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Groupe Dassault Aviation, fil sur l'avionneur/industriel


Philippe Top-Force

Messages recommandés

il y a 51 minutes, Teenytoon a dit :

Simple, clair, net, précis comme d'hab :sleep:

Incisif et tranchant comme il sait l'être avec des réponses à double sens comme sur l'Eurodrone où il redit qu'il est sous-traitant d'Airbus et que les questions sont donc à adresser à Airbus.

Moi, je l'ai trouvé simple, détendu, consensuel et ... sûr de lui. Ce qui me surprend, positivement, c'est son optimisme sur l'entrée en vigueur du contrat Indonésie. Et il me semble avoir compris qu'il parlait des 42 avions, pas seulement des 6 premiers.

Sur le SCAF, il est très pro défense européenne, il lance des fleurs à Macron ... mais il note que les pays européens n'y sont pas prêts et préfèrent acheter US. Sa petite remarque sur le contrat suisse n'est pas nouvelle, mais tombe à pic dans le contexte actuel.

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2 hours ago, prof.566 said:

Sinon, l'intervention de Trappier sur bousorama TV, vous en avez pense quoi?

mio je l'ai regardé en entier. cf mon post concernant la serbie.

 

Mais vous avez tous voulu faire de ce fil le digne héritier du café du commerce, et franchement c'est gavant.

 

Pour rappel, il y a un fil dédié JET D'AFFAIRES dans la section idoine.

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Il y a 7 heures, Gallium a dit :
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*700000 "collaborateurs" créent des richesses pour Bolloré

 

vieux débat.  Juste une petite réponse : lorsque tu regardes les société du CAC40, la ventilation de la valeur ajoutée est comme suit : 1er servis = salariés.  2eme servi = l'état. 3eme servi = actionnaires.

Et a ce que je sache ces 70000 collaborateurs ne travaillent pas bénévolement, et touchent interessement et participation. 

Modifié par BP2
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Le 23/08/2022 à 11:36, MeisterDorf a dit :

Venant d'un gars qui vit dans un pays où le monument principal est une tour rouillée à moitié en ruine, je pense qu'on peut prendre ça pour un compliment :laugh:

60 tonnes de peinture appliquée tous les 7 ans, je pense que côté rouille ça va aller :tongue:

Sinon pour Trappier, afin de revenir au sujet je l'ai trouvé aussi optimiste sur le versement du premier acompte indonésien avant la fin de 2022.

Pour la Serbie pareil. Il a l'air confiant pour 12 avions. 

Et il semble avoir encore des prospects chauds sous le pied. 

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Il y a 21 heures, clem200 a dit :

Je n'ai personnellement jamais évoqué d'interdiction mais simplement d'une non acceptabilité sociale au niveau planétaire (occidental au moins)

Mais on ferait mieux de passer sur l'autre sujet dédié à cela 

Pour le moment Dassault pète la forme dans le civile 

Enfin actuellement aux USA il y a des groupes de la Kpop en concerts, et c'est pas trop écolo comme truc, ... alors dire ça couvre toute la jeunesse, comme toujours les plus grandes gueules même minoritaires elles s'entendent de plus loin.

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Le 23/08/2022 à 11:27, MeisterDorf a dit :

Pourquoi? Les touristes qui visitent la Tour Eiffel ne sont pas des mecs en quête de sensations fortes? Paraît que l'environnement de celle-ci est "chaleureux" et "agréable"... :happy:

Disons que quand tu arrives à Bruxelles-Midi... c'est pas top non plus. :mellow:

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il y a 29 minutes, Ciders a dit :

Disons que quand tu arrives à Bruxelles-Midi... c'est pas top non plus. :mellow:

Tout à fait d'accord, c'est du même tonneau que Paris-Nord. Gare qui, comme tout le monde le sait, doit se traverser en apnée :laugh:

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il y a 11 minutes, MeisterDorf a dit :

Tout à fait d'accord, c'est du même tonneau que Paris-Nord. Gare qui, comme tout le monde le sait, doit se traverser en apnée :laugh:

Ben franchement, y'a beaucoup de progrès dans la gare elle-même (pas testé le parvis par contre). Mais les environs de Sud... y'a des pièces de voitures par terre. Et en plus ils font des travaux pas loin. 

Par contre, c'est quoi ces trains sans étage avec des compartiments de six personnes là ? Vous avez fait les fonds de dépôt pour transporter les gens qui voulaient aller sur la côte ? :laugh:

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Le 07/08/2022 à 14:20, Alberas a dit :

Cette information est importante. mais je laisse aux connaisseurs de la famille Dassault le soin de l'interpréter.

Ma seule analyse est que c'est une excellente nouvelle pour Eric Trappier. Dans l'ambiance houleuse qui règne autour du SCAF, l'assurance d'un soutien infaillible d'Edelstenne est un atou^t majeur.

https://www.challenges.fr/entreprise/dassault-revise-le-depart-de-son-pilote-star_820292

Certains diront que ce ne sont que des spéculations, mais pour l'avenir du groupe Dassault le sujet est vital. Et évidemment, la problématique du SCAF n'est pas loin.

 

Groupe Dassault : une succession à très hauts risques

 

Bras droit de Serge Dassault et gardien du temple, Charles Edelstenne, 85 ans, doit organiser rapidement sa succession. Et veiller à maintenir une fragile unité familiale.

Par Matthieu Pechberty

Publié le 26/08/2022 à 15h59

Entre les enfants de Serge Dassault, l’entente n’a jamais été cordiale. Mais selon des proches de la famille, ce jour-là, au QG du groupe, un hôtel particulier sur le rond-point des Champs-Elysées, la dispute entre Laurent et Thierry est vraiment montée dans les tours. Leur frère aîné Olivier venait de décéder tragiquement d’un accident d’hélicoptère en mars 2021. Olivier, à défaut d’avoir été adoubé par Serge, était alors celui qui incarnait le plus la dynastie familiale. Sur quel nouveau sujet Laurent et Thierry se querellaient-ils? La présidence de l’empire? L’évolution du capital? Le choix du futur patron du groupe aéronautique?

Cela fait dix ans que cette dernière question est sur la table. Dix ans qu'elle est renvoyée à plus tard. L’actuel patron du Groupe industriel Marcel Dassault (GIMD), Charles Edelstenne, aurait dû partir en janvier prochain pour son 85e anniversaire. Mais comme rien n’est réglé, le fidèle bras droit de Serge Dassault a joué les prolongations. Son mandat a été prolongé jusqu’à fin 2024. Une date butoir pour lui trouver, d’ici là, un successeur.

Le bouillonnant Laurent Dassault n’était pas favorable à ce nouveau bail mais s’y est résolu: «Charles a fait son temps, nous lâche-t-il sans détours. Mais on n’avait pas le choix, nous n’avions pas préparé la suite.» Isolé face à sa soeur Marie-Hélène et son frère Thierry, il a fini par se rallier à cette solution pour éviter un énième conflit. «Il peut y avoir des tensions comme dans toutes les familles, reconnaît Rudi Roussillon, le porte-parole des Dassault. Mais à la fin ils s’entendent toujours et cela ne dérange en rien le bon fonctionnement du groupe.»

À LIRE AUSSIDassault Aviation dévoile des prises de commandes “exceptionnelles”

Charles Edelstenne doit donc se trouver un successeur avant de partir. Présent dans le groupe depuis soixante ans, il a épaulé Marcel puis Serge Dassault. Et malgré son âge avancé, il continue de mener l’empire à la baguette, consacrant un jour par semaine à chaque branche. La retraite? «Il est impossible d’aborder le sujet avec lui, il fait sa mauvaise tête», explique un cadre du groupe. A ceux qui jugent son âge problématique, le patron autoritaire rétorque: «Les chiens aboient, la caravane passe.»

Sa longévité tient à la complexité du poste: le Groupe Dassault marche sur trois jambes, l’aérien civil (les Falcon), le militaire (avion de combat Rafale) et le logiciel 3D (Dassault Systèmes). Sans compter la dimension politique avec le Groupe Figaro. Son successeur devra en outre gérer de turbulents actionnaires. «Une mission qui frôle le sacerdoce», ironise un membre du groupe. Charles Edelstenne exclut a priori les profils externes, anciens ministres, grands dirigeants ou banquiers. Serge Dassault, au moment d’organiser sa succession, avait d’emblée écarté l’hypothèse de confier le manche à l’un de ses enfants. Ses petits-enfants ne sont pas davantage impliqués dans la gestion au quotidien et ont besoin d’un homme de confiance.

Laurent Dassault s’y verrait bien, sans se faire trop d’illusions. «Bien sûr que cela m’intéresse, mais il me faut l’accord de mon frère et ma sœur», confie-t-il. A défaut, il milite plutôt pour quelqu’un venu de l’extérieur afin «d’apporter du sang neuf et de changer le groupe». En 2012, il avait plaidé pour la création d’un France Aérospace, regroupant Dassault et Thales (dont Dassault Aviation détient 24%), voire Safran. Un projet balayé par Edelstenne. Laurent Dassault déclare aujourd’hui avoir des idées précises sur le candidat idéal mais ménage le suspense…

Faute de consensus au sein de la famille, c’est probablement le «comité des sages» qui tranchera. Cette instance a été mise en place par le prévoyant Serge Dassault pour trancher les conflits entre ses enfants. Quatre piliers du capitalisme français le composent: les ex-patrons d’EDF, Henri Proglio, et de PSA, Jean-Martin Folz, le président de la Bred Stève Gentili, et enfin Denis Kessler (Scor), qui sera bientôt remplacé par l’ancien ministre du Budget Alain Lambert. «Nous veillerons à ce que cette succession se fasse de manière apaisée pour la famille et cohérente pour le groupe», nous indique sobrement Henri Proglio, ne cachant pas privilégier un choix interne.

 

Deux profils s’imposent assez naturellement: Bernard Charlès et Eric Trappier, les deux piliers de l’empire aux 7 milliards d’euros de chiffre d’affaires. Bernard Charlès a mené l’aventure de Dassault Systèmes pendant vingt-cinq ans. Aux côtés de Charles Edelstenne, il a fait de cette petite société de logiciel un géant mondial de la maquette numérique 3D, valorisé à 50 milliards d’euros en Bourse. Les Dassault, qui en détiennent 40%, lui doivent une partie de leur fortune grâce aux quelques 28 millions d’euros de dividendes que leur distribue Dassault Systèmes chaque année. Pour l’heure, Bernard Charlès se tient à distance des sujets familiaux. Il a pourtant organisé sa succession en propulsant Pascal Daloz comme numéro 2. Mais «il n’a pas envie de gérer les Dassault», reconnaît un bon connaisseur du groupe.

En réalité, c’est Eric Trappier, le pilote de Dassault Aviation, qui coche le maximum de cases. Lui aussi très proche de Charles Edelstenne, comme il l’était de Serge Dassault, il est au cœur du système. L’aviation, la défense, les relations avec l’Etat français… Eric Trappier maîtrise parfaitement la grammaire complexe du groupe. «Il est le favori d’une succession évidente», lâche un pilier de la maison. Mais à 62 ans, il doit au préalable clarifier sa succession chez Dassault Aviation. L’an passé, il a été élu à la tête de l’UIMM (Union des industries et métiers de la métallurgie), la première fédération du patronat. La rumeur a circulé qu’il visait même la présidence du Medef l’an prochain. Un avenir en dehors du groupe Dassault le tente-t-il ? Son départ laisserait la famille sans pilote. «Il n’a pas vraiment envie de diriger le groupe, mais si Edelstenne le lui demande, il le fera», explique un de ses amis. «Eric Trappier et Bernard Charlès se connaissent parfaitement et ont le sens du devoir, confirme Rudi Roussillon. Ils travaillent avec Charles depuis plusieurs décennies.»

S’il prend les commandes, Eric Trappier ne sera pas à l’abri de nouvelles dissensions parmi les actionnaires familiaux. Après son altercation avec son frère Thierry, Laurent Dassault a été écarté du groupe par Charles Edelstenne. «Laurent n’a certes plus de responsabilités de mandataire social, mais il continue d’entretenir de très bonnes relations de travail avec la direction», minimise le porte-parole de la famille. Thierry vit aux Etats-Unis, loin de la famille. Seule Marie-Hélène Dassault, engagée surtout dans des actions de mécénat, fait le job. Depuis deux ans, elle occupe la présidence non exécutive (et tournante) du groupe. Quant aux enfants d’Olivier Dassault, ils découvrent doucement l’empire dont ils viennent d’hériter.

Ces actionnaires passifs vont-ils rester éternellement au capital? Le Groupe industriel Marcel Dassault vaut environ 30 milliards d’euros grâce à ses parts dans Dassault Aviation, Dassault Systèmes et Thales. De son vivant, Olivier Dassault laissait filtrer en privé ses interrogations sur la vente de ses 25% du capital. Il menait un train de vie princier, entre ses différentes villas à travers le monde, son jet privé, ses bateaux. A sa mort, il a laissé, selon nos informations, 200 millions d’euros de dettes à ses enfants. Ses banques ont contraint le Groupe Dassault à verser un dividende exceptionnel de 400 millions d’euros l’an passé pour effacer une partie de son ardoise. «Les dividendes réguliers du groupe ne lui suffisaient pas», s’étonne un proche de la famille. Pourtant, chacune des quatre branches de celle-ci touche entre 20 et 40 millions d’euros par an…

Il se murmure depuis longtemps que Laurent Dassault s’interroge aussi. Lui gère bien ses affaires mais ne peut profiter du tas d’or sur lequel il est assis. «Les Dassault ont de quoi vivre mais pas de quoi investir», explique un bon connaisseur de la famille. La tentation de vendre et de toucher plusieurs milliards d’un coup est donc forte.. Il y a quelques mois, le magazine «Marianne» rapportait que Vincent Bolloré (propriétaire de Capital via Vivendi) avait des vues sur l’empire Dassault. La proximité de longue date de l'industriel breton avec Laurent Dassault a alimenté les spéculations sur l’intérêt qu'il pourrait porter à l’avionneur.

Pourrait-il jouer un rôle d’actionnaire de transition et engranger au passage une belle plus-value ? il a montré dans le passé sa capacité à tirer parti d’actionnariats familiaux fragilisés. Le propriétaire de Vivendi n’a par ailleurs jamais caché son souhait de racheter «Le Figaro», qui pourrait faire partie du deal. Et il dispose de 15 milliards d’euros à investir: de quoi racheter la moitié des parts de la famille Dassault. «Tout ceci est farfelu», nous assure l’entourage de la famille Bolloré.

Avant sa mort, Serge Dassault avait anticipé cette question de l’actionnariat. «La seule chose que j’exige, c’est que le capital du groupe reste dans la famille», expliquait-il dans le livre de Claude Carlier Dassault. De Marcel à Serge (Ed. Perrin). Les actions ont été démembrées: les enfants en ont l’usufruit (ils touchent les dividendes et ont les droits de vote), les petits-enfants la nue-propriété. Son notaire Bernard Monassier a par ailleurs mis en place des droits de préemption multiples. «Aucune branche ne peut vendre ses parts sans l’accord des autres, explique Rudi Roussillon. Le capital du groupe est verrouillé pour assurer sa pérennité.» Par ailleurs, le Groupe industriel Marcel Dassault dispose d’environ 5 milliards d’euros de trésorerie. Ce qui lui permettrait de racheter les parts d’une branche… mais pas de deux. Enfin, l’Etat a aussi son mot à dire s’agissant d’un groupe aussi stratégique. Si la famille venait à descendre au-dessous de 40% du capital de Dassault Aviation (la filiale qui produit les Rafale), l’Etat pourrait activer un droit de préemption.

A l’avenir, il faudra assurer aux actionnaires la possibilité de vendre leurs actions. Les petits-enfants de Serge Dassault sont déjà 13 et se partagent chacun entre 5 et 12% du capital. La cinquième génération arrive et sera encore plus diluée. «Certains voudront faire autre chose de leur argent», explique de son côté Laurent Dassault. Lui milite pour la création d’une «bourse d’échange interne au groupe comme il en existe chez les Mulliez, les Bouygues ou les Wendel». D’autres chez Dassault pensent qu’il faudrait coter GIMD en Bourse, comme les Peugeot l’ont fait avec leur société familiale. Un processus long qui fera peut-être partie des missions confiées au futur patron du groupe. Ça va tanguer.

Serge Dassault n’a pas envisagé de confier l’empire à ses enfants

Bras de fer avec Airbus sur l’avion de combat du futur

Cinq ans après avoir été annoncé, le Scaf (Système de combat aérien du futur) est au point mort. Et chez Dassault Aviation, on ne cache plus son agacement. En visite à Mérignac (Gironde) le 28 juin dernier, son P-DG Eric Trappier a posé une sorte d’ultimatum : «A un moment, il faut être capable de dire si on va démarrer ou pas.» Si le projet n’avance pas, c’est parce que Dassault et son partenaire Airbus Defence and Space, dirigé par l’Allemand Michael Schoellhorn, ne s’entendent pas sur la répartition des rôles.

Dassault, fort de son expérience avec le Rafale, veut être le chef de file de ce programme qui impliquerait l’Allemagne et l’Espagne. Réponse de son homologue allemand : «Si Dassault souhaite diriger les deux dossiers clés de la furtivité et de l’agilité sans nous consulter, c’est non.» Dans le meilleur des cas, cet avion européen destiné à s’affranchir des F-35 américains pourrait être mis en service vers 2050. Le projet concurrent Tempest (remplaçant de l’Eurofighter), mené par le Royaume-Uni, la Suède et l’Italie, semble mieux parti.

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Un petit résumé des émissions ...

  • Un liner presque plein, avec essentiellement des classe éco peut descendre à 80g/passagers/km ... à 800km/h.
  • Une petite voitures thermique avec un seul passager ne fera pas mieux à 110 km/h.

Alors certes les avions ne volent pas tous plein, et pas tous en classes éco - forte densité de siège - ... mais de la à vouloir jeter bébé avec l'eau du bain gratuitement.

Le souci n'étant ici pas l'avion, mais ce qu'on en fait.

Parce qu'effectivement il n'est pas courant de faire 10 000 kilomètre en voiture en 24h , alors que c'est facile en avion pour les vacances ... et que comme c'est facile, les utilisateurs on tendance à le faire.

Le probleme ici étant avant tout de responsabiliser les utilisateurs ... en leur expliquant que les vacances en Thaïlande - 5t de CO² aller retour juste pour le vol par personne - c'est peut être pas indispensable.

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1 minute ago, clem200 said:

Vous voulez rendre fou Pascal en fait ....

Le bashing de l'aviation pourrait plier les affaires de DA ... qui à ma connaissance ne vend pas grand chose d'autre que des aéronef et un peu d’ingénierie associé.

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il y a 9 minutes, g4lly a dit :

Le bashing de l'aviation pourrait plier les affaires de DA ... qui à ma connaissance ne vend pas grand chose d'autre que des aéronef et un peu d’ingénierie associé.

Ha, attend g4lly faut savoir !

Quand c'est moi qui le dis tu me retorques sur les gens tiennent trop à leur confort et habitude pour changer, que les gamins s'en branlent du climat 

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Il y a 2 heures, Ciders a dit :

Par contre, c'est quoi ces trains sans étage avec des compartiments de six personnes là ? Vous avez fait les fonds de dépôt pour transporter les gens qui voulaient aller sur la côte ? :laugh:

https://fr.wikipedia.org/wiki/I6_SNCB

Dans le jargon, on appelle ça les bétaillères. C'est très adapté pour la clientèle de la Vlaamse Kust :laugh:

(Ouais vendredi, toussa toussa)  

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Le 24/08/2022 à 00:46, Gallium a dit :
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*700000 "collaborateurs" créent des richesses pour Bolloré

 

Et pour ces "collaborateurs" il paie des charges sociales qui abondent le Sécu, et des "collabo" paient des impôts qui abondent le Trésor public... au lieu de grever le budget de l'assurance chômage, le RSA etc ...

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Il y a 7 heures, capmat a dit :

Et en dégât collatéral, nous sommes en train de dérober le boulot d'Elise Lucet.

Oh oui quelle tristesse, elle ne pourra plus aller expliquer à Trappier que c'est un scandale si les clients étrangers de Dassault ne paient pas la TVA française... :rolleyes:

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il y a 4 minutes, Patrick a dit :

Oh oui quelle tristesse, elle ne pourra plus aller expliquer à Trappier que c'est un scandale si les clients étrangers de Dassault ne paient pas la TVA française... :rolleyes:

Dommage que dans un Rafale B, ce soit impossible. Mais dans un Falcon 10x, çà pourrait donner quelque chose d'intéressant :biggrin:

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Le 26/08/2022 à 19:33, g4lly a dit :

Moi une meuf qui me dit qu'elle rentre en bagnole parce qu'elle à peur de se faire violer dans le RER ... je lui crache pas à la gueule. J'ai pas de solution à lui offrir à par l'incité à rentrer avec ses copines dans une seule voiture pour pas rouler 4 voitures ce soir là.

oui enfin, faut voir la politique des villes vis à vis de la voiture... 

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8 minutes ago, rendbo said:

oui enfin, faut voir la politique des villes vis à vis de la voiture... 

Les usagers arrêtent déjà de venir en ville, on a affaire à une pure ségrégation territoriale de fait dans les métropoles et les communes couronnes menaces déjà de prendre des mesures de rétorsion pour empêcher les inner de sortir, puisqu'on en empêche les outer de rentrer.

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