Marine brésilienne

[Philippe Top-Force]

Même si c'est en portugais, à la lecture rapide, le Brésil veut 10 frégates avec des caractéristiques proches de celles voulues par les grecs, italiens et que je préconise avec mon acronyme FREDAAVT. ;)

Voir mes nombreuses interventions sur ce forum.

http://www.naval.com.br/blog/?p=15216

O Comando da Marinha do Brasil deu início aos estudos de RAN (Requisitos de Alto Nível) para a aquisição de 10 novas escoltas, sendo o primeiro lote de 6 navios EG (para guerra anti-submarino e guerra de superfície) e outro lote de navios para guerra antiaérea (AAW).

A configuração básica dos navios compreenderia um canhão de médio calibre de 127mm, mísseis antiaéreos Aster (modelo 15 ou 30), mísseis antinavio Exocet Block III ou o nacional MAN-I.

A Marinha do Brasil já recebeu propostas de estaleiros americanos, franceses, alemães, espanhóis e sul-coreanos. Das propostas analisadas, serão definidos 2 ou 3 finalistas, que apresentarão propostas detalhadas posteriormente, inclusive para a produção dos navios no AMRJ.

Construídas no Brasil, a versão de emprego geral custaria cerca de R$ 1,8 bilhão a unidade. A versão antiaérea, R$ 2,3 bilhões.

Holanda, Dinamarca, Rússia, China e Índia pediram informações sobre o Programa da Marinha do Brasil, mas até agora não enviaram propostas.

[Skw]

Je vais compléter la traduction (même si le portugais reste assez facilement compréhensible pour les latins que nous sommes):

Il s'agit de 10 frégates : 6 anti-sousmarines et combat de surface et 4 pour l'anti-aérien.

La configuration basique des navires comprendra un canon de 127, des missiles anti-aériens Aster (modèle 15 ou 30), des missiles antinavires Exocet Block III ou Man-I

La marine du brésil a déjà recu des offres en provenance des américains, français, allemands, espagnols et sud-coréens. Parmi ces propositions seront sélectionnés 2 ou 3 finalistes. Elles seront construite au Brésil pour un coût unitaire de 1,8 milliard de Reais (675 millions d'Euros) et 2,3 milliards (875 millions d'euros) pour la version anti-aérienne.

Les Pays-Bas, le Danemark, la Russie, la Chine et l'Inde ont demandé des informations sur le programme de la marine brésilienne, mais n'ont jusqu'à présent pas envoyé de propositions.

[LBP]

justement cela serait bien que les 2 FREMM AA soit aussi FREMMAAVT

voir peut être en commander 2 plus s'il y a un effet de serie avec le brésil

[Coriace]

Comment ça 675 millions, c'est le double d'une FREMM .

Enfin j'espère qu'on réussira ce contrat, et qu'on en réussira le maximum , une liaison avec nos amis Brésiliens , ne serait pas pour me déplaire .

Et en échange, on peut exporter des Maillots de bains spéciaux .. Bon , j'arrête le cliché .

[P4]

Quoi, importer de la ficelle,  :'(  on est naturiste sur AD.  :lol:

[francois]

Vu le prix unitaire, on se demande si on parle bien des fremm, ce serait plus du horizon...

[LBP]

a des travelos  =D d'ac je sort

[LBP]

Vu le prix unitaire, on se demande si on parle bien des fremm, ce serait plus du horizon...

oui le prix est proche

[Chaps]

moi ce qui m'étonne c'est que le choix des missiles soit déjà fixé.

"des missiles anti-aériens Aster (modèle 15 ou 30), des missiles antinavires Exocet Block III ou Man-I"

Ca va handicaper une offre américaine ou sud-coréenne.

Vu que le volume d'achat correspond à peu près à l'entièreté de leur flotte de premier rang, ce choix ne colle pas avec une volonté d'harmonisation avec l'existant.

[pascal]

Les systèmes d'arme sont la raison d'être du navire (qui est en soit un système d'arme ou une combinaison plus ou moins heureuse de systèmes)

La coque c'est un quart du prix ...

[pascal]

...

De plus ces systèmes sont modulaires avec des quotes quasi standard

[Coriace]

Quoi, importer de la ficelle,  :'(  on est naturiste sur AD.  :lol:

T'inquiètes avec nos corps entrainés pendant des dizaines d'heures sur les tables de muscu . .Bref, je m'arrête là .

Y a combien de navire qui possèdent les Aster ?

Et à vos sens on est favoris ?.

[P4]

DCNS ne danse pas encore la samba

Pour que Nicolas Sarkozy puisse parapher l’accord définitif lors de son déplacement au Brésil les 17 et 18 septembre, DCNS s’active pour finaliser la vente de quatre sous-marins Scorpène à la marine brésilienne. (...)  [ 98 mots ]  [ 1,3 € ]

http://www.intelligenceonline.fr/Identification/p_identification.asp?rub=login&lang=FRA&service=BRE&context=CAN&doc_i_id=66259872

J'imagine que c'est comme pour les hélicoptères, il va falloir s'asseoir sur les garanties financières et invéstir sur place.

[Philippe Top-Force]

J'imagine que c'est comme pour les hélicoptères, il va falloir s'asseoir sur les garanties financières et invéstir sur place.

Correction P4  =)

Le Groupe se donne les moyens de naviguer vers d’autres horizons, partout où son expertise peut être mise à contribution.

Comme à Athènes, en Grèce, où DCNS ouvre un bureau et à Bombay en Inde où le Groupe crée une filiale en 2008, venant ainsi enrichir le positionnement de DCNS déjà implanter en Arabie saoudite, Bulgarie, Italie, Malaisie et Singapour.  ;)

C'est la même chose avec Eurocopter. Si c'est TKMS ou un autre navaliste, il n'aura plus le choix que de faire comme il se doit. Moralité la vente de matériel de guerre doit aussi donner un retour gagnant pour le client étatique, le Brésil veut des compensations, tous commes les autres pays émergents. Sinon, le client va voir ailleurs. Il faut aussi de bonnes relations politiques et beaucoup de voyages dans les 2 sens pour apprendre à mieux se comprendre, se faire confiance, se choisir. Car que ce soit un Rafale ou un FREMM, Brasilia en prend pour 30/35 ans, et le pays acquéreur ne doit pas se tromper, il a une vision à long terme.

4 Scorpène, 1 SNA, des flottes de combat, des escadrilles d'avions de combat ou d'hélicoptères de combat, avec les missiles et armements qui vont avec, t'as plus intérêt à ne pas te tromper de partenaires. C'est donc mutuel.

[P4]

Les différents contrats des sous-marins brésiliens signés en septembre

Par Rédacteur en chef.

Publié le 5 août 2009, dernière mise à jour le 5 août 2009.

Le gouvernement brésilien signera en septembre tous les contrats secondaires liés au programme d’achat, auprès de fournisseurs français, de nouveaux sous-marins pour la marine brésilienne. Le paquet est estimé à 5,7 milliards et couvre la construction au Brésil de 4 sous-marins de la classe Scorpène, de 1.700 t, de la coque du premier sous-marin nucléaire brésilien, de la construction d’un chantier naval et d’une nouvelle base navale.

Une équipe de spécialistes du Parquet Général est en France pour affiner le texte des documents. Le consortium de financement est mené par la banque BNP-Paribas. La partie française de construction des sous-marins est menée par le chantier naval DCNS. Le groupe français a choisi Odebrecht Engenharia pour diriger la construction du côté brésilien.

L’accord principal a été signé en décembre 2008, pendant une visite du Président Nicolas Sarkozy. Maintenant, ce sont les contrats secondaires qui vont être signés, ceux qui traitent de points spécifiques comme la forme du transfert de technologie, la définition du système d’armes — torpilles, missiles et mines — ainsi que des kits de construction modulaire.

Sarkozy sera à Brasília le 7 septembre prochain, invité par le Président Lula pour participer aux commémorations de l’Indépendance. Dans les prochaines semaines, le commandement de la marine brésilienne recevra une zone de União, utilisée par Cia Docas, à Itaguaí, dans l’état de Rio. Cette zone abritera le chantier naval et la nouvelle base navale.

La force sous-marine brésilienne actuelle est composée de 5 sous-marins de technologie allemande. 4 sont des U-209, classe Tupi. Un a été construit à Kiel, avec des ingénieurs brésiliens. Les 3 unités suivantes font partie du même projet et ont été construits au Brésil. Le Tikuna, aussi construit au Brésil, présente plusieurs améliorations.

En décembre 2006, la marine brésilienne avait négocié et obtenu un emprunt de 1,08 milliard auprès d’ABN Amro pour l’achat d’un nouveau sous-marin allemand U-214. L’argent devait aussi couvrir la modernisation, à partir de 2014, des sous-marins existants. La partie financée est de 882,4 millions, la marine brésilienne gardant à sa charge 135,9 millions. Avec le choix du Scorpène, associé au projet nucléaire, il reste à la marine brésilienne à confirmer la modernisation des sous-marins actuels.

[Chris.]

pas très pragmatiques les brésiliens...

4 Scorpène et 4 U214...

ça va être bien à entretenir, surtout que les AIP utilisées sont radicalement différentes...

[g4lly]

http://www.corlobe.tk/article15568.html

La marine du Brésil a publié ce 16 aout, un communiqué en réaction à la publication dans le journal "O Globo" de la veille, d’un article sur le sous-marin nucléaire brésilien. La plupart des arguments du communiqué reprenant ceux du précédent communiqué, nous ne reproduisons ici que la partie du communiqué abordant des sujets nouveaux.

... lire la suite

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Une FREMM pour le Brésil ?

http://www.corlobe.tk/article15500.html

[Coriace]

6 FREMM pour un aussi grand pays , si ça se fait , c'est l'équivalent de la Grêce.. Pas réellement réaliste . Ca serait plus probablement le début d'un contrat pour une quinzaine de Fregates non ? (6 pour lancer la coopération , et une dizaine , développée par les Brésiliens avec l'aide de la France) .

[Arka_Voltchek]

Le brésil à d'autres priorités que sa flotte de surface, donc 6, c'est déjà pas mal.

@+, Arka

[Chronos]

Pour les SNLE rien que le systeme de chasse des missile intercontinetaux est une gageure technologique... qui n'est pas du tout évident a maitriser.

L'avancée de leur programme spatial ne permet pas de pallier ?

Sinon des engins nucléaires pas forcément utile a ce stade pour le Brésil et diplomatiquement ça les mettrait pas dans les petits papiers d'oncle sam qui reste la référence sur le continent américain. Des charges classiques par contre...

[g4lly]

Plusieurs article sur l'acquisition de sous marin

http://www.corlobe.tk/article15635.html

Le gouvernement brésilien paiera à DCNS 3,66 milliards € pour les 5 sous-marins qu’il achète à la France. Le chiffre correspond au cout de construction de la coque du premier sous-marin nucléaire brésilien (près de 2 milliards €) et de 4 sous-marins Scorpène classiques (415 millions € chacun), a annoncé la marine brésilienne.

... la suite

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http://www.corlobe.tk/article15634.html

Entrevue accordée par le commandant de la marine brésilienne, l’amiral d’escadre Julio Soares de Moura Neto, à la revue Forças Armadas.

“A l’heure actuelle, nous nous trouvons dans la phase de signature des contrats pour la construction au Brésil de sous-marins classiques et du premier sous-marin à propulsion nucléaire, qui constitue une priorité majeure du Programme de Réarmement de la Marine.

Sur ce point, il a été nommé le 26 septembre de l’an dernier, un coordonnateur général du programme de développement du sous-marin à propulsion nucléaire (COGESN), au sein de la structure organisationnelle de la direction générale du matériel de la marine. Ce coordonnateur a pour attribution de gérer le projet et la construction d’un chantier naval dédié aux sous-marins nucléaires et de leur base ; de gérer le projet de construction du sous-marin à propulsion nucléaire et de gérer le projet de détail du sous-marin classique devant être acheté par la marine brésilienne.

Le processus de sélection du sous-marin classe Scorpène a été long, exhaustif et judicieux. Il a impliqué des réunions, des visites dans les pays possédant des sous-marins nucléaires et des sous-marins de cette classe, ainsi que des analyses de divers rapports et d’intenses négociations.

Ainsi, pour parvenir à une conclusion sur le meilleur projet de sous-marin classique selon les besoins de la marine brésilienne, nous avons mené une étude complète des différents modèles de sous-marins disponibles, auprès des pays qui les utilisent, pour connaitre les qualités et les limitations de chacun d’entre eux.

Comme tout projet de cette complexité, il est normal qu’il existe des avantages et des inconvénients pour chacune des options examinées, évaluations qui ont été prises en compte dans les rapports et qui ont servi de base pour le choix.

Outre les particularités de projet, le Scorpène a l’avantage d’utiliser les mêmes systèmes (senseurs, système de combat, armement, système de contrôle de plateforme, etc) existants sur les sous-marins nucléaires français. Des modifications logicielles rendent compatibles les différentes nécessités de performance. Du point de vue logistique et de mise à jour technologique, il dispose d’un différentiel respectable.

Ainsi, en considérant la nécessité brésilienne d’abréger les processus — en réalité, de bruler les étapes, mais sans jamais compromettre la sécurité — le choix du projet Scorpène, pour servir de base au développement de notre projet de sous-marin à propulsion nucléaire, résulte d’études approfondies et d’une procédure murie de prise de décision. Pour la marine brésilienne, ce choix constitue l’option pour le moindre risque pour le succès de l’entreprise, qui constitue un rêve bercé par la force navale depuis déjà 30 ans.

Les sous-marins seront construits au Brésil. Dans ce cas, le modèle Scorpène sera adapté par nos ingénieurs. L’indice de nationalisation sera assez élevé, puisque plus de 36.000 éléments seront fournis par plus de 30 entreprises brésiliennes.

L’accord avec la France, pays qui possède une grande expérience sur le sujet et des technologies assez modernes, vise à réduire les étapes de la partie non-nucléaire du sous-marin à propulsion nucléaire, grâce au transfert de technologies de conception et de construction. Il existe aussi un grand intérêt de la marine pour obtenir que des entreprises françaises transfèrent à des entreprises brésiliennes la capacité de produire des équipements importants, qui possèdent des exigences de performance assez rigoureuses, nécessaires pour un fonctionnement dans des conditions extrêmement sévères, comme c’est le cas des sous-marins.

Cet accord est actuellement en phase finale de discutions, mais, il faut souligner que, comme le souhaitait la marine brésilienne, il prévoit le transfert de technologie pour la construction de sous-marins classiques et pour la partie non-nucléaire du sous-marin à propulsion nucléaire. Comme exemples, on peut citer la structure de la coque épaisse, les conditions de performance hydrodynamique, les périscopes, les systèmes de combat et de communication, les essais des hélices dans des laboratoires spécialisés, entre autres domaines.

Considérant la garantie donnée par le gouvernement français pour le transfert de technologies et les expériences positives recueillies sur le sous-marin Scorpène, la marine brésilienne n’a eu aucun doute sur le choix de ce modèle.”

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http://www.corlobe.tk/article15638.html

Suite à la publication d’un article intitulé “Soupçons nucléaires”, publié le 18 aout, au sujet du Programme de Développement de Sous-marins, la marine brésilienne apporte les précisions suivantes :

Bien que l’article commence en affirmant “Il a été beaucoup démontré l’insuffisance de garantie que la France ne transférera pas de technologie nucléaire au Brésil”, l’auteur n’apporte aucune information qui corrobore son affirmation, élaborant seulement une espèce de théorie de la conspiration.

En partant d’un transfert de technologie de la France vers Israël, pour la fabrication de matériels nucléaires, l’auteur, sans se préoccuper de la différence abyssale entre “matériels nucléaires” (bombe atomique) et “propulsion nucléaire” (usage pacifique de l’énergie nucléaire), indique à nouveau, comme exemples de nucléarisation illégale, ce qui s’est peut-être passé entre les Etats-Unis et le Pakistan d’un coté et entre l’Inde et l’Union Soviétique de l’autre. Dans tous les cas cités, le thème concerne la prolifération d’armes nucléaires.

Ensuite, revenant au cas de l’accord Brésil-France, il reconnait qu’il indique, explicitement, qu’il n’y aura aucun transfert de technologie nucléaire, avant, immédiatement, d’indiquer que “beaucoup ont vérifier l’insuffisance d’une telle garantie”. Lamentablement, la “constatation” s’épuise dans sa propre affirmation, puisqu’il ne présente aucune preuve à l’appui de ses suppositions.

Ensuite, il insiste à prétendre, malgré les multiples précisions de la marine brésilienne, que le prix d’un sous-marin Scorpène est d’un milliard €. Il affirme aussi que “ce sont des sous-marins petits et simples, d’1,5 tonne”. Comme il ne cite aucune source, cela doit indiquer qu’il est un spécialiste des sous-marins. Cependant, il convient de préciser que le Scorpène est le sous-marin classique le plus moderne et le plus sophistiqué existant, qui utilise une coque et des systèmes (de combat ; de contrôle automatique de plateforme, d’automatisation et autres) conçus spécifiquement pour la classe Barracuda, la plus récente classe de sous-marins nucléaires d’attaques français. Et son déplacement est de 1.870 t, au lieu de la “1,5 t” indiquée.

Et les autres affirmations concernant des décisions antérieures du haut-commandement de la marine sont contredites par ce qui a été rendu public par l’Institution et qui, avec certitude, doit être connu par le journaliste, ce qui rend inutile la poursuite de l’analyse de son texte.

Encore une fois, peut-être cela vaut-il la peine de lui rappeler les faits suivants, concernant la politique de sauvegarde nucléaire de son propre pays :

- Depuis 1992, le Brésil a placé toutes ses installations et matériaux nucléaires sous la protection de l’ABACC (Agência Brasileiro Argentina de Controle e Contabilidade de Materiais Nucleares), qui, à partir de 1994, ont été contrôlées en commun avec l’AIEA (Agence Internationale de l’Energie Atomique),

- Le Brésil a signé et - ou mis en vigueur tous les traités importants dans le domaine de la non-prolifération nucléaire, à savoir :

— a) L’accord bilatéral avec l’Argentine sur l’utilisation exclusivement pacifique de l’énergie nucléaire ;

— b) les amendements au Traité de Tlatelolco (en coordination avec l’Argentine et le Chili), qui ont permis l’entrée en vigueur de cet accord, qui interdit les armes nucléaires dans la région ;

— c) l’accord quadipartite, qui établit le régime de sauvegarde avec l’AIEA ;

— d) le Traité de Non-Prolifération Nucléaire (TNP).

[pascal]

Ne sur estimons pas les capacités financières de ce pays

elles sont importantes potentiellement très importantes

mais d'ici là Lula a bcp de priorités ...

6 navires c'est énorme à l'échelle du continent et de l'équipement des voisins

[g4lly]

Ne sur estimons pas les capacités financières de ce pays

elles sont importantes potentiellement très importantes

mais d'ici là Lula a bcp de priorités ...

6 navires c'est énorme à l'échelle du continent et de l'équipement des voisins

Le probleme c'est qu'une flotte sous marine sérieuse s'accomode mal d'approximation. Il faut de l'océanographie et de l'hydrographie de grande qualité - pour ca la marine brésilienne passe plein d'accord de partage de donnée hydro -, une flotte de surface a capacité ASM et des patmar de bonne aloi pour garantir la liberté de navigation des sous marins là ou ils sont le plus vulnérable, et plein d'autres détails tous aussi important les uns que les autres - relevés du champ magnétique et du champ de gravitaion terrestre entre autre pour recalé les centrales inertielles et les detecteurs d'anomalie -. Si l'objectif a moyen terme ou long terme est de disposer de mini SNLE ou d'une capacité dissuasive du meme tonneau, il va falloir former a tour de bras et s'exercer sérieusement sur du matériel top niveau.

[Coriace]

Ca fait probablement partie du contrat . Du moins la partie formation des équipages . De plus nous possédons des navires Océanographe de qualité me semble -t'il .

[g4lly]

Ca fait probablement partie du contrat . Du moins la partie formation des équipages . De plus nous possédons des navires Océanographe de qualité me semble -t'il .

Bah oui nous on possede la techno et les outils mais eux pas tout a fait donc le souhait d'acquérir des frégate ASM derniers cri a moyen terme est tout a fait logique... du moins vu l'ambition de se construire une flotte sous marine océanique, et peut etre une dissuasion.