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http://www.challenges.fr/actualites/moyen_orient/20091117.CHA9109/les_coulisses_du_salon_aeronautique_de_dubai.html

13h45 - MBDA s'arrime au Rafale

Un petit tour chez le missilier européen MBDA. Le patron Antoine Bouvier ne tourne pas autour du pot: cette année est celle du Rafale. "On est très matures sur les discussions techniques avec les Emiratis", assure Bouvier. Traduction: un accord est à portée de main. Et même s'il se refuse à le confirmer, MBDA pourrait y apporter sa contribution en offrant aux Emiratis le missile Meteor, missile air-air longue portée dernier cri. L'affaire est symbolique: bien au-delà de Dassault, le contrat se jouera aussi sur les partenaires, mis à rude contribution par un client émirati très exigeant: outre MBDA, Snecma devrait développer une version du moteur M88 du Rafale à plus forte poussée, et Thales un radar plus performant que le RBE2 actuel. C'est loin d'être un détail: le groupe d'électronique de défense "génère 25% de la valeur ajoutée de l'avion , pointe un proche du GIE Rafale. Les équipements sont difficiles à développer sur le coup, mais ce sera un atout pour les autres campagnes export." Le Brésil, mais aussi le Koweit, avec lequel les discussions avancent.

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http://www.flightglobal.com/articles/2009/11/17/335014/dubai-09-dassault-says-uae-decision-on-rafale-fighters-not.html

Dubai 09: Dassault says UAE decision on Rafale fighters not close

By Siva Govindasamy

Discussions are ongoing between Dassault Aviation and the United Arab Emirates on the possible sale of 60 Rafale fighters, with the company unable to say if a contract will be signed in the near term.

"It takes time, we are still discussing. This is not us making the schedule, it is the customer making the schedule. The specifications, timing, are all still being discussed," says Eric Trappier, executive vice-president international business at Dassault Aviation. "Usually, here in the UAE, they have their own pace. We will follow that."

Trappier, however, says that there is no link between a deal for the Rafale fighters and the UAE's request for the French government to take off its hands 63 Dassault Mirage 2000 fighters that they will replace.

© Dassault

Earlier this week, a senior UAE official said that the French government "needs to find a solution for the Mirage 2000 in order for the UAE to be able to purchase the Rafale", with neighbouring Oman or eastern European nations possible buyers of the fighter.

"The Rafale deal does not depend on the return of the Mirage fighters," says Trappier. "We do not have any details on what is happening with that, but those are two separate issues."

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Je vous ferais quand même remarquer que lorsque Sarko faisait le fier là-bas avec Lula début décembre, il était question que la France entre en négociation (exclusive ?) et que ça durerait dans les 6 mois.

Tout est conforme.  :lol:

Et Sarkozy avait de quoi être fier à cette époque en décembre, puisqu'il venait de vendre 51 hélicoptères Caracal, 4 sous-marins Scorpène, des torpilles et missiles Exocet, du services, de la formation, une aide pour le premier SNA Brésilien, une base navale....ça représentent beaucoup de milliards €€€€€.

Pour le Rafale aux EAU, les émiratis veulent ce qui se fait de mieux sur le marché et ont les moyens de le payer.Donc, cela semble plus dûr de vendre un avion de combat.

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Le salon de Dubaï selon TTU :

"Le Salon Dubai Air Show 2009, qui a vu la participation de 890 entreprises de 47 pays, dont 120 entreprises de 20 pays venues pour la première fois, a atteint ses objectifs. Et ce, en dépit de la récente crise financière mondiale, qui a entraîné une contraction significative du nombre de contrats annoncés.

Concernant les questions régionales, trois questions ont dominé le Salon : le dossier du nucléaire iranien, la situation au Yémen et l'insécurité persistante en Afghanistan et au Pakistan. Outre leur dimension politique, ces questions ont des implications militaires pour les pays de la région, en particulier les Etats du Golfe. Une chose paraît certaine : les marchés de l'armement dans la région vont continuer à croître et les commandes dans la région devraient atteindre les 100 milliards de dollars d'ici à 2014, soit 11 % de l’ensemble des commandes mondiales d'armes et de systèmes de défense.

Premièrement, on constate une évolution des menaces qui pèsent sur la zone du Golfe, où, au lieu de faire face à un ennemi conventionnel, les pays sont confrontés à des groupes armés rebelles, comme c'est le cas au Yémen et en Irak, mais aussi au Liban et en Algérie. Il convient donc d’élaborer de nouvelles struc­tures de défense pour faire face à ce type de menaces. Les forces spéciales et de réaction rapide tiennent, à cet égard, un rôle central, d’où la demande croissante de coopération, dans ce domaine, des pays du Conseil de coopération du Golfe (CCG). Or, la France a un rôle clé à jouer dans le développement des capacités de ces pays, comme le montrent la coopération avec Bahreïn ou le soutien aux forces d’intervention du ministère saoudien de l'Intérieur. Rappelons, en outre, la participation d'unités des forces spéciales émiraties à la coalition internationale en Afghanistan.

Au Salon de Dubaï, on évoquait surtout la conclusion prochaine d'un accord entre Paris et Riyad, au terme duquel les forces spéciales françaises fourniront un appui à leurs homologues saoudiennes, notamment dans la formation. L’évolution des menaces se reflète aussi dans les besoins en équipements militaires. Les Etats arabes du Golfe s’intéressent en particulier aux véhicules blindés, qui offrent des niveaux de protection et des capacités de manœuvre élevés. Ainsi, le Koweït a pris livraison des véhicules VBL MKII de Panhard, l’Arabie Saoudite met la touche finale au contrat d’achat de véhicules russes BMP-3, alors que les Emirats arabes unis se sont engagés à acquérir des véhicules AMV (du groupe Patria). En outre, les forces terrestres émiraties souhaitent moderniser leurs chars Leclerc, comme l’ont fait les forces canadiennes avec leurs chars Abrams, pour acquérir une meilleure protection contre les IED.

Les besoins des forces aériennes sont également en hausse, notamment en ce qui concerne les hélicoptères de transport armés (Oman devrait recevoir trois hélicoptères NH-90, alors que l’Arabie Saoudite, le Koweït et les EAU étudient des offres) et les drones, destinés aux missions de surveillance et de renseignement. Deuxièmement, l'aggravation des menaces terroristes pousse les Etats du Golfe à renforcer la protection de leurs frontières et des installations sensibles. EADS est un acteur important dans ce domaine : le Qatar a eu recours au groupe européen pour son système de protection nationale, National Security Shield (NSS), et l'Arabie Saoudite l’a choisi pour mettre en œuvre son système de protection des frontières. Ces systèmes comprennent des radars de détection et de surveillance, des systèmes de détection optroniques à infrarouge IR, des hélicoptères, des véhicules, des drones et des systèmes C3I.

De même, on constate une hausse des besoins en systèmes de missiles de haute précision, qui peuvent être employés dans des espaces clos, tels que des missiles Eryx de MBDA, utilisés par la Garde nationale saoudienne et dont l’acquisition est envisagée par d’autres pays du CCG. A cela s’ajoute le besoin en systèmes de défense aérienne à courte portée, de type SHORAD, pour la défense des sites sensibles. A cet égard, les forces omanaises et la garde nationale saoudienne ont choisi le système Mistral de MBDA. Les demandes de systèmes de ce type devraient donc croître à l’avenir. Troisièmement, l'escalade de la piraterie navale et le renforcement des forces sous-marines de certains pays poussent les Etats du Golfe à développer leurs capacités dans le domaine des missions de patrouille maritime, par l'acquisition d'avions MPA. Ainsi, les EAU ont choisi le groupe Thales pour équiper leurs avions Bombardier Dash 8-300 pour ces missions. Ils ont aussi signé un contrat, il y a trois ans, avec EADS pour des avions C-295 FITS, contrat qui n'est pas encore entré en vigueur. L'Arabie Saoudite et Oman étudient également l’acquisition de C-295 FITS.

Quatrièmement, les pays de la région s’emploient à renforcer leurs forces de frappe en s’équipant de missiles de croisière, pour faire face à des menaces externes, sans qu'il leur soit nécessaire d'envoyer des troupes hors de leurs frontières. D’où le contrat conclu par Riyad et Abou Dhabi pour l’acquisition d’avions de ravitaillement en vol A330 MRTT (trois appareils, respectivement, avec des options pour trois autres, qui pourraient être levées prochainement), afin d’augmenter le rayon d’action de leurs avions de combat. En outre, le programme de modernisation des Tornado saoudiens vise principalement à les équiper de systèmes de missiles Storm Shadow, capacités qui devraient être étendues dans le futur, lors de la mise en service des Eurofighter Typhoon. Même chose concernant la force aérienne émiratie, dans la perspective de l’acquisition de Rafale, qui devraient conserver leur capacité de frappe, avec des missiles de croisière Scalp EG/Black Shahine, utilisés actuellement sur les Mirage 2009-9. De leur côté, Oman étudie l’achat de 14 Eurofighter Typhoon et le Koweït envisage le remplacement de sa flotte de F-18, alors qu’on reste dans l'incertitude sur les intentions du Qatar, qui pourrait remplacer ses Mirage 2000-5 par des Rafale.

Il est clair, enfin, que les pays du CCG — à l'exception de l'Arabie Saoudite — ne sont plus réticents à accueillir des forces étrangères sur leur territoire, dans un contexte de menace croissante de l’Iran. La présence militaire américaine au Koweït et en Irak, la base aérienne d’Al-Adid, au Qatar, et le commandement de la 5e flotte américaine à Bahreïn font partie du paysage stratégique de la région. Certains faits nouveaux montrent même le renforcement de cette tendance : Washington a annoncé la formation d'une force d'intervention marine rapide dans le Golfe, basée à Bahreïn, après l'ouverture de la base française aux Emirats, en mai dernier. Mais l'événement principal, dévoilé à Dubaï, est la présence de six avions F-22 Raptor sur la base Dhafra d’Abou Dhabi."

Le lien : http://www.ttu.fr/francais/Articles/Industrie%20%26%20materiels/dubaiairshow2009.html

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  • 3 weeks later...

http://www.flightglobal.com/articles/2009/11/17/335014/dubai-09-dassault-says-uae-decision-on-rafale-fighters-not.html

Dubai 09: Dassault says UAE decision on Rafale fighters not close

By Siva Govindasamy

Discussions are ongoing between Dassault Aviation and the United Arab Emirates on the possible sale of 60 Rafale fighters, with the company unable to say if a contract will be signed in the near term.

"It takes time, we are still discussing. This is not us making the schedule, it is the customer making the schedule. The specifications, timing, are all still being discussed," says Eric Trappier, executive vice-president international business at Dassault Aviation. "Usually, here in the UAE, they have their own pace. We will follow that."

Trappier, however, says that there is no link between a deal for the Rafale fighters and the UAE's request for the French government to take off its hands 63 Dassault Mirage 2000 fighters that they will replace.

© Dassault

Earlier this week, a senior UAE official said that the French government "needs to find a solution for the Mirage 2000 in order for the UAE to be able to purchase the Rafale", with neighbouring Oman or eastern European nations possible buyers of the fighter.

"The Rafale deal does not depend on the return of the Mirage fighters," says Trappier. "We do not have any details on what is happening with that, but those are two separate issues."

http://www.flightglobal.com/blogs/the-dewline/2009/11/dxb09-f-35-steals-rafale-thund.html

Il y a de quoi avoir de l'inquiétude pour la vente de nos Rafale pour les UAE/EAU.

Ceux-ci nous foutent la pression.

Le F22 avait déja volé la vedette au Rafale au salon de Dubaï.

Maintenant les USA envoient du F22 aux UAE à côté des Rafale.

16 November 9, 2009 DUBAI PREVIEW F-22 Program's Demise Makes Dubai Debut Possible By ANTONIE BOESSENKOOL Legally, the F-22 Raptor cannot be sold outside the United States. But the plane will be at...

Bref, ça pue et on va faire peur à TMor. :lol:

Les USA exploitent notre inconséquence et le retard sur la feuille de route modernisation Rafale.

Et comme on veut faire payer cher le développement de la version UAE du Rafale et que les UAE ont prouvés qu'ils étaient capables de mettre 3 milliards sur la table pour leur version du F16, on peut penser que les USA voient la l'occasion de faire financer une version export du F22 qu'ils pourraient alors proposer au Japon et donc maintenir la chaîne en service jusqu'au départ d'Obama.

Si notre Rafale F3 se fait descendre comme des pigeons par des F22, c'est mort.

Les UAE risquent de passer directement à une version export du F22 ou le F35.

http://www.flightglobal.com/articles/2009/11/15/334899/dubai-09-uae-reveals-fifth-generation-fighter-ambitions.html

Dubai 09: UAE reveals fifth-generation fighter ambitions

By Stephen Trimble

A top United Arab Emirates military leader aspires to obtain a fifth-generation fighter in the very near term, suggesting a potential new sales coup for the Lockheed Martin F-35 Joint Strike Fighter.

Le manque de soutien financier de l'Etat tue le Rafale.

On gaspille 5 milliards (dont 1,2 sur la seule Armée de l'air) et l'Etat est incapable de mettre 400 md'€ par an en plus sur le Rafale.

Aujourd'hui, au Brésil,  Dassault s'énerve car accusé d'être 40% trop cher (voir les news)

A partir du moment ou le gouvernement français ne veut pas payer pour la technologie, Dassault Aviation est obligé de la facturer pour recouvrer les 25% investis sur fond propre, et donc on sera cher par rapport aux USA et Suédois qui font les transferts gratos puisque tout a déjà été payé.

On se fait mettre partout.Les émiratis savent désormais faire jouer la concurrence et on est incapable de s'aligner.Quand à la war room de l'Elysée a qui on a fait croire que nos chasseurs sont trop sophistiqués et qu'on a pas besoin de lacher d'argent pour le developpent du Rafale...

On peut être légèrement pessimiste car s'ils sont incapables d'anticiper les coups des US.On va se faire griller sur le fil.

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si tel devait etre le cas, cela serait peut etre le coup de trop et sonner un reveil général en europe sur notre trop grande dépendance envers les US.

Restons optimiste. Le contrat EAU est peut etre le plus vitale pour notre industrie car propice a maintenir notre ingenierie aéro pour qques années, on ne va quand meme le laisser passer comme ca.

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Sauf revirement, le F22 n'aura pas de version export avant un moment. O0

La farce du F35 devrait donner des indices aux pigeons qui rêveraint d'un partenariat win/win avec les US, d'ailleurs il est fort probable que si les US sortent une version du F22 export ils rejouent la comédie du F35.

Il faut railler cette éventualité et pointer la différence enrte un partenaire fiable (nous, on a pas vraiment le choix  =)) et les arnaqueurs d'outre-atlantique.

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LE F22 n'est pas vraiment là pour être vendu, pas du tout d'ailleurs.

Il est là pour faire de l'ombre au Rafale, faire un peu pâlir son éclat alors que les négos avec les EAU sont difficiles.

Histoires de les rendre un peu plus délicates pour nous en aiguisant les appétits du client...

Les ricains nous pourrissent la vie

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Pour continuer sur le F22,

http://www.reuters.com/article/idUSTRE5896JU20090910

De quelques mois, mais je pense qu'il sera difficile à Obama de s'opposer à une version export.

Je constate que Dassault Aviation dit lui même dans un article récent que la décision UAE n'est pas proche.

http://www.flightglobal.com/articles/2009/11/17/335014/dubai-09-dassault-says-uae-decision-on-rafale-fighters-not.html

Et le chef de l'AdA des UAE parle de 5ème génération

http://www.flightglobal.com/articles/2009/11/15/334899/dubai-09-uae-reveals-fifth-generation-fighter-ambitions.html

Et comme je vois mal la commande des UAE, s'insérer dans le planning initial de production du F35...

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Relancer la production du F-22 pour une version export, c'est mettre en danger le F-35, chose que l'USAF ne peut envisager ... et un paquet de gens haut placés pour des cons.

Pas vraiment l'un et l'autre ne boxant pas dans la même catégorie, par comparaison les ventes de F15 n'ont pas empêchées le succés à la vente du F16.

Et crise, politique sociale et frais d'opex obligent, tout les moyens d'amener du $ dans les caisses sont bons. Les US feront encore moins de cadeau que d'habitude.

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Pas vraiment l'un et l'autre ne boxant pas dans la même catégorie, par comparaison les ventes de F15 n'ont pas empêchées le succés à la vente du F16.

Et crise, politique sociale et frais d'opex obligent, tout les moyens d'amener du $ dans les caisses sont bons. Les US feront encore moins de cadeau que d'habitude.

Les budgets ne sont pas infinis. Relancer le F22 et rajouter une louche de $$$ pour un dévellopement ultérieur, notament un peu downgradé, cela fait donc toujours moins pour le F-35 surtout que cela relancerait les pro-F22.

Bref, le problème est politique et budgétaire, en aucun cas militaire (sauf si le F-35 est encore repoussé) ou commercial.

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Les américains proposeraient le F 22 aux EAU ...

Source bien informée

C'est le Congrès (qui a toujours refusé l'exportation du F22), le Pentagone (qui voudrait que le F22 soit toujours produit pour en commander d'autre) ou Lockheed Martin ?

Enfin c'est déjà ça si l'adversaire du rafale doit être le F22 et non juste un F15 ou F16 block 80 doublé d'une pression politique.

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Personnellement je reste dubitatif...  =|

Je trouve ça bizarre qu'ils essaient de vendre des F-22 aux EAU alors qu'ils l'ont refusé au Japon, à Israël et à l'Australie (qui sont des allié dans une catégorie largement au dessus des EAU), enfin jusqu'à maintenant et jusqu'à preuve du contraire.

Et quand bien même si c'était vrai il est tout aussi étrange que le Japon, Israël et l'Australie ne se soient pas manifestés...

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a priori les US étaient au courant des propositions françaises aux émiriens sur le Rafale et a priori toujours au niveau politique cette info fait des vagues et des mécontents.

sur une version export du F 22 çà rappelle le F16 E proposé ensuite aux israélien qui donna le F 16 I

c'est une information préoccupante qui me renforce dans l'idée que les américains ne veulent pas du Rafale à aucun prix car cet avion est le seul concurrent occidental du F 35

Or en le privant des marchés exports sachant que c''est grâce à l'export que l'avion évolue et bien on limite et on retarde ses modernisation et au final on enterre le bel oiseau

espérons qu'au niveau politique la balle restera dans notre camp

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Les américains proposeraient le F 22 aux EAU ...

Source bien informée

Vu que nous avons la même source Pascal  :lol: mais que ne l'a pas complète, je l'appose en entier.

http://tacticalreport.com/view_news/UAE:_Lockheed_Martin_F-22_Raptor_and_Rafale/963

UAE: Lockheed Martin, F-22 Raptor and Rafale (40$)

Posted on: Sat, Dec 12, 2009

Lockheed Martin is said to be trying to convince the Emiratis to buy the F-22 Raptor rather than the Rafale aircraft. The following 406-word report sheds light on the subject and tells how the Emirati officials are reacting. Note that the F-22 Raptor, made by Lockheed Martin and Boeing, uses stealth technology and was displayed at Dubai Air Show last month

Essayer de convaincre ne veut pas dire, vendre.

De plus, il faudrait quand même résoudre la revente des 60 Mirage dash 9.

Tout à fait

Tu peux quand même répercuter l'information sur Ad Net.

Ceci dit, si le F22 qui n'est que 40% plus cher (116 millions de $ soit 79 millions d'euros en coût de production marginal) que le Rafale F3+ hors taxes risque de plaire.

Surtout, après les déclarations du chef d'état major de l'AdA des UAE.

Et Lockheed Martin dit que la version export ne coûte que 2,4 milliards de $ soit 1,6 M euros à financer.

Soit à priori moins que la R&D qu'on comptait facturer aux UAE sur leur version Rafale.

De plus, les UAE sont demandeurs du THAAD dont l'autorisation d'export ne leur a pas encore été accordée.

Pour moi, c'est cuit à >70% pour nous.

Seule, la volonté politique du Cheick pourrait écarter le F22 mais il aura du mal à faire passer cela si l'AdA émiratis veut le F22 en plus de la pression US sur le F22 et le THAAD qui va être correlé.

En plus, si c'est cuit aux UAE, c'est alors cuit aussi au Brésil.

L'article que ta source a achetée, dit aussi la chose suivante

Reports from Abu Dhabi suggest that Lockheed Martin is following the Emirati-French talks on the Rafale deal by details.

According to these reports, the US defence contractor is getting help from some influential parties in the UAE, thought to be connected to the UAE Defence Ministry.

However, Crown Prince of Abu Dhabi and Deputy Commander-in-Chief of the UAE Armed Forces Sheikh Mohammad Bin Zayed Al-Nahyan, who is taking charge of the Rafale deal, has ordered to check out the matter and punish any UAE official might appear to be involved in this matter.

Sources close to the UAE General Headquarters (GHQ) of the UAE Armed Forces say that Lockheed Martin, which displayed the F-22 Raptor at Dubai Air Show last month, tried by this to impress the Emiratis and open their appetite to buy next-generation US fighter jets rather than buying French-made aircraft.

Note that the F-22 Raptor, made by Lockheed Martin and Boeing, uses stealth technology.

Sources close to Sheikh Mohammad Bin Zayed say that Lockheed Martin has repeatedly mentioned to him that his decision to buy the Rafale aircraft was “very hasty” as the five coming years will witness an unprecedented evolution in the fighter jet industry, and the F-22 aircraft is just an example of this evolution.

According to these sources, Lockheed Martin has also told him that it has plans to make or upgrade all of its fighter jets to match the F-22 Raptor.

Although Lockheed Martin has not yet offered the F-22 Raptor for sale outside the United States, it does not however rule out the possibility of this taking place in the coming two years.

Circles close to UAE President Sheikh Khalifa Bin Zayed Al-Nahyan say that the latter insists on the necessity of keeping Lockheed Martin away from the ongoing talks with Dassault on the Rafale deal.

According to these circles, he also stresses the necessity of Sheikh Mohammad Bin Zayed continuing investigations into the matter.

A source close to the UAE Defence Ministry says that the Ministry is also investigating into the matter. 

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