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Alexandre envahit l'Italie pour conquérir les cités Grecques.


Lathan

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Des troupes sont stationnées en Europe sous le commandement d’Antipatros : 12 000 fantassins et 1 500 cavaliers…

Total : 37 000 dont 5 100 Cavaliers doivent débarquer en Italie.

 

Composition :

    24 000 fantassins lourds (9 000 phalangites, 3 000 hypaspistes, 7 000 hoplites alliés, 5 000 hoplites mercenaires)
    8 000 fantassins légers (7 000 Thraces et Illyriens, 1 000 Agrianes et archers
    5 100 cavaliers (1 800 Compagnons, 1 800 Thessaliens, 600 cavaliers grecs, 900 cavaliers légers thraces et péoniens)
 
Méthode de combat et informations :
L’armée d’Alexandre, en ordre de bataille, est divisée en deux parties : la gauche qui se tient sur la défensive et la droite qui porte l’attaque. Les différents corps sont organisés de droite à gauche de la manière suivante : les Agrianes, la cavalerie macédonienne, les Hypaspistes, l’infanterie lourde, la cavalerie des Alliés, la cavalerie thessalienne. L’infanterie légère commence le combat. Alexandre s’avance ensuite avec la cavalerie macédonienne. Les Hypaspistes continuent l’attaque. La phalange s’avance en dernier lieu.


L’infanterie lourde est donc caractérisée par son armement et son ordre de bataille. Les phalangites ou pezhétaires – les Compagnons à pied par opposition aux Hétaires, les Compagnons à cheval –, sont organisés selon le modèle grec des hoplites, mais armés de la sarisse, une lance de 14 à 16 pieds de long (de 5 à 6 mètres) maniée à deux mains, et d’une courte épée grecque. Quand les sarisses sont abaissées, les pointes des cinq premiers rangs dépassent la ligne d’attaque, formant une muraille hérissée de fer, infranchissable. Les sarisses des phalangites qui suivent sont dressées vers le ciel. On a ainsi des masses de combat, parfaitement entraînées, à la fois lourdes et mobiles, qui apparaissent comme de véritables citadelles mouvantes. La taxis – la plus grande unité de la phalange –, est commandée par un décadarque. L’infanterie légère est forte d’Hypaspistes parmi lesquels on recrute les éléments de l’Escadron Royal, l’ilè basilikè ou agèma.

La cavalerie est composée d’éclaireurs répartis en 5 escadrons et de 8 escadrons lourds ou îles, dont l’un constitue l’Île royale, l’ilè basilikè. Chaque escadron est commandé par un ilarque. C’est à la tête de l’agèma, l’Escadron royal, qu’Alexandre charge habituellement. La cavalerie, qui occupe une place de plus en plus importante, joue un rôle capital dans les batailles rangées ou combats individuels. Ses charges fulgurantes sont décisives. Elle compte un groupe d’intervention rapide composé de Péoniens et d’Odrysiens. Quant aux sarissophores, cavaliers armés d’une sarisse de 4 mètres, souvent confondus avec les prodromoi, les Éclaireurs, ils forment un corps de cavalerie légère distinct de la cavalerie lourde équipée, elle, d’une courte pique. À cela, il faut ajouter les archers à cheval, les sagittarii equites dont parle Quinte-Curce (V, 4, 14), une infanterie et une cavalerie grecques et des mercenaires.

Philippe s’est inspiré d’Iphicrate. Ce Stratège athénien a été à l’origine de la création d’un détachement de peltastes qui, lors de la Guerre de Corinthe (395-387), fut plus qu’une simple force d’appoint de la phalange, signe de modifications tactiques d’envergure ;(Diodore de Sicile, XV, 44, 2) dont on retrouve les échos chez Salluste, dans l’utilisation des vélites, – troupes légères spécialisées dans le harcèlement et la guérilla –, chez Asclépiodote (VI) et Onasandre (XVIII, XIX, XX). Les troupes légères, les psiloi, si souvent négligées par la stratégie grecque classique, jouent, avec Alexandre, un rôle décisif. Dans la stratégie du prince macédonien, les Hypaspistes, unité d’élite mobile dont l’armement est cependant plus lourd que celui du peltaste de l’époque classique, combattent aux côtés des phalangites. Le corps s’appelle les Hypaspistes des Hétaires. Ils sont indispensables lorsque le terrain interdit l’emploi de la phalange et qu’il faut exécuter des offensives rapides, occuper des hauteurs ou forcer des passages. Les troupes des Thraces et des Agrianes, les akontistes, ou lanceurs de javelots, constituent une infanterie plus légère. Les archers sont recrutés chez les Macédoniens ou les Crétois

En 334, Alexandre fait passer son armée d’Europe en Asie. Il accoste en Troade avec 60 navires de combat selon Diodore de Sicile (XVII, 17, 2), 160 selon Arrien (I, 18, 4), 182 selon Justin (XI, 6). Cette armée est relativement de faible importance : une infanterie de 12 000 Macédoniens, 7 000 Alliés, 5 000 mercenaires commandés par Parménion. Des Odryses, des Triballes, des Illyriens au nombre de 7 000 et un millier d’archers et d’Agrianes les accompagnent. À cette infanterie forte de 30 000 hommes, il faut ajouter une cavalerie de 4 500 hommes. 1 800 Thessaliens sont sous le commandement de Callas, le fils d’Harpale. Les autres Grecs, 600 au total, ont Érigyios pour chef. Enfin, il y a 900 cavaliers thraces et péoniens commandés par Cassandros. Mais des troupes sont stationnés en Europe sous le commandement d’Antipatros : 12 000 fantassins et 1 500 cavaliers…

L’armée d’Alexandre, en ordre de bataille, est divisée en deux parties : la gauche qui se tient sur la défensive et la droite qui porte l’attaque. Les différents corps sont organisés de droite à gauche de la manière suivante : les Agrianes, la cavalerie macédonienne, les Hypaspistes, l’infanterie lourde, la cavalerie des Alliés, la cavalerie thessalienne. L’infanterie légère commence le combat. Alexandre s’avance ensuite avec la cavalerie macédonienne. Les Hypaspistes continuent l’attaque. La phalange s’avance en dernier lieu.


Cavalerie :
La cavalerie des Compagnons est une unité exclusive aux Grecs ; plus rapide et plus puissante, elle remplace le cavalier. Il s'agit de l'unité de cavalerie la plus redoutable, tout du moins jusqu'à l'arrivée du chevalier. Elite avec un bouclier

Faite pour  rechercher la percée.
 
La cavalerie légère est constituée des troupes militaires montées équipées d'armures et armes légères. Elle se distingue ainsi de la cavalerie lourde, dont les hommes (et parfois les chevaux) sont protégés d'armures épaisses.

La cavalerie légère est principalement utilisée dans des missions de reconnaissance, pour harceler l'ennemi, ou mener des raids. Elle est aussi, longtemps, l'un des principaux moyens de communication entre différentes formations, ou le front et le commandement.


La cavalerie Théssalienne :
De tous les Grecs, les Thessaliens étaient considérés comme les meilleurs cavaliers qui soient. Cela n'est pas surprenant puisque la région centrale de Thessalie, avec ses plaines ondoyantes, regorgeait de grands et beaux chevaux, parfaits pour la guerre. C'est pour cela que les habitants se tournèrent naturellement vers l'élevage et l'utilisation des chevaux. Ils étaient férocement belliqueux, et pensaient descendre directement d'Héraclès. Leur société quasi-féodale, dirigée par des rois provenant de nobles familles thessaliennes, dominait ses voisins. Comme la Macédoine au nord mais en plus petit, le paysage de la Thessalie en faisait un terrain d'équitation idéal. C'est ainsi que la cavalerie devint partie intégrante de l'art de la guerre thessalien, ce qui leur donna un net avantage sur la plupart de leurs adversaires. Les cavaliers thessaliens faisaient peur à voir, et leur utilisation innovante (pour l'époque) de la formation en rhomboïde, ou en diamant, leur permettait de percer les flans ou l'arrière des phalanges ennemies, en semant la mort et le chaos dont ce genre de formation très serrée avait du mal à se remettre.
10% de bonus de charge

La cavalerie Grecque :
Les cavaliers montaient à cru, armés d’une lance et d’une épée et servaient surtout a repérer et a poursuivre les fuyards lors des batailles. En effet la participation de la cavalerie aux combats est très limitée et leur rôle est loin d’avoir un impact considérable sur l’issue des batailles. A Sparte la cavalerie est même méprisée et ne correspond de ce fait pas à une élite.

Avec le temps la cavalerie va devenir de plus en plus importante, notamment à l’époque d’Alexandre où elle aura un impact très important.


Cavalerie Thrace :
bonne et aimant le gain

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oui, il y a erreur, a cette époque Venise n'existait pas avant l'an 421 après JC, et Alexandre était déja enterré depuis 700 ans, et l'on n'a jamais retrouvé son tombeau.

Qu'aurait-il donc fait à Venise ?...et ce n'était pas un saint.

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Je fais partir Alexandre des ports Grecs soumis a sont autorité, ayant réunit une flotte de plus de trois cent cinquante navires et cent cinquante transports, avec 4 000 soldats et trois cent chevaux, dont le reste, 33 000H devra attendre que la flotte revienne les prendre.

Une centaine de soldats plus les marins sont seulement transportable par navire.

 

Il c'est fait un allié, la cité état de Tarente, menacée par ses voisins Italiens, notamment les Lucaniens et les Brutiens, a besoin d'aide.

C'est une occasion inespérée, et qui répond a sa volonté de conquete en soumettant les cités Grecques, et grace a la cité de Tarente, il espère mettre le pieds en Italie avec la totalité de son armée, avant qu'un ennemi plus puissant n'intervienne au cas ou, s'alarmant de sa présence en Italie avec son armée, ou il faut les prendre de vitesse afin d'inciter a la prudence et la négociation.

 

La diplomatie avec Carthage, les Samnites et les Romains, méfiant, avance peu, cependant, avec les Romains avec leur problème en cours avec leurs alliés, Rome choisi de rester hors de probables conflit.

 

Ce qui décida malgré tout Alexandre a aider les Tarentins et y établir sa nouvelle conquete.

 

Il y laisse des troupes  stationnés en Grèce sous le commandement d’Antipatros : 12 000 fantassins et 1 500 cavaliers… ( Authentique, lors de son expédition en Asie.)

 

Alexandre a fait réunir son armée forte de 37 000H dont 5 100 cavaliers au Golfe Ambracique et autour de la ville d'Ambracie, donnant sur l'Adriatique.

 

Les navires, réunit dans le golfe Ambracique, partent vers l'Italie le 5 mai 334 pour accoster à la future ville d'Otrante vers la base est de la botte Italienne et l'atteigne 3 jours et demi après, dans un  golfe assez large pour offrir un abri a toute la flotte, et y débarquer la troupe, avant de repartir vers sa base reprendre de nouvelles troupes, ou celles ci, nullement inquiété par la trop faible population locale, construisit un fort pour s'assurer d'un retour  offensif des grecs, avertit par leur débarquement sur leurs terres.

 

A la vitesse de cinq noeuds ( soit environ 9 Km/H ) et des pauses nécessaires aux rameurs, Alexandre atteignit en trois jours par un temps idéal, la future ville d'Otrante qui offre un port viable et suffisant pour accueillir sa marine et térritoire soumis a Tarente.

( Botte sud-est de l'Italie )

 

Il lui faudra encore 48 jours a ce rythme pour compléter l'effectif de son armée, a raison de six jours allée-retour, par beau temps, de 4 000H et 300 chevaux et cavaliers par expédition, soit 8 voyages.

 

Pour Alexandre, c'est une course contre la montre ou durant ce délais, des adversaires puissants peuvent ce lever, pour tenter de le vaincre ou le rejeter a la mer, sachant le danger qu'il représente après la conquete rapide de la Grèce.

 

Il y fait établir une fortification qui ce développera a mesure de l'augmentation de l'armée, s'appuyant sur le port qu'il faut a tout prix conserver, comme route de retraite au besoin.

 

Au bout de trois semaines et demi, le 30 mai 334, Alexandre dispose de 16 000H, dont 9 000 phalangistes, 3000 Hypaspistes d'élite, 4000 Peltastes, et 900 cavaliers d'élite, les Compagnons.

En politique, la diplomatie semblant pourtant s'arranger avec Carthage et les Samnites, ce déteriora rapidement.

C'était un piège de leur part, attendant de frapper au bon moment pour battre ce conquérant trop remuant ou sa jeunesse et sa fougue, comme ses talents, faisait peur.


Les espions d'Alexandre lui rapportèrent qu'entretemps, la confédération Samnites avaient commencé a levé une armée et montait déja a 18 000H. dont 2000 Cavaliers.

Carthage, refusait tout commerce avec Alexandre et les prémices d'une guerre se sentait déja au loin.

Elle attendait probablement la confrontation et son dénouement en début de campagne avec les Samnites avant de prendre définitivement parti contre lui.

 

Il fallait, soit renoncer, soit partir immédiatement a leur rencontre avec les Tarentins, au nombre de 5 000H et 800 cavaliers, et les vaincre, sans attendre plus longtemps.

( chiffre que j'estime raisonnable, puisque 80 ans plus tard, elle en avait 1000H de plus et 200 cavaliers supplémentaire avec Pyrrhus.)

 

Il lui faudra au moins une semaine avant d'atteindre Vénusia, une des grandes villes frontière Samnites, en soumettant au passages les méssapii, petit état, situés au nord de la province des Pouilles, a moins qu'elle ne reste neutre.

Modifié par Lathan
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Voici la Grèce sous domination Macédoniène et occupant le port d'Ambracie :

 

1724572962-map-macedonia-336-bc-fr-svg.p

 

 

 

Voici l'état de la confédération Samnites avec ses frontières a peu près exact et d'ajout de villes que j'ai préparé.

En dessous, a gauche et au centre, vous avez les Lucaniens.
En Calabre, les Bruttiens avec lesquels Tarente subit parfois des menaces.

 

1724573377-samnite-pays-fait-avec-nom-de

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Il y a 22 heures, Lathan a dit :

oui, il y a erreur, a cette époque Venise n'existait pas avant l'an 421 après JC, et Alexandre était déja enterré depuis 700 ans, et l'on n'a jamais retrouvé son tombeau.

Qu'aurait-il donc fait à Venise ?...et ce n'était pas un saint.

Les vénitiens ont volé ce qu’il supposent être le corps de St Marc à Alexandrie en 828, or certains historiens pensent qu’il y a une vraie possibilité pour que le corps volé ai été celui d’Alexandre.

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La décision d'Alexandre :


En ce jour du 4 juin 334, Alexandre a laissé 300 soldats pour garder le camp dans ce territoire tenu par Tarente, et cette cité état est maintenant entrée de force en conflit contre les Bruttiens et les Lucaniens.

Dans quelques jours,

( Calabre et nord Calabre.)
Tarente est assez forte pour les affronter seule, sa richesse lui permet de lever assez de mercenaires pour les combattre.

Voila un changement de situation pour Alexandre plutot contrariant.
Il lui faut gagner au plus vite les territoires de la confédération Samnites avant qu'ils ne rassemblent toute leurs forces qui peuvent monter jusqu'a 40 000H.


S'il attend une semaine l'arrivée a Tarente des 4 300H, ses renforts, plus remonter vers ses ennemis, avec la possibilité que les Tarentins soient battu entretemps et avoir sa ligne de retraite menacé, il va perdre 2 semaines.
Ce sera trop, l'ennemi risquera d'etre trop fort.


A ce moment, Alexandre apprend la rupture de la diplomatie avec Carthage, qui il le suppose justement, ce rangera du coté de ses ennemis pour le chasser d'Italie.

Mais Alexandre n'est pas homme a reculer facilement devant le danger, et prend le parti d'engager le bras de fer avec ses ennemis.


Stratégie :

Ses ennemis ne sont pas encore réunit, il va prendre un parti audacieux, armée les civils du port de Tarente abrité derrière les fortifications de la ville, et réunir les forces armées Macédo-Tarentaise contre les Lucaniens d'abord pour ce placer en position centrale et séparer les Bruttiens des Samnites, une fois les premier, battu.

Et il attend dans trois jours, l'arrivée de nouveaux renforts, de 4 300H chargés de protéger Tarente pendant qu'il sera partit, laissant toujours 300H dans le camp de base de la future ville d'Otrante.

 

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La campagne contre les Lucaniens et les Bruttiens :

 

Partant immédiatement avec 16 000H dont 900 cavaliers de choc d'élite, 5000 Tarentins et 800 cavaliers ayant une excelente réputation, cinq jours après, et scindant son armée, il prend Anxia avec les Tarentins, ( situé a 1000 mètres de hauteur)  fait envoyer un message a leur roi à Paestum sur la cote ouest, pour déposer les armes sous peine de ravager la Lucanie.


Puis le lendemain, avec le gros de l'armée, il ce présente devant Potentia, ( actuellement Potenza ) toujours sans rencontrer d'opposition devant la trop grande disproportion des armées, la Lucanie ne comptant que 3 000 soldats en arme, n'ayant pas la richesse de Tarente pour avoir plus de troupe, ne résista pas sur le terrain.
( Ce qui explique  Tarente en butte avec ces deux adversaires certainement alliés parfois, puisse résister sans etre battu )

Devant la tournure si rapide des évènements, la confédération des tribus de Lucanie n'ayant pas de roi, avertit, sous la menace ennemi d'etre a ces portes sous deux jours, accepte.
Il devra fournir des otages de chaque famille des chefs de tribus pour garantir leurs fidélité et aider aux ressources de l'armée Macédoniene.

1000 soldats de Tarente occuperons la Luccanie.
 

L'armée Macédoniene et de Tarente ce sont réuni autour de Potensia, non loin du territoire Samnites.


Aussitot décidé, Alexandre fait incorporer l'armée ennemi dans ses rangs a son arrivée, compris dans les conditions.

Son armée n'a encore subit aucune perte, et compte désormais a ce moment là, 24 000H environ.

 

Devant cette situation ou Tarente et Alexandre marchaient contre les Lucaniens, les Bruttiens de Calabre qui c'était avancés vers Tarente, stoppèrent, et firent demi tour, devant le risque de pouvoir etre pris en flanc, et l'echec devant Tarente, voyant la ville en arme sous la protection de ses fortifications.

Pendant leur retraite, après la soumission des Lucaniens, ils reçurent eux aussi un message d'Alexandre leur demandant de ce rendre au 10 Juin, de laisser leur armée sur place, le temps de la réponse des tribus formant une sorte de confédération , ce qu'ils firent devant la nouvelle situation, et de le servir en ressource, et militairement, sous peine de voir leur patrie saccagé par ses armes, avec un ultimatum trés court de deux jours dès leur réceptions, avec remise d'otages précieux pris sur chaque famille commandant leurs tribus.

 


N'ayant pas d'autres alternatives, privé de son allié direct, la Lucanie, et des Samnites qui auraient pu faire pencher la balance s'ils avaient disposer d'assez de temps, et avec Alexandre entre les deux partit ennemis, ils acceptèrent, et conduisirent les Otages à Tarente, et leur armée de 2 500 H à Alexandre.


Ainsi, pratiquement en douze jours, au 16 juin, Alexandre avait soumis ces deux peuples, devant la réponse prévisible de son méssage aux Bruttiens, et de leurs faiblesses, reçu le renfort de 4 300 nouveaux macédoniens marchant directement sur son camp, et au 24 Juin, celle des Bruttiens le rejoignant vers la route menant à Vénusia, en passant par Matera au 23 Juin, occupés a cette date par 12 900 nouveaux renforts Macédoniens, dont 900 cavaliers, chargé de protéger la ligne de retraite d'Alexandre  avec 8 600 H à Matéra, qui, si surclasser par le nombre des Samnites, s'il venaient a vouloir l'attaquer directement à Potensia, pouvait refuser le combat et reculer sur cette réserve.


Les reconnaissances les prévenant assez tot pour accomplir tout cela.

 

 

( Je dois dire que je n'avais pas prévu au début l'intervention des Lucaniens et des Bruttiens et que cela n'avait fais que compliquer la tache du conquérant, mais cela ce comprend, ils comptaient prendre la revanche sur Tarente qu'ils avaient plusieurs fois menacé dans l'histoire, et c'est normal qu'ils saisissent l'opportunité de l'intervention Samnites pour réaliser leurs projets, seulement, Alexandre a été trop rapide pour eux.

De meme l'incorporation forcés de leurs armées n'avaient pas été prévu, sauf au moment de la victoire obtenue si nettement sur eux et étant données qu'ils sont Grecs, cela permet cette solution, sans pour autant ce fier a eux. )

 

 

Voici la carte des opérations :

( réalisé grace a Google Earth.)

 

De Potensia ( Potenza ) il y a deux jours de marche pour atteindre la capitale Lucanienne de Paestum. ( Flèche en bleu, ou Alexandre pourrait marcher avec une partie de son armée, les 5 000H partie au delà de Potensia pour obtenir la réddition du roi a ses conditions.)


L'armée de Lucanie pouvait s'installer à Potenza, attendre les Samnites pour ce réunir a eux, et ont du reculer vers leur capitale ( flèche bleu ) devant l'arrivée trop rapide d'Alexandre.

Quand aux Bruttiens de Calabre, apprenant que le conquérant est partie de Tarente avec toute l'armée coalisé, ils ont cru faire bon marché de cette ville et porter un coup important a l'ennemi en lui prenant ses ressources.

Mais le fait d'avoir armée la population a été décisif, a l'abri derrière le rempart de Tarente.

 

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( Cliquez sur la carte pour l'agrandir.)

 

Maintenant, Alexandre dispose de deux autres bases d'opérations temporaire qui peuvent lui etre utile dans sa campagne, et au besoin, retraiter sur elles provisoirement en profitant aussi de leurs ports, tant que Carthage ce tient tranquille.

 

1000 autres soldats de Tarente occupe la Calabre après leurs réddition.

 

 

( J'ai modifié un peu le texte et apporté de nouvelles précisions, et recomplété la carte pour une meilleure compréhension des évènements. )

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Suite du texte.

 

Alexandre avait laissé un petit groupe de surveillance civile vers la cote, vers Marconia, rayonnant dans la région,  qui devait vérifier si les Bruttiens passeraient par là et oseraient menacer Tarente.
Ceci confirmé, un messager d'Alexandre est parti a leur rencontre pour leur signifier a leur retour au 10 Juin, les conditions d'Alexandre, avec remise entière de leur armée si réponse positive des chefs des tribus, approchant une forme de confédération, car trop arriérés.

 

Ainsi, au 24 Juin, Alexandre aura complété son armée en infanterie Macédoniene, 31 700H et 1 800 cavaliers, dont 4 300 a mis chemin de Tarente a cette date, et 300 au port. Ne restera que 3 000 cavaliers a recevoir le 29 Juin au Golfe de la future ville d'Otrante.

Plus les alliés de Tarente de 3 600 H restant, ( hormis les garnisons de surveillance des anciens ennemis,) dont sa célèbre cavalerie de 600H. ( Authentique )

Et 5 000 Lucaniens et Bruttiens, dont 400 cavaliers, alliés forcés d'Alexandre, montant le total a 39 200 infanterie et 2 800 cavaliers.

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  • BPCs changed the title to Alexandre envahit l'Italie pour conquérir les cités Grecques.

Alexandre abandonne Potenza:

 

Alexandre a méditer sur la guerre Samnites contre les Romains.


Etant un peuple montagnard et fruste, aimant la guérilla, bon tacticien, fort en combat en montagne, ( Authentique pour leurs qualités militaires. )Alexandre juge préférable de pousser ses ennemis a la faute, et les amener sur le terrain ou il le souhaite, en plaine, en les provoquant et leur prenant une ville ; et Venosa ( Venusia sous les Samnites ) et sa région, en s'appuyant sur l'Aufidus, semble convenir, ou il est certain de les vaincre s'il réussit.

 

Alexandre a donné au 25 Juin, des ordres de ralliement  au camp de Matera, ou dès qu'il recevrait  les renforts au 28 Juin des 4 300H, qu'ils envoient dès leurs arrivés au 29 Juin, 2000H au port de Bari, en n'en faisant sa nouvelle base maritime temporaire, afin de faciliter le déplacement des ressources et sa rapidité, menant vers le prochain objectif, Vénosa.

 

Les tribus en bordure de la cote ne bougeront pas, étant trop faible pour s'y opposer.

 

Aussi, la flotte arrivera vers le 4 ou 5 Juillet, transportant les 3 000 cavaliers qui lui manque, et sauront ou le rejoindre grace a ses messages.

 

Ainsi, en changeant sa ligne d'opération, il n'avait plus a craindre d'etre attaqué sur la voie Potenza-Tarente, et raccourcissait nettement la voie terrestre.

 

Stratégie Samnites :


Les Samnites ont réunit a ce jour, au 25 Juin, jusqu'à 40 000H, dont 5 000 Cavaliers, réunit a Maléventum, et leurs quatre chefs de tribu discute de stratégie, les uns, prenant des risques, veulent passer vers Nucéria, petit territoire neutre, pour longer la cote afin d'influencer Carthage, et grace a leurs messages qu'ils avaient déja envoyés, a entrer en guerre a leur coté pour battre assurément Alexandre, ou entretemps, en évitant de préférence le combat, ils comptent harceler au loin avec une partie leur cavalerie le ravitaillement d'Alexandre, toujours installer a Potenza a leur connaissance.

Et leur armée occuperait une partie nord de la Lucanie.


Le problème de cette proposition est qu'il découvre entièrement le coté est de leur nation qu'Alexandre pourrait attaquer à revers en passant par les défilés, et l'incertitude de la décision de Carthage le fit refuser car trop risqué.

Aussi, au final, les chefs de tribu s'accordèrent pour la défense de leur territoire, ou si Alexandre avait l'audace de franchir les montagnes par un ou des défilés, il aurait maille a partir pour les passer, et en plaçant leur armée sous Maleventum, la position serait idéale pour le controle des défilés, ou les espions les avertiraient a temps, tout en pouvant tenir les hauteurs par ou passerait l'ennemi.

 

Et Carthage pouvait intervenir.

 

Le piège tendu :

 

Mais les évènements ce chargèrent de modifier ses résolutions.

Alexandre partit de Potenza au 29 Juin, et le camp à Matera en fit autant pour ce rejoindre le 30 Juin plus au nord, l'un attendant l'autre entretemps, et le 31 Juin, réunissaient 39 200 infanterie et 2 800 cavaliers.

 

( Quand au 2 000H de Tarente chargé de surveiller la Lucanie et les Bruttiens de Calabre, ils avaient ordre d'éviter tout combat avec les Samnites, ou Carthage si elle intervenait, et de ce retirer à Tarente au besoin. )

 

Et le 1er Juillet, il pris Venosa sans combat, l'occupa avec une centaine de cavaliers, et poussant jusqu'à l'Aufidus sur sa gauche pour y placer des guetteurs, et descendit vers le nord-est vers l'Aufidus avec l'armée pour y construire un camp retranché dont une partie l'enjambera, n'étant pas plus large en moyenne d'une quinzaine de mètres, de manière en cas d'imprévus de ce préparer une voie de retraite si nécessaire, et rendant difficile la conquete entière du camp.

( 6 jour plus tard, Alexandre recevra ce qui lui manquerait encore de cavalerie, ajoutant 3 000 cavaliers suplémentaire et le complètera définitivement. )

 

Deux jours plus tard, les chefs et l'armée Samnites apprirent la nouvelle de la prise de Venosa. ( Vénusia )
L'armée considéra cela comme un affront et voulurent marcher au combat contre Alexandre et ne voulurent rien entendre des sages conseils que certains des quatre chefs de tribus leurs prodiguèrent.

 

Les Samnites allaient marcher contre lui, un jour après avoir reçu la nouvelle.

 

Etant un peuple fruste, n'ayant encore aucun gouvernement unifiant sous une seule autorité les Samnites, presque a l'image des Lucaniens et des Bruttiens et des autres tribus de la région, a part Rome qui faisait figure d'exception, ( Authentique ) Alexandre, en jouant sur une corde sensible, l'honneur, et la volonté de venger l'affront, avait gagné la première manche en les amenant sur son terrain, la plaine, plutot que de subir aussi la guerre de montagne et la guérilla, au risque de prolonger la guerre pour longtemps.

 

Voici la carte des opérations :

 

 

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Cela rallongera la route maritime, montant a huit jours et demi au lieu de six, mais le ravitaillement sera plus rapide de plusieurs jours et cela la mettra a l'abri des attaques Samnites en changeant sa ligne d'opération grace a la marine.

 

Pour vous donnez une idée des distances, de Bari à Venosa a vol d'oiseau, il y a 90 kilomètres.

 

 

Voici pour le camp Samnites, avec la projection des possibilités des deux camps, obligeant a cette position de l'armée sous Maleventum, pour parer au danger a temps et avec la proposition audacieuse non retenu de passer par la cote et descendre jusqu'a Paestum, libérer la capitale des Lucaniens, et avec de la cavalerie, d'aller harceler la ligne de ravitaillement d'Alexandre, conscient lui aussi de ce danger.

 

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Cliquez sur les cartes pour les agrandir.

 

 

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La retraite d'Alexandre :

 

Alexandre fit explorer la région pour en connaitre les inconvénients et les avantages, afin d'exploiter au mieux le terrain s'il devait y manoeuvrer et combattre, avant que les Samnites interviennent, ce que signalèrent ces reconnaissances a leurs arrivées, avant qu'ils atteignent l'Aufidus.

Il envoya un message le 2 Juillet à Bari, dont sa cavalerie qui débarquerait devait prendre connaissance, ainsi que son infanterie installé la bas.

Ceci fait, il ce prépara aux évènements.

 

Quand aux Samnites, après délibération sur la manoeuvre a prendre le 4 Juillet, les chefs de tribus, d'accord entre eux, firent marcher leur armée en passant par l'est, et arrivèrent le 5 Juillet au soir sur les bord de l'Aufidus, ou ils campèrent pour la nuit.

Alexandre, ayant apprit leur arrivée bien avant par ses reconnaissances, envoya sa cavalerie le 5 pour les empécher de passer, au moins pour gagner une journée pour ce qu'il avait décidé.

 

 

Pendant que sa cavalerie opérait sa manoeuvre retardatrice pour retarder l'ennemi, Alexandre évacua le camp, et plutot que de retraiter sur Tarente, a la surprise de l'armée, longea l'Aufidus pour en descendre son cours, vers l'Adriatique, et s'arréta avant d'atteindre Canosa ( sur la carte ) en ayant fait traverser un cours d'eau a son armée, dont il s'installa derrière, rejoint quelques heures plus tard par sa cavalerie, ayant assez retarder l'ennemi pour qu'une fois traverser l'Aufidus il dut par manque de temps camper sur l'autre rive.

Seules les reconnaissances furent envoyer vers le camp abandonner d'Alexandre, dont ils avaient appris sa construction a leurs approche, et revinrent avertir leurs chefs qu'il était vide, que l'ennemi avait refusé le combat et retraité vers l'adriatique, contre toute raison apparente. Les traces fraiches le prouvaient.

 

Les chefs Samnites en conclurent que seule la fougue de sa jeunesse l'avait fait prendre de tel risques, et qu'il en mesurait maintenant le danger réel et préférait retraiter que de les affronter.

Probablement pour rembarquer au plus vite sur l'Adriatique.

 

Il est vrai que ce qu'ils avaient pu apprendre sur son compte, était que Philippe II commandait l'armée à Chéronée en 338 Av JC, et qu'Alexandre n'avait été finalement qu'un excelent exécutant, et que conduire une armée si jeune, sans toute l'expérience de son père, pouvait ce payer trés cher, et avait du le comprendre trop tard, et devant l'épreuve de force avait choisi de reculer.

Et les Samnites étaient considérés comme des guerriers redoutables. ( Authentique )

Les chefs n'en étaient que plus hardis a le poursuivre, et communiquèrent cette information a l'armée pour la galvaniser, en montrant la lacheté de l'ennemi a les affronter.

 

L'armée répondit par le mépris et le sarcasme.


Sa réputation était surfaite, Alexandre n'était qu'un jeunot qui voulait entrer dans la cours des grands, et allait payer cher son imprudence.

Voila le bruit général qui circulait dans l'armée.

 

Tout devrait donc ce décider dans les prochains jours.

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La poursuite :


Une mauvaise nouvelle survient pour les Samnites au 6 Juillet avant d'engager la poursuite.
Parmi les 5000 cavaliers constituant leur cavalerie, 2 000 étaient des mercenaires venant des diverses tribus attiré par le gain qui faisaient défection, au prétexte qu'Alexandre en reculant vers leurs nations ( Au nord de l'Aufidus ) et y prenant conscience, pouvait, s'il n'était pas vaincu et rejeté a la mer, et rien ne le certifiait d'avance, revenir tot ou tard  et ce venger sur leurs tribus au passage, et qu'en conséquence, ils voulait absolument éviter ce risque a leur nations.

Les chefs Samnites eurent beau tenter de les faire revenir sur leur décision, mais ils restaient ferme, aussi, le jour meme, ils quittèrent l'armée Samnites pour rejoindre leurs petits états pour leur éviter une ruine possible.

Ce coup porté n'empécha pas les chefs de vouloir poursuivre leur plan et d'aller a l'encontre d'Alexandre, et en cours de journée firent Une trentaine de kilomètres jusqu'au soir, ayant perdu du temps avec la défection de leurs allies, et virent au loin l'armée Macédoniene qui semblait les attendre.


Et leur reconnaissances montrèrent qu'un large ruisseau, tenu par Alexandre, séparait les deux adversaires mais les protégeraient des surprises pour la nuit.

 

Le 6 Juillet, de son coté Alexandre atteignit le lieu que ses reconnaissances avaient repérés quelques jours plus tot, et ce plaça devant un large ruisseau, parallèlement a l'adversaire lorsqu'il paraitrait, l'obligeant a accepter le combat s'il le fallait, et prit ses dispositions dans le cas d'une attaque.

 


La bataille :


Le lendemain, l'ennemi parut et avança en ordre de bataille, visiblement décidé a combattre. Alexandre fit reculer son armée selon les ordres reçu, abandonna sa ligne de défense naturelle et recula lentement, toujours en ordre de bataille.
L'ennemi voyant cela, franchit le large ruisseau de trois mètres devant Alexandre reculant toujours lentement. Il parcouru plus de quinze cent mètres avant de décider visiblement d'accepter la bataille, voyant apparemment qu'il n'avait pas le choix.

Les Samnites, étonnés de le voir abandonner une si bonne position, furent encore plus convaincu qu'Alexandre comptait bien retraiter, ( ce qu'il souhaitait ) mais que les évènements l'obligeait de force a devoir combattre. Il allait payer ses fautes, sa jeunesse et son inexpérience le desservait, il allait voir ce qu'il en couteraient de provoquer les Samnites avec la prise de Venosa.

 

Chaque camp fit ses dispositions, l'infanterie s'appuyant chacune sur l'Aufidus, mais presque toute la cavalerie des deux camps ce plaça dans la partie dégagé du terrain, a part 300 cavaliers de chaque camps sur l'Aufidus, derrière la troupe, agissant chacun selon l'intention de son adversaire et le modifiant s'il le fallait.

 

Ainsi, 2 700 cavaliers Samnites allaient affronter 2 600 cavaliers macédoniens, dont leurs alliés.

Les Samnites étaient réputés pour leur infanterie lourde, bien entraînée et équipée. Leur tactique reposait souvent sur la formation serrée et la résistance. ( Authentique )

 

Leur tactique, après l'habituelle confrontation de l'infanterie légère, Peltastes, frondeurs, etc...est d'enfoncer le centre ennemi visiblement constitué d'Hoplites, en renforçant un peu le leur en profondeur, certain de la vaincre et de la percer, pendant que la lourde phalange Macédoniene repousserait leur gauche, avant de ce retourner contre elle dans leur dos, avec une partie des forces du centre renforcé, leur gauche reculant toujours en attendant, acceptant cette situation pour mieux les piéger, et leur cavalerie devrait tenir tete assez longtemps pour réaliser leur plan.

 


En face, a distance respectable,  plus de 35 000 Macédoniens attendaient l'assaut Samnites sur leur nouvelle position.

Le combat s'engagea rapidement, mais au centre l'ennemi recula sur 600 mètres de large environ, et sur une cinquantaine de mètres en profondeur, tout en ce réalignant correctement, dévoilant au dernier moment un fossé assez large et par endroit de plus de cinquante mètres, profond d'une dizaine de mètres, et aux pentes assez abruptes.

Ainsi, le centre, point faible d'Alexandre serait en partie inaccessible.

 

La cavalerie Macédoniene chargea son homologue. 1 800 Compagnons en tete, d'élites, en formation triangulaire pour enfoncer leur ligne, et constitué a sa base de deux forte ailes de 550 cavaliers chacune dont la célèbre de Tarente, chargé d'envelopper dans une mesure raisonnable l'adversaire, manoeuvre qui réussit parfaitement.

 

Les Chefs Samnites voyant cet échec, le centre ennemi dans la partie plaineuse ou aucun fossé ne ce présentait plus, ne pliant pas, renoncèrent et ordonnèrent la retraite, devant la progression de la phalange Macédoniene qui devenait dangeureuse, et sont poursuivit par leur ennemis, au moment meme ou leur cavalerie abandonnait elle aussi le combat.

La difficulté allaient croissant avec le problème de devoir passer le large ruisseau de trois mètres sous la pression ennemi juste derrière. Mais une mauvaise surprise les attendaient pendant leur retraite bien avant de l'atteindre. 1 500 cavaliers ennemie surgit derrière des bois sur leur flanc droit, ( venant de Bari sur la cote Adriatique ) les chargèrent et amena la confusion parmi l'ennemi, qui ne pensait plus qu'a repasser le ruisseau pour ce mettre a l'abri.

Mais la cavalerie ennemi les genait beaucoup, et resserra le front Samnites en les repoussant vers l'Aufidus large d'environ vingt mètres.

 

Mais pendant le combat, 2 000 fantassins venant eux aussi de Bari, avec 300 cavaliers, tenaient désormais le long de toute la longueur du ruisseau, cachés entretemps et désormais attendant de pieds ferme celui qui le franchirait, près a l'abattre, et la cavalerie chargeant ceux qui pourraient passer l'obstacle, fermèrent ce deuxième coté ci de la bataille, n'ayant d'autres ressources pour les Samnites, soit de ce rendre, soit de traverser l'Aufidus, dont beaucoup le tentèrent.

Mais là aussi, 2 000  Macédoniens cachés pendant le combat et légèrement en retrait du champs de bataille surgirent avec 200 cavaliers pour fermer complètement le piège en tenant compte de l'évolution de la retraite ennemi.

 

Ainsi, le piège ce referma complètement sur eux.

Pressés, bousculés, repousser vers l'Aufidus, dans un chaos et une panique grandissante, l'armée périssait.

 

Il y eut plus de quinze mille morts parmi les Samnites, et 2 500 parmi les Macédoniens avec leurs alliés a ce moment de la journée.

Le chaos et devoir tourner le dos fréquemment a l'ennemi pour fuir, expliqua cette différence.

 


Le traité :


Alexandre leur proposa de ce rendre devant l'inutilité de poursuivre le combat, leur armée étant totalement encerclé avec aucun moyen de lancer une opération viable pour percer tant la confusion était grande.

Les chefs acceptèrent, mais avant de dégager l'armée qui avait déposer les armes, durent traité avec lui.
( 10 000h d'infanterie rejoindront leur patrie juste pour sa défense, les 10 000 autres seront prisonniers et envoyé en Grèce selon les estimations générales.)

La moitié des survivants de la cavalerie Samnites serviront dans ces rangs, soit environ 1 000H d'estimer.
Les otages des chefs seront pris dans leurs familles, et un traité d'alliance signé entre eux.

 

S'il y a refus, aucun quartier ne sera fait a l'armée Samnites encerclés et un homme sur trois mourra, et la moitié survivante amener en captivité.

De leur attitude dépendraient l'avenir de ces hommes emmener en Grèce, et s'il satisfaisait totalement aux conditions d'alliance qu'il proposait, Alexandre pourrait ce montrer généreux et leur renvoyer au bout de quelques années  nombre de soldats pour renforcer leur état et rejoindre leur famille.

Devant des conditions aussi dure, mais voyant leur armée épargné plutot que de tout perdre, fors l'honneur, les chefs résignés, acceptèrent.
Ainsi, en tant que nation comptant comme force principale en Italie, les Samnites étaient ramenés au rang de petites puissances régionale, ne représentant plus une menace sérieuse.

 

Et grace a sa politique du baton et de la carotte, Alexandre avait pu soumettre les Samnites, ou leur conduite pèseraient sur la tete des prisonniers, pour mieux les tenir tant qu'Alexandre en avait besoin.

Mais ce vide politique sur la scène de l'Italie, et sa victoire, alarmerait inévitablement Rome dans un premier temps, et deuxio, s'aviserait de conquérir le territoire Samnites.


Mais son alliance avec eux devrait les garantir de ce danger, tant qu'il occuperait l'Italie.

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( D'après mes recherches, les Samnites n'avait que 2 a 3 000 cavaliers, pas davantage, coutant cher, et l'armée combattant dans une région montagneuse ne favorisait pas cet emploi de l'arme. )

 

Alexandre, maitre de l'Italie du sud :

 

Ainsi, en deux mois, Alexandre établit sa domination dans le sud de l'Italie, jusqu'aux Samnites, dans un grand coup retentissant dans toute la Méditerranée centrale.


Restait a savoir s'il s'arreterait là.
Carthage s'inquiéta, Rome aussi.

 

Mais Alexandre leur fit parvenir un message voulant apaiser leurs crainte, disant sa volonté de paix, et ne pas vouloir chercher a étendre davantage sa conquete en Italie centrale, que la menace Samnites n'était pas de son fait, qu'il ne l'avait pas rechercher, et qu'il avait du y répondre par la force.


Ses adversaires pratiquèrent alors la politique de l'attentisme pour décider une fois pour toute de la résolution finale a prendre.

 

Alexandre passa l'hiver sur la cote Italienne, à Tarente, ou il regroupa autour son armée, pour montrer sa bonne intention, avec pour base d'approvisionnement de nouveau le golfe d'Otrante, et fit développer sa flotte pour une centaine de navires supplémentaire afin de faciliter ses communications avec la Grèce.


Il rattacha la Lucanie et les Bruttiens sous son autorité, et sous le controle de Tarente, s'il partait. Les otages servant de pression politique pour les soumettre.

Les Méssapii, petit peuple du nord de la province de Pouille et trop voisin de Tarente, passa sous son controle malgré sa neutralité.

Au petit peuple qui lui avait fourni le port de Bari et son passage a travers son territoire, lui fut proposer une alliance pour sa bonne conduite, qu'elle accepta de bon gré, étant sous la protection d'une grande puissance.

1725117183-magna-grecia-280ac-fait.jpg

 

Tout l'hiver passa sans autre évènement, et au printemps suivant, Alexandre fit regrouper en mi mai sa flotte au détroit de Messine, ou l'armée la rejoignit, laissant dix mille hommes autour de Tarente en cas d'insurrection des peuples soumis, et passa dans la Sicile, ce détournant de l'Italie centrale.

 

Rome fut soulagé, Carthage qui avait des vues en Sicile s'inquiéta, et comptait savoir jusqu'ou irait ses conquetes et envoya un diplomate pour connaitre ses intentions.

 

Entre-temps, Alexandre prit Messines, puis descendit vers Catane le 23 mai 333 Av JC.

 

A ce moment, vint le messager de Carthage, pour lui signifier diplomatiquement mais fermement que la politique de son pays comptait se réserver de la ville d'Himéra à Agrigente, tout l'ouest du territoire situé a gauche de celle ci pour lequel dans le passé elle avait tant combattu, et qu'elle ne pourrait accepter d'y voir un autre état que le sien ce l'approprier définitivement.

 

Alexandre répondit qu'il y réfléchirait et lui donnerait une réponse rapidement, sans donner le moindre accord pour le moment ou montrant un signe d'acquiescement ou pouvant laisser entrevoir ses intentions.

 

Deux jours après, dans une nouvelle entrevue, toujours sur le meme lieu, avant Catane, Alexandre lui donna son accord.
Le diplomate repartit satisfait, Alexandre semblait réellement sincère, et il apprit en passant par Syracuse, qu'Alexandre quittait la Sicile avec son armée.

Que s'était-il passé pour qu'Alexandre changea a ce point sa décision ?...

Il avait apprit que les Perses avait profiter de son séjour en Italie, pour franchir le détroit du Bosphore. Leur objectif était clair, soumettre la Macédoine et la Grèce dans la foulée avec une grande armée qui comptait plus de 150 000H, avec Darius III a leur tête.
 

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A ce que je vois, personne n'a remarqué une erreur qui a été faite depuis longtemps,  ou ce l'ai gardé pour lui, sans que cela remette en cause la stratégie finale et la victoire d'Alexandre. Heureusement.:blush:

Mais cela a rendu le scenario que plus intéressant, je trouve, car plus difficile a mettre la stratégie en oeuvre.

Quand parfois trop de fatigue est là, faute de sommeil, quand on construit le scénario et que l'on prend pour acquit le résultat sans le remettre en cause par la suite...:blush:

 

L'avez vous remarqué ?...

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IL s'agit du transport des troupes par la marine, seules la Pentécontore et la Dière pouvait affronter la mer, pas la Trière qui craignait la houle en haute mer et ne longeait que les cotes, a fond plat et instable, qui pouvait chavirer, que je n'ai pas employé pour ce dernier.

 

Le premier navire ne pouvait transporter que 20 a 50 soldats selon leur taille. on va mettre la moyenne a 30 soldats.
La Dière, seulement de 10 a 30. On fait aussi une moyenne a 20 soldats.
La encore, par manque d'information, je vais partager en deux la catégorie des navires sur les 300 en service.

 

On a donc 7 500 soldats au lieu de 4 300H qui arrivaient au port d'Otrante, soit près du double.

Mais je le répète, la stratégie d'Alexandre n'aurait pas changé, et la recherche de l'encerclement décisif, non plus.

 

Aussi, je fais mon mea-culpa devant une faute aussi grossière du a l'accumulation de trop de manque de sommeil ce jour là qui m'a joué des tours.

 

Fin de la disgréssion.

 

La Pentécontore :

 

1725174065-capture.png

 

La Dière :

 

1725174237-capturedd.png

 

 

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Situation, et retour d'Alexandre en Grèce.

Lorsque Alexandre reçu le massage l'obligeant a retourner en Grèce, il c'était déja passé plus de vingt jours. Et d'ici là, la lourde machine de guerre Perse forte de plus de 150 000H, aux nations et langue diverses et qui ne ce déplaçait que d'une trentaine de kilomètres par jour, atteignit Pella, capitale de la Macédoine, indéfendable avec les maigres forces d'Antipatros, n'ayant seulement que 12 000H et 1 500 cavaliers.

 

Les Grecs réagirent grace a Démosthène qui intervint, et levèrent une armée de 55 000H, s'alliant par force avec Antipatros.


Sparte n'y participa pas. L'oracle de Delphes lui déconseillait de quitter sa patrie sous peine de la voir envahit par une diversion de la Perse venant par mer.

 

Le seul endroit possible pour arréter a temps l'armée Perse qui marchait sur eux, était de tenir a nouveau les Thermopyles, tenu autrefois en 480 Av JC qu'avec 7 000H et avait pu stopper une armée Perse pourtant trés supérieure en nombre a cause de l'étroitesse du défilé qu'Antipatros tenait déja pour sécuriser les arrières, le temps que la Grèce se prépare.

 

Carte de la bataille des Thermopyles en 480 Av JC.

 

1725196111-les-thermopyles-bataille-en-4

 

 

Mais les Perses ne semblaient pas pressés.

 

5 000 Thébains y furent envoyer en soutient d'Antipatros.

 

Les stratèges grecs se souvenant de la raison de leur ancienne défaite sur cette position, a cause d'un sentier traversant les montagnes permettant aux Perses d'alors de contourner leur position, 4 000 hoplites Grecs tinrent ce sentier, largement suffisant pour arreter l'ennemi a cause de son étroitesse.
 


Mais quid de la flotte Perse qui pouvait débarquer des troupes sur les arrières ou meme vers Athène ?

C'est pourquoi la force armée comptant encore 36 000H ce divisa en deux partie égale, l'un pour défendre Thebes, l'autre Athène, pour rejeter les Perses a la mer dès qu'ils accosteraient.

 

Deux jours après, l'armée Perse faisait son apparition devant les Thermopyles.

 

Un mois c'était déja passé d'ici là.

 

Entretemps Alexandre était revenu sur ces pas, et avait atteind a cette date du 4 juin 333, en dix jours de marche, le Golfe de la future ville d'Otrante, plus trois jours pour atteindre soit le Golfe d'Ambracie, soit le nord du Péloponnèse, a Patras, rallongeant d'environ deux jours la route maritime, mais y transportant cette fois 7 500H par sa propre flotte, plus celle de Tarente avertit avant son arrivée par un messager, qui en possédait une trentaine, plus une quarantaine de navire sur la centaine, mis en chantier l'hiver terminé par Alexandre, pouvant en transporter au total environ 750H, totalisant 8 250H.

 

Ainsi, en cinq voyages, toute l'armée retirée de l'Italie avec les alliés forcés, serait transporter en Grèce, jusqu'à Patras au nord du Péloponnese, mais nécessiterait cinquante jours, sans compter le nombre de navires encore en chantier devenu disponible.

( Il faut savoir, que les Romains avaient construit pendant la première guerre Punique, 150 navires dont des Quinquérèmes, mais avec d'autres moyens qu'Alexandre. Alors j'estime réaliste le nombre de navire disponible et sortie du chantier a ce moment, et probablement bien en dessous de la réalité puisque c'étaient des Dières et des Pentecontores.)

 

D'après le peu informations reçu, Alexandre estime la Macédoine perdu et occupé depuis le temps, car impossible a tenir.
Patras est la position la plus raisonnable a ce jour, et l'armée marchera jusqu'a vers Corinthe en longeant la cote, et s'arretera a la hauteur de la célèbre cité de Delphes situé de l'autre coté de la mer.

 

Et suivant l'évolution de la situation, l'armée entière réunit, Alexandre avisera, tout en disposant toujours de la flotte sous la main qui le suivra le long de la cote.

 

 

Voici la carte des opérations, et avec les futures manoeuvres dans le Péloponnèse prévu d'Alexandre :

 

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Nouveau préparatif d'Athène :

 

Entretemps, les Grecs, devant l'inutilité d'une résistance maritime face aux 700 navires Perses étant donné que l'expédition d'Alexandre avait réquisitionnée presque toute les Dières et les Pentecontores, ne restant que les Trières en nombres insuffisant, et devant la nécessité d'empécher un ou des débarquements Perses, les stratèges décidèrent d'incorporer les 10 000 marins, pécheurs, encore disponible, dans l'armée, et 8 000 H supplémentaire prélevé sur toute la population encore libre.


Le premier s'installera vers Marathon, ( 7 000H ) une partie, ( 3 000H ) face à la ville de Chalcis de l'ile d'Eubée.

Le second, ( 8 000H )a 20 Kms de la pointe sud de la péninsule d'Athène.

 

Les 18 000H déja placé à Thèbes pourront constituer une réserve ou un renfort, soit pour Athène, ( 18 000H ), soit sur Chalcis, soit, vers les Thermopyles.


Des guetteurs placés stratégiquement sur le flanc des montagnes pourront voir venir de loin la flotte Perse et les avertir par des feux, pour arriver largement a temps avant l'ennemi voulant débarquer, pour les rejeter a la mer avant qu'ils ne puissent constituer une force suffisante pour etre menaçante ou forcer a modifier toute la stratégie.

Ainsi, toute la cote est, des Thermopyles à Marathon, jusqu'a la pointe de la péninsule, et grace a la cavalerie, devrait garantir de toute surprise sur cette partie du pays.

 

Aux Thermopyles, des fossés furent creusés a l'arrivée d'Antipatros, traversant tout le front large a cette époque que de 100 mètres environ, grace au golfe Maliaque bien plus étendu alors, et que les sédiments de nos jours ont en partie comblé, élargissant la passe de plusieurs kilomètres.

 

Voici les informations nécessaire a cette région :

"La rugosité de cette région est causée par d'abondantes précipitations à raison de quatre mois par année et par une saison estivale si chaude et si sèche que le sol en est régulièrement crevassé. La rare végétation se compose d'arbustes bas et épineux. Les flancs de coteaux le long du défilé sont couverts de buissons épais, des plants atteignant 3 mètres de haut. Avec la mer d'un côté et des collines infranchissables aux pentes abruptes de l'autre, Léonidas et ses hommes ont choisi un champ de bataille nettement à leur avantage.

Au XXIe siècle, le défilé se trouve à des kilomètres de la mer à cause de la sédimentation dans le golfe Maliaque. Les traces de l'ancien défilé sont visibles aux pieds des collines, encadré par une route moderne. Des travaux récents indiquent que le défilé ne faisait que 100 mètres et que les eaux montaient jusqu'aux portes."

 

 

Voici les informations ce rapportant a cette bataille et aux armes en l'an 480 Av JC:

 

"Le premier jour de la bataille, le cinquième après son arrivée aux Thermopyles, Xerxès Ier se résout à attaquer les Grecs. Il ordonne à 5 000 archers de créer un barrage de flèches, qui se révèle inefficace. En effet, ils tirent d'une distance d'au moins 100 mètres, selon des chercheurs modernes, et les casques et les boucliers grecs en bronze dévient les flèches. Par la suite, le roi perse envoie 10 000 Mèdes et Cissiens pour capturer des défenseurs et les ramener auprès du roi61,87. Devant cet échec, les Perses attaquent frontalement, par vagues de 10 000 hommes, les positions ennemies61. Les Grecs se tiennent devant le mur phocidien, au passage le plus étroit du défilé, ce qui leur permet d'utiliser un minimum de soldats pour défendre leurs positions88,89. Peu d'informations sont connues sur les tactiques grecques ; Diodore de Sicile affirme que les hommes se tiennent côte à côte et que les Grecs « sont d'une valeur supérieure et dans la grande taille de leur boucliers »trad 12,90. Il s'agit probablement d'une description de la phalange grecque habituelle, formation où les hommes forment un mur de boucliers qui se chevauchent tout en pointant de longues lances hors du mur, ce qui est très efficace si le mur bloque toute la largeur du défilé91. Les lances, les épées, toutes deux plus courtes, et les boucliers des Perses empêchent ceux-ci de combattre efficacement les hoplites grecs90,92. Hérodote rapporte que les unités de chaque cité combattent ensemble et que les unités sont régulièrement remplacées pendant la bataille pour réduire la fatigue93 (ce qui laisse supposer que les Grecs ont plus d'hommes que nécessaire pour bloquer le défilé). Les Grecs tuent un si grand nombre de Mèdes que Xerxès se serait levé trois fois de son siège pendant qu'il observait les combats94. Selon Ctésias, la première vague aurait été « découpée en rubans »trad 13, les Grecs accusant la perte de deux ou trois Spartiates.

Selon Hérodote et Diodore, le roi perse, ayant pris la mesure de ses ennemis, lance le même jour ses meilleurs hommes dans un second assaut, les Immortels, un corps d'élite de 10 000 hommes90,92. Eux non plus ne parviennent pas à percer les défenses grecques92. Les Spartiates auraient feint une retraite, puis se seraient retournés contre les Perses, tuant plusieurs ennemis courant vers eux."

 

 Au sentier qu'avait abandonné autrefois les 1000 Phocidiens devant 20 000 Perses chargés de tourner la position des Thermopyles en 480 Av JC, 4 000H maintenant l'occupent, et ont creusés des fossés et des retranchements, rendant inexpugnable le passage, et 5 000H placé en réserve a moins de 18 Kilomètres peuvent les renforcer en arrivant a temps en prélevant une partie de leurs forces.

 

Ainsi, Darius III allait avoir a surmonter bien plus de problèmes que prévu.

 

Et il avait du laisser 10 000H en Macédoine pour controler le pays, et 20 000H le long de toute sa route d'opération qui suivait la cote, de l'Héllespont vers les Thermopyles, afin de sécuriser son ravitaillement, de sorte qu'il ne lui restait plus que 140 000H.

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Thermopyles, et stratégie de déblocage de la situation :

 

Manier une si grande force et prévoir son ravitaillement par terre, et par mer, avec un terrain assez montagneux limitant le déplacement, ralentissait l'armée, mais finalement elle arriva devant l'armée Grecque qui s'opposait a son passage, aux Thermopyles, comme le prévoyaient les stratèges Perses.

C'est donc le 2 Juin 333 que l'armée Perse arriva dans le golfe, dix jours après l'occupation de la capitale de la Macédoine, Pella.

 

( A cette date, Alexandre était arrivé au golfe d'Otrante pour embarquer son armée.)

 

Connaissant l'histoire de cette bataille et la raison de leur victoire passé, les Perses envoyèrent 20 000H le lendemain pour contourner la position tenu par les Grecs en passant par un sentier sur une montagne permettant de prendre à revers l'ennemi, plutot que d'engager la bataille dans cette passe étroite que de cent mètres environ. ( Authentique a l'époque.)

 

Mais ce n'étaient plus des Phocéens au nombre de 1000h qui comme par le passé tenaient la position pour faire barrage a leur diversion, mais 4 000H bien décider a combattre pour les en empécher et qui avaient préparer des obstacles apparemment inexpugnable.

 

Pendant cinq jours, les perses renouvelèrent leur assaut contre cette position, qui leur couta 8 000H, et aux grecs, 400H, en raison de leurs armements plus long, et de leurs armures protectrices que ne bénéficiait pas leurs ennemis.

Pour renforcer encore cette position, Antipatros pris sur lui de prélever 5 000H de son armée Macédoniene ( 12 000H et 1 500 Chevaux ) pour les renforcer, sans toucher a la réserve de 5 000H installé sur la cote, en cas de débarquement Perse sur leur arrière pour les rejeter devant la menace possible, et la renforça de toute sa cavalerie.

( En 480, 7000H avaient largement suffit pour arreter l'armée Perse estimé par les historiens a 60 a 70 000H avec trés peu de morts.)

 

Entretemps, l'armée Perse ne bougeait pas devant la passe des Thermopyles, qui par le passé leur avait couté si cher.

 

Le Sixième jour, constatant son impuissance, mais n'abandonnant pas,  Darius donna en plus des ordres pour embarquer 60 000H avec sa marine pour la débarquer en plusieurs expéditions presque a la meme latitude de la ville de Chalcis, de l'autre coté de l'ile d'Eubée, ou le terrain d'après les reconnaissances navales permettrait d'accueillir cette armée, puis atteindre Chalcis, traverser le détroit aider par sa marine, dans l'idée de contourner cette position solide, la faire tomber, et pouvoir avancer en Grèce.
Mais Darius ce gardant par nécessité le principal de sa flotte pour le ravitaillement de l'armée sur ses 700 Navires, ( constitué de Galères, Trières, ( copiant sur les Grecs ) de navires Phéniciens et Grecs de l'Asie Mineures), mais comptant sur les Trières pour cette opération, pouvant transporter jusqu'a une centaine d'homme chacun.

 

La traversée aller-retour  nécessitant cinq jours avec les 180 Trières disponible, transporteraient 18 000H environ. Plus de trois voyages seraient nécessaire, avant d'aller sur Chalcis situé a plus de 50 Kilomètres de là, ajoutant deux jours de plus avec la marche.

Et les habitants de la région, alertés, ne manqueraient pas d'avertir les Grecs qui les recevraient.
Cependant, leur marine viendrait a leur secours pour leur permettre de passer un détroit, large a peine de 40 mètres à Chalcis.

Mais pour l'atteindre, il fallait passer par un goulot étroit de 300mètres de large sur 800 mètres de long, et un autre a près de 1800 mètres, plus bas,  étroit de 220 mètres et long de 580 mètres.

 

( Salamine, c'est 1200 mètres de large. )

 

Mais pour faciliter l'opération, un second débarquement dans le meme temps ce ferait a partir de la ville d'Erétrie ( sur la carte, ) pour débarquer en face 18 000H supplémentaire avec 180 Trières plus 200 navires contournant l'ile d'Eubée, demandant huit jours de plus pour la quatrième expédition pour assurer la route maritime malgré tout, devant la défense inexistante de la flotte Grecque qui avait trop peu de navires a opposer, mais qui sait dans ces golfes...

Alexandre ce l'ayant accaparé en grande partit pour son expédition, rendait ces opérations Perse réalisable.

 

Tout ceci devrait dégager la voie des Thermopyles, ouvrir la route de Thèbes et d'Athène, a condition de ne pas trop attendre, car Alexandre pourrait revenir et faire échouer ce genre d'opération.

Il y avait donc un certain délais a respecter, et cela porterait la date au 3 Juillet.

 

52 000 Perses resterait au camp de base, 80 000H sur l'ile d'Eubée, dont 18 000H contournerait l'ile dans une autre expédition pour une opération de débarquement.

 

Aux Thermopyles, en montagne, des combats sporadique maintenait la pression.
Darius comptait plutot sur son opération pour décider de la situation.

 

A cette date, Alexandre avait débarquer à Patras plus de 16 500H, marchant vers la direction de Corinthe, s'arrétant à hauteur de la célèbre ville de Delphes, et sa flotte était déja repartie depuis huit jours.

 

Voila ou en était la situation générale.

Darius bloqué au Thermopyles, attendant le résultat de ses opérations pour débloquer le passage, Alexandre, ne pouvant encore agir.

 

 

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Voici la carte des opérations :

Darius est bloqué, sa superiorité en mer pour le moment est incontestable et ne rencontre aucune opposition du fait de l'expédition d'Alexandre.
Cela lui permet de monter une grande opération maritime visant a prendre a revers ceux qui lui résistent, de faire tomber tout le nord en les obligeants a retraiter, et la voie ouverte obtenue avec ou sans combat, plus rien ne pourra l'empecher d'atteindre Athene et de dominer toute cette partie de la Grèce tant ses forces seront imposante.

 

Dès ce résultat obtenu, il est certain de pouvoir soumettre la Grèce après etre entrée dans le Péloponnese, dernière partie de sa conquete.


C'est pourquoi, Alexandre, avertit de ce qui ce passe plus précisément, a ce stade des opérations au 3 juillet, ne peut encore décider de la marche a suivre, il a un plan, c'est pourquoi il ne va pas a la rencontre d'Athène, et il choisit encore de ce renforcer, car s'il arrivait trop tard, les Grecs battu a cause d'un débarquement réussit par une force assez considérable, il ne pourrait peut etre pas résister lui aussi et serait probablement emporter dans la retraite avec ceux qui pourraient s'en échapper, dans un scénario pessimiste, ou seul l'isthme de Corinthe, une fois réunie tous les soldats Grecs, pourrait arréter l'ennemie mais seulement temporairement a cause de sa trop grande étendue a tenir.

Et comme c'est peut etre qu'une courte question de temps avant que tout puisse etre renverser en faveur des Perses, mieux vaut attendre en réserve pour le moment, faute de moyens, ou si cela devait arriver, il irait renforcer l'armée Grecque en retraite sur l'isthme de Corinthe, et peut etre reprendre l'offensive une fois plus fort et si l'armée Perse montre qu'elle n'est pas encore réunie avec celles des Thermopyles.

Donc, tout dépendra de la situation Grecque si elle résiste, ou pas, et selon les cas, soit mettre son plan en action une fois prèt, sans avoir toute la totalité de l'armée sous la main, le restant, ayant atteind un certain quota de force, allant renforcer Athene avec des Hoplites et ses alliés, ce gardant les meilleures troupes, soit, tenir sur l'Isthme de Corinthe avec les Grecs en retraite en les recueillant sur cette position.

Donc, sa stratégie dépend de la capacité de résistance des Grecs s'il y a débarquement, réussie ou pas, et du temps qu'il peut en retirer s'il y a victoire Grecque nette lors d'un débarquement Perse, qu'il estime réalisable.


Et pas question pour l'ennemi d'affronter les Grecs en mer dans un défilé étroit, chat échauder craint l'eau froide, le souvenir cuisant de leur défaite à Salamine reste en mémoire.

 

Pour la carte :

1/ représente la route maritime de ravitaillement par mer.
2/Représente l'expédition décidée de débarquement a l'ile d'Eubée, sur le versant est de 60 000H, afin que les Grecs ne découvrent pas la manoeuvre.

3/ L'expédition contournant l'ile d'Eubée pour un second débarquement, qui, si le premier échouait, le second pourrait réussir, et meme porter secours a l'autre dans la meme journée, et vice-versa, pour renverser a leur avantage la situation.

 

1725385529-gr-ce-agrandit-fait.jpg

 

Ils ignorent quelles sont les forces Grecques en jeu, mais ils savent grace a un traitre, que Sparte n'interviendra que si elle est attaqué sur son sol et le défendrait, ce qui ferait environ 20 000H de moins avec leurs alliés.

 

L'expédition ne prévoit pas de réussite absolument certaine, mais les Perses estime que leur chance de réussite sont assez grande, grace a la surprise et aux forces qu'ils emploieront, et ayant choisit un bon terrain d'action facilitant les manoeuvres avec la possibilités de combattre sur place au besoin, et a tout prendre, mieux vaut agir que rester toujours bloquer devant la passe des Thermopyles, ou la patience du Roi est mise a rude épreuve.

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Le débarquement :

Les navires Perses contournèrent l'ile d'Eubée, mais furent signalés assez tot en Grèce pour choisir la stratégie et réunir leur forces là ou ils le souhaiteraient suivant la progression de l'ennemi, ce dont bien sur, les Perses ce doutaient bien.

 

Au 3 Juillet 333, les 60 000 Perses débarqués à l'est de l'ile d'Eubée arrivèrent devant la ville de Chalcis, dont 40 000 s'arrétèrent à Erétrie selon le plan prévu pour un troisième débarquement dans un second temps avec les 40 000H, sensé prendre les Grecs a revers en cas d'attaque de leurs part, soit vers Chalcis, soit vers le premier débarquement afin d'assurer par une victoire la route vers Thèbes et Athene et couper la retraite des Grecs situés au Thermopyles.


Les 180 Trières transportant 18 000 Perses et suivit de 200 navires pour le transport et ravitaillement, débarquèrent leurs hommes en Grèce, dans l'axe sud-ouest de la ville d'Erétrie, dans la plaine.

 

Les deux armées furent surprises, aucun ennemi ne semblaient les attendre.

 

Les reconnaissances poussé a plus de 15 Kilomètres ne signalèrent aucun ennemis.

La décision fut de regrouper au plus vite presque toute leur forces au point de débarquement, sans tenter de remonter vers les Thermopyles par la cote, ou des montagnes tombe a pics dans la mer rendant le passage impossible, ce qu'avait remarqué les reconnaissances navales avant l'expédition Perse pour savoir ou accoster.

 

2000 Perses furent laissé à Chalcis pour garder ce passage, et voie de retraite possible pour l'armée.

 

Un camp fut préparé autour de l'armée Perse désormais réunit 2 jours après.
Ne voyant toujours rien venir et recherchant la décision stratégique, les chefs Perses, décidèrent de controler la régions avant de descendre vers Athene et en finir une bonne fois.

Plusieurs plan furent proposés, dont une attaque sur Thèbes certainement défendue et une autre sur Athene, pensant la force Grècque infèrieure a ce qu'elle était vraiment sans le renfort de Sparte, mais finalement, mieux valait assurer la campagne en unissant les forces.

Le centre pris avec Thèbes, Athene coupé du front nord, il suffisait de descendre la cote vers Marathon, avec ou sans combat, puis marcher sur Athene avec toute les forces réunit, sauf ceux proposé a la garde du camp réduit au minimum et ceux assurant le passage à Chalcis.

 

Les reconnaissances aperçurent les Thébains estimés a plus de 15 000H a 20 000H avançant vers les Perses, puis s'installer en plaine large de plus de 6 a 7 kilomètres, et encore situé a 30 Kilomètres de leurs camps.

 

Ainsi, les Grecs allaient combattre séparément, décidément les stratèges Perses n'y comprenaient plus rien.
Ce pourrait-il qu'une mésentente entre cités-Etats sur la conduite a tenir soit le fait de cette désunion ou dans un moment si crucial, seule l'union pouvait limiter les dégats ?

Et cette plaine ne semblait pas receler d'obstacles pour recevoir le combat.

 

La bataille :

La décision fut prise de partir avec 45 000H, laissant 13 000H a la garde du camp, et 2 000H à Chalcis.

 

Le 6 Juillet l'armée partit a la rencontre des Thébains qui avaient encore changé de position en ce rapprochant encore davantage d'eux, mais cette fois ayant leurs ailes placées aux sommet de collines ou celles de gauche vu de Thèbes vers le golfe d'Eubée prolongeait l'armée sur 1900 mètres  et a leur droite sur 1300 mètres, appuyés a une rivière large de près de 7 a 8 mètres, laissant au centre une plaine de 1000 mètres de large.

 

Devant cette situation, le 7 Juillet, devant l'ennemi et trois fois plus nombreux, ne voulant pas perdre la face, n'ayant que cette armée a combattre avant d'anéantir les chances Grecques définitivement, la plaine large de 4 kilomètres en moyenne sur 6 de profondeur ayant sur les cotés, des montagnes, présenté comme un couloir... et avec avec une petite rivière a traverser pour atteindre ce lieu, l'armée ce prépare au combat au petit matin.
Les Thébains ayant l'audace de les attendre.

Une seule solution, attaquer au centre, les ailes étant trop forte sur les hauteurs.
Quand a leur cavalerie, elle devenait inutile devant un front que l'on ne pouvait tourner, hérissés de lances, a moins de faire un trop long détour pour décider de la bataille.

Le combat s'engagea, pendant 2 heures la lutte devint intense, mais aucun moyen de faire reculer le front, ni de le percer.

 

1725636304-grecs-contre-perses.png

 


La supériorité des armes et la protection des armures avantageait nettement les Thébains qui comptait tres peu de morts, tandis que les Perses en avaient au moins 2 500.

Il était 10 heure, quand les Perses virent arriver une nouvelle armée Grecque devancées par leur cavalerie, d'une trentaine de milliers d'hommes, ayant déja descendu la montagne et longeait maintenant la petite rivière que les Perses avaient franchit le matin, ou la route pour leur couper la retraite etait bien plus courte que celles des Perses d'un kilomètre et demi, dans la partie ou ils devaient s'échapper, fermant complètement tout l'arrière, l'obstacle de la rivière leur interdisant le passage une fois tenu.

Les deux cavaleries ce combattirent, mais le front était trop étroit sur cette partie du terrain a cause des obstacles qui le parsemaient pour ce déborder l'un l'autre.

 

Quand la retraite commença, les Thébains les poursuivirent.


Une seule solution, plutot que de forcer le passage inutilement car trop fort une fois tenu, passer par les nombreuses collines perpendiculaire a leur armée, avec des hauts et des bas pour tenter de rejoindre leurs base.
Mais c'etait Un kilomètre a franchir, ou pendant ce temps, les Grecs, en poursuivant simplement leurs avance en plaine et les devançant, les couperaient inévitablement, de leur camp retranché.

 

De la bataille, seul, 12 000 Perses purent s'enfuir, et plutot que rejoindre le camp, chose impossible, firent route vers Chalcis, poursuivit par 10 000 Thébains jusqu'a cette ville ou ils firent au moins 3 000 prisonniers du fait du passage bien trop étroit, et 2 000 morts, ne coutant presque rien aux Thébains.

 

Ainsi, durant cette journée, il y eu au total, 10 000 morts Perse dut surtout a la panique et la confusion générale, et seulement 1 280 Grecs tués.

( Je ne compte pas les blessés. )

25 000 perses étaient prisonniers et attachés, puis conduit à travers les sentiers de la montagne pour etre envoyé vers Athene, conduit par 4 000 Thébains.

 

Le ravitaillement des Grecs, un moment menacé d'etre coupé pour les Thermopyles, ne risquait plus rien

 

Le lendemain, près de trente mille Grecs ce dirigèrent vers le camp retranché ou eu lieu le débarquement, occupés par 33 000 Perses, afin d'en finir avec cette menace.

 

 

Le 8 Juillet, Alexandre avait 25 500H sous la main, et ignorait encore les évènements de la bataille.
Ce sentant maintenant assez fort, il marcha vers Athene comme lui avait demandé Démosthène pour ce réunir aux Grecs, mais entendait etre le maitre et non leur serviteur.

De sa position dans le Péloponnèse, il protégeait aussi une tentative possible de débarquement Perse, afin de tourner toute les positions Grecque connu.

Quand aux navires, ils étaient repartit depuis trois jours vers le golfe d'Otrante, en Italie, récupérer le reste de son armée, mais cette fois, sa cavalerie pour le prochain voyage.

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Voici la carte des opérations générale pour vous donnez une idée générale de la situation :

 

La flèche 2 en mer, représente la dernière expédition qui contournera l'ile d'Eubée.

 

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( Cliquez sur la carte pour agrandir. )

 

Les 8 000H vers le cap Sounion, ( sud d'Athene.) et ceux de Marathon, 7 000H, voyant grace a des observateurs bien placés, que l'adversaire continue sa route en dépassant la plaine de Marathon, ont eu deux jours pour ce réunir avec Athene, plus les 3000H placé d'abord vers Chalcis, pour ce placer tous sur un plateau offrant la possibilité grace a plusieurs chemin, soit de rallier les Thébains avec 36 000H supplémentaire, soit, si la situation évoluait autrement que prévu, si les Perses choisissaient de longer la cote pour ensuite attaquer Athene avec 55 000H, ne laissant que 3 000H a la garde du camp, Athene pouvaient réunir avec les Thébains 54 000H.

Avec une force pareille, ils étaient certains dans le temps de chasser cette invasion Perse...et, la réunion avec l'armée D'Alexandre leur garantissait assurément la victoire.

Mais tout ceci pouvait prendre du temps, aussi, les stratèges Grecs décidèrent d'occuper le plateau entre Athene et Thèbes,  a l'abri des regards, afin de maitriser la situation quoi qu'il arrive, ou ils pouvaient porter secours à Thèbes, et l'observation méticuleuse du terrain a permis de tendre un piège a l'adversaire, qui, si l'ennemi y répondait en acceptant la bataille au lieu choisit, en était fait de lui.

 

 

Edit :

 

Voici la manoeuvre dans le principe préparées par les Perses, là ou ailleurs sur la carte, pour battre les Grecs sur le rivage une fois qu'ils connaissaient ce point de débarquement, suite a leurs observations faites  pendant leur parcours maritime et contrecarrer cette menace d'ou qu'elle viennent sur la cote.

Et les Perses pouvaient réaliser cela rapidement dans le cours de la matinée.

 

1725711206-golfe-d-eub-e-fait.jpg

 

 

 

Stratégie :

Les Perses comptaient prendre aux piège les Grecs s'ils les avaient attaqués, en effectuant un troisième débarquement sur un autre lieu, pris sur les troupes ou 40 000H étaient placé sur l'ile d'Eubée, et rapidement débarquer 18 000H pour les attaquer de flanc, dans une direction ou une autre, selon la situation.

Le piège n'ayant pas fonctionner, car les Grecs, stratèges supérieur aux Perses, ( Authentique ) en avaient imaginer la possibilité.

Il y a donc nécessité pour les Perses d'obtenir une victoire stratégique, et ils ont les moyens avec 80 000H, et puisque les Grecs ne répondent pas a leur attentent, devant la division apparente des Grecs pour une raison inconnue, il faut soumettre Thèbes, position centrale, avant de ce rabattre et marcher par la cote est sur Athene, étant donné que les Perses ignore la géographie de la région.

 

Et la division apparente des Grecs, en apprenant que Thèbes marche seule au combat vers eux et occupe une large plaine, ce qui est un piège et un appat pour attirer les Perses avant de prendre d'excellente position plus avant comme présenté sur la carte ci dessous, suite aux reconnaissance Thébaines, laisse croire que les Perses auront la partie facile devant si peu de moyen qui leur sont opposés, et rempliront la deuxième condition, a  savoir, battre un ennemi trés faible, et occuper une position centrale qui divise le nord et le sud de la Grèce et devenir maitre de la situation, en battant stratégiquement près de 20 000H, leur assurant le succès de la campagne.

 

C'est pourquoi, les perses n'envoient que 45 000H qu'ils jugent suffisant dans une plaine bien trop large pour les forces Thébaines pour éviter d'etre encerclé.
Ignorant encore ou ce trouve le gros des forces Grecques, ils gardent le camp avec 33 000H, afin de sécuriser leur base.


Et s'ils y seraient attaqué, restant dans le camp, la victoire facile qu'ils comptent avoir sur les Thébains, verrait le retour rapide de cette armée, et plus de 70 000H alors réunit battrait inévitablement et rapidement ces Grecs, en débordant leurs ailes.

Ce dont les Grecs, conscient de ce danger voulait éviter, et en présentant une soi disant division aux perses recherchant une victoire rapide si elle ce présentait, et un appat facile sur un terrain les favorisant, ils y a tout lieu de croire qu'il tomberait dans ce piège.

 

Ce qui n'a pas manqué d'etre en présentant une situation qui les arrangeaient.

 

 

Voici le lieu de la bataille :

 

( Pour attaquer sur les hauteurs, il faut trois fois plus de forces. )

 

1725706200-lieu-de-la-bataille-thebes-at

 

La distance a parcourir pour les Perses voulant échapper a l'encerclement, et plus longue d'un kilomètre et demi que les Grecs en fermant la porte, voila pourquoi, une fois l'ennemi mordant a l'hameçon, la force principale d'Athene descendit alors le versant de la montagne, sans pouvoir etre visible des perses, voyant trop tard le danger.

 

Pris en tenaille, poursuivit, le seul coté et perpendiculaire a l'armée Perse, offrant une possibilité de retraite mais les ralentissant beaucoup, ne permirent pas de choisir pour les échapper d'avoir plus de 12 000H, ayant les Grecs qui les poursuivaient dans leurs retraite, et ne purent choisir la route de retraite que vers Chalcis.

 

Ainsi, l'ennemi était divisé, et l'armée Thébaine qui les pourchassait, laissant peut etre 2 000 H à Chalcis, pouvait rejoindre l'armée Athéniene au camp Perse, désormais en infèriorité, ou leur seul salut était de rembarquer...

 

( Rajout de cartes. )

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( J'ai rectifié la carte des opérations générale en prenant cette fois en compte les morts dans la région des Thermopyles. )

 

( Pour faciliter la tache pour la création du scénario, je ne prend pas toujours en compte le nombre de blessés difficilement quantifiable. )

 

( Je n'ai pas fait d'expédition Perses derrière les forces Grecques des Thermopyles jusqu'a vers Chalcis, ou les deux seules rare plages seraient si rapidement fermer aux Perses et le déplacement de la flotte serait observé, ( que leurs reconnaissances maritimes inévitable ont permis de connaitre,) que leurs commandants n'ont pas juger bon de les retenir, car trop risqué, ou au pire, les Grecs y seraient aux plus tard autour d'une heure s'ils étaient surpris, ce qui ne ce ne pouvait etre.
Le reste de la cote ne le permet pas, les montagnes touchant la mer le leur interdisent. )

 

Après la bataille :

Le 8 Juillet vers 11H du matin, 35 600 grecs arrivèrent devant le camp Perse, ( 33 000H ) mais celui ci semblait en éffervécence. Nul doute qu'il avait pu etre avertit a temps, certainement par le contingent chargé de l'approvisionnement suivant de loin l'armée Perse marchant a la bataille du 7 Juillet.

La flotte Perse embarquait les derniers hommes pour les transporter a l'abri, sur l'ile d'Eubée.

Ainsi, les Grecs avaient en partie échoués, 38 000 Perses avaient pu s'échapper et ce soustraire a leurs coups.

Sur ce nombre, 2000 Perses gardaient le détroit de Chalcis, protégeant les fuyards, tous découragés par une telle défaite, et revenant vers leur première position au site de débarquement a l'est de l'ile d'Eubée.

 

Certains officiers Grecs maudirent le fait d'avoir totalement abandonner leur flotte qui aurait pu a ce moment porter de nouveaux coups sérieux aux Perses, et achever peut etre leurs dernières chances, et critiquèrent leurs stratèges.
Ceux ci, mis au courant, les réunissent, et leurs expliquèrent qu'il fallait choisir entre la marine, trop faible, et la défense du territoire, et que l'exploit de la bataille de Salamine ne ce renouvellerait pas, le souvenir étant encore trop vivace dans la mémoire de tous les militaires, de plus, c'était condamner les 22 000H aux Thermopyles ( 21 600 précisément. ), et la Grèce.
Seul un éffort immense pouvait probablement la sauver mais en enrégimentant tous les marins encore disponible des Trières avec les pécheurs, parce que solide physiquement, pour former une force capable, avec Thèbes, de repousser ensemble tout débarquement possible, mais que devant un tel déploiement de forces ennemi imprévu, connu des habitant de l'ile d'Eubée les avertissant d'avance, et la possibilité de la diversion pour tomber sur le flanc de l'armée pendant qu'elle était occupé a combattre pour rejeter l'ennemi a la mer, pouvait définitivement sceller le sort de la Grèce.

Et que c'est en misant sur l'infanterie et la recherche du terrain idéal pour vaincre l'ennemi décisivement, ne pouvant compter que sur eux meme, que l'on a pu éliminer une telle menace et renverser la situation a notre avantage... pour le moment, car il restaient encore aux Perses 110 000H.

 

Aux Thermopyles, c'était toujours au point mort, plutot que perdre des hommes inutilement, et la bonne position des Grecs et Macédonien, leur permettaient de tenir face a des forces considérable tant qu'elle ne pouvait etre tournée, mais les précautions étant prise, ce danger apparemment était exclus.

 

Il ce passa une quinzaine de jour avant que la presque totalité de l'armée Perse rejoigne celle de Darius, mécontent de la défaite inattendu de ses stratèges. Quand au 2000 Perses gardant Chalcis, ils avaient pu s'échapper de nuit, et remonter la cote jusqu'au camp de base ou des navires ami les prirent en charge.

 

Ont était donc au 23 Juillet.

Thèbes tenait toujours la position stratégique du détroit de Chalcis avec 2 000H.

15 000H gardaient Thèbes.

La menace ayant temporairement disparu, Athene repris malgré tout son premier dispositif de surveillance qu'elle avait établit avant le débarquement Perse.

Alexandre était a Athene le 10 Juillet 333, et le 28, avait toute sa cavalerie, dont 1 000 cavaliers Samnites sous la main qu'il laissa à Athene, totalisant 5 500 cavaliers, et laissant celle des Lucaniens et des Bruttiens, peu sur, en Italie, et réunissait toute son infanterie, forte maintenant de 30 700H sur les 32 000 au départ, du au combat livré contre les Samnites et dont ses alliés firent aussi les frais. ( Coutant 2 500 morts au total. )

 

Tarente gardaient ses soldats pour protéger son territoire.

 

Toute la flotte Grecque était de nouveau disponible a partir du 23 Juillet, plus la centaine qu'Alexandre avait fait construire, totalisant quatre cent navires,  et pouvait ce réfugier a l'abri derrière l'ile de Salamine ou les étroits défilés pouvaient en interdire le passage.

Mais une tempète les surprendraient, et en détruirait un bon un tiers durant le contournement du Péloponnèse demandant une dizaine de jours, de sorte qu'il ne resterait plus que 280 navires a leur arrivée à Salamine.

Mais les Grecs avaient encore leurs Triéres, mais incapable d'affronter la haute mer du fait de leurs instabilités, et ne pouvait que longer les cotes. ( Authentique )

 

Il y arriverait vers le tout début d'Aout.

 

Ce problème leur interdirait d'affronter en combat la marine Perse, sauf a opérer quelques attaques sur le ravitaillement par mer des Perses.

 

Changement de commandement Perse :

De son coté, Darius avait apprit entretemps l'échec complet de l'expédition et de la perte de la moitié des forces Perses dans cette opération, devant l'incapacité des stratèges et satrapes Perses : Spithridatès, Mithridate, Arsamès, il nomma Memnon de Rhodes ( Grecs et brillant stratège. ) commandant général des armées.

( Ils avaient participé a la bataille du Granique et ne valaient pas Memnon de Rhodes. ) ( Authentique )

 

Celui ci conseilla alors au Roi de rester sur leur position devant les Thermopyles, de menacer les cotes Grecque par des allées retour de leur flotte afin de maintenir une force pour la défense d'Athene et de Thèbes, et de créer une nouvelle armée en Perse, montant probablement a 60 000H mais demandant au moins un an et demi, afin d'essayer d'en finir avec les Grecs.

Le Roi consentit, désireux de soumettre la Grèce et de venger l'échec.

 

( Je respecte a peu de chose près, le nombre de soldats Perse engagé contre Alexandre le Grand lorsqu'il envahit la Perse ou le maximum avait été fait jusqu'a sa chute et le délai de création de leurs armées.

 

Sparte intervient :

En date du 28 Juillet, Athene et Alexandre apprirent que la fin de la Prophétie de Delphes obligeant Sparte et leurs alliés a défendre leur patrie avait pris fin, et qu'ils allaient les renforcer avec 20 000H fin Aout.

Ce qui était une excellente nouvelle.


Ainsi, presque tout l'été passa sans combat, chacun gardant ses positions.

 

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La campagne de Septembre d'Alexandre :

 

Au 10 Aout, Darius était déja parti pour la Perse afin de s'occuper des affaires du pays et de la création de la nouvelle armée qui allait demander du temps.

 

Fin Aout, comme prévu Sparte arriva avec 20 000H avec des troupes de la Ligue de Corinthe venant du Péloponnèse, dont 8 000H en garderaient ce pays.

Ainsi, si Alexandre le voulait, il pouvait lutter avec des forces considérable contre les Perses.


Militairement, c'était l'idéal, politiquement, c'était une erreur, car s'appuyer sur ceux qu'il avait vaincu a la bataille de Chéronée avec Philippe II, c'étaient les forcer a revendiquer plus de droits qu'ils devaient en avoir. Pour éviter cela, il fallait donc une victoire indiscutable, qui soit Macédoniène, meme s'il comptait ce servir de la force Spartiate. Mais étant en petit nombre, et hors de la Ligue de Corinthe, elle ne demanderait rien qui remettrait en cause les fondement de cette Ligue, et seule, ne serait pas en mesure d'en discuter politiquement.

 

Ainsi fut décidé la campagne en septembre qu'avec l'alliance Spartiate. ( 12 000H )

Les autres cités-Etats voyaient avec dépit leur role relégués au second rang et leur liberté perdue non remise en cause.

 

Thèbes et Athene continuaient leur dispositif et n'étant toujours pas de taille a se mesurer a la flotte Perse, celle ci resta a l'abri à Salamine.

 

Alexandre quitta Athene le 7 septembre 333 avec 30 700 fantassins et 4 500 cavaliers Macédoniens, de 3 000 guerriers Spartiates, 9 000 guerriers du Péloponnèse, et 4 000 cavaliers Grecs supplémentaire, plus 2000 pour Sparte.


8000 esclaves devaient assurer le ravitaillement.

 

Les 1000 cavaliers Samnites, peu sur, qu'Alexandre avaient ramenés d'Italie furent laissé à la disposition d'Athene pour faciliter leur défense.

 

Alexandre mis 5 jours a traverser la Béotie et entrer dans la Phocide, en prenant son temps afin de ne pas fatiguer la troupe.

 

La dizaine de sentinelle Perse qui avaient pu voir arriver de loin l'armée Grecque, sans pouvoir distinguer de quelle nation elle était, postés dans la région, étaient tombé dans un piège qu'Alexandre avait prévu d'avance au cas ou son armée devait les rencontrer, en plaçant bien loin en avant de l'armée une cinquantaine de Grecs assez basanés et habillé comme les soldats Perses, pour les attirer et s'emparer d'eux.

 

Ce qui fut fait.
Et le soir du 12 septembre, l'armée arriva au bord du plateau pentu surplombant la plaine des Thermopyles de près de 400 mètres qu'il ne pouvait encore apercevoir, et ou un sentier d'une douzaine de kilomètres le conduisait a la plaine, que les arbres cachaient.

 

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Descente de l'armée, vers le Golfe Maliaque :

 

Les montagnes et les arbres qui couvre le/s sentier/s ne permettent pas aux Perses de les apercevoir tant qu'ils ne sont pas dans la plaine et ils franchiront une petite rivière large de 5 a 6 M.
Faute militaire en cas de retraite, mais Alexandre a confiance en la valeur de son armée.

 

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La stratégie et la bataille :

Le lendemain en fin de matinée, l'armée Macédoniene était entièrement réunit dans la plaine, ou entretemps, l'alerte avait déja été donné chez les Perses qui en faisaient autant puis s'avançait a leur rencontre, laissant par force 16 000H contrant les Grecs des Thermopyles, ( plus précisément, de la région sud des Thermopyles ) et disposant alors de 77 000 fantassins et de 15 000 cavaliers.

 

Memnon de Rhodes, avec sa large supériorité décida de placer 40 000H de front, les dix mille Immortels au milieu, la ligne sur dix rangés de profondeur, et autant a la seconde ligne derrière et la cavalerie de chaque coté, ( 7 500 ) avec l'intention de déborder l'ennemi moitié inférieur a lui par les ailes.

 

Alexandre ne disposait que de 43 000 fantassins et de 10 500 cavaliers avec les alliés.

 

Etape I :

Mais il prépara ses troupes sur trois lignes.
La première, la plus étendu, constitué par la phalange et les hoplites, et 2000 cavaliers a chaque aile, la seconde, par 6 500 cavaliers derrière, obligeant les Perses a diviser la leur en deux partie égale.

La troisième ligne par 15 000 fantassins.
 

 

Les Macédoniens prirent l'initiative, et avançaient contre les Perses, au lieu de menacer le centre au départ comme elle ce présentait, arrivés assez proche des Perses, et encore dans la possibilité de manoeuvrer et vers sa droite et plus rapide que l'adversaire plus nombreux et plus lourd, l'ennemi d'abord surpris, et trop tard pour corriger et contrer cette manoeuvre qui auraient créé des brèches dans leurs dispositif, durent accepter cette situation.

Et le dispositif d'Alexandre changea lui aussi rapidement, la cavalerie a gauche de l'aile rentra derrière le front, pour presque toute ce regrouper a leur droite, hormis les 1 700 cavaliers d'élite restés au centre, les Compagnons, avec leur cuirasse et leur longue lance.
Les Théssaliens étaient de la partie et avaient aussi de longue lance. ( Voir la bataille d'Issos. )

 

7 000 cavaliers avancèrent vers la cavalerie Perse forte de 7 500 cavaliers sans la charger, et cherchèrent a la tourner, de fait, son homologue devait y répondre et dut ce déplacer un peu, s'éloignant de quelque centaine de mètres,  de l'armée Perse, mais son commandant ne s'en inquiéta pas trop, voyant la cavalerie Perse de leur aile gauche ( vu du Macédonien ) charger l'ennemi et pensant traverser ses lignes de front.

 

Mais a ce moment, l'ennemi encore a distance respectable, toute la cavalerie Macédoniene encore en arrière ( 3 500H )  ce plaça rapidement sur la droite du dispositif ou ce rassemblaient déja les Hypaspistes ( 3 000H Elites ) les 3 000 Spartiates et 2000H de la phalange prévu par Alexandre présentaient 8 000H, pendant que la troisième ligne ce rapprochait de la première ligne et que 2 000H de chaque coté du premier front reculait, pour former un rectangle ou la cavalerie ennemie ne trouverait aucune brèche.

 

1726145823-bataille-du-golfe-maliaque-ta

 

 

Etapes II

Et ce rectangle s'avança sur son coté droit, et percuta la droite Perse ou la sarisse fit beaucoup de morts.

 

Les Perses envoyèrent les Immortels partant du centre du front, et commanda a leur aile encore non combattante d'envelopper l'ennemi ayant réduit son front, en suivant la cavalerie.

 

Les 7 500 cavaliers Perse qui c'était éloigné de leur aile droite, reçu la charge des 7 000 grecs et Macédoniens, et le combat tourna a leur avantage, étant éssentiellement une cavalerie lourde dont les Théssaliens étaient en plus équipés d'une longue lance.

( Authentique )

 

L'ouverture ainsi crée fut exploité par les 3 500 cavaliers lourds, dont les 1 700 Compagnons d'élites, ( cavalerie de choc, une première ) suivit par les 8 000 fantassins dont 3000 Spartiates et les 3 000 Hypaspistes d'élites pour attaquer le flanc droit Perse, et Alexandre, laissant 1000 Cavaliers derrière  ses fantassins amis en cas d'attaque imprévus, continua avec la cavalerie et de l'infanterie sur l'arrière ennemi.

 

 

1726145920-bataille-du-golfe-maliaque-et

 

 

 

 


 

 

Modifié par Lathan
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