Philippe Top-Force Posté(e) le 26 août 2007 Share Posté(e) le 26 août 2007 Ci-joint une analyse du CESA* sur l'Hélicoptère entre célébrations du centenaire et interrogations. http://www.cesa.air.defense.gouv.fr/article.php3?id_article=264 *Centre d'Etudes Stratégiques Aérospatiales. Bonne lecture, Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
PLANTEVERTE Posté(e) le 27 août 2007 Share Posté(e) le 27 août 2007 Je partage avec l'auteur de cet article un doute sur la cohérence du rôle d'appui rapproché que l'on attribue aux hélicos notamment en milieu urbain, engager un tigre au dessus d'une ville en insurrection devra être murement pensé.Ne doit on pas envisager d'autres formes d'appuis moins vulnérable en usant par exemple des outils de l'arme du génie? (cf TSAHAL) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Tiger Posté(e) le 27 août 2007 Share Posté(e) le 27 août 2007 Je partage avec l'auteur de cet article un doute sur la cohérence du rôle d'appui rapproché que l'on attribue aux hélicos notamment en milieu urbain, engager un tigre au dessus d'une ville en insurrection devra être murement pensé Restore Hope 1996 : Somalie, mogadiscio. Tout à foiré parce qu'un blackhawk a été abattu, puis un second, un troisième, etc. C'est évident que les héliucoptères en milieu urbain ne sont pas les plus adaptés, ni d'appui, ni de transport, même les drones hélicoptères j'ai peur pour eux, il y a personne dedans, mais ça coute quand même chère au contribuable. Le jour on les hélicoptères auront des ysstèmes permettant d'abattre les missiles et roquettes à 99%, et un blindage contre les 7,62 perfo un peu partout, là, ils pourront effectivement se risquer en ville, mais pour l'instant, on le retrouve uassi en irak, c'tes une catastrophe. Je me demande même si l'avenir de l'hélicoptère ne se compromet pas. La solution aérodynamique retenue n'est pas la meilleure, et jamais un hélicoptère ne dépassera les 350 km/h. Le futur se panchera bien plus surement sur d'autres solutions, faisant appel à des rotors, à un décollage vertical (seul atout de l'hélicoptère), et à une vitesse bien plus élevé gage d'une plus grande sécurité. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Zamorana Posté(e) le 27 août 2007 Share Posté(e) le 27 août 2007 Blindage réactif, defense active, puissant armement embarqué, nuage de fumée, pourquoi pas ?Le tout c'est d'augmenter la puissance des moteurs. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
seb24 Posté(e) le 27 août 2007 Share Posté(e) le 27 août 2007 Avec les futurs munitions on peut imaginer des tirs a distance de sécurité. Genre l'hélico reste sur une position stratégiquea à 10 km des opérations et surveille le champ de bataille. Les autres unités ou lui même peuvent localiser les cibles et envoyer la purée.Pour la somalie, le contre exemple, est italien. Ou l'hélico s'en est bien sorti. Le truc que je reprocherais aux Américains c'est d'être un peu trop "cowboy", dans le sens ou ils foncent dans le tas en utilisant leur énorme puissance et leur supériorité numérique. Quand on voit des engagements hélicos/talibans a moins de 500 m de distance y'a de quoi se poser des questions sur les tactiques employés. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 27 août 2007 Share Posté(e) le 27 août 2007 Avec les futurs munitions on peut imaginer des tirs a distance de sécurité. Genre l'hélico reste sur une position stratégiquea à 10 km des opérations et surveille le champ de bataille. Les autres unités ou lui même peuvent localiser les cibles et envoyer la purée. Ca c'est envisageable pour les hélicoptère d'attaque, et ca suppose qu'on utilise plus le canon ... et qu'on ne fait plus d'appui rapproché... en fait a ce moment la on peut remplacer l'helico en question par un avion style anti-guerilla qui emportera plus, plus longtemps, plus vite, plus loin et surement moins cher. Dans le cas des hélico de transport le problème de la vulnérabilité reste posé. Il semble qu'en Irak les US ai fait le tour des tactiques permettant de limiter la casse sans résultat vraiment efficace. Pour la somalie, le contre exemple, est italien. Ou l'hélico s'en est bien sorti. Le truc que je reprocherais aux Américains c'est d'être un peu trop "cowboy", dans le sens ou ils foncent dans le tas en utilisant leur énorme puissance et leur supériorité numérique. Quand on voit des engagements hélicos/talibans a moins de 500 m de distance y'a de quoi se poser des questions sur les tactiques employés. Ils se lachent en Afghanistan, ils savent que les risque de riposte sont assez faible. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 27 août 2007 Auteur Share Posté(e) le 27 août 2007 Je partage avec l'auteur de cet article un doute sur la cohérence du rôle d'appui rapproché que l'on attribue aux hélicos notamment en milieu urbain, engager un tigre au dessus d'une ville en insurrection devra être murement pensé. Ne doit on pas envisager d'autres formes d'appuis moins vulnérable en usant par exemple des outils de l'arme du génie? (cf TSAHAL) Si l'aérocombat vous passionne ? Venez en discuter sur ce fil de discussion. http://www.air-defense.net/Forum_AD/index.php?topic=8298.0 Bon vol Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
anthoemt Posté(e) le 27 août 2007 Share Posté(e) le 27 août 2007 l'exemple somalien , c'est le positifet le négatif de l'hélico en une seule mission(irene).c'est pas seulement, deux black-hawk par terre, c'est aussi des oh-6 cayuse qui ont apporté leurs soutien (principalement canon). sinon, il y aurait eu surement plus de victime, coté ricain pendant la nuit... O0 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 9 septembre 2007 Auteur Share Posté(e) le 9 septembre 2007 On célèbre http://www.corlobe.tk/article6048.html L’hélicoptère de la Marine nationale s’est posé jeudi 6 septembre à 19h dans la cour Carrée du musée du Louvre. A son bord, le chef d’état-major de la Marine, l’amiral Alain Oudot de Dainville, et le directeur du musée du Louvre, Henri Loyrette, ont participé à cette manifestation inédite. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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