser les risques de saisies, de restrictions d'accès au réseau Internet voire de fermeture du site. Hébergés dans les drones en vol des minis serveurs seraient donc reliés ensemble par des équipements de communication radio. "Le seul moyen d'arrêter nos machines serait par une attaque aérienne. Ce qui constituerait un véritable acte de guerre. "

TorrentFreak, site d'informations sur l'activité des protocoles d'échanges de fichiers, les réseaux P2P et les questions du droit d'auteurs dans l'univers numérique a relayé l'information. Ainsi que le site d'actualité informatique et numérique Numerama qui a étudié la faisabilité du projet et indique que "ce maillage de serveurs n'aurait pas pour but d'héberger les données principales du serveur, mais simplement de constituer un proxy distribué qui re-dirigerait le trafic vers un data-center tenu secret. "

Dans la partie "à propos de TPB" de son site, The Pirate Bay rappelle qu'il a été fondé fin 2003 par une association suédoise anti-copyright, avant de s'en désengager en octobre 2004. Après plusieurs changements d'équipe le site, qui a récemment enlevé le .org de son nom de domaine pour un .se (Suède) - ce qui peut compliquer les actions en justice contre le site, régulièrement visé par les représentants des industries culturelles, indique qu'il est une association à but non-lucratif... enregistrée dans Les Seychelles, état insulaire de l'Océan indien, réputé pour ses "facilités" en matière de fiscalité.

Sylvain Siclier

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Comme les brouilleurs de GPS se démocratise tres largement - les brouilleur GSM aussi - ... les chercheurs cherchent des parades ^_^

http://www.lemonde.fr/sciences/article/2012/03/23/sur-la-trace-des-brouilleurs-de-gps_1674264_1650684.html

Dans son petit atelier encombré d'appareils de toutes sortes, Todd Humphreys, directeur du Laboratoire de radionavigation de l'université du Texas, à Austin, montre à ses étudiants la vidéo d'une expérience récente. On y voit un smartphone tenu à bout de bras dont l'écran montre une carte Google : "L'appareil se localise avec sa puce GPS et indique sa position grâce à un point bleu sur la carte." Soudain, le point bleu se met à bouger, comme si le smartphone venait d'être embarqué dans une voiture, alors qu'il est toujours au même endroit. La puce GPS transmet une position erronée, mais crédible, car la progression sur la carte se fait à une allure normale, le long d'une rue.

Pour expliquer cette énigme, Todd Humphreys montre du doigt un boîtier d'aspect banal, posé dans un coin de l'atelier : "C'est un spoofer ("usurpateur"), un simulateur GPS. Il capte les signaux authentiques des satellites GPS, puis les réémet sur la même longueur d'onde après avoir légèrement modifié les coordonnées. Les systèmes GPS du voisinage vont capter en priorité le faux signal du spoofer, car il est plus puissant que celui d'un satellite situé à 20 000 kilomètres de la Terre. Si j'en installais un sur le toit de cet immeuble avec une bonne antenne, je pourrais fausser tous les GPS du quartier, et même ceux des avions passant au-dessus de la ville."

Selon Todd Humphreys, un spoofer utilisé à des fins malveillantes par des hackers, des gangsters ou des terroristes pourrait provoquer des catastrophes en chaîne, car les systèmes GPS jouent désormais un rôle essentiel dans de nombreux secteurs d'activités : les transports terrestres, aériens et maritimes, la gestion de conteneurs, le guidage des machines agricoles, les communications électroniques et même les banques, qui se servent des signaux satellites comme d'une horloge universelle pour dater des transactions financières au centième de seconde.

A ce jour, on n'a recensé aucun incident majeur dû à l'utilisation d'un spoofer, mais Todd Humphreys affirme que des hackers isolés s'amusent à construire des appareils artisanaux. Des modèles expérimentaux à vocation scientifique sont en vente sur Internet.

Par ailleurs, les appareils plus basiques, visant seulement à brouiller les signaux GPS, sont en train de se banaliser. Il s'agit d'engins assez simples, qui diffusent un signal parasite sur les longueurs d'onde utilisées par les satellites. Résultat : les systèmes GPS alentour, désorientés, cessent de fonctionner.

Dans la plupart des pays, leur usage est interdit, mais ils sont en vente libre sur divers sites Internet européens et asiatiques. Le petit brouilleur de poche se rechargeant sur l'allume-cigare d'une voiture ne coûte que 30 euros. Les modèles plus puissants coûtent environ 200 euros. Certains sites chinois vendent même des super-brouilleurs à usage militaire, montés sur trépied, capables de perturber les GPS à plus d'un kilomètre à la ronde. Dans un autre genre, des groupes de hackers militant pour la protection de la vie privée des citoyens publient sur Internet des modes d'emploi permettant aux bricoleurs de fabriquer leur propre brouilleur.

A Austin, Todd Humphreys s'est procuré une vingtaine de ces engins, pour les tester dans son laboratoire : "A l'intérieur, ils sont quasi identiques, ce qui laisse supposer qu'ils viennent tous des mêmes usines, probablement chinoises." Il a aussi découvert que les petits modèles bon marché étaient souvent bien plus puissants que prévu et perturbaient des systèmes GPS à plusieurs dizaines de mètres.

Sur leurs sites, les vendeurs expliquent que les brouilleurs servent à neutraliser une balise GPS placée dans un véhicule à l'insu du conducteur ou contre son gré. Ainsi, aux Etats-Unis, ils sont utilisés depuis des années par des camionneurs souhaitant échapper à la surveillance de leur entreprise, par exemple pour travailler au noir pendant leur jour de repos. En 2009, à l'aéroport de Newark, près de New York, un système expérimental de guidage d'avion par GPS tombait mystérieusement en panne quatre fois par semaine, à heure fixe. Il a fallu aux experts des semaines pour comprendre que le coupable était un camion de livraison équipé d'un brouilleur qui passait à proximité de l'aéroport.

Le problème risque de bientôt changer d'échelle, car les balises de surveillance, longtemps réservées aux transporteurs, aux policiers et aux espions, sont désormais en vente libre pour le grand public. La société Garmin, connue dans le monde entier pour ses GPS de voiture et de loisir, propose pour 199 euros une balise grosse comme le pouce, très facile à cacher dans une voiture, une moto, une valise - l'outil idéal pour les maris jaloux, les chefs de service soupçonneux, les parents trop curieux, les concurrents malhonnêtes, les services de sécurité trop zélés... Si l'utilisation sauvage de ces balises se généralise, on doit s'attendre aussi à une explosion des ventes de brouilleurs.

Par ailleurs, des bandes organisées de voleurs de camions commencent à utiliser les brouilleurs GPS. La société Freightwatch, spécialisée dans la surveillance électronique des marchandises, et basée à Austin, étudie de près ce phénomène. Selon son directeur, Bill Games, les affaires de ce type sont très rares en Amérique du Nord et en Europe, mais elles sont courantes au Mexique et surtout au Brésil : "D'abord, les voleurs suivent le camion de près, dans une voiture équipée d'un brouilleur, dit-il. Le système GPS perd donc la trace du camion avant même qu'il n'ait été volé. Puis les malfaiteurs obligent le chauffeur à s'arrêter et repartent avec le camion, toujours escorté par la voiture transportant le brouilleur."

Déjà, la contre-attaque s'organise. En Grande-Bretagne, un consortium de laboratoires publics et privés a mis au point un appareil capable de détecter la présence de brouilleurs GPS. Lors de tests effectués le long des routes anglaises, les chercheurs ont eu la surprise de découvrir qu'ils sont déjà assez répandus - plusieurs détections par semaine sur un seul carrefour, pris au hasard.

A Austin, Todd Humphreys termine la mise au point d'un appareil encore plus perfectionné, qui localisera précisément les brouilleurs GPS et permettra à la police de les saisir. Mais, par ailleurs, il remarque que les nouveaux émetteurs radio de type USRP (universal software radio peripheral), très prisés par les chercheurs et les radioamateurs car ils couvrent toutes les gammes d'ondes, peuvent diffuser un signal sur les fréquences GPS, ce qui provoque un brouillage très efficace. La guerre des brouilleurs ne fait que commencer.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Encore un fichier ... de contestataire de PV automatique!

http://www.lemonde.fr/societe/article/2012/03/26/creation-d-un-fichier-recensant-les-personnes-qui-contestent-les-pv_1675666_3224.html

Dans la jungle des fichiers, voici un petit nouveau. ARES, pour "automatisation du registre des entrées et sorties des recours en matière de contravention". Créé par un arrêté du ministère de l'intérieur le 20 février et publié au Journal officiel le 16 mars 2012, le fichier recensera les données des personnes amenées à contester une contravention de classe 1, 2, 3 ou 4, révèle Le Parisien.

Le nom, l'adresse, la date et le lieu de naissance du propriétaire du véhicule et, le cas échéant, de l'auteur des faits seront conservées pendant cinq ans. Des données relatives à la profession ainsi qu'à l'identification du véhicule seront aussi collectées. Dans un premier temps, ce fichier concernera Paris, ainsi que les départements de Seine-Saint-Denis, des Hauts-de-Seine et du Val-de-Marne. Il sera ensuite étendu à la France entière. Selon l'arrêté du ministère de l'intérieur, l'objectif de ce fichier est de "produire des statistiques".

"Un fichier obscur", rétorque l'avocat Jean-Charles Teissedre, membre fondateur de l'Automobile club des avocats (ACA). "Tout ça parce que, soi-disant, il permettrait de faire des statistiques pour optimiser le traitement des recours", explique-t-il au Monde.fr. "Beaucoup de gens n'oseront pas exercer leur droit, parce qu'ils ne voudront pas se retrouver dans ce fichier", prévoit l'avocat. Et de déplorer : "On n'aura jamais trouvé de critères aussi larges pour ficher la population française."

UN "OUTIL ADMINISTRATIF" SELON LA PRÉFECTURE

En outre, explique-t-il, "on nous dit qu'il ne s'agit pas d'un fichier policier, mais c'est bien la préfecture de police qui va traiter ces données. Or, les fichiers sont par nature faits pour être croisés." Enfin, comme le note M. Teissedre, la personne fichée ne pourra pas faire valoir son droit d'opposition (l'article 38 de la loi du 6 janvier 1978 prévoit que toute personne physique a le droit de s'opposer, pour des motifs légitimes, à ce que des données à caractère personnel la concernant fassent l'objet d'un traitement). Des accusations dont se défend la préfecture de police, qui assure qu'il s'agit d'un "outil administratif" pour mieux répondre aux très nombreuses réclamations.

Xavier Castaing, porte-parole de la préfecture de police de Paris, précise au Monde.fr qu'il s'agit de "données basiques sur l'état civil, et en aucun cas d'un fichier d'antécédents judiciaires". Il ajoute que cet outil concerne pour l'instant les 700 000 recours parisiens annuels, sans pouvoir indiquer de calendrier plus précis quant à son extension au territoire national. "Ce nouvel outil permettra par exemple de diminuer l'annulation de certaines procédures en recours pour des raisons de forme, et donc de gagner en efficacité", détaille-t-il.

Le fichier ARES a par ailleurs été validé par la Commission nationale de l'informatique et des libertés (CNIL). Dans l'avis favorable qu'elle a rendu en mars 2011, la CNIL prend note qu'il ne s'agit pas d'un "fichier d'antécédents judiciaires en matière contraventionnelle, et qu'il ne sera pas utilisé comme tel". Elle précise ainsi que "les accès au traitement seront restreints par des profils établis en fonction des attributions et compétences, notamment territoriales, de ces fonctionnaires". La commission ajoute que l'arrêté prévoit "une traçabilité complète des actions de création, modification, suppression et consultation."

Un avis favorable "décevant", selon Jean-Charles Teissedre, qui précise que "la création de fichiers doit correspondre à des nécessités impérieuses qui ne sont pas réunies ici. Qu'on crée des fichiers pour des gens dangereux, c'est une chose. Mais il ne faut pas se tromper." L'Automobile club des avocats, ajoute-t-il, étudie les possibilités de faire un recours contre ce nouveau fichier.

Ce qui est cocasse c'est que ca arrive juste après la condamnation - pour le rejet systématique et illégaux des contestations par les OMP - de la France par la CDEH qui lui enjoint de cesser l'automatisation des amende. http://www.lemonde.fr/societe/article/2012/03/13/la-france-doit-arreter-d-automatiser-les-amendes_1666666_3224.html

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 2 weeks later...

http://forcesoperations.com/2012/04/02/pentagon-contrefacon/

  L’omniprésence de composants électroniques dans les systèmes d’armes soulève de sérieuses questions d’obsolescence et de sécurité. Sur ce deuxième point, la difficulté est de s’assurer que des codes cachés ne sont pas injectés dans les puces achetées aux fournisseurs internationaux et qui viendraient mettre en danger le bon fonctionnement des matériels. Les questions d’obsolescence débouchent quant à elles immanquablement sur les problématiques liées à la contrefaçon. A l’origine de ce problème, la nécessité de trouver des rechanges pour des pièces électroniques venues du monde civil et qui, par nature, ne disposent que d’une durée de vie commerciale limitée à quelques années. A l’inverse,  les systèmes d’armes sont eux destinés à vivre des décennies. Trouver les bonnes rechanges conduit à s’adresser à des revendeurs et c’est là que l’aventure commence. Une expérience récemment menée par la cour des comptes américaine (GAO) a mis les pieds dans le plat : le GAO a créé une société écran lui permettant de s’inscrire sur deux plateformes de  vente donnant accès à des fournisseurs de composants électroniques pour les applications militaires. Les appels d’offre lancés pour des composants rares ont débouché sur des commandes de pièces qui se sont toutes révélées, sans exception, contrefaites : que leur origine ait été maquillées pour faire croire qu’elles étaient neuves ou bien qu’il se fut tout bonnement agi de faux. Autre point commun, toutes ces pièces avaient pour origine première la Chine, qu’elles aient ou non transité par des sociétés occidentales, avec parmi ces dernières des grands noms du complexe militaro-industriel américain. La liste des équipements infectés par ces pièces est longue comme un jour sans pain. On citera par exemple les calculateurs du missile THAAD, les afficheurs du C-17 ou encore le Flir de l’hélicoptère Apache…   

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Un autrichien à mit en ligne un kit (en anglais) pour porter plainte contre Facebook qui enregistre un peu trop de données sur ses clients :

http://www.challenges.fr/high-tech/20120410.CHA5171/max-schrems-cet-etudiant-autrichien-qui-met-facebook-dans-l-embarras.html

Il a publié sur son propre site, tout simplement baptisé "Europe versus Facebook", un kit pour permettre aux internautes du Vieux continent de porter plainte auprès de la Commission européenne contre le géant américain de l'internet. Le site indique la marche à suivre, en commençant par la demande de ses données personnelles auprès de Facebook.

http://europe-v-facebook.org/EN/Data_Pool/data_pool.html

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 4 weeks later...

L’Union Européenne se penche en ce moment sur la question de la cybercriminalité et envisage de créer un Centre Européen de lutte contre la Cybercriminalité, ou EC3.

Sortir des sentiers battus de la police

Selon la Commission, qui a présenté sa proposition à la sous commission sécurité et défense du Parlement Européen, la semaine dernière, la valeur ajoutée d’un tel centre doit venir d’une nouvelle approche pour lutter contre la cybercriminalité, autrement dit il faut « sortir des sentiers battus » comme l’a expliqué l’expert de la Commission aux parlementaires. Il ne s’agit donc plus de traiter le problème uniquement d’un point de vue « police » ou « armée », mais plutôt de mettre en relation les différents acteurs impliqués: la police et l’armée, bien sûr, mais aussi les juges, le secteur privé (qui a tendance selon la Commission à gérer les problèmes tout seul de son côté, à un niveau national et « en secret » pour ne pas abîmer sa réputation lors d’attaques informatiques réussies contre une entreprise), les chercheurs et les organisations de la société civile.

Les tâches de l’EC3

L’EC3 se concentrera sur 3 types de cybercrimes:

- ceux commis par les groupes criminels organisés (mafias);

- les crimes « lourds de conséquences pour leurs victimes », par exemple l’exploitation sexuelle des enfants en ligne;

- les attaques contre les infrastructures critiques de l’Union, notamment les institutions européennes.

Pour cela, le mandat de l’EC3 devrait s’articuler autour de 4 fonctions essentielles:

- servir de centre européen d’information en fusionnant les sources (publiques/privées et nationales/transnationales) afin de brosser un tableau des actes et méthodes de la cybercriminalité et définir les menaces;

- renforcer les capacités européennes, en les mettant en commun et en assurant des formations (ou plutôt, en coordonnant les formations et initiatives qui existent déjà, notamment au CEPOL);

- assurer un soutien opérationnel aux enquêtes en encourageant la mise en place d’équipes communes

- créer un forum européen pour les enquêteurs qui pourraient utiliser l’EC3 comme un porte-voix commun lors de leurs discussions avec les différents acteurs concernés (entreprises, chercheurs, société civile). De même, le centre pourrait élaborer des campagnes de sensibilisation du public.

Quant au volet « défense » du centre, il n’est « pas écarté » par la Commission. Mais celle-ci explique que ce n’est « pas de sa compétence » : les Etats Membres seront donc « libres de décider » s’ils veulent utiliser les capacités du centre pour des missions de défense.

Quelle base juridique ?

La base juridique, au niveau européen, de la lutte contre la cybercriminalité, est la convention sur la cybercriminalité du Conseil de l’Europe (dite Convention de Budapest), signée en 2001. La proposition de la Commission se réfère explicitement à ce document. Avec cependant un problème, remarqué par les eurodéputés : 8 Etats Membres de l’UE n’ont pas signé ou ratifié cette Convention.

Pas de nouvelle agence mais une intégration à Europol

Selon la proposition de la Commission Européenne, l’EC3 fera partie d’Europol et sera situé dans les locaux de La Hague. Plusieurs options avaient été envisagées, dont la création d’une nouvelle agence, mais c’est finalement l’intégration à Europol qui a été choisie après une étude de faisabilité. Les raisons sont essentiellement budgétaires, mais aussi logiques puisque la lutte contre la cybercriminalité figure déjà dans le mandat d’Europol et il s’agit là en quelque sorte d’une précision de ce mandat. Ainsi, l’EC3 aurait son propre comité de direction au sein de l’agence européenne, serait composé de représentants d’autres services européens concernés (notamment des agents du Collège Européen de Police (CEPOL), de la « Task Force cybercriminalité » des Etats Membres (EUCTF), d’Eurojust, ou encore de l’Agence européenne chargée de la sécurité des réseaux et de l’information (ENISA)). Ce comité serait aussi présidé par un directeur de l’EC3. Le but d’une telle structure de gouvernance est d’éviter les doublons entre les différents services, en les mettant justement en commun afin de coordonner la réponse européenne aux cybercrimes.

Un budget et des ressources tout de même modérés

Coté financement de ce centre, « Le moment est plutôt mal tombé » reconnait la Commission. Le temps est plutôt à la réduction des agences… De plus, cela s’inscrira dans le cadre du programme financier pluriannuel 2014-2020, encore en négociation. Pas de chiffres précis donc, juste des « indications », susceptibles de changements. Ainsi, le budget de l’EC3 ne devrait pas être extraordinaire: d’abord 3,6 millions pour la phase de mise en place (année 2013) puis entre 7 millions d’euros (lors de charge de travail réduite) et 44 millions d’euros (charge lourde), selon l’étude de faisabilité. Du personnel supplémentaire devrait être recruté pour renforcer les équipes d’Europol: d’abord 7 personnes pour la phase de mise en place des capacités opérationnelles (jusqu’à décembre 2013), puis entre 32 (lors de charge de travail réduite) et 251 (charge lourde).

NB: En regardant à l’échelle mondiale, cette initiative va de pair avec l’idée d’un centre mondial de lutte contre la cybercriminalité sous l’autorité d’Interpol, qui serait basé à Singapour. EC3 serait donc « l’interface européenne », selon la Commission.

http://www.bruxelles2.eu/marches-de-defense/cyber/vers-un-centre-europeen-de-lutte-contre-la-cybercriminalite.html

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 2 weeks later...

http://www.lemonde.fr/technologies/article/2012/05/11/un-fraudeur-heros-des-gi_1698988_651865.html

EN PRINCIPE, IL DEVRAIT ÊTRE L'ENNEMI NUMÉRO UN D'HOLLYWOOD.

En principe aussi, il pourrait être convoqué devant les tribunaux et expédié derrière les barreaux. Sauf que Hyman Strachman n'a rien d'un fraudeur ordinaire et que les studios de cinéma californiens se feraient huer, voire boycotter, s'ils osaient toucher à un seul des cheveux blancs de ce vieil homme de 92 ans. Or ce vétéran de la seconde guerre mondiale a piraté des milliers de films, 300 000 copies au total. Gran Torino, Very Bad Trip, Transformers, The Artist, Le Discours d'un roi... Mais "Big Hy" (c'est son surnom) n'a jamais gardé aucun film pour lui-même ni n'en a vendu un seul. Il les a tous envoyés, gratuitement, aux soldats américains stationnés en Irak et en Afghanistan, en les gravant sur DVD.

C'est après la mort de sa femme que cet ancien courtier, inconsolable, a cherché un moyen d'occuper son temps. Au départ, il copiait un à un des films déjà piratés et achetés 5 dollars pièce à la gare de Penn Station, à New York, ou chez un barbier du quartier. Au fil des années, il s'est équipé. Il a investi 400 dollars dans un graveur capable de copier sept films à la fois. Cela fait désormais huit ans qu'il consacre ses journées et ses économies à soutenir ainsi le moral des GI. Il passe soixante heures par semaine à graver des DVD et à faire des colis depuis le petit bureau envahi de drapeaux américains de sa modeste maison de Long Island (New York). Ce sont les aumôniers militaires qui reçoivent ses cartons et se chargent de les distribuer aux troupes. "Les aumôniers ne les vendent pas, a-t-il expliqué au New York Times. La distribution marche très bien."

Hollywood est bien embarrassé. "Nous sommes heureux que les divertissements que nous produisons puissent apporter de la joie à ceux qui sont loin de chez eux", a déclaré Howard Gantman, porte-parole de la Motion Picture Association of America, l'association qui défend les intérêts de l'industrie du cinéma américain. "Si j'étais plus jeune, il est probable que je passerais du temps en prison", se dit Strachman. Pas si sûr.

Louise Couvelaire

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 3 weeks later...

Non, c'est quoi ?

Une backdoor dans chip destiné au militaire ;)

Bien sur ce sont des puce chinoise avec dedans du code "en plus" :lol: et bien sur les gogos ce sont les militaires US qui voulaient faire des économies  :happy:

Le code en plus permet de reprogrammer la puce a l'insu du "propriétaire".

Le fond de la question c'est : est ce que cette fonctionnalité a été laissé intentionnellement ou juste par "paresse", qui a décidé ou pas de la laisser, etc.

En pratique beaucoup de puces possède ce genre de fonctionnalité, souvent c'est meme imposé par les service de renseignements, ca sert aussi au débuggage des puces ... sauf que le puces militaires elle sont sensé en etre dépourvue. Sauf que visiblement sur pas mal de puce on se garde bien de s'emmerder a désactiver ce code, et on vend les puce "militaire" a l'identique de puces civile :lol: en meme temps ca serait dommage de pas faire ce genre de petites économies. Economie qui au besoin permet de relire tout le code de la puce a posteriori :) En gros une puce comme celle ci tombe dans des main mal intentionné, il peut lire le contenu.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant
  • Statistiques des membres

    6 015
    Total des membres
    1 749
    Maximum en ligne
    Thib01
    Membre le plus récent
    Thib01
    Inscription
  • Statistiques des forums

    21,6k
    Total des sujets
    1,7m
    Total des messages
  • Statistiques des blogs

    4
    Total des blogs
    3
    Total des billets
×
×
  • Créer...