offabour Posted June 2 Share Posted June 2 Bonsoir certes le dh36 présente des avantages de résistance aux chocs ainsi que de fatigue, pourtant l'aspect esthétique de la coque du navire est altéré. pourquoi on constate souvent sur les navires récemment construits fremm, fdi (en DH36 et AH36) des défaut de planéité et des irrégularités des surfaces de coque particulièrement sous le reflet du soleil. merci Link to comment Share on other sites More sharing options...
Popular Post ARMEN56 Posted June 4 Popular Post Share Posted June 4 Le 03/06/2025 à 00:29, offabour a dit : Bonsoir certes le dh36 présente des avantages de résistance aux chocs ainsi que de fatigue, pourtant l'aspect esthétique de la coque du navire est altéré. pourquoi on constate souvent sur les navires récemment construits fremm, fdi (en DH36 et AH36) des défaut de planéité et des irrégularités des surfaces de coque particulièrement sous le reflet du soleil. merci Bonjour En réponse à votre message MP et celui ci Oui les ondulations de peau dans les intercostales du maillage sont effectivement bien visibles en lumières rasantes . C’est caractéristique de presque tous les navires en acier dont ceux à 355 Mpa ( le DH36 est un HLES véritas) cela résulte des opérations de soudage lors conception des éléments de blocs. Les blocs sont constitués d’ensembles panneaux préfabriqués soudés à plat . Leur ordre d’assemblage haut en bas gauche à droite etc , est justement étudié pour limiter les déformations lors retraits du soudage . Bien entendu les déformations en question sont tolérancées , on rentre dans les tolérances par des opérations de dressage de panneaux , on doit être à moins de 10 mm de flèche sur un panneau de muraille d’une bonne longueur . Parfois on observe des patchs plan sans déformation , il s’agit d’ABN acier de blindage navale en surepaisseur . Sur les FLF les structures composites de process différant on a pas ce type de déformation L’épaisseur des tôles de la quille au pont principal découle du calcul de la coupe au maître dont l’inertie est fonction du moment fléchissant . Sur une frégate l’épaisseur de tôle varie de 15 à 10 mm environ selon localisation . Le calcul de la coupe au mettre ne suffit pas il faut aussi vérifier que le quadrillage est dimensionné pour éviter le flambement en mailles longitudinale et transversale . Peut on augmenter les épaisseurs pour diminuer les ondulations ? Oui sauf que le risque est de plomber le devis de masse structure . ´ Il ne s’agit que d’esthétique, qui n’altère en rien ni les perfs transverses dont la SER ni ses capacités au combat. Un Zoum Une T23 Voilà Bonne soirée 1 4 2 Link to comment Share on other sites More sharing options...
offabour Posted June 9 Author Share Posted June 9 Bonjour effectivement j'ai fait des recherches sur le net : il y a une norme IACS 47, part A, table 6.10 (Shipbuilding and RemedialQuality Standard for New Construction) pour le contrôle de la planéité des plaques de tôle de la coque, et qui fixe des limites de tolérance d’enfoncement selon l'emplacement sur la coque et les superstructures. Ce défaut de planéité est du au soudage des plaques de tôles ayant des épaisseurs faibles à l'intérieur de la coque. les plaques soudées sont tirées vers l'intérieur sous l’effet thermique du soudage entrainant les défauts d'ondulations. pour rectifier ce défaut peut-on Appliquer un revêtement epoxy au niveau des superstructure ? Les images ne sont visible sur ton commentaire Link to comment Share on other sites More sharing options...
pascal Posted June 10 Share Posted June 10 Dès lors que ce gaufrage n'altère ni la SER ni les qualités mécaniques... 1 Link to comment Share on other sites More sharing options...
ARMEN56 Posted June 10 Share Posted June 10 Il y a 9 heures, offabour a dit : Bonjour effectivement j'ai fait des recherches sur le net : il y a une norme IACS 47, part A, table 6.10 (Shipbuilding and RemedialQuality Standard for New Construction) pour le contrôle de la planéité des plaques de tôle de la coque, et qui fixe des limites de tolérance d’enfoncement selon l'emplacement sur la coque et les superstructures. Ce défaut de planéité est du au soudage des plaques de tôles ayant des épaisseurs faibles à l'intérieur de la coque. les plaques soudées sont tirées vers l'intérieur sous l’effet thermique du soudage entrainant les défauts d'ondulations. pour rectifier ce défaut peut-on Appliquer un revêtement epoxy au niveau des superstructure ? Les images ne sont visible sur ton commentaire La lumière rasante c’est une saloperie , j’ai toujours dit que la « flotte » devrait remontée à Brest …….. Ce phénomène c’est malgré tout moins la déprime que le miroir grossissant de nos compagnes dépassant la 40 aine . Déjà que parfois elles ont du mal à nous supporter, alors si apparition d’une petite ride , c’est notre faute forcément et du coup plutôt que……on a le droit au mot de Cambrone . Et là on peut toujours se brosser , les réalités domestiques sont parfois terribles . Plus sérieusement , visiblement t’es du métier en évoquant l’IACS ( socle commun de tte des stés de classification) L’épaisseur de tôle de la poutre , est déduite de la coupe au maître déduite du moment fléchissant qui est déduit ; - soit des formules alambiquées de la classe Bv mili ou BV rina pour FREMM et FDI , - Soit des errements DGA/DCN en un PL/m . P=deplacement, L= Lpp, m un coeff maison intégrant le retex mer des frégates . Pour les frégates on prenait un PL/25 pour un Pa un PL/30 Tout ça pour dire que l’épaisseur de tôle déduite à laquelle on rajoute une surepaisseur de corrosion est plus fine aux petits et moyens déplacement. En muraille on ne peut pas mettre de la tôle de 12 mm d’un Pa sur une frégate dont les calculs te disent 9 mm . Et toute la structure est vérifiée aux contraintes de « von mises » en arc contre arc avec identification des points chauds . Réussir un projet c’est rester dans le déplacement projet tout au long du déroulement des études conception fabrication bref marquage au pied du devis de masse pour in fine tenir la vitesse et l’autonomie , et les critères de stab Sur les ponts et roofs hors poutre , les déformations peuvent générer des flaques d’eau , on vient parfois lisser par du ragréage en donnant bouge et tonture pour la bonne évacuation de l’eau vers les dalots. Mais on ne reprend pas le gaufrage des surfaces poutre. Tout ragréage de surépaisseur à ce niveau fissurerait rien qu’en arc contre arc qui pour un canote de 4000/6000 t avoisine les 20/30 cm entre ppav et ppar d’où aussi l’intérêt d’un 355 Mpa pour des navires au poids par tranches chargées . 1 2 Link to comment Share on other sites More sharing options...
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