Mauser Posté(e) le 15 mars 2007 Auteur Share Posté(e) le 15 mars 2007 Personne pour me répondre ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
akilaé Posté(e) le 15 mars 2007 Share Posté(e) le 15 mars 2007 Ben faut demander à Shuggart et kobalt, vu que je ne suis absolument pas qualifié ou compétant pour donner mon accord sur le sujet... Sinon, continue, j'ai soif d'apprendre. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Shuggart Posté(e) le 15 mars 2007 Share Posté(e) le 15 mars 2007 En admettant que le premier terme est celui utilisé par l'armée. Ce dont je suis sûr en vocabulaire militaire (encore qu'il y aie des différences entre la France et la Belgique): Chien Queue de détente Cran d’armé Montage Pour les mil c'est un rail Verrou Gâchette Rampe d’alimentation (généralement intégrante de la chambre) Platine Chargeur (on ne va pas faire un coucours de vocabulaire) Approvisionner (idem) Culasse (en généralement la pièce la plus grosse et lourde des pièces mobiles) Semi auto (coup par coup) Automatique civil C’est le cycle interrompu militaire (connais pas) Automatique militaire (auto/full auto/rafale) Extracteur Ejecteur Cache Flammes (a atténuer le recul également) Stecher (n'existe à l'armée) Arrêtoir de culasse Joue Simple action Double action Armer Canon Tube Lunette Couloir d’alimentation Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kobalt Posté(e) le 17 mars 2007 Share Posté(e) le 17 mars 2007 Essai de langages commun Etant un homme de conciliation je vous propose de remplir les blanc ou de modifier ce que je crois vrai chez les militaires et faux chez es civils Chien Pièce assurant la percussion marteau Queue de détente Pièce que le tireur manœuvre pour assurer le départ du coup Détente Cran d’armé Découpe dans le chien assurant son blocage en position de tir ? Montage Dispositif de fixation d’une lunette ou dioptre ? Doigt élévateur Pièce de revolver assurant la rotation du barillet Je crois que c’est identique Verrou Mécanisme de blocage d’une culasse Idem ? Gâchette Pièce assurant le blocage déblocage du percuteur Ici la notion me semble plus floue Rampe d’alimentation Partie inclinée assurant l’introduction de la cartouche Je crois idem Platine Plaque recevant le système percussion détente ? Chargeur Boitier amovible contenant les munitions ? ou magasin ?? Bon je dois avoir un problème j'avais tout fait en 3 colones sous Word et voila le résultat .... Je crois que je vais laisser tomber Approvisionner Garnir l’arme de cartouches Ou remettre une munition en chambre ? Talon Excroissance sur un percuteur assurant son verrouillage ? je crois que c’est item Culasse Ce qui ferme le canon Pour les fusils de chasse c’est une TABLE Item Levier d’armement Pièce qui sert à bouger la culasse Item ? Semi auto Cycle de fonctionnement interrompu ? Automatique civil C’est le cycle interrompu militaire Automatique militaire Tir en rafale Même chose ? Extracteur Griffe mobile assurant la sortie de la munition de la chambre Item Ejecteur Dispositif fixe sur le quel la cartouche vide se heurte pour sortir de l’arme Item Stecher Double détente l’une armant l’autre pour un départ au gramme Cache Flammes Inconnu en civil ou presque Dispositif tendant à réduire La flamme et l’éblouissement du tireu ITEM Frein de bouche Rare mais existe en civil sur des calibres majeures 460 WT Item ou ? Magasin Autre nom pour chargeur chez les civils ? Fût Ensemble Crosse, garde main Et longaisse ? Douille Ensemble des cartouches métalliques vides Etui Je sais d’après le Larousse – de 20 mm= étui Ogive /pointe Bout de la cartouche Straight-Pull Tirez poussez mécanisme des fusil Ross et S. Rubin suisse ? Chambre Fraisure à l’arrière du canon reprenant le côtes de la munition Item Arrêtoir de culasse Pièce qui bloque en position ouverte la culasse ? Cut Off Mécanisme de blocage de la répétition N’existe plus Joue Dos sur le haut de la crosse qui permet une meilleur prise de visée Item Simple action Dispositif des premiers revolvers Le chien doit être armé à la main Item Double action Armer et percuter dans le même mouvement Item Armer Action qui met le système de percussion prêt à faire feu ? Talon de X Base d’une pièce d’arme Comme le talon d’un chargeur Canon Pièce assurant l’expansion de gaz et le guidage de la balle Tube Même chose mais en rayé Canon lisse Ame lisse l’on admet dans la catégorie les tubes boyautés Lunette Dispôstif de grossissent optique Couloir d’alimentation Espace par où passent les munitions d’une MG Désolé mais rien ne marche A vous de fire au mieux Bon, je vais faire de mon mieux, maintenant comme dit Shuggart, il y a la différence entre le civil et le mili et en plus entre les armées de différents pays, on apportera chacun notre brique. Ton idée est pas mal Mauser, mettre en commun ce que chacun connait à son niveau des nomenclatures sur l'armement Chien Pièce assurant la percussion marteau Logiquement si je ne me trompe pas, le chien percute directement l'amorce de la cartouche ( révolver) alors que le marteau frappe une pièce intermédiaire le percuteur, qui va taper l'amorce. Maintenant, hormis quelque cas comme le GIGN et autres unités spéciales, je ne connais pas d'unité avec en dotation des révolvers quoi qu'il en soit dans la majeur partie des cas, chien ou marteau la percution ce dit centrale. Autre moyen, la percution annulaire ou là c'est un point de la culasse qui vient percuté l'arrière de la cartouche ( certain fusil ou pistolet 22 long rifle, il y a peut être d'autre type de calibre dans ce cas là) Queue de détente Pièce que le tireur manœuvre pour assurer le départ du coup Détente Là dans le civil ou dans l'armée le terme est le même. Bon j'en reste là pour le moment j'ai un truc à faire, je reprends après. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Mauser Posté(e) le 17 mars 2007 Auteur Share Posté(e) le 17 mars 2007 Ben oui et non pour un revolver et je ne parle que d'eux Prenez un Ruguer le chien est dépourvu de percuteur Celui-ci étant une pièce comprise dans la carcasse . Sur le vénérable Colt 45 ACP (1911 et 1911a1) Il est question d'un chien et le percuteur est dans la culasse .... Maintenant je veux bien accepter le terme de marteau pour tous les chiens dépourvu de percuteurs Dans le civil ce terme est plus tôt réservé à l'un des 2 systèmes d'éjection sur les fusil de chasse ou les express Où deux masses assurent l'éjection des douilles . En fait je crois bien que nous patinons suite à des traductions hasardeuses de nomenclatures Pour les 22 LR il existe des chiens avec un percuteur intégrés Ils frappent sur le bourellet de la cartouche C'est pourquoi il ne faut jamais percuter à vide avec ses armes A ma connaissance il n'existe plus que le 9 mm Flobert en munitions à percussion annulaire Hors mis le 22 LR et 22 Magnum Et les tubes réducteurs en 4mm Kireigsdorf mais c'est confidentiel Et quasiment réservé aux armes de grandes chasse en calibre allemand et pas tous . Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Mauser Posté(e) le 18 mars 2007 Auteur Share Posté(e) le 18 mars 2007 Principe de fonctionnement des armes V La munition ou cartouche. Elle n’est pas récente l’idée de réunir dans un seul ensemble le propulsif et le projectile est attribuée à Gustave Adolphe roi de Suède et grand capitaine. Les premières armes avaient un cycle de tir assez long. L’arquebusier devait introduire la poudre dans son arme puis forcer sa balle de plomb avec un calepin dans le tube Une fois ceci fait il armait son chien et dégageait le couvre bassinet il épinglait la lumière. En passant une fine tige de métal pour la déboucher puis versait du pulvérin (poudre noire très fine) dedans Une fois ceci fait il pouvait tirer. Ne parlons même pas des armes à rouets qui devaient être remontées à chaque tir. La cartouche papier elle réunissait la charge de poudre nécessaire à la fois au tir mais aussi à l’amorçage. Dés cet instant la manœuvre devient plus simple le soldat sort sa cartouche de sa giberne mort la base du cylindre de papier et verse un peut de poudre dans son bassinet Puis il enfourne le tout dans le canon. Ce qui va provoquer 2 réactions Les « objecteurs » se font arracher les dents de devant devenant ainsi impropre au service. Et un certains nombres de soldats vont élargir la lumière de leurs armes Comme cela pas question d’ouvrir le bassinet et d’y verser de la poudre Ils arrachait le cul de la cartouche et bourrait le tout dans le tube après un bon coup de crosse sur le sol et le bassinet se garnissait. Très théoriquement car les bassinets vides ou ceux dont la lumière cédait arrosant le soldat de coté étaient nombreux. Le système va atteindre des sommets juste avant la révolution avec des armes standardisées et de même calibre Il n’existait plus qu’une cartouche pour toutes les armes française excepté la carabine rayée. Il fallait alors « saigner » la cartouche car entre le fusil d’infanterie le mousqueton de cavalerie et le pistolet vous comprenez bien que les charges différaient. .L’opération consistait à jeter une part de la poudre la cartouche étant prévue pour le fusil 1777. Pour l’anecdote le silex français du val de Loire était classé matériel « stratégique » A l’époque sa contrebande était punissable de mort Pour la balle en plomb. Elle pouvait certaines fois remplacée par n’importe quoi le baron Larrey chirurgien des plus connus de l’époque rapporte le cas d’une femme blessée par une bille de marbre lors des émeutes parisienne La phase suivante va porter sur 2 volets distincts La recherche de la précision en rayant les canons Et la mise à feu avec l’apparition des amorces au fulminate de mercure et à l’azoture de plomb. Pour la précision l’écueil c’est l’encrassement du aux résidus de poudre ce qui explique assez facilement la profondeur des rayures des armes de l’époque. Une autre solution était les rayures en cheveux d’anges. Très fines et nombreuse jusqu'à 18/20 sur certains pistolets Mais le prix et la complexité de l’usinage en faisaient des armes rares : Pistolet Lepage d’état major à double canon en est un exemple La première astuce réside dans la chambre ardente. En fait l’on restreint la base du tube formant ainsi un épaulement sur le quel l’on écrase la balle. Certes elle est déformée et pas de façons égale mais elle prend les rayures. La précision n’est pas formidable mais largement suffisante n’oublions pas qu’a cette époque l’on se fusillait en rang serrés à 100 mètres alors un officier debout sur son cheval. . Un autre système est la carabine à TIGE. Ici le principe est inverse l’on écrase la balle sur une tige fixée à la base de la culasse l’érosion est telle que la chose est vite abandonnée L’étape suivante du travail sur la balle va résider à essayer d’obtenir une expansion de sa base au départ du coup. Se sont les balles Minée, Tamisier ou des chasseurs d’Orléans. Le principe et simple elle sont à base creuse la pression exercée par la colonne de gaz va ouvrir la jupe de l’ogive Expansion aidée dans certains cas par la présence à la base d’une rondelle de cuivre ou de bois. Les chasseurs de chamois bavarois mais je crois bien qu’il n’étaient pas les seuls avaient trouvé une astuce simple un clou de charpentier enfoncé dans la balle la partie plate tournée vers la poudre. Durant la même période la chimie de « masse » va révolutionner la mise à feu. Le vif argent ou fulminate de mercure était connu mais de la à le produire en masse… L’apparition des capsules amorces va révolutionner la balistique. En un seul jour il est possible d’obtenir une mise à feu régulière (presque). Le nombre de facteurs à prendre en considération étant des plus importants et aléatoires. Mais c’est la possibilité de créer le colt Ou les carabines Berdan à la précision pouvant permettre de neutraliser une équipe de servants d’un canon à âme lisse. Dans le même temps ou presque deux inventeurs vont battre les cartes et ils sont tous les deux FRANÇAIS. Lefaucheux va inventer la cartouche à broche. Principe si simple qu’il en devient génial l’amorce est compartimentée à la base de la cartouche Juste pour l’anecdote le premier revolver double action à cartouches métalliques était français et fabriqué par Lefaucheux. . Le percuteur qui est une broche faisant saille posait la question primordiale de la sécurité au point que les premières cartouches testées par l’armée française ont été jetées du haut du donjon de Vincennes pour vérifier la sécurité. Désolé mais je n’ai pas les résultats des testes mais comme l’armé a été utilisé par la marine française…. Flobert lui va inventer l’amorçage annulaire la composition mercurique étant centrifugée dans le bourrelet de la cartouche Avec un inconvénient de taille la base de la douille (étui) Se doit d’être très malléable pour obtenir un écrasement suffisant à la mise à feu Et c’est à ce point que s’exerce la pression la plus importante. Puis vont arriver les amorçages Boxer et Berdan L’amorçage Boxer est anglais et se caractérise par un évent central L’amorce possédant son enclume Bizarrement il serra le système américain. L’amorçage Berdan lui est caractérisé par deux ou trois évents entourant une enclume faisant partie de la douille Il est américain d’origine et deviendra le système classique européen. Quant je dits classique il est question de majoritaire. De nos jour le principe Boxer est largement majoritaire en Europe sauf peut être chez les militaires. Stop ou encore Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
E11 Posté(e) le 13 avril 2007 Share Posté(e) le 13 avril 2007 Moi j'ai une question bête, pourquoi le recul des armes a tendance à s'exprimer par un mouvement vers le haut et non un pur mouvement vers l'arrière ? En ce qui concerne le terme d'étui, je ne l'ai jamais entendu à l'armée. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Mauser Posté(e) le 13 avril 2007 Auteur Share Posté(e) le 13 avril 2007 Avez vous déjà entendu le terme de pente de crosse ? En très gros une arme recule en ligne droite mais son énergie vous est transférée par sa crosse qui elle n'est pas droite et dévie ainsi la force Plus une crosse est pentue plus l'arme se relève C'est pourquoi le tir avec des MG à crosse droite est aussi désagréable pourtant l'énergie d'une 7.62 est ridicule face à celle d'un express en 600 nitro. L'arme tourne au tours de votre épaule ou de votre poignet Vous pouvez toujours jouer à Rambo et essayer de contenir le recul Un conseil en fonction du calibre consultez votre mutuelle avant Étuis et douilles vieux débat entre militaires et armuriers en France Les premiers acollant le terme d'étuis à tout ce qui fait moins de 20 mm et réservant le nom de douille à ce qui en fait plus Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
E11 Posté(e) le 13 avril 2007 Share Posté(e) le 13 avril 2007 ok [27] , mais je n'ai pas très bien compris la relation entre pente de la crosse et confort. La pente de la crosse faisant relever l'arme absorbant une partie de l'énergie de recul, est-ce ça l'idée ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Mauser Posté(e) le 14 avril 2007 Auteur Share Posté(e) le 14 avril 2007 exacte le recul qui est en ligne droite est dévié par l'angle de la crosse . Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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