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Marine brésilienne


Invité grinch

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Dernière minute un groupe saoudien Sela aurait proposé de racheter cette coque pour R$30 million (5,4 mios euros), la marine brésilienne aurait donc reporté la date du sabordage. Pas de détail sur ce groupe Sela mais on trouve sur Internet un groupe spécialisé dans le marketing, l'organisation d'évènement . Il avance des raisons intéressantes à cet achat  :  C'est le plus grand navire de guerre de l'Atlantique. C'est un grand navire, avec un beau design, qui a une histoire. Il a participé à des essais nucléaires lorsqu'il battait encore pavillon français. C'est aussi une question d'autonomisation (empowerment issue ) que d'acquérir un objet historique comme ce porte-avions . Un bon coup de com ?

Note Le São Paulo serait en trés mauvais état , la coque fuit et aurait embarqué plus de 2700 tonne d'eau.Même pas sur sur qu'il pourrait faire la traversée, encore 700 tonnes et il dépasse la limite !

https://defconpress.com/nae-a-12-sao-paulo-saudi-group-offers-r30-million-for-aircraft-carrier-hull-and-the-navy-postpones-sinking/

Modifié par Bocket
typo
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  • 8 months later...

Le Brésil a commencé la construction de son premier sous-marin nucléaire - le sous-marin d'attaque Alvago Alberto recevra six lance-torpilles, des missiles de croisière et des missiles antinavires.

https://gagadget.com/fr/332312-le-bresil-a-commence-la-construction-de-son-premier-sous-marin-nucleaire-le-sous-marin-dattaque-alvago-alberto-recevra-si/

https://www.corlobe.tk/article51327.html

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  • 4 months later...
  • 2 weeks later...

En visite au Brésil, où il a rencontré le président Luiz Inacio Lula da Silva, Emmanuel Macron a annoncé mercredi que la France aiderait le Brésil à développer la propulsion nucléaire sur de prochains sous-marins, tout en restant "respectueux de tous les engagements les plus rigoureux de non-prolifération".

https://www.france24.com/fr/amériques/20240327-sous-marins-à-propulsion-nucléaire-la-france-sera-aux-côtés-du-brésil-dit-emmanuel-macron

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Le 13/03/2024 à 21:24, jean-françois a dit :

ce qui serait plus drôle, ça serait que les brésiliens aient leur sous-marin nucléaire avant les australiens

et cela ne m'étonnerait pas

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corlobe.tk apporte des précisions (via un site spécialisé.br)

Le Brésil négocie un accord avec la France sur le combustible nucléaire des sous-marins

La palais d’Itamaraty (ministère brésilien des affaires étrangères) a déclaré vendredi 22 que le gouvernement brésilien est en pourparlers avec la France pour que le pays européen puisse coopérer même dans la partie combustible nucléaire du sous-marin « Álvaro Alberto », en cours de développement dans le cadre de Prosub (le programme brésilien de sous-marins)…

Citation

… 

« Concernant le premier point [de la question], le combustible nucléaire [du sous-marin] et la coopération que la France pourrait avoir dans ce domaine, nous pensons que c’est un domaine dans lequel il y a peut-être eu des résistances dans le passé, mais aujourd’hui il y a des discussions. sur cette possibilité : que la France coopère avec nous même dans ce domaine, à la lumière de l’énergie nucléaire, du combustible nucléaire », a déclaré l’ambassadrice Maria Luisa Escorel de Moraes, secrétaire pour l’Europe et l’Amérique du Nord au palais d’Itamaraty.

Cette déclaration a été faite par l’ambassadeur, en réponse à une question du quotidien Folha de São Paulo, lors d’un point de presse tenu au ministère des Affaires étrangères, à Brasilia, pour détailler certains aspects de la visite au Brésil du président français, Emmanuel Macron, la semaine prochaine.

"Oui, c’est un sujet stratégique, sensible, délicat, mais oui : les deux pays en parlent aussi", a ajouté le diplomate.

Prosub fait partie d’un accord de partenariat stratégique signé entre la France et le Brésil en 2008, qui prévoit la construction de quatre sous-marins conventionnels (dont deux sont prêts) et d’un sous-marin d’attaque à propulsion nucléaire, nommé « Álvaro Alberto ».

L’information selon laquelle les Français seraient prêts à coopérer même sur la partie combustible nucléaire du navire « Álvaro Alberto » représente un changement de position de Paris, avec de possibles implications géopolitiques. En effet, l’accord signé en 2008 avec la France prévoyait « un soutien français à long terme pour la conception et la construction de la partie non nucléaire du sous-marin ».

En pratique, jusqu’à présent, cela a contribué à la conception de la coque du sous-marin à propulsion nucléaire – mais pas à la technologie permettant d’accueillir le réacteur (que le Brésil sait fabriquer) à l’intérieur de la coque et de le connecter et de fournir de l’énergie. pour la propulsion. .

Les négociations sur la question sont délicates car les États-Unis s’opposent à la vente d’équipements et au transfert de savoir-faire qui conduiraient à un scénario dans lequel le Brésil obtiendrait la capacité d’exploiter des sous-marins à propulsion nucléaire.

La principale différence entre un navire conventionnel et un navire nucléaire réside dans l’autonomie et la durée pendant laquelle il peut rester immergé, ce qui rend la détection difficile. Alors que les sous-marins conventionnels doivent remonter périodiquement à la surface, il n’y a pratiquement aucune limite de temps pour les sous-marins nucléaires (à l’exception uniquement des besoins de l’équipage lui-même).

Aujourd’hui, seuls les cinq membres permanents du Conseil de sécurité de l’ONU – les États-Unis, la Chine, la Russie, la France et le Royaume-Uni – et l’Inde, qui n’est pas signataire du Traité de non-prolifération nucléaire (TNP), disposent de cette technologie. Ils ont tous des bombes atomiques.

Bien que le sous-marin à propulsion nucléaire soit une priorité pour le gouvernement brésilien, le projet avance lentement, parce que le Brésil a besoin de plus de savoir-faire et d’équipements de la part de la France et parce qu’il existe une incohérence budgétaire.

En octobre de l’année dernière, Folha a révélé que le chef d’état-major français, le général de brigade Fabien Mandon, s’était rendu à Brasilia le mois précédent pour participer à une réunion avec l’amiral Petrônio Aguiar, directeur général du développement nucléaire de la Marine. L’objectif était de discuter des termes d’un complément à l’accord pour la construction du sous-marin à propulsion nucléaire.

Dans cet accord complémentaire, le Brésil négocie, entre autres sujets, pour acheter à la France des équipements pour la turbine et le générateur, qui utiliseraient l’énergie générée par le réacteur et ne sont pas fabriqués dans le pays.

Macron arrivera à Belém demain mardi pour une visite de trois jours au Brésil.

Accompagné du président Lula, il passe également par Itaguaí, où il assistera à la cérémonie de lancement du sous-marin conventionnel Tonelero, également construit dans le cadre de Prosub.

Source : Poder Naval (Brésil)

(…) L’information selon laquelle les Français seraient prêts à coopérer même sur la partie combustible nucléaire du navire « Álvaro Alberto » représente un changement de position de Paris, avec de possibles implications géopolitiques.

(…) Les négociations sur la question sont délicates car les États-Unis s’opposent à la vente d’équipements et au transfert de savoir-faire qui conduiraient à un scénario dans lequel le Brésil obtiendrait la capacité d’exploiter des sous-marins à propulsion nucléaire.

—-/—-

verbatim Macron via opex360:

« Les grandes puissances pacifiques que sont le Brésil et la France doivent acter que dans un monde de plus en plus désorganisé, il nous faut parfois savoir tenir le langage de la fermeté pour protéger la paix », a en effet affirmé le locataire de l’Élysée.

Quant au SNA que le Brésil entend construire, M. Macron a dit souhaiter que « nous regardions en face la propulsion nucléaire en étant parfaitement respectueux de tous les engagements les plus rigoureux de non-prolifération ». Et d’ajouter : « Ce cadre existe, est possible. Vous le voulez. La France sera à vos côtés ».

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Il y a 21 heures, fraisedesbois a dit :

(…) L’information selon laquelle les Français seraient prêts à coopérer même sur la partie combustible nucléaire du navire « Álvaro Alberto » représente un changement de position de Paris, avec de possibles implications géopolitiques.

(…) Les négociations sur la question sont délicates car les États-Unis s’opposent à la vente d’équipements et au transfert de savoir-faire qui conduiraient à un scénario dans lequel le Brésil obtiendrait la capacité d’exploiter des sous-marins à propulsion nucléaire.

Mesdames et messieurs, la blague de l'année. :bloblaugh::laugh:

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Il y a 6 heures, poti a dit :

Sur un autre volet, la France qui n'a plus d'uranium sur son sol et se fourni dans les anciennes républiques soviétiques (comme le Kazakhstan) s'inquiète.

La France ne s'inquiète pas.

Elle a de plus encore de l'Uranium dans son sous-sol, même si ce ne serait pas du tout rentable de l'exploiter, car les gisements sont désormais trop pauvres ou trop difficiles d'accès. Mais il en reste. Donc s'il fallait aller racler quelques milliers de tonnes, ça devrait pouvoir se faire.

Il y a 6 heures, poti a dit :

Avec la mainmise des russes au Niger et un risque semblable dans les ex-république de l'URSS, La France veut élargir son champ d'achat pour ne pas être dépendante.

...Et pourtant la France a toujours refusé de lancer le projet de la mine d'Imouraren malgré les suppliques de l'ex-président Bazoum désormais embastillé à la suite du coup d'état. Imouraren est le plus gros gisement du monde malgré la faible teneur de son uranium. L'exploiter aurait permis d'arroser le Niger de pognon afin de calmer la rue et d'assurer la prééminence de la France dans le pays pour quelques décennies.

Or ça n'a pas été fait.

Donc c'est que la France n'en voyait pas l'intérêt.

Il y a 6 heures, poti a dit :

Il lui reste les USA, Canada et Australie.

Et le recyclage.

https://www.lemonde.fr/planete/article/2024/03/28/nucleaire-le-gouvernement-envisage-de-construire-une-usine-de-conversion-de-l-uranium-de-retraitement-en-france_6224724_3244.html

Avec 400 000 tonnes d'U238 et une centaine de tonnes de Pu239 sur son sol d'ici 2030, la France serait tranquille au moins jusqu'en 2100 s'il ne devait s'agir que de produire du MOX pour alimenter des réacteurs à neutrons lents.

Si la France repassait au réacteurs à neutrons rapides, les siècles deviendraient des milliers de siècles. J'avais calculé 400 000 ans.

Donc navré mais le scénario d'un manque d'uranium, de centrales qui s'arrêtent, d'une impossibilité de continuer à produire de la chaleur nucléaire, c'est une vue de l'esprit.

Pour paraphraser Jancovici: "ce que nous pourrons, nous ferons".

Il y a 6 heures, poti a dit :

La France en achetera mais craint qu'en temps de pénurie les anglo-saxons se mettent en accord entre eux et éjectent la France. D'où la demande de Macron de pouvoir avoir accès aux mines d'uranium brésiliennes qui sont en Amazonie.

Pourtant les prix du marché restent stables et il n'y a pas, selon les prévision actuelle, l'ombre d'un quelconque manque avant plusieurs décennies.

Le seul scénario qui nous amène à la situation sur laquelle se fonderait ton hypothèse, ce serait une cabbale orchestrée contre le nucléaire Français, ce qui serait constitutif d'un acte de guerre hybride.

Et je me répète, pour le moment l'avenir en France, au-delà la multiplication des fournisseurs (Orano vient de signer pour exploiter des mines d'Uranium en Mongolie, un pays pourtant coincé entre la russie et la chine https://www.latribune.fr/climat/energie-environnement/nucleaire-orano-en-passe-d-exploiter-en-mongolie-l-une-des-plus-importantes-mines-d-uranium-du-monde-979862.html) c'est surtout le recyclage du combustible.

Il faut croire que les Français sont fous. Ou que la géopolitique ne se limite pas à des histoires de frontières géographiques. Au choix.

Il y a 6 heures, poti a dit :

L'accord, qui est après tout stratégique, serait que le Brésil partage avec Areva une mine d'uranium en échange d'un financement du projet nucléaire avec un coup de pouce pour les 2-3 goulots technologiques.

Il y a aussi en coulisse la plainte du gouvernement brésilien sur le fait que l'Agence Internationale de l'Energie Atomique fais chier le Brésil pour son projet nucléaire et ne fais pas de même avec l'Australie.

Ton hypothèse qui voudrait que la France soit prête à aider le Brésil uniquement en échange d'un accès à l'uranium Brésilien, parce que la France aurait "peur" de perdre l'accès à tous ses autres fournisseurs, est assez spécieuse.

Bien évidemment que la France cherche à diversifier ses fournisseurs.

Bien évidemment que l'uranium Brésilien est intéressant et que la France aurait tout intérêt à investir dedans.

Mais rien ne dit par exemple que le Brésil ne procèderait pas exactement de la même manière que les anglo-saxons dans le scénario que tu évoques. L'intermède Bolsonaro est assez parlant.

Donc je ne vois pas en quoi les garanties offertes par le Brésil seraient plus fortes que celles offertes par les autres fournisseurs traditionnels ou nouveaux de la France. Par gratitude en échange de l'aide apportée par la France dans le programme nucléaire Brésilien? Mais personne sur la planète n'est prêt à échanger de la technologie nucléaire sensible en échange d'un peu de matière première à bas coût qu'est l'U235.

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il y a 19 minutes, Patrick a dit :

La France ne s'inquiète pas.

Elle a de plus encore de l'Uranium dans son sous-sol, même si ce ne serait pas du tout rentable de l'exploiter, car les gisements sont désormais trop pauvres ou trop difficiles d'accès. Mais il en reste. Donc s'il fallait aller racler quelques milliers de tonnes, ça devrait pouvoir se faire.

...Et pourtant la France a toujours refusé de lancer le projet de la mine d'Imouraren malgré les suppliques de l'ex-président Bazoum désormais embastillé à la suite du coup d'état. Imouraren est le plus gros gisement du monde malgré la faible teneur de son uranium. L'exploiter aurait permis d'arroser le Niger de pognon afin de calmer la rue et d'assurer la prééminence de la France dans le pays pour quelques décennies.

Or ça n'a pas été fait.

Donc c'est que la France n'en voyait pas l'intérêt.

Et le recyclage.

https://www.lemonde.fr/planete/article/2024/03/28/nucleaire-le-gouvernement-envisage-de-construire-une-usine-de-conversion-de-l-uranium-de-retraitement-en-france_6224724_3244.html

Avec 400 000 tonnes d'U238 et une centaine de tonnes de Pu239 sur son sol d'ici 2030, la France serait tranquille au moins jusqu'en 2100 s'il ne devait s'agir que de produire du MOX pour alimenter des réacteurs à neutrons lents.

Si la France repassait au réacteurs à neutrons rapides, les siècles deviendraient des milliers de siècles. J'avais calculé 400 000 ans.

Donc navré mais le scénario d'un manque d'uranium, de centrales qui s'arrêtent, d'une impossibilité de continuer à produire de la chaleur nucléaire, c'est une vue de l'esprit.

Pour paraphraser Jancovici: "ce que nous pourrons, nous ferons".

Pourtant les prix du marché restent stables et il n'y a pas, selon les prévision actuelle, l'ombre d'un quelconque manque avant plusieurs décennies.

Le seul scénario qui nous amène à la situation sur laquelle se fonderait ton hypothèse, ce serait une cabbale orchestrée contre le nucléaire Français, ce qui serait constitutif d'un acte de guerre hybride.

Et je me répète, pour le moment l'avenir en France, au-delà la multiplication des fournisseurs (Orano vient de signer pour exploiter des mines d'Uranium en Mongolie, un pays pourtant coincé entre la russie et la chine https://www.latribune.fr/climat/energie-environnement/nucleaire-orano-en-passe-d-exploiter-en-mongolie-l-une-des-plus-importantes-mines-d-uranium-du-monde-979862.html) c'est surtout le recyclage du combustible.

Il faut croire que les Français sont fous. Ou que la géopolitique ne se limite pas à des histoires de frontières géographiques. Au choix.

Ton hypothèse qui voudrait que la France soit prête à aider le Brésil uniquement en échange d'un accès à l'uranium Brésilien, parce que la France aurait "peur" de perdre l'accès à tous ses autres fournisseurs, est assez spécieuse.

Bien évidemment que la France cherche à diversifier ses fournisseurs.

Bien évidemment que l'uranium Brésilien est intéressant et que la France aurait tout intérêt à investir dedans.

Mais rien ne dit par exemple que le Brésil ne procèderait pas exactement de la même manière que les anglo-saxons dans le scénario que tu évoques. L'intermède Bolsonaro est assez parlant.

Donc je ne vois pas en quoi les garanties offertes par le Brésil seraient plus fortes que celles offertes par les autres fournisseurs traditionnels ou nouveaux de la France. Par gratitude en échange de l'aide apportée par la France dans le programme nucléaire Brésilien? Mais personne sur la planète n'est prêt à échanger de la technologie nucléaire sensible en échange d'un peu de matière première à bas coût qu'est l'U235.

Et puis si jamais dans 100 ans on a une pénurie, on pourra par exemple toujours essayer de convaincre les groenlandais (ou danois) de lever leur restrictions d'exploitation d'un des plus grands gisements d'uranium au monde ( https://fr.wikipedia.org/wiki/Kvanefjeld ) ... et nul doute que l'on trouvera aussi des nouveaux gisements d'ici la, sur terre voire parmi les étoiles pour les plus rêveurs :laugh:

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il y a 21 minutes, Titus K a dit :

Et puis si jamais dans 100 ans on a une pénurie, on pourra par exemple toujours essayer de convaincre les groenlandais (ou danois) de lever leur restrictions d'exploitation d'un des plus grands gisements d'uranium au monde ( https://fr.wikipedia.org/wiki/Kvanefjeld ) ... et nul doute que l'on trouvera aussi des nouveaux gisements d'ici la, sur terre voire parmi les étoiles pour les plus rêveurs :laugh:

Pas besoin d'aller aussi loin. Il y une réserve absolument phénomale d'Uranium dissous dans l'eau de mer. 1000 fois les réserves estimées dans la croûte terrestre (rien que ça)!

Certes la concentration est ridiculement faible ce qui fait que ce n'est demain la veille que ça va devenir rentable. Mais aucune chance qu'on manque d'U à l'échelle de notre civilisation.

https://www.acs.org/pressroom/presspacs/2023/december/extracting-uranium-from-seawater-as-another-source-of-nuclear-fuel.html

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1 hour ago, Patrick said:

la France serait tranquille au moins jusqu'en 2100

j'espere qu'en 2100 on soit passe de la fission a la fusion.  l'hydrogen etant element le plus reprendu dans l'univers, on a plus qu'une reserve infini a l'echelle humaine

Modifié par Lordtemplar
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  • 6 months later...
il y a 15 minutes, Bechar06 a dit :

Assortiment gagnant ? 

 

Ce serait top.

Pour le Scorpene, ils ont un chantier naval qui tourne alors autant tirer un peu dessus et rentabiliser.

Pour le H145, pareil, ils ont hélibras qui produit déjà du H225M.

Pour le Rafale, le Gripen, ça a pas l'air simple, ils ont pays immense avec l'Amazonie à survolé. Et possiblement certains voisins pourrait en prendre...

Et puis le Caesar, c'est un sacré bon canon qui fait ses preuves, alors pourquoi pas.

Conclusion, c'est pas dégueu comme proposition. Tu rajoutes une entente sur du KC390 pour le FCTM (en même temps les Européens prennent du KC390 ou C130J...) et remplacer les C130H/CN235 et c'est plié....

;)

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