Lathan Posté(e) le 1 juin Share Posté(e) le 1 juin (modifié) Voici pour lancer le sujet, un exemple pris sur la période de février a mars 1943, ou Manstein ce sortit d'une situation catastrophique qui ce préparait, avec brio, et prépara avec soin les éléments de la victoire en lançant sa contre-attaque. Mais pour que ceci soit profitable a tous, ont peut le discuter, le critiquer, mais de maniere constructive pour faire avancer la connaissance. Voici les principes que je constate et relevés pour décider de cette victoire. La riposte de Manstein sur le Donetz ( fevrier - Mars 1943 ) Situation générale : Suite au désastre et encerclement de Stalingrad, plusieurs armées russes déferlent vers l'Ukraine, ( Tiens, sa me rappelle quelque chose... ) et menace de rompre le front sud et de prendre dans un super stalingrad une partie des forces allemande, et celle du Caucase, ce qui qui aurait mit fin plus tot a la guerre. Il s'en est fallu de peu que la porte de Rostov soit fermé aux troupes du Caucase remontant au nord, destiné a occuper le front d'Ukraine... Proportion des forces : Chars : Russes: environ 5 000 chars, dont 2 000 T-34 et 1 500 KV-1 Allemands: environ 700 chars, dont 400 Panther et 200 Tiger Artillerie : Russes: environ 10 000 pièces d'artillerie Allemands: environ 5 000 pièces d'artillerie Avions : Russes: environ 1 000 avions, dont 500 chasseurs et 300 bombardiers Allemands: environ 700 avions, dont 400 chasseurs et 200 bombardiers Soldat : Russes, environ de 1,5 million a un million de soldats Russes Allemand, environ 4 a 500 000 Soldats. La prise de risque : Devant une telle disproportion des forces, Manstein conçu un plan basé sur le risque calculé. La priorité était d'éliminer le risque le plus pressant et le plus dangeureux, rapidement, menaçant d'encerclement une partie du front sud, ce qui aurait porté un coup décisif aux forces Allemandes dans la guerre. Mais pour cela, il dut passer par certaines conditions dont beaucoup sont des principes, que je relève ici. 1. Obtenir la liberté opérative : Avec un Hitler intervenant pour appliquer des demi mesures avec le refus de libérer le Corps blindée SS de sa mission à Kharkov qui menaçait d'etre complètement défait sans apporter aucun résultat vallant un tel sacrifice, et qui était éssentiel a la stratégie de Manstein, son commandant Hausser, désobéissant aux ordres d'Hitler, ce sauva de justesse, et du meme coup, Manstein, et la situation ce présentait désormais de maniere favorable pour Manstein, et la météo intervenant pour empecher les plans d'Hitler d'aboutir, Manstein put imposer le sien. Hitler, vaincu par les évènements abandonna la partie, et laissa carte blanche a Manstein. 2. Constituer des réserves : Auparavant, aucune réserve n'était disponible, il fallait donc raccourcir le front pour cela, reculer et s'appuyer sur le Mious pour une bonne défense avec le corps Hollidt. 3. La prise de risque : Devant une telle disproportion des forces ou les Russes comptaient environ, sept à huit fois plus de chars et deux a trois fois plus de soldat, Manstein retira TOUTES les divisions panzer pour ce constituer une force de frappe suffisante, aidée du Corps blindée SS au nord pour contre-attaquer, seule solution pour detruire cette menace. Mais si le front du Mious cédait, les conséquences aurait été catastrophiques, mais elle du retirer ses chars. 4. Remaniement du dispositif: Il fit une rocade a des unités pour occuper des positions de départ favorable pour sa contre-attaque. 5. Troquer du terrain contre du temps : Afin d'achever son dispositif pour la contre-attaque et etre fin prèt a temps, mieux valait céder du terrain. 6. Le renseignement : Grace a l'aviation et par chance a une écoute sur la ligne Russe, Manstein est au fait de l'état des armées Russes, et celle-ci montre des problèmes de logistique important qui va s'amplifiant, de carburant et de manque de radios, et ainsi, ilsaura quand il pourra lancer sa contre-offensive. Quand aux Russes, toujours dans l'euphorie de la victoire malgré des signes de regroupement Allemand montrant un commencement de mise en place de défense, tres discontinue, ceux ci sont pris pour une simple protection d'arrière garde voulant protéger leur retraite derrière le Dniepr, et s'enfonçant encore plus dans cette illusion, prennent encore plus de risque, poussé par leurs commandants. C'est le risque de trop attendu par Manstein, au courant de leurs situation. 7. La surprise Manstein frappe au moment inattendu, et décisif, ce qui surprend totalement les Russes alors en plein problème logistique et qui paralyse nombre de véhicules blindée, faute de carburant. 8. Exploitation de l'espace, de la largeur et de la profondeur : Devant une telle disproportion des forces, Manstein choisi de frapper les flancs et arrières des Russes pour éviter leurs forces de frappe. C'est la stratégie indirecte. Les Russes avancent dans un mouvement excentrique, tandis que les Allemands concentrent leurs forces. 9. Une bonne coordination : Les forces de Manstein et le Corps blindée SS frappe au bon moment, et cisaillent les forces Russes en partie immobilisés, fautes de carburant. Chaque corps d'armée a son commandant pouvant prendre l'initiative ce qui permet une certaine souplesse sans perte de temps a modifier le dispositif pour l'adapter a de nouvelles situations possible. 10. Continuation de l'opération dirigé sur Kharkov. Après avoir défait les colonnes les plus dangeureuse, les troupes offensives Allemande remontent sur Kharkov, reprennent la ville et tout le terrain perdu derrière le Donetz, mais le général boue met fin trop tot a leurs avance, laissant un saillant important qu'il faudra réduire plus tard. Conclusion : Cette contre-attaque, menée de main de maitre n'avait pas la possibilité de reconquérir le terrain perdu jusqu'a Stalingrad, mais de donner un coup assez fort pour écarter cette menace Russe mortelle. Et Manstein l'a brillamment réussit. La certitude de la victoire Russe après Stalingrad apparemment justifié par les faibles moyens qu'opposaient les Allemands, aveuglant tous leurs commandants, avec Staline derriere poussant ses généraux a leurs limite, le retrait du Corps Blindée SS abandonnant Kharkov, le manque de réaction ennemi, tous ceci convainquit Staline et les généraux que la retraite Allemande était décidé. Et ils étaient prèt a tout pour l'empécher, pour les prendre dans une immense tenaille, un super-Stalingrad, en prenant des décisions extrèmes pour obtenir la victoire. Mais un grain de sable vint gripper la machine lancée a fond de train : Manstein, en gagnant du temps pour monter toute son opération, et ou le renseignement favorisant les Allemands eut une part capitale pour les mettre aux courant des difficultés Russes, et pour frapper au bon moment. Mais tout ceci n'aurait pu etre mené a bien sans un exploit remarquable de la logistique que l'hiver a rendu plus difficile. Depuis Stalingrad, désormais, c'est le Russe qui imposera plus ou moins sa stratégie, les Allemands l'ayant perdu en partie, voudront la retrouver en lançant "l'Opération Zitadelle." Je ne prétend pas que ce soit parfait, n'étant pas un spécialiste, mais je donne une idée générale de l'emploi des principes qui ont été utilisés pour cette opération. Modifié le 14 juillet par Lathan 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Lathan Posté(e) le 14 juillet Auteur Share Posté(e) le 14 juillet (modifié) L'Europe, l'adversaire irréconciliable de Napoleon Les causes provenaient des réformes profonde de la révolution et de la menace qu'elle faisait peser sur l'Europe, en leur déclarant la guerre et voulait imposer son idéologie qui menaçait les trones des Rois et les monarchies. A partir de ce moment, la France, perturbateur de l'Europe, vit ce liguer contre elles nombre de pays, ou il ne s'agissait plus que de battre comme par le passé ses armées et conquérir du territoire, mais bien de monter jusqu'a Paris pour renverser le regime. Mais la Convention et le Directoire surent trouver les ressources pour les en empécher, en levant des armées dépassant meme ceux de nos ennemis réunis, et montant jusqu'a 900 000 H. Et un homme ce distingua parmi tous les généraux : Bonaparte, qui sut imposer la paix, sa paix en 1797, à l'Autriche, resté seule a combattre après plusieurs années, et qui sut profiter des circonstances pour s'emparer du pouvoir, un pouvoir faible, corrompu et mal aimée. Les réformes que Bonaparte devenu 1er consul, relevèrent la France, trop vite au gout des Anglais, qui devant les négociations de paix engagé entre eux, le firent échouer pour des raisons commerciales. L'occupation de Malte mit en avant, n'étant qu'un prétexte pour ne pas signer. L'Angleterre étant a l'abri dans son ile, pouvait susciter des coalitions grace a ses immenses ressources qu'elles tiraient de ses colonies, et le cabinet de Vienne ce pliait volontiers et meme complice de cette politique agréssive, que Jomini, célebre stratégiste ét ralliant en 1813 la coalition et la cause Russe, dénonçait. Napoleon a fait en sorte d'adoucir les excès de la révolution, il c'est montré clément en 1800 contre l'Autriche qui avait repris les armes, mais l'Angleterre, l'ame des nouvelles coalitions ne pouvant etre abattu par mer obligeait a des guerres continentales, et la nécéssité de garder les idéaux de la révolution, gagnés a juste titre, creusait un fossé rendant probablement irréconciliable la France et l'Europe, que seule ses forces et le génie de Napoleon protégeait. Mais c'était une lutte a mort, il fallait vaincre ou tomber sous les coups de l'ennemi qui ne désarmait pas, Napoleon le reconnaissait, attendant la moindre occasion pour repartir a l'attaque, et a défaut d'avoir le génie, comptait sur les forces plus grandes de l'Europe pour battre la France. A un moment, la lutte sembla ce calmer, a force de défaites, l'ennemi baissa les armes, le Tsar, s'allia à Napoleon, mais la trahison de Talleyrand poussant le Tsar a s'opposer a Napoleon en 1809, dont l'Empereur constata la trahison cette année là, et les difficultés qui surgirent ensuite du Blocus Continental provoquérent une nouvelle guerre en 1812, ou les éfforts immenses des deux protagonistes s'acheva par un désastre sans précédent pour la France et ou le climat et le manque de ravitaillement joua un role majeur dans la retraite. Ce fut le signal de la curée pour abattre la France et ou la trahison Autrichienne, malgré son alliance avec la France et l'épouse prise parmi la famille royale, ne trouva pas grace aux yeux de François d'Autriche. Le lion ce battit magnifiquement, mais il succomba devant la trahison, le nombre et la malchance qui le suivait depuis sa campagne de Russie. Exilé à l'ile d'Elbe, il fit un retour rapide, défait à Waterloo, il fut envoyé a Ste Hélène. Napoleon avait chercher a ce faire accepter parmi les monarques européen, en cherchant a installer une nouvelle dynastie royale, copiant les monarchies pour leur envoyer un signal fort et les rassurer politiquement, puis en prenant une épouse parmi les Rois d'Autriche, ou de Russie, non par orgueil, mais par pure politique politicienne pour apaiser les tensions et obtenir finalement la paix désiré pour la France. Il raffermit le trone d'Autriche après ses défaites quand il menaçait de sombrer, car nécéssaire a l'équilibre européen et au poids lourd, Russe. C'est la révolution qui a été la cause de cette irréconciliation avec son idéologie, que Napoleon a dut adoucir et proteger en parti face a l'Europe qui s'est sentit menacé au niveau des trones, aggravé par la politique de l'Angleterre qui a chercher a tout prix a abattre la France. Une fois le régime ancien revenu, la France était accepté de nouveau dans le concert des nations. Mais sans l'Angleterre et toutes les guerres qu'elle provoqua et entraina, il est probable que le régime Français fut finalement accepté mais après de longue années de paix possible, surtout après avoir gouté au génie militaire de Napoleon qui défendait la France, et sans le soutient financier Anglais, ou de force, l'Europe l'aurait finalement accepté, ne pouvant rien pour abattre la France, et ou la montée aux extremes n'aurait jamais montée si haut. Ici, la stratégie coalisé l'emporte par le nombre et la trahison, le refus de céder, ayant appris de leurs erreurs, réparant leurs forces pour repartir a l'attaque, des trahisons de Talleyrand, puis Bernadotte et Murat en 1813, et Marmont en 1814 qui permit de livrer Paris aux coalisés, acheva l'Empire... Modifié le 14 juillet par Lathan 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Lathan Posté(e) le 16 août Auteur Share Posté(e) le 16 août (modifié) A propos de l'uchronie de 1812, les Russes ont commit des fautes historique qui auraient du les perdre entièrement sans les retards inutile de certains généraux et maréchaux Français, la malchance, et aussi de la folie de Junot. Comme vous le remarquez, la proportion des forces largement en faveur des Français, rend le dispositif Russe inadéquat. Par son étendu d'abord, qui rend impossible toute défense sérieuse. Cette impossibilité rend inutile la défense au frontière. Quand a réunir toutes les forces pour y attendre Napoleon et sa formidable armée autour de Vilna, c'était s'exposer a un risque d'encerclement en plus d'une défaite certaine. Pourquoi Vilna ? pour bénéficier d'une route principale directe de retraite sans perte de temps, soit aller vers Drissa, soit prendre la route de Moscou. Et meme s'il y avait quelque idée de manoeuvre de la part des Russes en plaçant Bagration au sud, probablement dans l'espoir d'attaquer Napoleon sur les arrières qu'il aurait présenté s'il montait vers Drissa, sur la Dwina, dont Barlay de Tolly comptait aller et entrainer les Français, ils oubliaient que Napoleon pouvait répondre a cette menace sans aucun problème, grace a sa grande supériorité numérique qui y aurait fait échec. C'était irréaliste. Qu'avait donc a défendre les Russes plutot que de s'exposer dangereusement sur la frontière ? ce sont deux voies principales menant aux deux capitales, Moscou, considéré comme sainte, puisque capitale religieuse, c'est donc la priorité des Russes de la défendre, puis, St Pétersbourg, ou la route est déja plus difficile de surcroit. Qui tenait les cartes pour conduire les Français dans telles ou telles direction ? les Russes, puisque pour vaincre son ennemi, il faut battre ses armées, c'est évident. Ainsi, les Russes n'avaient que deux voies a défendre, cela devait etre clair, plutot que d'éparpiller leurs forces a la frontière qui les a rendu incapable de combattre d'entrée de campagne, et malgré l'injonction du Tzar Alexandre poussant Barclay de Tolly a ce battre. Aussi, la position des Russes n'étaient pas d'etre sur la frontière, indéfendable, mais bien en retrait de celle ci, soit sur la Dwina, du coté de Drissa, ( camp retranché inachevé ) avec l'essentiel des forces, soit sur la Bérézina au plus pret, à Borissov, dans le but de menacer potentiellement les flancs des Français, d'un coté ou de l'autre, sans prendre aucun risque, pour reculer sur le Dniepr, vers Orcha, Smolensk, toujours sans risquer leurs armées pour défendre la route de Moscou, puis les entrainer au loin comme cela a été fait. Voila ce que devaient faire les Russes. Car la position des Russes au départ était dangereuse, malgré l'échec manqué de Jérome Bonaparte ( remplacé après par Reynier ), Bagration aurait été immanquablement intercepté si Davout, chargé par Napoleon de lui couper la route et d'empecher le ralliement avec Barclay de Tolly, n'avait pas perdu inutilement pour rien, quatre jours à Minsk, ce dont Napoleon lui fit le reproche, ce qui sauva la 2eme armée de Bagration. Et je ne parle pas de la folie réelle de Junot qui fit tout rater en refusant d'avancer ses troupes pour boucler complètement l'encerclement de l'armée Russe. Une autre faute qui aurait du etre fatale, est celle de Koutouzov quand il prit position à Borodino. C'est de ce placer dans l'angle de deux rivières, la Katatsha et la Moskva, plus large encore que la première, croyant y trouver un abri, dans lequel il aurait du etre infailliblement enfermé si l'attaque prévu par Napoleon n'avait pas subit le retard de vingt minutes, du a l'élimination successif de leurs commandants, qui permis a temps l'envoie de la réserve Russe pour les bloquer, sinon, s'en était fait des redoutes et de l'armée Russe coincé dans l'angle, et la campagne aurait pris une tout autre tournure. On ne doit jamais ce battre avec une rivière ou un fleuve a dos, et Koutouzov a sous estimé Napoleon, comme dans le cas ou il croyait qu'il allait foncer directement sur les redoutes et y épuiser ses forces dessus, au lieu de choisir de passer entre les deux comme il l'a tenté, ce qui sans la malchance, aurait été fatal a l'armée Russe. Et la retraite n'aurait pas tournée en catastrophe. Voila ce qu'il y avait a dire sur ces points là qui ce devaient d'etre éclaircie. Modifié le 18 août par Lathan Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Lathan Posté(e) le 17 août Auteur Share Posté(e) le 17 août (modifié) Voici la carte des opérations de ce que les Russes auraient du faire pour le placement des troupes : En tireté, les anciennes positions Russes en gros sur la frontière. Barclay de Tolly et Bagration pouvaient choisir de ce réfugier derrière la Dwina, mais c'était la route de Moscou qu'il fallait défendre. Il ne suffisait que de reconnaissances Russes vers la frontière pour connaitre les intentions des Français, et leur directions. Ils évitaient la possibilité d'etre encerclés sur les frontières et d'entrée allongeait le ravitaillement des Français, et commençait a user l'armée. Le gros des forces Française suivant le flanc qu'elle présentait aux Russes pouvait etre attaqué selon que le gros des Russes soient bien placé pour le faire, d'ou les flèches partant du nord et de l'est d'ou ils pouvaient attaquer... Du fait d'une si grande armée, Napoleon devait diviser sont armée, afin de ne pas surcharger inutilement les routes, d'ou la flèche au sud pour prendre Minsk, par ex, si le gros des forces montait vers le nord, et prise nécessaire au controle de la région, puis aller jusqu'a Orcha, pour fermer et controler ce secteur. Macdonald et Oudinot devaient tenir la Dwina. Par contre cela avait un sérieux avantage pour les Français, celle de ne plus avoir a courir pour rattraper les Russes qui a tant fait fondre l'armée et aux ravitaillement qui ne suivait plus. C'est une campagne qui, sur de pareille distance, ne pouvait etre achever qu'en trois ans avec chaque année, l'arrivée de nouveaux renforts, ou les Russes auraient fait de meme de leurs coté. Ainsi, les Russes préservaient leurs armées sans ce mettre en péril, et si Napoleon voulait chercher la solution, il fallait qu'il aille la trouver proche de Moscou ou de St Pétersbourg, face a de grandes forces, ayant aussi a protéger des centaines de kilomètres de ses nouvelles lignes d'opérations, sans etre a l'abri d'attaque puissante qui pouvait le couper pour longtemps de sa base d'opération. Pour contrer cela, il lui aurait fallu avoir plus du double de force des Russes, soit, une armée pour ce battre et vaincre surement l'ennemi, et une autre au moins aussi nombreuse, si ce n'est plus encore pour protéger ses arrières. Ce qui n'était pas réalisable au point de vu armées qui excédait largement les forces Française et alliés, et capacité en ravitaillement. Il aurait fallu pour cela, que l'Autriche et la Prusse s'engage a fond, comme en 1813, pour obtenir le quota probablement nécessaire de troupes, mais pour le ravitaillement le problème était immense. Modifié le 18 août par Lathan Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Lathan Posté(e) le 23 août Auteur Share Posté(e) le 23 août Pour répondre a l'uchronie ou Alexandre comptait conquérir les cités grecques d'Italie, et au delà, l'Hispanie ( l'Espagne ) voici un scénario qui montre la difficulté d'avoir a le réaliser. Grèce : https://odysseum.eduscol.education.fr/larmee-macedonienne Des troupes sont stationnés en Europe sous le commandement d’Antipatros : 12 000 fantassins et 1 500 cavaliers… L'armée d'Alexandre : Total : 37 000 dont 5 100 Cavaliers 24 000 fantassins lourds (9 000 phalangites, 3 000 hypaspistes, 7 000 hoplites alliés, 5 000 hoplites mercenaires) 8 000 fantassins légers (7 000 Thraces et Illyriens, 1 000 Agrianes et archers 5 100 cavaliers (1 800 Compagnons, 1 800 Thessaliens, 600 cavaliers grecs, 900 cavaliers légers thraces et péoniens) Methode de combat : L’armée d’Alexandre, en ordre de bataille, est divisée en deux parties : la gauche qui se tient sur la défensive et la droite qui porte l’attaque. Les différents corps sont organisés de droite à gauche de la manière suivante : les Agrianes, la cavalerie macédonienne, les Hypaspistes, l’infanterie lourde, la cavalerie des Alliés, la cavalerie thessalienne. L’infanterie légère commence le combat. Alexandre s’avance ensuite avec la cavalerie macédonienne. Les Hypaspistes continuent l’attaque. La phalange s’avance en dernier lieu. L’infanterie lourde est donc caractérisée par son armement et son ordre de bataille. Les phalangites ou pezhétaires – les Compagnons à pied par opposition aux Hétaires, les Compagnons à cheval –, sont organisés selon le modèle grec des hoplites, mais armés de la sarisse, une lance de 14 à 16 pieds de long (de 5 à 6 mètres) maniée à deux mains, et d’une courte épée grecque. Quand les sarisses sont abaissées, les pointes des cinq premiers rangs dépassent la ligne d’attaque, formant une muraille hérissée de fer, infranchissable. Les sarisses des phalangites qui suivent sont dressées vers le ciel. On a ainsi des masses de combat, parfaitement entraînées, à la fois lourdes et mobiles, qui apparaissent comme de véritables citadelles mouvantes. La taxis – la plus grande unité de la phalange –, est commandée par un décadarque. L’infanterie légère est forte d’Hypaspistes parmi lesquels on recrute les éléments de l’Escadron Royal, l’ilè basilikè ou agèma. La cavalerie est composée d’éclaireurs répartis en 5 escadrons et de 8 escadrons lourds ou îles, dont l’un constitue l’Île royale, l’ilè basilikè. Chaque escadron est commandé par un ilarque. C’est à la tête de l’agèma, l’Escadron royal, qu’Alexandre charge habituellement. La cavalerie, qui occupe une place de plus en plus importante, joue un rôle capital dans les batailles rangées ou combats individuels. Ses charges fulgurantes sont décisives. Elle compte un groupe d’intervention rapide composé de Péoniens et d’Odrysiens. Quant aux sarissophores, cavaliers armés d’une sarisse de 4 mètres, souvent confondus avec les prodromoi, les Éclaireurs, ils forment un corps de cavalerie légère distinct de la cavalerie lourde équipée, elle, d’une courte pique. À cela, il faut ajouter les archers à cheval, les sagittarii equites dont parle Quinte-Curce (V, 4, 14), une infanterie et une cavalerie grecques et des mercenaires. Philippe s’est inspiré d’Iphicrate. Ce Stratège athénien a été à l’origine de la création d’un détachement de peltastes qui, lors de la Guerre de Corinthe (395-387), fut plus qu’une simple force d’appoint de la phalange, signe de modifications tactiques d’envergure ;(Diodore de Sicile, XV, 44, 2) dont on retrouve les échos chez Salluste, dans l’utilisation des vélites, – troupes légères spécialisées dans le harcèlement et la guérilla –, chez Asclépiodote (VI) et Onasandre (XVIII, XIX, XX). Les troupes légères, les psiloi, si souvent négligées par la stratégie grecque classique, jouent, avec Alexandre, un rôle décisif. Dans la stratégie du prince macédonien, les Hypaspistes, unité d’élite mobile dont l’armement est cependant plus lourd que celui du peltaste de l’époque classique, combattent aux côtés des phalangites. Le corps s’appelle les Hypaspistes des Hétaires. Ils sont indispensables lorsque le terrain interdit l’emploi de la phalange et qu’il faut exécuter des offensives rapides, occuper des hauteurs ou forcer des passages. Les troupes des Thraces et des Agrianes, les akontistes, ou lanceurs de javelots, constituent une infanterie plus légère. Les archers sont recrutés chez les Macédoniens ou les Crétois En 334, Alexandre fait passer son armée d’Europe en Asie. Il accoste en Troade avec 60 navires de combat selon Diodore de Sicile (XVII, 17, 2), 160 selon Arrien (I, 18, 4), 182 selon Justin (XI, 6). Cette armée est relativement de faible importance : une infanterie de 12 000 Macédoniens, 7 000 Alliés, 5 000 mercenaires commandés par Parménion. Des Odryses, des Triballes, des Illyriens au nombre de 7 000 et un millier d’archers et d’Agrianes les accompagnent. À cette infanterie forte de 30 000 hommes, il faut ajouter une cavalerie de 4 500 hommes. 1 800 Thessaliens sont sous le commandement de Callas, le fils d’Harpale. Les autres Grecs, 600 au total, ont Érigyios pour chef. Enfin, il y a 900 cavaliers thraces et péoniens commandés par Cassandros. Mais des troupes sont stationnés en Europe sous le commandement d’Antipatros : 12 000 fantassins et 1 500 cavaliers… L’armée d’Alexandre, en ordre de bataille, est divisée en deux parties : la gauche qui se tient sur la défensive et la droite qui porte l’attaque. Les différents corps sont organisés de droite à gauche de la manière suivante : les Agrianes, la cavalerie macédonienne, les Hypaspistes, l’infanterie lourde, la cavalerie des Alliés, la cavalerie thessalienne. L’infanterie légère commence le combat. Alexandre s’avance ensuite avec la cavalerie macédonienne. Les Hypaspistes continuent l’attaque. La phalange s’avance en dernier lieu. Cavalerie : La cavalerie des Compagnons est une unité exclusive aux Grecs ; plus rapide et plus puissante, elle remplace le cavalier. Il s'agit de l'unité de cavalerie la plus redoutable, tout du moins jusqu'à l'arrivée du chevalier. Elite avec un bouclier Faite pour rechercher la percée. La cavalerie légère est constituée des troupes militaires montées équipées d'armures et armes légères. Elle se distingue ainsi de la cavalerie lourde, dont les hommes (et parfois les chevaux) sont protégés d'armures épaisses. La cavalerie légère est principalement utilisée dans des missions de reconnaissance, pour harceler l'ennemi, ou mener des raids. Elle est aussi, longtemps, l'un des principaux moyens de communication entre différentes formations, ou le front et le commandement. La cavalerie Théssalienne : De tous les Grecs, les Thessaliens étaient considérés comme les meilleurs cavaliers qui soient. Cela n'est pas surprenant puisque la région centrale de Thessalie, avec ses plaines ondoyantes, regorgeait de grands et beaux chevaux, parfaits pour la guerre. C'est pour cela que les habitants se tournèrent naturellement vers l'élevage et l'utilisation des chevaux. Ils étaient férocement belliqueux, et pensaient descendre directement d'Héraclès. Leur société quasi-féodale, dirigée par des rois provenant de nobles familles thessaliennes, dominait ses voisins. Comme la Macédoine au nord mais en plus petit, le paysage de la Thessalie en faisait un terrain d'équitation idéal. C'est ainsi que la cavalerie devint partie intégrante de l'art de la guerre thessalien, ce qui leur donna un net avantage sur la plupart de leurs adversaires. Les cavaliers thessaliens faisaient peur à voir, et leur utilisation innovante (pour l'époque) de la formation en rhomboïde, ou en diamant, leur permettait de percer les flans ou l'arrière des phalanges ennemies, en semant la mort et le chaos dont ce genre de formation très serrée avait du mal à se remettre. LA CAVALERIE GRECQUE Les cavaliers montaient à cru, armés d’une lance et d’une épée et servaient surtout a repérer et a poursuivre les fuyards lors des batailles. En effet la participation de la cavalerie aux combats est très limitée et leur rôle est loin d’avoir un impact considérable sur l’issue des batailles. A Sparte la cavalerie est même méprisée et ne correspond de ce fait pas à une élite. Avec le temps la cavalerie va devenir de plus en plus importante, notamment à l’époque d’Alexandre où elle aura un impact très important. Cavalerie Thrace : bonne et aimant le gain Uchronie tres intéréssante, mais démontrant la difficulté de s'établir pour ensuite conquérir les cités états Grecs d'Italie. Je fais partir Alexandre des ports Grecs, soumis a sont autorité, ayant réunit une flotte de plus de trois cent cinquante navires et cent cinquante transports, avec 4 000 soldats et trois cent chevaux, dont le reste, 33 000H devra attendre que la flotte revienne les prendre. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Lathan Posté(e) le 23 août Auteur Share Posté(e) le 23 août (modifié) C'est une estimation d'après les recherches sur la marine que j'estime raisonnable d'après les combats navals déroulés entre Athène et Sparte suite aux guerres Médiques, ou ici, il s'agit de ne pas ce précipiter afin d'avoir établit assez rapidement une force conséquente en Italie qui demande l'aide maritime de toute la Grèce, et un port ou un abri atteignable le plus rapidement en Italie, et la future ville d'Otrante, a la botte sud est d'Italie est un bon emplacement, malgré le port de Brindisi mais dont la route maritime rallonge de plusieurs jours l'aller retour du trajet de la flotte, et dont le temps gagné est important. Les navires peuvent aller a la vitesse de 4 a 10 noeuds, selon l'état de la mer, et la fatigue des marins, et les navires ne peuvent transporter qu'une centaine de soldats en plus des marins. 1 noeud représente 1,852 Km. Il y a environ 250 Kms de routes maritime a parcourir donnant environ sept jours, aller-retour,et je me suis basé sur une vitesse moyenne de 4 noeuds, avec des pauses nécessaires pour le repos des rameurs en cours de journée. Troupes stationnés en Grèce sous le commandement d’Antipatros : 12 000 fantassins et 1 500 cavaliers… ( Authentique, pour assurer les arrières d'Alexandre partie conquérir la Perse. ) Voici donc ce que cela pourrait donner en restant dans une moyenne basse pour la vitesse des navires ou plusieurs embarcations sont nécessaire pour assurer la base en Italie et ou la météo joue un role avec l'état de la mer plus ou moins calme : Cas I, privilégiant l'infanterie. Alexandre a fait réunir son armée forte de 37 000H dont 5 100 cavaliers au Golfe Ambracique et autour de la ville d'Ambracie. Les navires, réunit dans le golfe Ambracique, partent vers l'Italie le 5 mai 334 pour accoster à la future ville d'Otrante vers la base est de la botte Italienne et l'atteigne 3 jours et demi après, dans un golfe assez large pour ofrir un abri a toute la flotte, et y débarquer la troupe, avant de repartir vers sa base reprendre de nouvelles troupes, ou celles ci, nullement inquiété par la trop faible population locale, construisit un fort pour s'assurer d'un retour offensif des grecs, avertit par leur débarquement sur leurs terres. Conscient que cette excursion n'avait rien de pacifique, les Grecs d'Italie levèrent 5 000H et 800 cavaliers, mais le temps de les réunir, douze jours passèrent, ( rapidité Grecque obtenue grace a l'envoie de la marine et la cavalerie avertissant leur pays.) ou malheureusement pour eux, les macédoniens avaient déja a ce jour, 8 000 H et 600 cavaliers sur la cote Italienne. ( Cavalerie de choc ) ( Je me réfère aux renforts Grecs fournit à Pyrrhus en 280 AV JC, ou 6 000 Grecs et 1000 Cavaliers, soit 86 ans plus tard, me semble dans une estimation assez raisonnable, d'autant que leur patrie est menacé. ) La réputation d'Alexandre avait haté les évènements, comprenant que le conquérant voudrait soumettre les Grecs d'Italie, et probablement davantage, recherchèrent l'alliance de la confédération Samnite, faisant valoir le danger d'avoir a leur porte un conquérant tel qu'Alexandre, qui avec toute son armée réunie qui avait soumis la Grèce en si peu d'années, et ne comptait certainement pas en rester là a soumettre que les Grecs d'Italie. Les Samnites, guerriers redoutables, allié a nouveau de Rome après leur guerre, acceptèrent, et promirent l'envoie de 40 000H commandé par Caius Pontius, ( Samnite ) qui arrivèrent avec les 5 800 Grecs devant Tarente, 40 jours après, ou entretemps, la garnison Macédoniene était montée a 20 000 fantassins et 1 500 cavalerie d'élite de choc, les Compagnons, avec a leur tete Alexandre. 3 jour plus tard, toute l'armée Samnite et Grecque ce présenta devant devant les Macédonniens qui avaient reçu a nouveau 4 000 fantassins et 300 cavaliers, les Compagnons, soit, la totalité de cette cavalerie d'élite. Ainsi, 24 000 fantassins et 1800 cavaliers de choc d'élite, allaient affronter 40 000 Samnites dont 5 000 cavaliers et 5 000 Grecs et 600 cavaliers. Alexandre a privilégié l'envoie de l'infanterie sur la cavalerie pour disposer de plus de troupes sur la cote Italienne, en espérant que la réaction de l'ennemi ne soit pas trop vive ni trop rapide, sinon c'est environ six a sept milles infanterie de moins. Ce qui dans ce cas précis, n'a pas marché a cause de sa réputation de conquérant, trop remuant et brillant. ( A mesure de l'arrivée des renforts Macédoniens, le fort était modifié et s'agrandissait d'autant, offrant sa protection aux troupes s'ils refusait le combat, sauf dans la partie du port occupé et seulement la droite est agrandit, car déja a la bonne hauteur. ) Voici donc la carte avec le terrain et son plateau qu'occupent les deux adversaires avec la taille respective des armées. Modifié le 23 août par Lathan 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Lathan Posté(e) le 23 août Auteur Share Posté(e) le 23 août La proportion des forces est correcte dans leur étendu, ainsi que la cavalerie. Les Phalangistes sont sur seize rangs alors que les Hoplites sont habituellement sur huit rangs de troupes. Comme on le voit, la coalition Samnites et Grecques possèdent une large supériorité numérique propre a menacer les ailes des Macédoniens s'il commettaient la faute de s'avancer... et occupent un plateau a droite nettement renforcé, destiné a enfoncer la droite ennemi, et évite la Phalange occupant la partie protégeant le port, ou si celle ci devait etre tenu par d'autres troupes pourrait etre enfoncé et permettrait la capture de toute cette armée Macédonniene. A ce moment, il reste cinq jours pour l'arrivée de nouveaux renforts Macédoniens. Un rempart ( orange ) et un fossé protège les Macédoniens. Je ne compte pas que les Samnites et les Grecs protège aussi leurs armée derrière des fortifications en bois avec fossés et plusieurs ouvertures pour le passage rapide de leurs armées pour s'établir dans la plaine. Ayant près du double de forces sur leurs adversaires, les Samnites peuvent s'attaquer aux fortifications ennemis, par le feux, au moyens de flèches enflammées par des tirs groupés, protégés par une nuée de fantassins légers et une puissante cavalerie derrière avec l'infanterie, ne donnant aucune chance possible de percer pour les Macédoniens contraints de subir, et préparèrent des fagots pour franchir les fossés. Tous ceci pourrait ce réaliser dans un temps tres cours, au cours d'une journée, mettant les Macédoniens dans une tres mauvaise posture. L'intervention de la marine grecque d'Italie, a ce moment, est destinée a retenir le maximum de forces Macedonnienes possible pour éviter d'etre tournée. Inévitablement le combat est perdu pour les Macédoniens, ou l'effort principal des Samnites sera porter contre les holplites ( la partie du front en bleu ) en évitant de s'attaquer aux phalangistes avec leurs lances de 6 M. ( En rouge sur le front ) et leur cavalerie, 3 fois supérieure a l'ennemi, permettant d'intercepter de flanc la cavalerie d'élite de choc et de l'envelopper, ne permette pas d'entrevoir une issue heureuse pour les Macédoniens. De deux choses l'une, soit le commandant de la place assiégé, demande et obtient de négocier et partir sans combat, sous la surveillance des coalisés jusqu'a évacuation complète de l'Italie. Soit, il y a combat, et les coalisés l'emporte sur les Macédoniens en attaquant par leur droite ( les hoplites, pas la phalange ) après que les remparts furent en grandes partie brulés, et le fossé de protection comblé par des fagots et des planches et ou les pertes seraient sévères, et l'armée finalement prisonnière, le tout, avant l'arrivée de nouveaux renforts Macédoniens, ou il leur faut cinq jours pour revenir a cette base. Voici pour une estimation basse de l'arrivée des renforts macédonniens et ou la cavalerie n'est pas privilégié, qui aurait égalé en nombre celle de l'ennemi, mais ou la cavalerie de choc aurait fait la différence. Dans ce cas précis, il fallait s'assurer d'une alliance avec un état ou cité état offrant un bon port pas trop éloigné, comme Tarente, qui occupait les pouilles, ( droite de la botte Italienne ) et qui avait des problèmes avec ses voisins du nord, et aurait peut etre accepté l'alliance Macédonniene, ou dans ces conditions, par intéret stratégique, je les fais toujours débarquer au futur port d'Otrante, tout en envoyant 5 000H à Tarente les rassurer entretemps, le reste s'établissant sur cette position. Ce cas d'infèriorité numérique surtout en cavalerie, vous montre que les macédoniens étaient dans la nécessité de choisir un port, le plus proche possible en cas de refus d'alliance, d'avoir une forte cavalerie, mais l'infanterie attaquer en force sur des unités hoplitique, en s'appuyant au besoin sur un bon terrain, débordant chaque ailes des Macédoniens, la cavalerie coalisé ciblant en particulier et chargeant toujours sur le flanc des Compagnons, cavalerie d'élite, il est probable, en évitant les phalangistes, que meme si Alexandre pu gagner des combats, qu'une alliance Samnites et Romains en plus des grecs, hormis Tarente, comprenant tout le danger que représente ce conquérant, en utilisant des terrains difficile pour la phalange, favorisant la légion, plus souple et les Samnites préférant la guerre en montagne, qu'Alexandre renonce a sa conquete, ou subisse assez de résistances et d'échecs, et nécessitant la protection de sa ligne d'opération et de ravitaillement, amputant des forces a mesure qu'il s'enfonce en Italie et devant son infèriorité numérique, ses arrières attaqué, parfois battu, en exploitant leur supèriorité, le raviataillement parfois coupé, que devant ces puissances alliés réunit, il abandonne, ce qui ne serait pas le cas contre les Samnites uniquement. Si les Samnites n'obtenaient pas l'aide de Rome, leur alliance avec Carthage, copains comme cochon, disait Tancrède, réunissant leurs forces, avec la cavalerie Numides, l'élite de la cavalerie légère du monde antique, et pouvant lever des centaines de milliers d'hommes sans pouvoir tous les équiper, et Rome protéger par ses remparts et imprenable pour les moyens d'Alexandre, sa flotte menacé, ses arrières aussi par Carthage et dans un combat majeurs, nettement surclassé en nombre et largement débordé et ayant un concurrent sérieux et tres mobiles contre la cavalerie, un terrain choisi par les coalisés, je ne donne pas à Alexandre de possibilité de vaincre au final des adversaires ayant aussi des tactiques plus souple sur le terrain. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Lathan Posté(e) le 15 septembre Auteur Share Posté(e) le 15 septembre (modifié) Le plan Schlieffen était-il prévisible ? Lors de la préparation du Plan XVII, l'état major Français n'a pas prit assez en compte la possibilité pour l'Allemagne de vouloir sortir de sa situation d'encerclement Franco-Russe, qui l'aurait écraser et a suivit sa doctrine sans adaptation réaliste de la situation pour parer a un danger possible, avant de penser a mettre en oeuvre son plan. Car quel pays aurait accepté un tel sort passivement sans chercher de solution qui puisse l'en sortir ? Il était facile de ce mettre a leur place pour rechercher des solutions qui leur aurait ouvert facilement les yeux. La seule solution pour l'Allemagne était d'utiliser toutes ses réserves, frapper un grand coup, dans une région reconnue qui permette toute cette avancée rapide en profondeur, passant par la Belgique, ( dont ils avaient comprit que l'Angleterre ce positionnerait d'avance contre eux a partir d'un moment,) prendre la capitale, s'en servir de pivot, et enfermer l'armée Française vers sa frontière est, le tout, dans un temps limité de 42 jours, date de l'entrée en guerre sérieuse des Russes, avant de ce retourner contre elle. Le passage par le nord évitait de forcer un réseau de fortification Français, et en affaiblissant leur aile gauche pour mieux attirer les Français vers l'est, pour mieux les encercler, était de la simple logique évidente dans cette situation. Et pour réussir dans une telle entreprise, il fallait employer les 9/10eme de leur forces, ce qui fut décidé par l'Allemagne. Ainsi, de part sa position centrale qui était un défaut au départ, elle en fit une qualité en exploitant le temps et ses forces a son avantage, en prenant l'initiative pour imposer sa stratégie contre UN adversaire. Ce qui est la base de la stratégie. Tout ceci n'est que pure logique, et vraiment fort simple a saisir et comprendre pour qui ce mettait a la place de l'Allemagne et qu'attendre passivement sans réagir une défaite estimée rapide et inévitable, qu'etre nombriliste et suivre une doctrine de l'offensive a outrance, inadapté. La France aurait donc du etre dans l'attentisme avant d'agir, meme sans connaitre précisément ce plan, au lieu de s'enfoncer immédiatement en Alsace pour répondre a un impératif symbolique pour le peuple, eut été plus réaliste si elle avait laissé ses forces vers le centre, pour parer une éventuelle grave menace qui pouvait venir du nord que du sud, si l'offensive ce confirmait... soit, si ce danger inexistant, ce diriger après vers l'Alsace. Cela s'appelle l'adaptation. Le danger encouru eut été moindre, et elle aurait subit moins de morts au final et aurait mieux résisté et plus longtemps sur ses positions. Les généraux Français ont fait preuve d'un certain aveuglement qu'a la lumière de ce simple exposé est peu compréhensible, et pourtant si facilement prévisible, plutot qu'etre enfermé dans une doctrine. Comme le disait De Gaule, "nul épée n'a pesée plus sur la tete que la notre." Modifié le 20 septembre par Lathan 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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