collectionneur Posté(e) le 5 janvier 2018 Share Posté(e) le 5 janvier 2018 Pour une fois, j'approuve une décision de Trump Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 5 janvier 2018 Share Posté(e) le 5 janvier 2018 (modifié) http://nationalinterest.org/feature/pakistans-dangerous-slide-extremism-23938 (4 janvier 2018) En novembre dernier il y a eu un blocus routier d'Islamabad qui a paralysé le trafic dans la capitale pendant deux semaines. C'est le gouvernement qui a cédé, accordant aux protestataires tout ce qu'ils demandaient : démission du ministre de la justice qui avait changé la formule du serment prêté par les parlementaires lors de leur entrée en fonction, une formule qui affirme que Mahomet est le dernier prophète (c'est n'est pas un détail sans importance, vu que les Ahmadis se distinguent de l'islam sunnite dominant sur ce point), libération des protestataires emprisonnés et sanctions contre les policiers qui ont fait des opérations pour déloger les manifestants. Ce blocus a été organisé par le Tehreek-e-Labaik Ya Rasool Allah (TLY), un parti politique lié à la confrérie des Barlevi, qui pour être en partie soufie et syncrétique n'en est pas moins intolérante : Mumtaz Qadri, l'assassin du gouverneur du Pendjab qui s'était prononcé en faveur de la chrétienne Asia Bibi et contre la loi sur le blasphème, était un Barlevi (il a été condamné à mort et exécuté). Les auteurs mettent donc en garde contre l'idée assez répandue chez les commentateurs que les Barlevi seraient moins extrémistes que les Deobandi et les salafistes. Pour eux, de façon générale cet épisode traduit un glissement général de la société pakistanaise vers l'extrémisme. http://indianexpress.com/article/opinion/columns/donald-trump-tweet-us-funding-pakistan-fight-terrorism-dont-suspend-disbelief-5010573/ (4 janvier 2018) Plus important encore, le leader du Lashkar e Taiba (Jamat ud Dawa) ou LeT/JuD, Hafiz Saeed, naguère en détention sous la pression des Etats-Unis et faisant l'objet d'une prime de 10 millions de dollars, a émergé encore plus fort sur la scène publique. D'abord, il a créé des vagues avec la formation de son parti politique, la Milli Muslim League (MML). Alors qu'il n'était pas pris au sérieux car la Commission électorale pakistanaise ne l'avait pas enregistré, on a découvert que ses candidats Yaqoob Sheikh et Liaqat Ali Khan s'étaient portés candidats dans des élections partielles dans les circonscriptions NA-120 (Lahore) et NA-4 (Peshawar) respectivement. En fait, Sheikh a même obtenu 5822 voix. Le chemin du MML vers les élections législatives va probablement être facilité par tous les moyens. Saeed a été libéré de détention car aucune accusation n' a été portée contre lui - l'armée pakistanaise semble résister aux pressions américaines sous la direction stratégique de la Chine. Le 17 novembre 2017, les médias américains ont rapporté que le Congrès [américain] avait décidé de supprimer la clause des " mesures prises " contre le LeT par le gouvernement pakistanais, avant de débloquer des fonds pour compenser la coopération du Pakistan dans la guerre contre le terrorisme. Le LeT/JuD a soudainement trouvé du soutien auprès d'une source improbable. L'ancien président, le Général Pervez Musharraf, maintenant en exil temporaire auto-imposé, a annoncé son soutien au LeT/JuD en affirmant qu'il était toujours très attaché à lui et à son chef Hafiz Saeed, en particulier pour sa capacité à "réprimer" l'armée indienne au Cachemire. Modifié le 5 janvier 2018 par Wallaby 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 10 janvier 2018 Share Posté(e) le 10 janvier 2018 Il y a 2 heures, herciv a dit : Le Pakistan suspend sa coopération militaire et sur le renseignement avec les USA. De plus les appro de l'OTAN en Afghanistan ne peuvent plus transiter par le Pakistan. https://www.strategicfront.org/forums/threads/pakistan-has-suspended-military-and-intelligence-cooperation-with-us-defence-minister.740/ D'accord sur le premier point, mais sur le second, ton article dit le contraire : Répondant à une question au cours du séminaire, le ministre de la Défense a déclaré que le Pakistan avait pris les bonnes mesures en bloquant les approvisionnements de l'OTAN en Afghanistan après l'attaque du poste de contrôle de Salala en 2011. Mais le Pakistan ne prend pas le même chemin après la récente tirade de Trump car c'est un "levier que nous voulons utiliser au moment opportun", a-t-il précisé. "Ne pas prendre le même chemin" veut dire ici "ne pas bloquer les approvisionnements vers l'Afghanistan". "Au moment opportun" veut dire "peut-être plus tard, mais pas pour l'instant". 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 10 janvier 2018 Share Posté(e) le 10 janvier 2018 Ok mais sur le terrain quel est actuellement le niveau de déploiement US/OTAN ? 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 6 février 2018 Share Posté(e) le 6 février 2018 (modifié) http://nationalinterest.org/feature/pakistans-water-crisis-ticking-time-bomb-24347 (4 février 2018) Parce que les villes pakistanaises ne peuvent pas répondre à la demande croissante en eau des nouveaux habitants, de nombreux citadins sont contraints d'acheter de l'eau à des camions-citernes privés. Et parce que les camions-citernes transportent souvent de l'eau de loin, les prix sont élevés, et les "mafias" des camions-citernes les élèvent encore plus en détournant illégalement l'eau des sources municipales et en la revendant à des prix exorbitants. Selon les chiffres présentés à la Cour suprême pakistanaise, 83 pour cent des approvisionnements en eau dans le Sindh, la deuxième région la plus peuplée du Pakistan, sont contaminés par les eaux usées et les déchets industriels, le pourcentage atteignant plus de 90 pour cent à Karachi, la plus grande ville et le centre financier du pays. Modifié le 31 juillet 2018 par Wallaby 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
collectionneur Posté(e) le 26 mars 2018 Share Posté(e) le 26 mars 2018 Petit article que me fait rire jaune.... C'est sérieux ou non, avec les changements à la tête de l'armée et de diverses administrations dernièrement, on n'est sur de rien : http://french.xinhuanet.com/2018-03/23/c_137058130.htm Le Pakistan appelle les forces étrangères à éliminer les sanctuaires terroristes en Afghanistan Jeudi, le Pakistan a appelé les forces étrangères déployées en Afghanistan à agir et à éliminer les sanctuaires des groupes militants pakistanais en Afghanistan. Le gouvernement afghan et la Mission de Soutien déterminé doivent en faire plus en Afghanistan pour éliminer tous les refuges et sanctuaires des terroristes, a souligné le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Muhammad Faisal, lors de sa conférence de presse hebdomadaire. Les officiels pakistanais affirment que les militants ont fui vers l'Afghanistan suite aux grandes opérations militaires menées dans le pays ces dernières années et opèrent désormais depuis l'autre côté de la frontière. "Nous sommes satisfaits que les Etats-Unis agissent contre les terroristes qui se cachent en Afghanistan, comme le chef des talibans pakistanais Fazalullah, qui a commis des actes terroristes au Pakistan. Il faut en faire plus", a insisté M. Faisal. Il a rejeté les accusations américaines sur la présence de terroristes au Pakistan et a affirmé que le Pakistan informe sans arrêt ses interlocuteurs américains des opérations militaires réussies menées par les Forces armées du Pakistan aux frontières avec l'Afghanistan. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
collectionneur Posté(e) le 13 juillet 2018 Share Posté(e) le 13 juillet 2018 Le Pakistan se fait plus discret sur le plan médiatique mais les bombes continuent d'explosé dans la foule :( https://www.challenges.fr/monde/vingt-morts-dans-un-attentat-suicide-a-peshawar-au-pakistan_600449 Un kamikaze a actionné ses charges mardi lors d'un rassemblement d'un parti politique hostile aux taliban, dans le nord-ouest du Pakistan, faisant 20 morts et 65 blessés, dont un candidat aux élections du 25 juillet, ont rapporté mercredi les autorités. L'attentat, qui a visé un meeting du Parti national Awami (ANP), à Peshawar, a été revendiqué par les taliban pakistanais. "L'anti-islamisme de l'ANP n'est un secret pour personne, et de nombreux membres de la communauté musulmane furent martyrisés ce parti laïque lors de ses précédents mandats" , a dit un porte-parole des taliban pakistanais dans un communiqué. Lors des élections de 2013, le Parti national Awami avait été la cible principale des attaques des taliban. Un de ses dirigeants, Bashir Bilour, avait alors péri dans un attentat suicide. Son fils Haroon Bilour, qui était candidat à l'assemblée provinciale pour le scrutin du 25 juillet, a été tué dans l'attentat de mardi. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
collectionneur Posté(e) le 14 juillet 2018 Share Posté(e) le 14 juillet 2018 Vague d'attentats hier contre des rassemblements pour les élections : http://www.lefigaro.fr/international/2018/07/13/01003-20180713ARTFIG00313-pakistan-un-attentat-suicide-fait-128-morts-et-des-centaines-de-blesses.php Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 19 juillet 2018 Share Posté(e) le 19 juillet 2018 https://www.nytimes.com/2018/06/06/world/asia/pakistan-military-dissent-censorship.html (6 juin 2018) A un mois et demi des élections nationales [qui auront lieu le 25 juillet], le puissant establishment militaire pakistanais a lancé une campagne redoutable contre ses détracteurs dans les médias d'information, sur les réseaux sociaux et dans les mouvements politiques dominants. Tout s'additionne : journalistes enlevés ou menacés, grands organes d'information bloqués, vues sympathiques envers le parti civil au pouvoir, la Ligue musulmane-Nawaz du Pakistan, censurées ou punies. La dernière alarme est venue avec l'enlèvement d'une chroniqueuse de journal et critique éminente de l'armée, Gul Bukhari, par des hommes armés mardi soir dans la ville de Lahore, dans l'est du Pakistan. Mme Bukhari a souvent franchi deux des récentes lignes rouges de l'armée sur les médias sociaux - critiquant l'armée pour ses pressions sur le PML-N, comme on appelle le parti au pouvoir, et exprimant son soutien à un mouvement de défense des droits de l'homme pachtoune en pleine expansion connu sous le nom de P.T.M. Au cours des dernières semaines, le plus grand journal de langue anglaise du Pakistan, Dawn, a été accusé de violations de l'éthique par le comité de réglementation de la presse du pays et, peu de temps après, sa diffusion a été bloquée dans de vastes parties du sud du Pakistan. L'offense du journal était de publier une interview de l'ancien premier ministre et chef du PML-N, Nawaz Sharif, dans laquelle il critiquait les militaires. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 31 juillet 2018 Share Posté(e) le 31 juillet 2018 https://nationalinterest.org/feature/pakistan’s-election-results-tailor-made-military-27317 (30 juillet 2018) Cependant, le véritable vainqueur de ces élections est le haut commandement militaire. Pour citer The Economist, " Cette fois, les soldats ont dans leur ligne de mire leur résultat idéal : un leader flexible et un gouvernement minoritaire qui ne sera pas trop puissant ". Imran Khan était clairement le favori des militaires à l'approche des élections et les rapports suggèrent que le processus électoral a été manipulé par l'armée afin d'obtenir le résultat souhaité. Ce qui déplaît le plus aux militaires, c'est la ligne relativement douce de Sharif envers l'adversaire indien, et ses appels répétés pour que les extrémistes pakistanais impliqués dans l'attaque terroriste de Mumbai de novembre 2008 soient traduits en justice par les tribunaux pakistanais. En particulier, l'armée - qui a soutenu certaines des organisations terroristes, ne décolère pas depuis son commentaire de mai 2018 selon lequel " les organisations militantes sont actives[au Pakistan]. Appelez-les des acteurs non étatiques, devrions-nous leur permettre de traverser la frontière et de tuer 150 personnes à Mumbai ?". Selon Hussain Haqqani, ancien ambassadeur du Pakistan aux États-Unis, " l'armée pakistanaise veut évidemment une façade civile sous la forme d'un gouvernement élu qui suive ses diktats sur la politique envers l'Inde, l'Afghanistan, le terrorisme jihadiste et les relations avec la Chine et les États-Unis. Elle ne veut pas d'un politicien civil véritablement populaire au pouvoir, appuyé par un mandat électoral, et certainement pas d'un mandat qui pourrait modifier la trajectoire du pays." En conséquence de sa réinvention en tant que musulman qui a retrouvé la foi et de son troisième mariage récent avec une femme vêtue de burqa qui semble être son mentor spirituel, Imran Khan s'est attaché les musulmans conservateurs, indépendamment de leur appartenance à un parti. Par conséquent, il a maintenant l'appui des deux institutions politiques les plus fortes du Pakistan - l'armée et la mosquée. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 18 août 2018 Share Posté(e) le 18 août 2018 https://www.lesechos.fr/monde/asie-pacifique/0302100468916-khan-a-la-tete-dun-pakistan-en-crise-financiere-2197551.php (12 août 2018) La dernière aide du FMI au Pakistan remonte à 2013. Mais Washington, avec qui les relations sont tendues en raison du soutien d'Islamabad aux djihadistes en Afghanistan, a fait savoir par son secrétaire d'Etat, Mike Pompeo, qu'il ne serait « pas logique » que l'argent du Fonds serve à rembourser des obligations chinoises. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 11 octobre 2018 Share Posté(e) le 11 octobre 2018 https://www.lapresse.ca/international/asie-oceanie/201810/10/01-5199699-imran-khan-sengage-a-sortir-le-pakistan-de-la-crise-financiere.php (10 octobre 2018) Les précédentes mesures annoncées étant insuffisantes, le Pakistan va solliciter le FMI. M. Khan a cherché à obtenir des prêts de pays amis, promis de récupérer les fonds dérobés par des fonctionnaires corrompus et s'est lancé dans une série de mesures d'austérité populistes telles que la mise aux enchères de voitures de luxe du premier ministre et un appel aux dons des Pakistanais pour financer des barrages. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
collectionneur Posté(e) le 15 octobre 2018 Share Posté(e) le 15 octobre 2018 Pakistan, un jour ordinaire... Petite manif pour réclamé la mort pour les blasphémateurs. Coté apprentissage de la tolérance, c'est rappé... Au Pakistan, les islamistes réclament la pendaison contre la chrétienne Asia Bibi http://www.lefigaro.fr/international/2018/10/14/01003-20181014ARTFIG00155-au-pakistan-les-islamistes-prennent-la-rue-contre-asia-bibi.php Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
rendbo Posté(e) le 15 octobre 2018 Share Posté(e) le 15 octobre 2018 Il y a 2 heures, collectionneur a dit : Pakistan, un jour ordinaire... Petite manif pour réclamé la mort pour les blasphémateurs. Coté apprentissage de la tolérance, c'est rappé... Au Pakistan, les islamistes réclament la pendaison contre la chrétienne Asia Bibi http://www.lefigaro.fr/international/2018/10/14/01003-20181014ARTFIG00155-au-pakistan-les-islamistes-prennent-la-rue-contre-asia-bibi.php L'article est payant... mais si seul le début est lisible, il est déjà édifiant "la peine de mort contre cette mère de famille chrétienne condamnée pour blasphème en 2010 puis en 2014". Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
collectionneur Posté(e) le 15 octobre 2018 Share Posté(e) le 15 octobre 2018 @rendbo Article récapitulatif en lecture libre sur cette affaire faisant douté de l'intelligence humaine : https://amp.rfi.fr/fr/asie-pacifique/20181012-pakistan-asia-bibi-islamistes-radicaux 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
rendbo Posté(e) le 15 octobre 2018 Share Posté(e) le 15 octobre 2018 il y a 5 minutes, collectionneur a dit : @rendbo Article récapitulatif en lecture libre sur cette affaire faisant douté de l'intelligence humaine : https://amp.rfi.fr/fr/asie-pacifique/20181012-pakistan-asia-bibi-islamistes-radicaux merci... je ne sais que dire devant tant de bêtise, sinon que la "doucette à hauteur" d'homme pourrait rendre le monde meilleur... 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
collectionneur Posté(e) le 4 novembre 2018 Share Posté(e) le 4 novembre 2018 Et le gvt pakistanais qui recule encore face a ces f....s suite a la décision de la Cour Suprême dont les juges sont menacés de mort... https://mobile.lemonde.fr/asie-pacifique/article/2018/11/02/acquittement-d-asia-bibi-les-islamistes-trouvent-un-accord-avec-le-gouvernement_5378272_3216.html 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 23 novembre 2018 Share Posté(e) le 23 novembre 2018 https://www.lemonde.fr/asie-pacifique/article/2018/11/23/pakistan-le-consulat-de-chine-a-karachi-vise-par-une-attaque_5387282_3216.html (23 novembre 2018) 4 morts, 2 policiers et 2 civils devant le consulat de Chine. L’Armée de libération du Baloutchistan (ALB), une province instable du sud-ouest du Pakistan, a revendiqué l’attaque. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
kalligator Posté(e) le 23 novembre 2018 Share Posté(e) le 23 novembre 2018 "grâce" à l'affaire Asia Bibi on peut avoir une très bonne idée du niveau de tolérance de certains fondamentalistes, pas moyens de négocier avec ceux-là Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
collectionneur Posté(e) le 12 avril 2019 Share Posté(e) le 12 avril 2019 Nouveau gros attentat au Pakistan dans un marché, une vingtaine de tués... https://www.lemonde.fr/international/article/2019/04/12/attentat-contre-la-minorite-hazara-de-quetta-au-pakistan_5449257_3210.html En dépit de cette attaque, la sécurité s’est très nettement améliorée au Pakistan, où les attentats constituaient la routine entre 2001 et 2015. D’après le CRSS, un groupe de réflexion pakistanais, 1 131 personnes ont été tuées dans des violences extrémistes, politiques ou criminelles en 2018, soit une chute de plus de 80 % par rapport à 2015. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
nemo Posté(e) le 12 avril 2019 Share Posté(e) le 12 avril 2019 Il y a 8 heures, collectionneur a dit : Nouveau gros attentat au Pakistan dans un marché, une vingtaine de tués... https://www.lemonde.fr/international/article/2019/04/12/attentat-contre-la-minorite-hazara-de-quetta-au-pakistan_5449257_3210.html En dépit de cette attaque, la sécurité s’est très nettement améliorée au Pakistan, où les attentats constituaient la routine entre 2001 et 2015. D’après le CRSS, un groupe de réflexion pakistanais, 1 131 personnes ont été tuées dans des violences extrémistes, politiques ou criminelles en 2018, soit une chute de plus de 80 % par rapport à 2015. ça reste un score de guerre civile. Dur pour ce pays. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 20 avril 2019 Share Posté(e) le 20 avril 2019 (modifié) Beaucoup de mouvements bizarres au pakistan : plusieurs ambassades évacuées (un tweet mentionne à cause d'une tempète) et puis ce tweet mentionnant un coup d'état : Les indiens font des stocks de pop-corn. Modifié le 20 avril 2019 par herciv 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Mani Posté(e) le 20 avril 2019 Share Posté(e) le 20 avril 2019 14 voyageurs tués au Pakistan https://www.7sur7.be/7s7/fr/1505/Monde/article/detail/3526225/2019/04/18/14-voyageurs-tues-au-Pakistan.dhtml Des marins et des garde-côtes D'après Baloch Khan, le porte-parole du BRAS, tous les tués "étaient détenteurs d'une carte de la marine pakistanaise ou des garde-côtes", aucun autre passager n'ayant été abattu. Les bus faisaient la navette entre la mégalopole de Karachi et la ville côtière d'Ormara, au Baloutchistan, où se trouve une base de la marine pakistanaise. Le 12/04/2019 à 23:41, nemo a dit : ça reste un score de guerre civile. Dur pour ce pays. L’État islamique revendique l'attentat-suicide à Quetta et l'attaque visait des musulmans chiites. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 20 avril 2019 Share Posté(e) le 20 avril 2019 il y a 15 minutes, Mani a dit : aucun autre passager n'ayant été abattu 9a s'appelle une provocation ou un message. Evidemment l'armée va réagir. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
zx Posté(e) le 11 mai 2019 Share Posté(e) le 11 mai 2019 China’s ‘Belt and Road’ Plan in Pakistan Takes a Military Turn https://www.nytimes.com/2018/12/19/world/asia/pakistan-china-belt-road-military.html ISLAMABAD, Pakistan — When President Trump started the new year by suspending billions of dollars of security aid to Pakistan, one theory was that it would scare the Pakistani military into cooperating better with its American allies. The reality was that Pakistan already had a replacement sponsor lined up. Just two weeks later, the Pakistani Air Force and Chinese officials were putting the final touches on a secret proposal to expand Pakistan’s building of Chinese military jets, weaponry and other hardware. The confidential plan, reviewed by The New York Times, would also deepen the cooperation between China and Pakistan in space, a frontier the Pentagon recently said Beijing was trying to militarize after decades of playing catch-up. All those military projects were designated as part of China’s Belt and Road Initiative, a $1 trillion chain of infrastructure development programs stretching across some 70 countries, built and financed by Beijing. Chinese officials have repeatedly said the Belt and Road is purely an economic project with peaceful intent. But with its plan for Pakistan, China is for the first time explicitly tying a Belt and Road proposal to its military ambitions — and confirming the concerns of a host of nations who suspect the infrastructure initiative is really about helping China project armed might. As China’s strategically located and nuclear-armed neighbor, Pakistan has been the leading example of how the Chinese projects are being used to give Beijing both favor and leverage among its clients. Since the beginning of the Belt and Road Initiative in 2013, Pakistan has been the program’s flagship site, with some $62 billion in projects planned in the so-called China-Pakistan Economic Corridor. In the process, China has lent more and more money to Pakistan at a time of economic desperation there, binding the two countries ever closer. For the most part, Pakistan has eagerly turned more toward China as the chill with the United States has deepened. Some Pakistani officials are growing concerned about losing sovereignty to their deep-pocketed Asian ally, but the host of ways the two countries are now bound together may leave Pakistan with little choice but to go along. Even before the revelation of the new Chinese-Pakistani military cooperation, some of China’s biggest projects in Pakistan had clear strategic implications. Editors’ Picks James Holzhauer Was Told to Smile to Get on ‘Jeopardy!’ He’s Smiling Now Laura Dern Embraces the Messiness of Human Life ‘S.N.L.’ Welcomes Adam Sandler Back and (Mostly) Avoids Politics A Chinese-built seaport and special economic zone in the Pakistani town of Gwadar is rooted in trade, giving China a quicker route to get goods to the Arabian Sea. But it also gives Beijing a strategic card to play against India and the United States if tensions worsen to the point of naval blockades as the two powers increasingly confront each other at sea. A less scrutinized component of Belt and Road is the central role Pakistan plays in China’s Beidou satellite navigation system. Pakistan is the only other country that has been granted access to the system’s military service, allowing more precise guidance for missiles, ships and aircraft. The cooperation is meant to be a blueprint for Beidou’s expansion to other Belt and Road nations, however, ostensibly ending its clients’ reliance on the American military-run GPS network that Chinese officials fear is monitored and manipulated by the United States. [Read The Times’s series “China Rules,” about how China wrote its playbook to counter the West.] In Pakistan, China has found an amenable ally with much to recommend it: shared borders and a long history of cooperation; a hedge in South Asia against India; a large market for arms sales and trade with potential for growth; a wealth of natural resources. Now, China is also finding a better showcase for its security and surveillance technology in a place once defined by its close military relationship with the United States. “The focus of Belt and Road is on roads and bridges and ports, because those are the concrete construction projects that people can easily see. But it’s the technologies of the future and technologies of future security systems that could be the biggest security threat in the Belt and Road project,” said Priscilla Moriuchi, the director of strategic threat development at Recorded Future, a cyberthreat intelligence monitoring company based in Massachusetts. The Chinese-built and operated port in Gwadar, Pakistan.CreditDrazen Jorgic/Reuters An Asset on the Sea The tightening China-Pakistan security alliance has gained momentum on a long road to the Arabian Sea. In 2015, under Belt and Road, China took a nascent port in the Pakistani coastal town of Gwadar and supercharged the project with an estimated $800 million development plan that included a large special economic zone for Chinese companies. Linking the port to western China would be a new 2,000-mile network of highways and rails through the most forbidding stretch of Pakistan: Baluchistan Province, a resource-rich region plagued by militancy. The public vision for the project was that it would allow Chinese goods to bypass much longer and more expensive shipping routes through the Indian Ocean and avoid the territorial waters of several American allies in Asia. From the beginning, though, key details of the project were kept from the public and lawmakers, officials say, including the terms of its loan structure and the length of the lease, more than 40 years, that a Chinese state-owned company secured to operate the port. If there was concern within Pakistan about the hidden costs of the China-Pakistan Economic Corridor, also known as CPEC, there was growing suspicion abroad about a hidden military aspect, as well. Prime Minister Nawaz Sharif of Pakistan, center left, praying during the formal opening of Gwadar port in 2016.CreditMuhammad Yousuf/Associated Press In recent years, Chinese state-owned companies have built or begun constructing seaports at strategic spots around the Indian Ocean, including places in Sri Lanka, Bangladesh and Malaysia. Chinese officials insisted that the ports would not be militarized. But analysts began wondering whether China’s endgame was to muscle its way onto coastal territories that could become prime military assets — much as it did when it started militarizing contested islands in the South China Sea. Then, Sri Lanka, unable to repay its ballooning debt with China, handed over the Chinese-built port at Hambantota in a 99-year lease agreement last year. Indian and American officials expressed a growing conviction that taking control of the port had been China’s intent all along. In October, Vice President Mike Pence said Sri Lanka was a warning for all Belt and Road countries that China was luring them into debt traps. “China uses so-called debt diplomacy to expand its influence,” Mr. Pence said in a speech. “Just ask Sri Lanka, which took on massive debt to let Chinese state companies build a port of questionable commercial value,” Mr. Pence added. “It may soon become a forward military base for China’s growing blue-water navy.” Military analysts predict that China could use Gwadar to expand the naval footprint of its attack submarines, after agreeing in 2015 to sell eight submarines to Pakistan in a deal worth up to $6 billion. China could use the equipment it sells to the South Asian country to refuel its own submarines, extending its navy’s global reach. The Sahiwal coal power plant in Pakistan’s Punjab Province was one of the first and biggest projects financed and completed under the Belt and Road Initiative. Pakistan has fallen behind on payments just to operate the plant.CreditAsad Zaidi/Bloomberg The Sahiwal coal power plant in Pakistan’s Punjab Province was one of the first and biggest projects financed and completed under the Belt and Road Initiative. Pakistan has fallen behind on payments just to operate the plant.CreditAsad Zaidi/Bloomberg Deepening Debt When China inaugurated Belt and Road, in 2013, Prime Minister Nawaz Sharif’s new government in Pakistan saw it as the answer for a host of problems. Foreign investment in Pakistan was scant, driven away by terrorist attacks and the country’s enduring reputation for corruption. And Pakistan desperately needed a modern power grid to help ease persistent electricity shortages. Pakistani officials say that Beijing first proposed the highway from China’s western Xinjiang region through Pakistan that connected to Gwadar port. But Pakistani officials insisted that new coal power plants be built. China agreed. With CPEC under fresh scrutiny, Chinese and Pakistani officials in recent weeks have contended that Pakistan has a debt problem, but not a Chinese debt problem. In October, the country’s central bank revealed an overall debt and liability burden of about $215 billion, with $95 billion externally held. With nearly half of CPEC’s projects completed — in terms of worth — Pakistan currently owes China $23 billion. But the country stands to owe $62 billion to China — before interest balloons the figure to some $90 billion — under the plan for Belt and Road’s expansion there in coming years. Pakistan’s central bank governor, Ashraf Wathra, said publicly in 2015 that he had no clarity on Chinese investments in Pakistan and was concerned about rising debt levels. It still took him months after that to secure a briefing from cabinet officials. Years after contracting to have China build new power plants, Pakistan still has a problem with severe electricity shortfalls.CreditRizwan Tabassum/Agence France-Presse — Getty Images “My main question was, ‘Do we have any feasibility studies of these projects and a cost-benefit analysis?’ Their answers were all evasive,” recalled Mr. Wathra, who has since retired. Ahsan Iqbal, a cabinet minister and the main architect for CPEC in the previous government, said the project was well thought-through and dismissed Mr. Wathra’s account. “No one wanted to invest here — the Chinese took a chance,” Mr. Iqbal said in an interview. But the bill is coming due. Pakistan’s first debt repayments to China are set for next year, starting at about $300 million and gradually increasing to reach about $3.2 billion by 2026, according to officials. And Pakistan is already having trouble paying what it owes to Chinese companies. Pakistan already builds Chinese-designed JF-17 fighter jets, like this one. Under a secret proposal, Pakistan would also cooperate with China to build a new generation of fighters.CreditReuters Fighter Jets and Satellites According to the undisclosed proposal drawn up by the Pakistani Air Force and Chinese officials at the start of the year, a special economic zone under CPEC would be created in Pakistan to produce a new generation of fighter jets. For the first time, navigation systems, radar systems and onboard weapons would be built jointly by the countries at factories in Pakistan. The proposal, confirmed by officials at the Ministry of Planning and Development, would expand China and Pakistan’s current cooperation on the JF-17 fighter jet, which is assembled at Pakistan’s military-run Kamra Aeronautical Complex in Punjab Province. The Chinese-designed jets have given Pakistan an alternative to the American-built F-16 fighters that have become more difficult to obtain as Islamabad’s relationship with Washington frays. The plans are in the final stages of approval, but the current government is expected to rubber stamp the project, officials in Islamabad say. For China, Pakistan could become a showcase for other countries seeking to shift their militaries away from American equipment and toward Chinese arms, Western diplomats said. And because China is not averse to selling such advanced weaponry as ballistic missiles — which the United States will not sell to allies like Saudi Arabia — the deal with Pakistan could be a steppingstone to a bigger market for Chinese weapons in the Muslim world. For years, some of the most important military coordination between China and Pakistan has been going on in space. Just months before Beijing unveiled the Belt and Road project in 2013, it signed an agreement with Pakistan to build a network of satellite stations inside the South Asian country to establish the Beidou Navigation System as an alternative to the American GPS network. Beidou quickly became a core component of Belt and Road, with the Chinese government calling the satellite network part of an “information Silk Road” in a 2015 white paper. A model of China’s Beidou navigation satellite network, shown during the China International Aviation and Aerospace Exhibition in Zhuhai in November.CreditKin Cheung/Associated Press Like GPS, Beidou has a civilian function and a military one. If its trial with Pakistan goes well, Beijing could offer Beidou’s military service to other countries, creating a bloc of nations whose military actions would be more difficult for the United States to monitor. By 2020, all 35 satellites for the system will be launched in collaboration with other Belt and Road countries, completing Beidou. “Beidou, whatever any users use it for — whether it’s a civilian navigating their way to the grocery store or a government using it to coordinate their rocket launches — those are all things that China can track,” said Ms. Moriuchi, of the research group Recorded Future. “And that’s what is most striking: that this authoritarian government will be a major technology provider for numerous countries in Asia, Africa and Europe.” For the Pentagon, China’s satellite launches are ominous. China’s military “continues to strengthen its military space capabilities despite its public stance against the militarization of space,” including developing Beidou and new weaponry, according to a Pentagon report issued to Congress in May. In October, Pakistan’s information minister, Fawad Chaudhry, said that by 2022, Pakistan would send its own astronaut into space with China’s help. “We are close to China, and we are getting more close,” he said in a later interview. “It’s time for the West to wake up and recognize our importance.” Wooing Pakistan’s Military Though the relationship between China and Pakistan has clearly grown closer, it has not been without tension. CPEC could still be vulnerable to political shifts in Pakistan — as happened this year in Malaysia, which shelved three big projects by Chinese companies. Campaigning during the parliamentary elections that made him prime minister in July, Imran Khan vowed to review CPEC projects and renegotiate them if he won. In September, after meeting in Saudi Arabia with the crown prince, Mr. Khan said that the kingdom had agreed to invest in CPEC too. Pakistan’s new commerce minister then proposed pausing all CPEC projects while the government assessed them. The moves by Pakistan’s new government angered Beijing, which was concerned they could set back Belt and Road globally. But in Pakistan, China has a steady ally it can approach to smooth things over: the country’s powerful military establishment, which stands to fill its coffers with millions of dollars through CPEC as the military’s construction companies win infrastructure bids. Shortly after the commerce minister’s comments, the Pakistani Army’s top commander, Gen. Qamar Javed Bajwa, hurried to Beijing for an unannounced visit with President Xi Jinping. The meeting came six weeks before Mr. Khan made his first official visit with the Chinese president, a trip he had listed as a priority. Statements from the military said General Bajwa and Mr. Xi spoke extensively about Belt and Road projects. General Bajwa “said that the Belt and Road initiative with CPEC as its flagship is destined to succeed despite all odds, and Pakistan’s army shall ensure security of CPEC at all costs,” read a statement from the Pakistani military. Shortly after the Beijing meeting, Pakistan’s government rolled back its invitation to Saudi Arabia to join CPEC and all talk of pausing or canceling Chinese projects has stopped. Prime Minister Imran Khan of Pakistan went to meet President Xi Jinping in China in November with high hopes for an economic deal. But few details have been announced.CreditPool photo by Thomas Peter But China could face another challenge to its investments: a Pakistani financial crisis that has forced Mr. Khan’s government to seek loans from international lenders that require transparency. Throughout September, international delegations traveled to Islamabad carrying the same message: Reveal the extent of Chinese loans if you want financial assistance. In a late September meeting with visiting officials from the International Monetary Fund, Pakistan’s government asked for a bailout of up to $12 billion. The fund’s representatives pressed Pakistan to share all existing agreements with the Chinese government and demanded I.M.F. input during any future CPEC negotiations — a previously undisclosed facet of the negotiations, according to communications seen by the Fund and a Pakistani official. The fund also sought assurances that Pakistan would not use a bailout to repay CPEC loans. But the Chinese Embassy in Islamabad stepped up its engagement as well, demanding that CPEC deals be kept secret and promising to shore up Pakistan’s finances with bilateral loans, Pakistani officials say. Three months after taking office, Mr. Khan still has not made good on his campaign promises to reveal the nature of the $62 billion investment Beijing has committed to Pakistan, and his government has backtracked on an I.M.F. deal. In early November, Mr. Khan visited Mr. Xi in Beijing, a trip during which he was expected to clinch bilateral loans and grants to ease Pakistan’s financial crisis. Instead, his government walked away with vague promises of a deal “in principle,” but refused to disclose any details. A Chinese national flag, center at the Sahiwal coal power plant in Pakistan, which cost about $1.9 billion to build. Pakistan now owes around $119 million in back payments to Chinese companies just for operating the plant.CreditAsad Zaidi/Bloomberg 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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