clem200 Posté(e) le 8 février Share Posté(e) le 8 février Il y a 1 heure, gargouille a dit : S'ils utilisent une partie de l'électronique et logiciels pour l'"Aarok", il aura une utilité. Tout ce qui vole avec des capteurs est utile, nous ne sommes pas encore en guerre Et ça aurait surtout appris à Safran la complexité d'un tel projet On finira bien par savoir les vrais raisons ... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bechar06 Posté(e) le 10 février Share Posté(e) le 10 février Quoi ? Combien de protos alors avant ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bechar06 Posté(e) le 26 février Share Posté(e) le 26 février la phase d'évaluations technico-opérationnelle du drone tactique Patroller a débuté Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Rivelo Posté(e) le 1 mars Share Posté(e) le 1 mars Plus de détail sur la commande de drones kamikazes "Colibri" pour l'Ukraine (en urgence opérationnelle), et aussi pour la France : https://www.lesechos.fr/industrie-services/air-defense/armement-paris-commande-2000-drones-kamikazes-en-partie-destines-a-lukraine-2079794 Quote Paris muscle son arsenal dans les drones. « J'ai pris la décision de commander 2.000 munitions télé-opérées » de conception française, a annoncé, jeudi, le ministre des Armées Sébastien Lecornu. Ces drones serviront « autant pour les besoins de l'armée française que pour l'Ukraine », a-t-il précisé au cours d'une visite de l'usine du fabricant de drones Delair à Labège, en banlieue de Toulouse (sud-ouest). « Les drones kamikazes sont absolument fondamentaux dans la conduite des opérations » et vont pouvoir constituer un « complément du canon Caesar en matière d'artillerie », a-t-il plaidé jeudi. Au total, 100 munitions télé-opérées (MTO) seront destinées en urgence à Kiev. Actuellement confronté à une pénurie d'obus, Kiev a recours à grande échelle aux drones chargés d'explosifs, notamment aux petits drones issus du marché civil bricolés pour emporter une charge explosive. Paris entend profiter notamment du retour d'expérience que fournira l'utilisation de ces drones en Ukraine pour améliorer les technologies de protection contre la guerre électronique et le brouillage GPS massivement utilisé par les forces russes. Pour Sébastien Lecornu, ces premiers investissements dans des MTO « participent à un effort de rattrapage important pour nos armées », alors que la France accuse un retard dans le développement de drones. L'an passé, voyant l'utilisation massive en Ukraine de ces MTO, déjà utilisés lors du conflit au Haut-Karabakh, Paris avait passé en urgence une commande de près d'une centaine de munitions télé-opérées américaines Switchblade. Des livraisons en 2024 La commande que s'apprête à passer le ministère s'inscrit dans le cadre du projet Colibri visant à développer une MTO capable d'opérer dans un rayon de 5 km pour un coût unitaire inférieur à 20.000 euros. Elle sera passée auprès de deux consortiums rassemblant un droniste et un spécialiste de pyrotechnie, d'un côté Delair et Nexter, de l'autre le droniste Novadem et MBDA. L'appel à projets est cependant ouvert à d'autres compétiteurs potentiels. Les 100 premiers drones destinés à Kiev pour l'été vont être commandés auprès de Delair et Nexter. La répartition entre l'armée française et les besoins ukrainiens des 1.900 restants n'a pas été précisée. Tous devront être livrés en 2024-2025. Le drone UX-11 de Delair pèse 1,4 kg et peut voler pendant 1h20 jusqu'à 25 kilomètres en emportant une charge de quelques centaines de grammes. Ce que je retiens : Il s'agit de drones issues du programme Colibri, pour une commande totale de 2000 MTO Les 100 premiers drones livrés en urgence opérationnelle à Kiev seront ceux du consortium Delair/Nextair (l'aile volante Delair avec la munition Nexter) On apprend dans l'article que des drones UX-11 (l'aile volante) ont déjà été livrés à l'Ukraine en version reconnaissance (cela devrait faciliter la prise en main des MTO...) Le reste de la répartition de 1900 MTO n'est pas clarifiée. Cela laisse entendre néanmoins que les deux types de MTO Colibri seront commandées (celle de Delair/Nexter et celle de Novadem/MBDA) 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Clairon Posté(e) le 1 mars Share Posté(e) le 1 mars il y a 4 minutes, Rivelo a dit : On apprend dans l'article que des drones UX-11 (l'aile volante) ont déjà été livrés à l'Ukraine en version reconnaissance (cela devrait faciliter la prise en main des MTO...) Il semblerait qu'il y eu aussi des DT26 livrés à l'Ukraine https://www.forcesoperations.com/une-commande-de-2000-munitions-teleoperees-bientot-actee-par-le-ministere-des-armees/ Clairon Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
hadriel Posté(e) le 1 mars Share Posté(e) le 1 mars il y a 13 minutes, Rivelo a dit : Les 100 premiers drones livrés en urgence opérationnelle à Kiev seront ceux du consortium Delair/Nextair (l'aile volante Delair avec la munition Nexter) En même temps les ukrainiens ont des drones FPV plein les bras, envoyer l'autre solution retenue pour Colibri qui est une petit quadcoptère n'aurait pas beaucoup de sens. Alors que la solution Delair a plus d'endurance, mais moins de maniabilité. Ca nous permettra aussi d'avoir un RETEX sur ce concept, qui est sensé être meilleur en terrain ouvert. 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Rivelo Posté(e) le 1 mars Share Posté(e) le 1 mars 12 minutes ago, Clairon said: Il semblerait qu'il y eu aussi des DT26 livrés à l'Ukraine https://www.forcesoperations.com/une-commande-de-2000-munitions-teleoperees-bientot-actee-par-le-ministere-des-armees/ Clairon D'après Les Echos :"Delair a déjà fourni à Kiev depuis l'été 100 drones UX-11 de reconnaissance ainsi que 50 drones DT-26 plus massifs. Elle s'apprête par ailleurs à lui en livrer 150 supplémentaires." Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Rivelo Posté(e) le 1 mars Share Posté(e) le 1 mars @Delbareth Je te réponds sur ce fil, c'est plus approprié pour poursuivre la discussion. Quote Euh... oui mais je suis perplexe devant cette phrase : "Pour rappel, selon son cahier des charges, la MTO Colibri doit être en mesure d’atteindre une cible potentielle située à au moins cinq kilomètres de distance [et pour un coût unitaire inférieur à 20’000 euros]. Peut-elle être effectivement complémentaire du CAESAr, dont la portée est de plus de quarante kilomètres? Sans doute que la MTO Larinae serait mieux adaptée pour ce rôle, son rayon d’action étant de 50 kilomètres." Je sais que mathématiquement "au moins 5 km", ça peut aussi être la galaxie d'Andromède, mais à priori ça fait pas un peu cours pour être utile ? (pour un drone d'aussi grande taille, le petits drones étant très utiles). Ou c'est une erreur du journaliste ? Dans la documentation de la version civile du UX11, on a les spécifications suivantes (https://geotronics.sk/wp-content/uploads/2020/02/ux11_user_manual_v1_9___en.pdf) 4.1.3 Data link specifications Communication range Feature Value 3G Unlimited (within network coverage) Delair Link (2.4 GHz radio link)(1) FCC: typical 5 km (3.1 mi) and up to 10 km (6.2 mi) CE: typical 3 km (1.8 mi) and up to 5 km (3.1 mi) Je comprends qu'en version "liaison radio 2,4 GHz sans se préoccuper des normes CE", on aurait à 10km de portée maximum. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
hadriel Posté(e) le 11 mars Share Posté(e) le 11 mars Des nouvelles de Toutatis (je colle des fois que ça passe en payant): https://air-cosmos.com/article/toutatis-l-autre-drone-suicide-francais-68564?utm_source=Twitter&utm_medium=social Citation Toutatis, l’autre drone suicide français Alors que les programmes Colibri et Larinae sont en cours de développement, d’autres drones suicides sont aussi développés en France. C’est tout particulièrement le cas de Toutatis, le drone kamikaze de Thales, résistant au brouillage GNSS et équipé d’une charge bien plus grande que sur le programme Colibri. Des retex identifiés La guerre de haute intensité en Ukraine a démontré le rôle important que peut jouer un drone ; reconnaissance, guidage d’artillerie ou de munitions, drone suicide ou munition rôdeuse, etc. Le drone est ainsi devenu une arme de premier plan au sein d’une armée : il peut devenir un facteur essentiel, voire même de supériorité lors de certaines phases d’actions. Cet intérêt pour le drone de petite taille est aussi pris en compte par Thales. L’industriel français a compris l’intérêt de ces engins sans pilotes mais aussi le besoin de ne pas développer un système couteux ; actuellement, l’Ukraine perd environ 10.000 drones par mois mais tient la barre grâce à une industrie de défense en ordre de bataille, organisée et complémentaire pour produire des drones rapidement et à bas coûts. Si cette production permet d’assurer un afflux de drones grâce à cette multitude d’entreprises, la production en tant que telle n’est pas coordonnée, les drones étant tous différents de par leurs capacités mais aussi capteurs, pièces de rechange, moyen de contrôle,… Il y a donc une logistique lourde et une multitude de moyens de commandement (C2) sur le terrain. Une réponse à venir En réponse à ces problèmes de massification et d’unification des moyens, l’industriel français cherche à proposer des solutions multiples, grâce à des systèmes déjà développés ou modifiés pour s'intégrer directement dans le domaine des drones aériens. Par exemple, le système de contrôle et de commandement (C2) Spy'C™, développé avec l'Armée de Terre en même temps que les drones Spy'Ranger 330 et 350. Ce système C2 est capable d'opérer plusieurs drones de types différents ; contrôle de vol, visualisation des données recueillies, etc. À cela s'ajoute aussi une amélioration du système en question, qui devrait à terme être capable de contrôler jusqu'à 6 drones kamikazes en même temps, permettant ainsi une utilisation de ces drones en essaim. Thales propose également d'intégrer des systèmes au sein même de drones d'autres industriels : La liaison de données résiliente au brouillage µTMA™ ; La charge utile de renseignement électromagnétique (ROEM) VORTEX™ ; La solution VisioLoc Air™ développée à partir de VisoLoc™ (la brique brevetée et déployée sur les jumelles Sophie Ultima). Par Toutatis ! Thales n'est pas seulement un intégrateur de systèmes car l'entreprise française propose aussi des solutions complètes. Côté drones kamikazes, Thales a investi sur ses fonds propres plusieurs millions d’euros pour développer une munition téléopérée (MTO) compacte, dénommée Toutatis. Dès le départ, la munition est pensée pour être résistante au brouillage radio mais aussi et surtout, être capable de voler en environnement GNSS brouillé. Cette seconde capacité est permise grâce à l'intégration du système VisioLoc Air™ directement au sein du drone Toutatis, permettant à ce dernier de se diriger avec précision sur sa cible malgré le brouillage GNSS. À propos de vol, Toutatis vole déjà depuis novembre 2022 et a démontré sa capacité à frapper une cible avec précision lors des vols de démonstration réalisés en décembre 2023. Pour l'instant, ces vols sont effectués sans charge militaire mais les essais d'explosion de charges réelles effectués à terre en novembre 2023 ont confirmé la puissance de la future tête militaire de 1 kg de Toutatis : groupe de combattant débarqué, véhicule léger ou encore véhicule blindé léger. Cette troisième catégorie de cible est avantageuse pour Thales, Colibri étant « limité » aux véhicules légers. Cet avantage s’explique par l’emport d’une charge de quelques centaines de grammes pour le drone développé dans le cadre de Colibri contre 1 kg sur Toutatis. Aujourd’hui, ce drone dispose d’une autonomie de 45 minutes, d’une portée supérieure à 10 kilomètres avec un système électro-optique jour/infrarouge et avec une vitesse de croisière de 90 km/h… pouvant augmenter à plus de 160 km/h en phase d’attaque. Cette MTO de moins de 4,5 kg pourra être lancée depuis un tube au sol ou depuis un engin porteur, comme un autre drone aérien, véhicule terrestre ou encore un hélicoptère. De fait, Thales allonge la portée de sa munition à l’aide d’autres engins. Le choix d’un autre drone porteur n’est pas un concept inconnu pour Thales ; comme expliqué dans la vidéo ci-dessous, Thales a intégré sa roquette à guidage laser FZ27 LGR (70 mm) sur deux drones, permettant d’augmenter la portée pratique de 7 kilomètres à plus de 120 kilomètres. Une fois lancée, cette munition n’est pas réutilisable. De fait, si aucune cible n’est repérée durant le vol, l’opérateur peut décider d’enclencher un système d’autodestruction. Enfin, Thales a précisé dans une interview sur Toutatis que de potentiels clients étaient déjà intéressés et que la commercialisation est attendue pour 2025. 1 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
hadriel Posté(e) le 11 mars Share Posté(e) le 11 mars Le côté pas réutilisable c'est très curieux, surtout pour un truc qui doit déjà de base couter un bras par rapport à un drone FPV. Et c'était un critère pour intégrer Colibri il me semble. 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
mehari Posté(e) le 11 mars Share Posté(e) le 11 mars 26 minutes ago, hadriel said: Le côté pas réutilisable c'est très curieux, surtout pour un truc qui doit déjà de base couter un bras par rapport à un drone FPV. Et c'était un critère pour intégrer Colibri il me semble. Ça leur permet probablement de simplifier la structure vu qu'il faut encaisser moins de chocs, diminuer les coûts et la masse. Si ils envisagent la chose comme un consommable ou un cas où la récupération est improbable (lancement aérien en arrière de l'adversaire), ça n'est pas dénué de sens. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
bibouz Posté(e) le 11 mars Share Posté(e) le 11 mars De plus, ça doit permettre de simplifier la sûreté pyro: le lancement arme la charge, et pas besoin de pouvoir la désarmer de manière sûre. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 11 mars Share Posté(e) le 11 mars Il y a 5 heures, hadriel a dit : Le côté pas réutilisable c'est très curieux, surtout pour un truc qui doit déjà de base couter un bras par rapport à un drone FPV. Et c'était un critère pour intégrer Colibri il me semble. Il y a 5 heures, mehari a dit : Ça leur permet probablement de simplifier la structure vu qu'il faut encaisser moins de chocs, diminuer les coûts et la masse. Si ils envisagent la chose comme un consommable ou un cas où la récupération est improbable (lancement aérien en arrière de l'adversaire), ça n'est pas dénué de sens. il y a une heure, bibouz a dit : De plus, ça doit permettre de simplifier la sûreté pyro: le lancement arme la charge, et pas besoin de pouvoir la désarmer de manière sûre. Espérons que ça se verra dans le prix... Sinon ça risque d'être un gros point noir. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kamelot Posté(e) le 12 mars Share Posté(e) le 12 mars (modifié) Bricolage de génie, matériel dual d'origine civil ou "normé" militaire, les solutions sont multiples avec des qualités et performances différentes. Il est évident, en fonction des séries et lieux de fabrication que le coût sera très différent. Le point dur reste le positionnement et le guidage. Les contre-mesures existent avec plus ou moins d'efficacité. Pour le positionnement des solutions existent, avec par exemple: https://air-cosmos.com/article/toutatis-l-autre-drone-suicide-francais-68564?utm_source=Facebook&utm_medium=social&fbclid=IwAR3oPEHOuXbpBpZxEC2mbONMQtZDUyQq6ofdoOBKDwZzMiw__EXSrzmGF9A Pour les liaisons de données, montantes et descendantes avec le cryptage, il s'agit de la puissance émission/réception en fonction de la puissance/distance. Bien sûr, la technique des ondes dans l'éther a ses secrets ou recettes de sorcier. Pour autant, "l'ambiance" risque d'être vite "saturée" pour les uns ou les autres, d'ailleurs... Irons-nous vers plus d'autonomie avec les IA (reconnaissance, identification et attaque des cibles) et sans forcément avec un homme dans la boucle de guidage ? Dans ce cas, les règles d'engagement devront évoluer, surtout pour les "munitions" consommables ou les vecteurs fournisseurs de la boucle courte. Modifié le 12 mars par Kamelot Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bechar06 Posté(e) le 29 mars Share Posté(e) le 29 mars Patroller... avance 1/2 Hier soir, lors d'un vol du drone Patroller, pour la toute première fois, un diable noir faisait partie des membres de l'équipage. 2/2 Cette intégration est révélatrice du niveau de préparation du régiment pour l'utilisation pleine et entière de ce nouveau système d'arme dès sa livraison. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bechar06 Posté(e) le 10 avril Share Posté(e) le 10 avril Patroller Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bechar06 Posté(e) le 11 avril Share Posté(e) le 11 avril Patroller : "première victoire à l’export. Annoncée à l’occasion du salon du Bourget, celle-ci comprend la livraison de quatre vecteurs aux forces terrestres grecques dans le cadre du renouvellement de leur capacité de renseignement, en partie basée sur le Sperwer. Conduites par la NSPA, les négociations contractuelles devraient déboucher sur la réception des premiers exemplaires courant 2025" https://www.forcesoperations.com/ces-autres-faits-marquants-enregistres-par-safran-et-thales-en-2023/ 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. hadriel Posté(e) le 11 avril C’est un message populaire. Share Posté(e) le 11 avril Le Larinae d'EOS techonolgie est à propulsion par un petit réacteur, pas un hélice: Bruyant mais rapide 3 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Conan le Barbare Posté(e) le 11 avril Share Posté(e) le 11 avril C’est cher les turbines d’aéro modélisme… déjà on part pas sur du low cost dans la conception. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
clem200 Posté(e) le 11 avril Share Posté(e) le 11 avril il y a 17 minutes, Conan le Barbare a dit : C’est cher les turbines d’aéro modélisme… déjà on part pas sur du low cost dans la conception. Boarf, ça doit coûter 1500€ Ça va, on est quand même sur un outil militaire à 6 chiffres 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Salverius Posté(e) le 11 avril Share Posté(e) le 11 avril il y a une heure, clem200 a dit : Boarf, ça doit coûter 1500€ Ça va, on est quand même sur un outil militaire à 6 chiffres D'après l'appel à projet du LARINAE : "Le coût récurrent objectif de la partie consommable visé est inférieur à 200k€." https://www.defense.gouv.fr/aid/appels-a-projets/clotures/appels-a-projets-larinae-colibri-cloture La "munition" doit être capable de détruire un blindé à 50 km, ce qui à mon avis justifie ce coût. Pour faire simple, LARINAE c'est un Akeron MP dronisé. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bechar06 Posté(e) le 19 avril Share Posté(e) le 19 avril "préférence industrielle" pour des drones de moins de 150kg ... 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) le 23 avril Share Posté(e) le 23 avril 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. hadriel Posté(e) le 27 avril C’est un message populaire. Share Posté(e) le 27 avril Des détails sur le Larinae à réacteur d'EOS: 400 km/h en pointe, 200km/h pour la rejointe rapide sur zone cible (50km en 15 min). Intéressant pour empêcher l'artillerie ennemie de décamper trop loin. Comparé aux 120 km/h max de l'EOS 425 originellement proposé ça fait une grosse différence. 2 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 27 avril Share Posté(e) le 27 avril Il y a 7 heures, hadriel a dit : Des détails sur le Larinae à réacteur d'EOS: 400 km/h en pointe, 200km/h pour la rejointe rapide sur zone cible (50km en 15 min). Intéressant pour empêcher l'artillerie ennemie de décamper trop loin. Comparé aux 120 km/h max de l'EOS 425 originellement proposé ça fait une grosse différence. Dans la vidéo youtube mise en lien (et non répertoriée) on entend distinctement à la fin "c'est de pire en pire, je dis ça je dis rien". Que faut-il comprendre? Instabilité dans les FCS? On voit que ça se dandine un peu en lacet, ce qui est compréhensible avec le vent. Bon en tout cas un bel engin bien rapide, dont la philosophie fait un peu penser à celle du SAGEM SlowFast. Presque dommage que ce soit un consommable. Mais il faut d'ores et déjà penser à aller beaucoup plus loin que 50km. Coup de chance, l'architecture autorise de mettre un autre moteur donc améliorations à prévoir. La flèche finalement assez peu prononcée est peut-être un compromis nécessaire au fond, mais tranche avec les choix vus sur d'autres MTO du même genre. En tout cas ce sera bien plus rapide en croisière qu'un Lancet avec lequel cet engin est en compétition, et quand même 25% plus rapide en phase d'attaque. À se demander si une variante plus imposante ne serait pas intéressante. Mais là c'est MBDA qui vont gueuler. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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