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Les phrase célèbre des grand soldats


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Général de division Antoine Charles Louis Lasalle: "tout hussard qui n'est pas mort à 30 ans est un Jean-Foutre" Général de Brigade Louis Lepic: « Haut les têtes, la mitraille n'est pas de la merde ! » « Amis, il faut vaincre ou mourir aujourd'hui, nous avons trois lignes d'infanterie à renverser. Beaucoup d'entre nous y resteront sans doute; mais dût-il n'en retourner qu'un seul pour porter la nouvelle, l'honneur du corps et celui de notre étendard seront sauvés. » Général de Division Pierre Cambronne: « La garde meurt mais ne se rend pas ! » « Merde ! »

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moi je vais poster toute celle du tigre que je connait « Ah, l'Angleterre, cette colonie française qui a mal tourné. » « L'anglais, ce n'est jamais que du français mal prononcé. » « Pour mes obsèques, je ne veux que le strict nécessaire, c'est-à-dire moi. » « La guerre ! C’est une chose trop grave pour la confier à des militaires. » (1886) « Il est plus facile de faire la guerre que la paix. » « Il suffit d'ajouter « militaire » à un mot pour lui faire perdre sa signification. Ainsi la justice militaire n'est pas la justice, la musique militaire n'est pas la musique. » « Ne craignez jamais de vous faire des ennemis ; si vous n'en avez pas, c'est que vous n'avez rien fait. » « Quand on a du caractère, il est toujours mauvais. » « La France est un pays extrêmement fertile : on y plante des fonctionnaires et il y pousse des impôts. » « Un escalier de ministère est un endroit où des gens qui arrivent en retard croisent des gens qui partent en avance. » « Les fonctionnaires sont les meilleurs maris : quand ils rentrent le soir à la maison, ils ne sont pas fatigués et ont déjà lu le journal. » « Il faut d'abord savoir ce que l'on veut, il faut ensuite avoir le courage de le dire, il faut ensuite l'énergie de le faire. » « L'homme absurde est celui qui ne change jamais. » « Un traître est celui qui quitte son parti pour s'inscrire à un autre ; et un converti, celui qui quitte cet autre pour s'inscrire au vôtre. » « Les polytechniciens savent tout, mais rien d'autre. » « Donnez-moi quarante trous du cul et je vous fais une Académie française. » « Désormais, pour les nations et pour les peuples, une goutte de pétrole a la valeur d'une goutte de sang. » « Il est bien ce petit Mandel, il me rend service. Quand je pète, c’est lui qui pue. » « Je hais tous ces empereurs, ces rois, ces princes, ces archiducs. Je les hais comme on haïssait ce tyran de Louis XVI. Entre eux et nous, c'est une question de vie et de mort. » 1867, se réjouissant de l'exécution de Maximilien d'Autriche au Mexique. « Mes chers amis, quand j'ai visité Saint-Quentin, en octobre 1918, bien avant vous, au lendemain de la Libération, je me suis demandé comment vous pourriez faire revivre votre ville. Je suis émerveillé du résultat auquel vous êtes arrivés ! » Alors qu'il s'apprête à quitter Saint-Quentin, une dame lui dit qu'il faudrait des matelas : « Très bien, Madame, je suis le roi des matelas, vous aurez des matelas ! » « Ce qui m'intéresse, c'est la vie des hommes qui ont échoué car c'est le signe qu'ils ont essayé de se surpasser. » "On ne ment jamais autant qu'avant une élection, pendant la guerre et après la chasse" "Le Brésil est un pays d’avenir et le restera longtemps" Vraiment un homme trés intelligent notre Clemenceau. Pour les citation seule celle de Charles (avec un C majuscule) sont aussi bien

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Lors de Waterloo Cambronne commandait le dernier carré de la vieille garde. Le général britannique coleville lui demande de se rendre et il a répondu merde! En revanche il a toujours dit n'avoir pas dit ce mots mais la garde meurt mais ne se rend pas

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Lors de Waterloo Cambronne commandait le dernier carré de la vieille garde. Le général britannique coleville lui demande de se rendre et il a répondu merde! En revanche il a toujours dit n'avoir pas dit ce mots mais la garde meurt mais ne se rend pas

merci pour l'info....[27]
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« Un escalier de ministère est un endroit où des gens qui arrivent en retard croisent des gens qui partent en avance. » « Les fonctionnaires sont les meilleurs maris : quand ils rentrent le soir à la maison, ils ne sont pas fatigués et ont déjà lu le journal. » j'aime bien c'est 2 la. Au moins tu sait qu'il aimait pas les fonctionnaire. J'aime bien aussi celle sur le mots militaire

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Voila toute celle du Grand Charles: Paris, août 1944. Inscription sur la jeep du capitaine Dronne de la 2e DB, l'un des premiers à être entre dans la ville : « Mort aux cons ! »; le général, qui la remarque quand Leclerc lui présente Dronne : « Vaste programme ! » « Il y aura sûrement un jour une unité de la gauche et elle se fera en mon nom, mais je ne serai pas là pour rafraîchir quelques mémoires » « En politique, ce ne sont pas les intentions qui comptent mais les résultats. »e « La proportion rompue entre le but et les moyens, les combinaisons du génie sont vaines. » « Prenez invariablement la position la plus élevée, c'est généralement la moins encombrée. » « L'action met les ardeurs en œuvre. Mais c'est la parole qui les suscite. » « Délibérer est le fait de plusieurs. Agir est le fait d’un seul. » « L'éternité n'est pas nécessaire pour connaître les limites de l'action. Le malheur suffit. » « Il n'y a pas de politique qui vaille en dehors des réalités. » 1965, entretiens télévisé avec Michel Droit « Face à l'événement, c'est à soi-même que recourt l'homme de caractère. » « L'homme de caractère confère à l'action la noblesse ; sans morne tâche d'esclave, grâce à lui jeu divin du héros. » « On ne fait rien de grand sans de grands hommes, et ceux-ci le sont pour l'avoir voulu. » « On s'est aperçu qu'il n'y avait pas de montagnes entre l'Angleterre et la France ; il y a seulement un canal. » « Les exigences d'un grand peuple sont à l'échelle de ses malheurs. » « Rien ne rehausse l'autorité mieux que le silence, splendeur des forts et refuge des faibles" « Le caractère, c'est d'abord de négliger d'être outragé ou abandonné par les siens. » « Face aux grands périls, le salut n’est que dans la grandeur. »(Mémoires de guerre) « Ce qu'il faut surtout pour la paix, c'est la compréhension des peuples. Les régimes, nous savons ce que c'est : des choses qui passent. Mais les peuples ne passent pas. » « Le désir du privilège et le goût de l'égalité, passions dominantes et contradictoires des Français de toute époque. » « La politique, quand elle est un art et un service, non point une exploitation, c'est une action pour un idéal à travers des réalités. » « Soyons fermes, purs et fidèles ; au bout de nos peines, il y a la plus grande gloire du monde, celle des hommes qui n'ont pas cédé. » « La France ne peut être la France sans la grandeur. », Mémoires de Guerre, tome 1. « Vous êtes un homme politique. C'est bien, il en faut. Mais, en certaines circonstances, les hommes politiques doivent savoir se hausser au niveau des hommes d'État. » À François Mitterrand, le 31 mai 1958. « La démocratie, c'est le gouvernement du peuple exerçant la souveraineté sans entrave. » « Je n'aime pas les socialistes parce qu'ils ne sont pas socialistes, Je n'aime pas les MRP parce qu'ils sont radicaux, Je n'aime pas mes partisans parce qu'ils aiment l'argent. » 1947 « Ce qui est à redouter, à mon sens, après l'événement dont je parle (sa mort), ce n'est pas le vide politique, c'est plutôt le trop-plein ! » « Le plus difficile, ce n'est pas de sortir de Polytechnique, c'est de sortir de l'ordinaire. » « Bien entendu, on peut sauter sur sa chaise comme un cabri en disant l’Europe ! l’Europe ! l’Europe ! mais cela n’aboutit à rien et cela ne signifie rien. » Entretien télévisé, 14 décembre 1965. « Comment voulez vous gouverner un pays où il existe 258 variétés de fromage ? » « […] il doit être évidemment entendu que l'autorité indivisible de l'État est confiée tout entière au président par le Peuple qui l'a élu, qu'il n'en existe aucune autre, ni ministérielle, ni civile, ni militaire, ni judiciaire, qui ne soit conférée et maintenue par lui, enfin, qu'il lui appartient d'ajuster le domaine suprême qui lui est propre avec ceux dont il attribue la gestion à d'autres […] », lors d'une conférence de presse du 31 janvier 1964 « Un pouvoir insurrectionnel s’est installé en Algérie par un pronunciamento militaire. Ce pouvoir a une apparence : un quarteron de généraux en retraite. Il a une réalité : un groupe d’officiers, partisans, ambitieux et fanatiques. […] Au nom de la France, j’ordonne que tous les moyens, je dis tous les moyens, soient employés pour barrer la route de ces hommes-là, en attendant de les réduire. J’interdis à tout Français et, d’abord, à tout soldat d’exécuter aucun de leurs ordres. » Il conclut : « Françaises, Français, aidez-moi ! ». 23 avril 1961. « Eh bien, voyez ! C’est bien ce que je disais : le Parlement démontre qu’il n’est rien. Il fracasse, il pérore, il fait un peu de bruit et de scandale, mais tout cela n’émeut absolument pas l’opinion publique. […] Le Parlement, en réalité, s’est tué lui-même. Il est mort, il n’existe plus. À l’époque où nous sommes, nous ne pouvons plus continuer à croire à ces jeux stériles. D’ailleurs, personne ne s’y trompe, sauf ceux qui font profession d’y croire. Alors, bien sûr, ceux-là s’agitent, écrivent des éditoriaux dans les journaux, font des déclarations à la radio, mais tout cela, c’est de l’agitation qui ne touche pas le pays et il faut bien que vous en soyez convaincu. », le 21 avril 1967, cité dans Jacques Foccart, Journal de l'Élysée, tome 1, pp. 611/612 « Vive le Québec libre ! », Discours de l'Expo '67 à Montréal le 24 juillet 1967. « Il y a deux catégories de journalistes ; il y a les journalistes tout-venant, qui lisent des dépêches, etc. Pour ce travail, n’importe qui fait l’affaire. Mais il faut trouver des journalistes de qualité, qui sont chargés de faire comprendre la politique du gouvernement, de l’expliquer, de sortir un peu des textes ; ceux-là, il faut les chercher et vous devez bien en trouver. […] », le 31 décembre 1968, cité dans Jacques Foccart, Journal de l'Élysée, tome 2, p. 515 « Si les policiers n'étaient pas bêtes, ils ne seraient pas des policiers. » Cité par Ernest Mignon dans Les mots du Général. Interrogé par le mensuel Science & vie, le président de Mensa (le club des grands QI) en Angleterre déclara « Le Général de Gaulle réussirait sans la moindre difficulté les tests d'entrée à Mensa ». Sur la même question concernant la reine Élisabeth II du Royaume-Uni, il refusa de répondre. Lors d'une visite en Afrique, la délégation fut soudain prise dans une nuée de moustiques. « Vous ne vous grattez pas, général ? », s'enquérit la femme d'un diplomate. « Les moustiques, madame, ne piquent pas le général de Gaulle » répondit-il. « Des chercheurs on en trouve, mais des trouveurs on en cherche. », à Peyrefitte (alors ministre de la recherche), C'était De Gaulle. « Que voulez-vous ! Si on laisse faire les Français ils feront des porte-clefs parce que c'est facile à faire et que ça se vend bien ! Mais la France a besoin de ponts, de routes… » « Il faut tout leur refuser (aux Américains), même si ils demandent une boîte d'allumettes », à Foccart. « Un peuple d'élite, dominateur et sûr de lui-même » en parlant des juifs (Attention citation généralement tronquée), 27 novembre 1967, Conférence de presse. « Je n'aime que ceux qui me résistent, malheureusement je ne les supporte pas », à Guichard. » « Pourquoi voulez vous que ce soit à 67 ans que je commence une carrière de dictateur ?! », conférence de presse, Juin 1958. « Au fond, je n'ai qu'un seul rival international : c'est Tintin (le petit qui n'a pas peur des gros, en quelque sorte) ». « Paris outragée ! Paris brisée ! Paris martyrisée ! Mais Paris libérée ! » (discours après la libération de Paris en août 1944). À propos des coups tordus politiques : « Ceux qui lancent des boules puantes finissent par sentir aussi mauvais que ceux qui les reçoivent. » « De l'esprit d'offensive, vous en avez : il est dans le sang de tous les Français et vous êtes français. » (1912) « L'Histoire est constituée d'un évènement et d'une volonté. » (juin 1940) " N'employez donc pas l'expression de chef du gouvernement pour parler du premier ministre, le chef du gouvernement c'est moi. Car le gouvernement procède de mon choix, il n'agit que moyennant ma confiance" propos tenus par le Général De Gaulle à Alain Peyrefitte porte-parole du gouvernement Un soir où le Général assistait à une représentation théâtrale de la Comédie-Française, Il se retrouva pendant l'entracte avec André Malraux aux toilettes. Ils étaient l'un à côté de l'autre aux urinoirs et Malraux dit -" Belle pièce hein Mon Général ? " et De Gaulle avec son humour décapant : -"Malraux, regardez devant vous !"

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"A quelle profondeur d'illusion ou de parti pris faudrait-il plonger, en effet, pour croire que des nations européennes, forgées au long des siècles par des efforts et des douleurs sans nombre, ayant chacune sa géographie, son histoire, sa langue, ses traditions, ses institutions, pourraient cesser d'être elles-mêmes et n'en plus former qu'une seule ?" Extrait de "Mémoires d'Espoir" ,De Gaulle. Maréchal Foch: "Il n'y a pas d'homme cultivé, il n'y a que des hommes qui se cultivent" "Ne me dites pas que ce problème est difficile. S'il n'était pas difficile, ce ne serait pas un problème." Napoléon Ier: "Bon Dieu! que les hommes de lettres sont bêtes!" "Ce n'est pas possible, m'écrivez-vous; cela n'est pas français." "Il faut qu’une constitution soit courte et obscure. Elle doit être faite de manière à ne pas gêner l’action du gouvernement." "Sachez écouter, et soyez sûr que le silence produit souvent le même effet que la science." Dialogue entre le roi d'Angleterre Guillaume d'Orange et Berwick, à la bataille de Neerwinden 1693 "Eh bien, monsieur, demanda-t-il, M de Luxembourg ne se repent-il pas à cette heure de m'avoir attaqué ? - Monsieur, répondit Berwick, peut être est-ce vous qui regretterez bientôt de l'avoir attendu." “ Ah! l’insolente Nation ! ” Guillaume d'Orange d'Angleterre, face à la résistance des Française contre son artillerie à Neerwinden A à la vue des nombreuses bouches à feu qui hérissaient les redoutes Prussienne, un mouvement d’hésitation se saisis alors des soldats Français. Hoche, par une de ces saillies dont l’effet est presque toujours certain sur les Français, déclara aux soldats Français «Allons, soldats, à six cents livres pièce le canon Prussien!», «Adjugé, général!» répondirent gaiement les soldats Français. Lors de bataille de Woerth 1793

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allez pour le plaisir la complète (selon wiki) de Churchill: « I have nothing to offer but blood, toil, tears, and sweat… » (– Je n'ai à offrir que du sang, de la peine, des larmes et de la sueur…– Extrait du discours devant le Parlement britannique, le 13 mai 1940, trois jours après l'invasion de la France par Hitler et sa nomination au poste de Premier ministre britannique) une formule empruntée à John Donne (1572-1631). « We shall never surrender » (- Nous ne nous rendrons jamais - discours au Parlement britannique le 4 juin 1940.) « Never in the field of human conflict was so much owed by so many to so few. » (- Jamais dans l'histoire des conflits, tant de gens n'ont dû autant à si peu. – discours à la Chambre des communes du 20 août 1940 à propos de la défense aérienne par la Royal Air Force.) « Never give in. Never give in. Never, never, never, never--in nothing, great or small, large or petty--never give in, except to convictions of honour and good sense. Never yield to force. Never yield to the apparently overwhelming might of the enemy… » (- N'abandonnez jamais. N'abandonnez jamais. Jamais, au grand jamais, n'abandonnez jamais en rien, si ce n’est pour l’honneur et le bon sens. Ne cédez jamais à la force. Ne cédez jamais à l’apparente puissance de l’ennemi...- Extrait du discours devant l'école de Harrow School, le 27 octobre 1941) « From Stettin in the Baltic to Trieste in the Adriatic an iron curtain has descended across the Continent. » (- De Stettin sur la Baltique à Trieste sur l'Adriatique, un rideau de fer s'est abattu sur le continent. – Discours de Fulton, Missouri le 5 mars 1946, qui a popularisé l'expression «rideau de fer».) «We must build a kind of United States of Europe» (- Nous devons créer une sorte d'États-Unis d'Europe. – Discours à Zurich en 1946, en faveur de la création d'un espace communautaire Européen.) «Democracy is the worst form of government - except for all those other forms, that have been tried from time to time.» (- La démocratie est le plus mauvais système de gouvernement - à l'exception de tous les autres qui ont pu être expérimentés dans l'histoire. – Discours à la Chambre des communes du 11 novembre 1947.) « Vous aviez à choisir entre la guerre et le déshonneur ; vous avez choisi le déshonneur et vous aurez la guerre. » Extrait d’une lettre à Arthur Neville Chamberlain « Christophe Colomb fut le premier socialiste: il ne savait pas où il allait, il ignorait où il se trouvait et il faisait tout ça au frais du contribuable. » [réf. nécessaire] "Je ne suis pas d'accord pour dire (...) qu'on a fait un grand tort aux Indiens d'Amérique ou au noirs d'Australie (...) du fait qu'une race plus forte, une race d'un niveau plus élevé (...) s'y est introduite et s'y est installée." Churchill s'adressant à la Commission royale de la Palestine, 1937. "La multiplication contre nature et de plus en plus rapide des faibles d'esprit et des malades psychiatriques, à laquelle s'ajoute une diminution constante des êtres supérieurs, économes et énergiques, constitue un danger pour la nation et pour la race qu'on ne saurait surestimer... Il me semble que la source qui alimente ce courant de folie devrait être coupée et condamnée avant que ne s'écoule une nouvelle année." Churchill à Asquith, 1910. "Je ne comprends pas la pruderie que l'on manifeste envers l'utilisation du gaz. Je suis profondément favorable à l'utilisation de gaz-poison à l'encontre de tribus barbares." Dans un courrier écrit lorsqu'il était président du Air Council, 1919.

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Un capitaine anglais à Robert Surcouf : "Vous, Français, vous vous battez pour de l'argent. Et nous, Anglais, nous nous battons pour l'honneur." Robert Surcouf au capitaine anglais : "Chacun se bat pour ce qui lui manque !" Celle-là je l'adore

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De Saint-Exupéry: "Avec l'avion, nous avons appris la ligne droite" "Ce pour quoi tu acceptes de mourir, c'est cela seul dont tu peux vivre" "C'est l'esprit qui mène le monde et non l'intelligence" "Chacun est seul responsable de tous" "Fruits et racines ont même commune mesure qui est l'arbre" "L'occasion manquée est celle-là même qui compte"

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Le cynisme à l'état pur, mais tellement vrai. On pourrait plutôt le définir par : la mort d'une personne que vous conaissez est une tragedie, celle de millions d'inconnus reste de la statistique. Il y'a la phrase de Khrouchtchev qui est pas mal aussi. "Ce qui est à nous est à nous, ce qui est à vous est négociable"

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Un capitaine anglais à Robert Surcouf :

"Vous, Français, vous vous battez pour de l'argent. Et nous, Anglais, nous nous battons pour l'honneur."

Robert Surcouf au capitaine anglais :

"Chacun se bat pour ce qui lui manque !"

Celle-là je l'adore

Je regardais si elle avait été ajouté a la liste, j'adore. [13]
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Hum !

Je crois avoir lut quelque part que « La garde meurt mais ne se rend pas ! » est apocryphe et que d’ailleurs il (Cambronne) n’est pas mort, qu’il a été fait prisonnier, qu’il épousa une Anglaise durant son séjour et qu’il n’était même pas de la garde (la Vielle). Quant à « Merde », il y ait de forte chance pour qu’elle ait été prononcée. Par Cambronne ou un autre officier rendu fou furieux par les détonations, la fumée et excédé par les appelle à la reddition incessante des Alliées.

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  • 8 years later...

« J’ai beaucoup moins d’admiration pour Napoléon depuis que j’ai commandé une coalition » : Foch, ou Sarrail ?

 

http://taktika.cesat.terre.defense.gouv.fr/content/download/3087/49871/file/LE%20MARECHAL%20FOCH%20ET%20LE%20COMMANDEMENT%20INTERALLIES.doc

 

Sachant qu’il n’obtiendrait aucun résultat en pratiquant un commandement trop directif, Foch a toujours agi en souplesse. On lui prête d’ailleurs l’aphorisme, en fait de Sarrail à Salonique, selon lequel « … il admirait beaucoup moins Napoléon depuis qu’il avait commandé une coalition… ». C’est ainsi que Foch, en tant que commandant suprême interalliés en 1918 a toujours prôné la persuasion comme méthode unique de commandement, ce qui demeure encore aujourd’hui surprenant, eut égard à son caractère difficile !

« Le commandement unique, surtout quand il doit s’exercer sur des chefs d’une autre nation, d’une autre race, ne peut pas s’imposer par un décret. Le seul qui l’impose, c’est l’homme chargé de l’exercer, agissant, par son ascendant, sur ceux avec qui il doit collaborer (…)

Mon idée revient en somme à ceci : quand le commandement s’exerce sur des armées alliées, des ordres secs, impératifs, catégoriques ne produiraient aucun résultat. Il faut que celui qui les donne sache les faire accepter pleinement par celui à qui il s’adresse, qu’il obtienne sa confiance, son adhésion. Il n’existe pas pour lui d’autre manière de commander (…).

Quand les armées se battent ensemble, il est absolument impossible de réaliser l’unité de commandement autrement que par cette influence morale. En d’autres termes, ce n’est pas la contrainte qui agit, mais uniquement la persuasion.

A quoi sert-il en effet de donner des ordres lorsque, pour toutes sortes de raisons matérielles et morales, ils ne peuvent pas être exécutés ? Il faut prendre les hommes, surtout les étrangers, comme ils sont et non pas comme nous voudrions qu’ils fussent. ».

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