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Alvaro Uribe veut employer l'armée pour libérer Ingrid Betancourt


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Le Quai d'Orsay et la fille d'Ingrid Betancourt ont vivement réagi, vendredi soir, après la déclaration du Président colombien Alvaro Uribe, qui a ordonné aux responsables de l'armée de «libérer par les moyens militaires» l'otage franco-colombienne. «Messieurs les généraux, nous allons libérer Ingrid Betancourt et les trois Américains», a déclaré le Président Uribe au cours d'une cérémonie en présence de hauts responsables de la police et de l'armée : «Les Farc [Forces armées révolutionnaires de Colombie] ne veulent pas d'accord humanitaire, c'est pourquoi nous insistons sur la libération par des moyens militaires.» Cette déclaration intervient après qu'un otage ayant échappé à ses ravisseurs a assuré que la Franco-Colombienne, enlevée par la guérilla des Farc le 23 février 2002, était vivante.

lire la suite

comme vous pouvezs le voir le président colombien Alvaro Uribe veut employé la force pour libéré les otages des mains des rebelles...

croyez vous qu'employé la force ne va pas agravé les choses, avoir beaucoup de morts du coté des otages comme la derniere attaque militaire contre les rebelles...

ou alors, qu'il est temps d'employé la force, aprés toute ces années passé sans résultat...

de jour en jour les rebelles acroient leurs capacités... donc peu etre que le president Alvaro Uribe, ne supporte plus cela et de savoir que ces rebelles qui sont des milliers et qu'ils font ce qu'ils veulent en colombie.

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Le problème, c'est qu'il n'y a pas de solution viable. L'emploi de la force, c'est du déjà vu et cela résulte en une escalade des deux côté ; et au final cela donne les exactions des paramilitaires qui ont exterminé des villages entiers. Ne rien faire renforce les farc qui peuvent continuer leur business en paix. Il est toujours possible de passer le territoire des farc au napalm, au gaz moutarde et au cobalt 60 radioactif, mais cette solution a le désavantage de polluer les nappes phréatiques et d'abîmer les arbres. [08]

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Si le cinglé d'alvaro utilise la force sur les FARC (qui ne sont pas des terroristes bien au contraire !!!) ca risque de tres mal se passer pour les prisonniers politiques détenu au main des guerillero. Au premier coup de feu, ingrid va etre transformé en passoire. Les FARC c'est une vraie armée usant de moyens subversif, c'est pas des enfants de coeur du genre FLNC ou ETA. L'armée colombienne bien qu'assez equipé ne peut pas les zigouiller, beaucoup d'autres s'y casserait les dents. Faut donc acceder aux revendications des FARC en liberant les détenus politiques ou sinon ca risque de tres mal se passer pour les détenus .

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Mouai les FARC: les derniers revolutionnaire marxistes soutenu discretement par Chavez, usant de la drogue et des prises d'otages car plus aidé par l'international coco. Ils ont perdu leurs but original et tente de survivre de maniere tres lache en raquettant le petit peuple par des enlevements (que de courage pour ces grands guerriers [14] )

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Il y'a des trafic depuis toujours passant par le Venezuela, ensuite ideologiquement ps vraiment, Chavez n'est pas marxiste, il est bolivarien, ce qui est vague je le reconnais, c'est une forme de socialisme avec un fond chretien et un fort patriotisme.

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En tous cas pour l'intervention armer, ont peux prendre les parie dés maintenant, dés le premier bruit de palme d'helico Ingrid aura des arme pointé sur elle et dés que les FARC aurons la certitude d'un assaut sur leur camp la pauvre Ingrid passera en premier a la trappe. Elle mérite pas sa la pauvre, militairement tu peux riens faire, la diplomatie doit continuer encore.

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Son grand copain s'appel tout de meme Castro (un grand humaniste devant l'eternel...) et si Chavez peut faire chier un allié des USA il ne s'en privera pas. N'y avait il pas des contencieux au niveau de la frontiere?

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Diplomatie ? Cela 4 ans que l'on n'a pas de nouvelles "officielle" de cette femme. Pas de vidéo audio ou vidéo, pas de demande claire de ces ''XXX'' de ravisseurs que je méprise profondément (les FARC ne sont plus révolutionnaires depuis longtemps). Il a fallut que cela soit un otage qui à réussi à se libérer (chapeau pour l'exploit, rare sont ceux qui sont parvenut à le faire) qui indique qu'il l'a rencontré et qu'elle à méme tenté de s'évader plusieurs fois. Niveau "com"; les FARC sont bien loin du sous commandant Marcos... Et je ne comprent tout ce remue ménage, cela fait des mois que les négocations ont échoué et que le gvt envisage le recours à la force, voir cette article de février : http://www.lefigaro.fr/international/20070221.WWW000000385_uribe_la_france_doit_aider_a_localiser_betancourt.html

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Oui, il y'a des problèmes, principalement des intrusions en territoire venezuelien des milices d'extreme droite colombienne à la recherche de FARC, accusé de se servir du Venezuela comme arrière base, mais ça dure depuis lontemps, bien avant l'arrivée de Chavez. Enfin même s'ils sont de bords tres opposés, Chavez et Uribe sont en bons termes, Chavez lui parle souvent au telephone pour eviter toute escalade, il a même démenti les accusations deRumsfeld en Direct en appelant Uribe qui a confirmé devant tout le monde qu'il n'y avait aucun contentieux, ni course à l'armement entre la Colombie et le Venezuela. Chavez n'a rien à gagner en soutenant les FARC, cela ne peut que lui apporter des ennuis, qu'il fasse volontairement preuve d'un certain laxisme concernant l'usage que font les FARC de son territoire frontalier, c'est possible, mais dangereux. Surtout que s'il a une politique international tres antiamericaine et provocante, il est aussi tres pragmatique, et comme il a acqui un statut d'interlocuteur régional indispensable pour qui veut investir en Amérique Latine (sauf USA) il ne va pas sapper ce qu'il a obtenu en soutenant les FARC, ça serait donner des arguments aux USA contre lui, l'accusant d'etre un facteur d'instabilité.

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Faut donc acceder aux revendications des FARC en liberant les détenus politiques ou sinon ca risque de tres mal se passer pour les détenus .

Jusqu'à présent je pensais que le drapeau de Hitmoon c'était le drapeau rouge avec la fauscille et le marteau mais je m'était trompé.

En fait c'est ça:

Image IPB

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je ne pense pas que Alvaro uribe va employé la force... il va avoir beaucoup de pression sur les épaules, de la part de l'oppission mais aussi de la France... de plus quand on veut faire une opération, on en parle pas a tous les médias du monde comma la fais le président, on essaye de garder sa discretion, quand au preparatif militaire mais la les Farc, s'attendent a un assault dans les prochains jours... si Ingrid se fais tuer, se qui est probable, Alvaro va s'en mordre les doigts

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Jusqu'à présent je pensais que le drapeau de Hitmoon c'était le drapeau rouge avec la fauscille et le marteau mais je m'était trompé.

En fait c'est ça:

http://www.carolfulton.com/images/pics_lrg/oth17.jpg

Justement non, je suis de tout coeur avec les FARC, j'espere qu'ils vont faire la peau au criminel d'uribe et son etat corrompu jusqu'a la moelle...
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Justement non, je suis de tout coeur avec les FARC, j'espere qu'ils vont faire la peau au criminel d'uribe et son etat corrompu jusqu'a la moelle...
Une fois au pouvoir ils font quoi? Ils seront rapidement incapable de gerer un pays avec une economie moderne (la bourse n'est pas enseigné dans le capital). La grogne va vite apparaitre dans une population qui deja ne les aime pas (les enlevements ne rendent pas populaire un mouvement).

Je parle meme pas du blocus imposé par la communauté international.

Au final des centaines de milliers de mort car des revolutionnaires qui vivent dans leur monde depuis 1960 ont pris le pouvoir.

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La crise colombienne ne se resoudera que par la négociation, comme ce qui a été fait au Népal, avec les maoïstes, cesser de les diaboliser et discuter avec eux, c'est le prix à payer pour obtenir la paix. Mais tant qu'un Uribe qui s'appuie sur la force sera la, ça n'aboutira pas.

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Justement non, je suis de tout coeur avec les FARC, j'espere qu'ils vont faire la peau au criminel d'uribe et son etat corrompu jusqu'a la moelle...
Que tu soitde "tout coeur" avec un mouvement marxiste armé c'est une chose (que je désapprouve mais bon, c'est la diversité d'opinion...)

Par contre que tu dise que ton pays doit dicter sa politique en fonction du chantage qu'exerce n'importe quel Pol Poth de bas étage, c'en est une autre.

"Radio Paris ment, Radio Paris est Allemand".

C'est pas parce que tu as une idéologie que tu doit te comporter systématiquement en aboyeur de Radio Paris (seule l'idéologie diffère ici, mais le principe reste le même)

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Hitmoon à pété les plombs ??? Depuis l'arrivé d'Uribe a la présidence en 2002, les morts violentes ont baissé d'un tiers et l'économie à redemarré. Et les fameuses milices de "droite" sont aussi aussi combattut par le gvt qui à envoyé plusieurs grosses tétes en prison (bien qu'avec la corruption, on peut faire ces petites affaires depuis sa cellule).

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Voci un article qui résume l'historique de 50 ans de guerre en Colombie: En Colombie, l’assassinat en 1948 d’Eliecer Gaitan, leader libéral qui a tenté de mobiliser les classes populaires contre l’oligarchie, marque le début d’une guerre civile - la Violencia - qui fera 300 000 morts. Face à la violence conservatrice, des guérillas libérales et communistes font leur apparition. Tandis que les groupes armés libéraux déposent les armes, le Parti communiste colombien préconise une politique d’autodéfense de masses. Des zones d’autodéfense paysannes - dont la mythique « République indépendante de Marquatalia » - se développent, durement réprimées par l’armée qu’assistent les Etats-Unis. S’appuyant sur les rescapés de ces premières guérillas, le Xe Congrès du PCC propose de restructurer un appareil armé révolutionnaire en formant en 1964 les FARC (forces armées révolutionnaires de Colombie). Sous l’impulsion de Jacobo Arenas et surtout Manuel Marulanda (Tirofijo), celles-ci s’implantent dans huit provinces du pays. En 1966, le mouvement est rebaptisé Forces armées révolutionnaires de Colombie-Armée du peuple (FARC-EP). Depuis les années 80, une partie de leur financement provient d’un impôt prélevé sur la coca, auquel s’ajoutera une politique d’enlèvements contre rançon (dite « retenue à la source »). Présents dans plus de 40 % des communes colombiennes, les combattants des FARC-EP (estimés entre 18 000 et 20 000 hommes) opèrent sur soixante fronts d’au minimum cent combattants chacun. Inspirée par l’exemple de la révolution cubaine, l’armée de libération nationale (ELN) commence pour sa part à opérer en 1965. C’est dans ses rangs que meurt au combat, en février 1966, le prêtre guérillero Camilo Torres. Son destin prend valeur de symbole pour tous les chrétiens « engagés » du continent. Jusqu’en 1999, l’ELN sera dirigée par un prêtre espagnol, Manuel Pérez. L’ELN trouve le gros de son financement dans « l’ impôt de guerre » auquel elle assujettit les compagnies pétrolières. Elle pratique également l’enlèvement contre rançon. Ses effectifs sont estimés à 5000 combattants. En 1967, et avec le conflit sino-soviétique, a surgi l’Armée populaire de libération (EPL), maoïste, branche armée du groupusculaire Parti communiste marxiste-léniniste. Actuellement, elle regroupe quelques centaines d’hommes. A ces guérillas s’est ajouté le M19, créé en 1970 pour protester contre la fraude électorale qui prive alors le général populiste Gustavo Rojas Pinilla de sa victoire à l’élection présidentielle. Issu de la bourgeoisie urbaine, loin des idéologies marxistes léninistes, le mouvement se fait connaître en février 1980 par la prise de l’ambassade dominicaine, où sont gardés en otage de nombreux diplomates. Il va par la suite progressivement se radicaliser. Les paramilitaires sont nés à la fin des années 60, dans le cadre d’une politique recommandée par les conseillers américains pour « casser » toute velléité de transformation sociale. Bras armé des narcotrafiquants à partir de 1985, supplétifs de l’armée pour mener la « guerre sale » contre les bases sociales de la guérilla (lire le rapport de Human Rights Watch, février 2000), regroupés depuis avril 1997 au sein des Autodéfenses unies de Colombie (AUC), ils tentent aujourd’hui d’habiller leur stratégie contre-insurrectionnelle d’un discours politique, de façon à paraître autonomes de l’armée et des pouvoirs d’Etat. Un cessez-le-feu de courte durée En 1982, le président conservateur Belisario Betancur prend une initiative sans précédent pour « faire la paix » ; en décembre 1983, le M-19 et les FARC constituent un front commun pour négocier. Un accord de cessez-le-feu est signé et entre en vigueur en 1984. Le pouvoir s’engage à lancer une série de réformes politiques, économiques et sociales. Il établit un délai d’un an pour permettre au mouvement armé de s’organiser politiquement. En novembre 1985, les FARC-EP lancent un nouveau et large mouvement, l’Union patriotique (UP), lequel participe avec succès aux élections de 1986 : 350 conseillers municipaux, 23 députés et 6 sénateurs sont élus au Congrès. Une vague d’assassinats sans précédent fauche 4 000 dirigeants, cadres et militants de l’UP (et du Parti communiste). Le M-19 cesse les hostilités en 1989 et se constitue en parti : l’Alliance démocratique. Il sera suivi par le parti révolutionnaire des travailleurs en 1991. En revanche, les négociations avec les FARC, l’ELN et les groupes dissidents de l’EPL n’aboutissent pas. Elles aboutissent d’autant moins que la guerre est relancée par le président libéral César Gaviria (1990-1994). Par la suite, les mouvements d’opposition armée refusent de négocier avec le gouvernement libéral d’Ernesto Samper (1994-1998) : accusé d’avoir financé sa campagne avec de l’argent provenant du trafic de drogue, il a perdu, à leurs yeux, toute légitimité. Sur fond de misère paysanne, la guérilla lance en septembre 1996 une violente offensive pour soutenir les petits producteurs de coca du sud, tout en réclamant une réforme agraire n’a fait qu’accélérer leur expansion géographique et légitimer la guérilla. Dès son arrivée au pouvoir en 1998, le président Pastrana décidait de négocier avec la guérilla la plus puissante, les FARC-EP, et rencontrait personnellement leur chef, Manuel Marulanda. Malgré les virulentes critiques du ministre de la défense, des généraux et des Etats-Unis, le président reconnaît implicitement que les révolutionnaires ont pris les armes pour une cause juste, prévoit des mécanismes de dialogue et démilitarise cinq municipios (San Vicente del Caguán, La Macarena, Vista Hermosa, Mesetas et Uribe), une zone de 42 000 kilomètres carrés (grande comme la Suisse ou El Salvador). Le 24 avril 2000, le président Pastrana a annoncé l’établissement d’une autre enclave « sans présence militaire », dans le sud Bolivar, afin d’entamer un dialogue avec l’Armée de libération nationale (ELN). Cette éventualité se heurte à l’opposition d’une partie des populations de la région, sur lesquelles les paramilitaires exercent une forte pression. Les espoirs nés de la reprise des négociations risquent fort de mourir avec la mise en oeuvre du « Plan Colombie ». En vertu de ce plan, Washington a accordé, à la mi-juin 2000, une aide de 934 millions de dollars au gouvernement Pastrana, somme essentiellement destinée à la contre-insurrection. Une logique de guerre froide qui rappelle l’Amérique centrale du début des années 80 et à laquelle les guérillas répondent déjà par de très violentes opérations militaires.

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