Hirondelle Posté(e) le 15 mars Share Posté(e) le 15 mars (modifié) Le 13/03/2024 à 06:29, pascal a dit : Toi t'as pas lu le dernier HS numéro 35 de l'excellente revue LOS! tu m'fra 50 pompes Armen il a rigolé, chef !) 100 pompes ? Puisqu’on qu’on en est à faire de la publicité, une rapide recherche m’indique que «LOS » est l’ordre de lancement des torpilles sur les Uboot. Au sujet de la pub video juste au-dessus, et parce que je commence à en avoir marre de la mise en scène low-cost qu’on nous montre, je note que le Caïman qui décolle «en urgence » pendant que son équipage papote complaisamment avec les journalistes, viril «si on le trouve on l’engage », le Caïman donc décolle sans ces torpilles dont « une seule casse un PA en deux ». Deja, tu sembles savoir que le sous marin, si sous marin il y a, est norvégien. Ca doit aider. Après, l’exercice serait plus réaliste si on comptait le temps qu’il faudrait aux mecanos pour monter des MU sous les pylônes, non ? A moins que les journalistes simulent utilement les torpilles Et n’empêche qu’en doute honnêteté on nous dit que le SM s’échappe alors qu’on aurait pu le croire coincé au fond d’un fjord. Modifié le 15 mars par Hirondelle Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ARMEN56 Posté(e) le 15 mars Share Posté(e) le 15 mars il y a 33 minutes, Hirondelle a dit : Armen il a rigolé, chef !) 100 pompes ? Trop vieux En revanche , t’es partant pour une levée de coudes au péristyle , c’est ma tournée ? Révélation Je ne garantis pas le soleil à peine 30 h depuis décembre. T’amène ton Guy Cotten Pour comprendre didactiquement le CODLOG Sur TAG sur MEP Source Daniel Bonnerue site « ancien cols bleus .. » 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Hirondelle Posté(e) le 15 mars Share Posté(e) le 15 mars il y a 8 minutes, ARMEN56 a dit : Trop vieux En revanche , t’es partant pour une levée de coudes au péristyle , c’est ma tournée ? Révéler le contenu masqué Je ne garantis pas le soleil à peine 30 h depuis décembre. T’amène ton Guy Cotten Pour comprendre didactiquement le CODLOG Sur TAG sur MEP Source Daniel Bonnerue site « ancien cols bleus .. » Y’a pas de mauvais temps, y’a des mauvais vêtements ! Ce que je ne comprends pas c’est pourquoi une prop codlog ne peut pas devenir à peu de frais un codlag : qu’est-ce qui empêcherait d’embrayer les moteurs électriques pour soulager la transmission mécanique TAG et faire tourner conjointement les 2 systèmes ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
pascal Posté(e) le 15 mars Share Posté(e) le 15 mars plus de puissance doit imposer des échantillonnages plus importants, des tailles d'hélices différentes ... voir une carène différence histoire d'avoir un rendement optimal avec une puissance développée > Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
pascal Posté(e) le 15 mars Share Posté(e) le 15 mars Le pacha de la FREMM n'est pas un frégaton mais un CV 5 pleins Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ARMEN56 Posté(e) le 15 mars Share Posté(e) le 15 mars Fremm it , en CODLAG pour gagner 1 nds . Oui de tte façon l’échantillonnage en couple avec marge de leurs LA est adapté à la PMP ( CODLAG) et les nôtres à la PMP ( CODLOG). Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. mudrets Posté(e) le 15 mars C’est un message populaire. Share Posté(e) le 15 mars Le 11/03/2024 à 22:24, Hirondelle a dit : C’est le maître Régis qui fumait clandestinement sa clope à la proue sur le pont de manœuvre (ceux qui savent corrigeront: l’endroit où qu’il y a cabestans et amarres): donc, au moment de balancer son clope consumé, il se penche et aperçoit à 50 cm un périscope portant un casque à pointe. Pour l'anecdote, en traversant l'Atlantique nord en compagnie d'une frégate ASM, nous voyons qu'elle manœuvre subitement et se met en chasse. Pour le coup, nous ne comprenions pas. Mais la suite de l'histoire est plus drôle: un matelot Meca qui fumait son clope sur la plage arrière de la frégate dit à son patron: "C'est quoi le tube qui dépasse derrière nous?" Et le patron de faire un bond en s'écriant: "Merde, c'est un périscope!". D'où le branle bas de combat. C'était probablement un SNA qui était venu renifler sur l'arrière et identifier la frégate. 1 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
mudrets Posté(e) le 15 mars Share Posté(e) le 15 mars Le 13/03/2024 à 06:29, pascal a dit : Toi t'as pas lu le dernier HS numéro 35 de l'excellente revue LOS! tu m'fra 50 pompes Pas cher payé, vu la qualité de la publication 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
mudrets Posté(e) le 15 mars Share Posté(e) le 15 mars il y a une heure, pascal a dit : Le pacha de la FREMM n'est pas un frégaton mais un CV 5 pleins Plein ? Oh.... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Hirondelle Posté(e) le 15 mars Share Posté(e) le 15 mars il y a 11 minutes, mudrets a dit : "C'est quoi le tube qui dépasse derrière nous?" Envie de te demander à quelle distance approx un périscope pourrait être repéré. Pas tant pour me faire une idée des performances du capteur oeil en atmosphère troublée par les volutes tabagiques, mais parceque je suis surpis qu’un soum puisse avoir besoin de beaucoup se rapprocher pour identifier un bateau. Ou alors c’est une manœuvre exclusivement temps de paix visant à croiser les bibliothèques sonores et visuelles? Genre «ça c’est une fremm mais il y a un petit crack boum hiii supplémentaire. Ah, c’est la Normandie ! Je note fremm+crack boum hiii= pas de brouilleurs » Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
gianks Posté(e) le 15 mars Share Posté(e) le 15 mars il y a une heure, ARMEN56 a dit : Fremm it , en CODLAG pour gagner 1 nds . Oui de tte façon l’échantillonnage en couple avec marge de leurs LA est adapté à la PMP ( CODLAG) et les nôtres à la PMP ( CODLOG). Sur le site MMI dans la description du système de propulsion FREMM-IT [ https://www.marina.difesa.it/noi-siamo-la-marina/pilastro-logistico/log_amm/marinalles/Pagine/FREMM.aspx] il est rapporté que :propulsion sur turbine à gaz avec une vitesse maximale de 27 nœuds. Dans ce cas, les moteurs électriques peuvent être entraînés par les essieux et fonctionner comme générateurs ; Ce mode de fonctionnement est-il également possible dans la configuration de propulsion CODLOG ? Merci Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
mudrets Posté(e) le 15 mars Share Posté(e) le 15 mars il y a 16 minutes, Hirondelle a dit : Envie de te demander à quelle distance approx un périscope pourrait être repéré. Pas tant pour me faire une idée des performances du capteur oeil en atmosphère troublée par les volutes tabagiques, mais parceque je suis surpis qu’un soum puisse avoir besoin de beaucoup se rapprocher pour identifier un bateau. Ou alors c’est une manœuvre exclusivement temps de paix visant à croiser les bibliothèques sonores et visuelles? Genre «ça c’est une fremm mais il y a un petit crack boum hiii supplémentaire. Ah, c’est la Normandie ! Je note fremm+crack boum hiii= pas de brouilleurs » C'était le Tourville en ... 1978 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ARMEN56 Posté(e) le 15 mars Share Posté(e) le 15 mars il y a 16 minutes, gianks a dit : Dans ce cas, les moteurs électriques peuvent être entraînés par les essieux et fonctionner comme générateurs C’est vrai je ne pense pas que cette configuration soit applicable aux Fremm fr . Me semble qu’on a déjà discuté de cela sur ce fil . Suis pas chez moi là je reviens vers toi dès que possible avec des éléments . Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Hirondelle Posté(e) le 15 mars Share Posté(e) le 15 mars il y a 23 minutes, mudrets a dit : C'était le Tourville en ... 1978 Je sais bien Mais le soum si tu l’as su : à nous, bleu ou rouge? Sinon, que peux tu dire de la «veille asm » quand équipage et vds se reposent: radar seul, radar+ping au sonar de coque, radar+pings+Regis, ou rens tout seul ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
mudrets Posté(e) le 15 mars Share Posté(e) le 15 mars (modifié) Pas à nous... Probablement un US parce que l'on approchait des côtes US Pour la veille ASM, il faudrait un avis plus éclairé. Je me préoccupais de la lutte au dessus de la surface, étant sur des escorteurs dédiés à la lutte anti-aérienne Modifié le 15 mars par mudrets Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ARMEN56 Posté(e) le 15 mars Share Posté(e) le 15 mars il y a 19 minutes, Hirondelle a dit : Je sais bien Mais le soum si tu l’as su : à nous, bleu ou rouge? Sinon, que peux tu dire de la «veille asm » quand équipage et vds se reposent: radar seul, radar+ping au sonar de coque, radar+pings+Regis, ou rens tout seul ? En tant qu’ancien opérateur DSM sur un escorteur rapide , au sonar de veille . L’occupation du PCASM n’était effective que lors exercice ou poste de combat . Hors ces situations, comme Pontus nous faisions des quarts en tant que veilleurs nautiques aux ailerons où toit de la passerelle ou de la peinture au poste d’entretien , ou tirer sur les aussières avec les missiliers et artilleurs au poste de manœuvre générale . 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ARMEN56 Posté(e) le 15 mars Share Posté(e) le 15 mars Souvenir de détecteur années 70 ; - succès tributaire d’une équipe rodée aux exercices , la minute compte - Succès fonction bathy et termoclyne avec du sonar remorqué Nous nous étions fait allumé par un 800 tonnes , sous la couche, lors exercice avec une bathy pourrie , pas de remorqué sur ER En retour MED d’un CEF Toulon vers Brest , étions en veille optique et détecté aux jumelles un sillage surface qui se rapprochant s’était avéré être celui d’un SNA/US ? plein pot surface . Notre Cdt avait tenté , sans succès, contact scott . Le soum plonge ,poste de combat de circonstance … amicale. Pas de souvenir de sillage périscope dont on sait qu’à partir d’un état de mer ça se dilue . Je pense que les probas ; distances détections radar périscope sont conf. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ARMEN56 Posté(e) le 21 mars Share Posté(e) le 21 mars Le 15/03/2024 à 11:40, gianks a dit : Sur le site MMI dans la description du système de propulsion FREMM-IT [ https://www.marina.difesa.it/noi-siamo-la-marina/pilastro-logistico/log_amm/marinalles/Pagine/FREMM.aspx] il est rapporté que :propulsion sur turbine à gaz avec une vitesse maximale de 27 nœuds. Dans ce cas, les moteurs électriques peuvent être entraînés par les essieux et fonctionner comme générateurs ; Ce mode de fonctionnement est-il également possible dans la configuration de propulsion CODLOG ? Merci Je confirme que pour l’Italie les MEP peuvent être générateurs et que pour la France on a 2 résistances de freinage en raison absence de pales orientables . Dispositif pour tempérer l’énergie produite par les MEP lors d’un crash stop 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
mgtstrategy Posté(e) le 21 mars Share Posté(e) le 21 mars On 3/15/2024 at 1:58 PM, ARMEN56 said: Souvenir de détecteur années 70 ; - succès tributaire d’une équipe rodée aux exercices , la minute compte - Succès fonction bathy et termoclyne avec du sonar remorqué Nous nous étions fait allumé par un 800 tonnes , sous la couche, lors exercice avec une bathy pourrie , pas de remorqué sur ER En retour MED d’un CEF Toulon vers Brest , étions en veille optique et détecté aux jumelles un sillage surface qui se rapprochant s’était avéré être celui d’un SNA/US ? plein pot surface . Notre Cdt avait tenté , sans succès, contact scott . Le soum plonge ,poste de combat de circonstance … amicale. Pas de souvenir de sillage périscope dont on sait qu’à partir d’un état de mer ça se dilue . Je pense que les probas ; distances détections radar périscope sont conf. Traduction ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. FATac Posté(e) le 23 mars C’est un message populaire. Share Posté(e) le 23 mars (modifié) Le 21/03/2024 à 22:52, mgtstrategy a dit : Traduction ? A ton service (approximativement) Le 15/03/2024 à 13:58, ARMEN56 a dit : Souvenir de détecteur années 70 ; - succès tributaire d’une équipe rodée aux exercices , la minute compte - Succès fonction bathy et termoclyne avec du sonar remorqué Nous nous étions fait allumé par un 800 tonnes , sous la couche, lors exercice avec une bathy pourrie , pas de remorqué sur ER En retour MED d’un CEF Toulon vers Brest , étions en veille optique et détecté aux jumelles un sillage surface qui se rapprochant s’était avéré être celui d’un SNA/US ? plein pot surface . Notre Cdt avait tenté , sans succès, contact scott . Le soum plonge ,poste de combat de circonstance … amicale. Pas de souvenir de sillage périscope dont on sait qu’à partir d’un état de mer ça se dilue . Je pense que les probas ; distances détections radar périscope sont conf. D'après un membre glorieux du forum qui évoque ses aventures de jeunesse comme opérateur de détection anti-sous-marine : - le succès de la détection/réaction à l'approche d'un sous-marin essentiellement de la qualification/qualité de l'équipe, le temps de réaction se comptant en poignées de secondes - le succès dépendait aussi de la connaissance des profondeurs (bathymétrie) et du passage de la couche de rupture thermique entre eaux profondes et eaux superficielle par le sonar remorqué, couche ayant une tendance à bloquer la détection (thermocline). Dans ces mémoires, ce glorieux membre évoque un échec, en exercice, face à un classe Daphné, alors qu'il naviguait sur un Escorteur Rapide, probablement de la classe Le Normand, dépourvu de sonar remorqué. Le daphné, profitant de fonds permettant de se dissimuler sous la thermocline, a pu scorer sur le navire de surface pourtant dédié ASM. A une autre occasion, suite à une évaluation au Centre d'Entrainement de la Flotte, à Toulon, alors qu'ils rentraient vers Brest, mais se trouvaient encore en Méditerranée, son équipe de guet à vue a eu l'occasion de repérer le sillage d'un sous-marin nucléaire d'attaque naviguant, pleine puissance, en surface. Le commandant du navire français a tenté de contacter le sous-marin par le téléphone aquatique dédié par signaux optiques lumineux, mais n'a pas obtenu de réponse. Le sous-marin a plongé, l'équipage du surfacier a pris les postes de combat pour parer à toute éventualité et démontrer sa préparation. Le glorieux ancien n'a pas mémoire d'avoir jamais distingué le sillage d'un périscope seul, et d'autant moins que s'il y a un tant soit peu de clapot, ce type de sillage devient très vite imperceptible (note personnelle : je ne crois pas que ce soit si imperceptible que ça, vu du ciel). Par contre, il est quasi certain que les valeurs de probabilité et les distances de détection et qualification d'un écho radar de surface comme étant celui d'un périscope sont couvertes par le Secret Défense. J'ai bon, @ARMEN56 ? Modifié le 23 mars par FATac Le scott est un système télégraphique optique... 5 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. ARMEN56 Posté(e) le 23 mars C’est un message populaire. Share Posté(e) le 23 mars (modifié) Il y a 10 heures, FATac a dit : A ton service (approximativement) D'après un membre glorieux du forum qui évoque ses aventures de jeunesse comme opérateur de détection anti-sous-marine : - le succès de la détection/réaction à l'approche d'un sous-marin essentiellement de la qualification/qualité de l'équipe, le temps de réaction se comptant en poignées de secondes - le succès dépendait aussi de la connaissance des profondeurs (bathymétrie) et du passage de la couche de rupture thermique entre eaux profondes et eaux superficielle par le sonar remorqué, couche ayant une tendance à bloquer la détection (thermocline). Dans ces mémoires, ce glorieux membre évoque un échec, en exercice, face à un classe Daphné, alors qu'il naviguait sur un Escorteur Rapide, probablement de la classe Le Normand, dépourvu de sonar remorqué. Le daphné, profitant de fonds permettant de se dissimuler sous la thermocline, a pu scorer sur le navire de surface pourtant dédié ASM. A une autre occasion, suite à une évaluation au Centre d'Entrainement de la Flotte, à Toulon, alors qu'ils rentraient vers Brest, mais se trouvaient encore en Méditerranée, son équipe de guet à vue a eu l'occasion de repérer le sillage d'un sous-marin nucléaire d'attaque naviguant, pleine puissance, en surface. Le commandant du navire français a tenté de contacter le sous-marin par le téléphone aquatique dédié par signaux optiques lumineux, mais n'a pas obtenu de réponse. Le sous-marin a plongé, l'équipage du surfacier a pris les postes de combat pour parer à toute éventualité et démontrer sa préparation. Le glorieux ancien n'a pas mémoire d'avoir jamais distingué le sillage d'un périscope seul, et d'autant moins que s'il y a un tant soit peu de clapot, ce type de sillage devient très vite imperceptible (note personnelle : je ne crois pas que ce soit si imperceptible que ça, vu du ciel). Par contre, il est quasi certain que les valeurs de probabilité et les distances de détection et qualification d'un écho radar de surface comme étant celui d'un périscope sont couvertes par le Secret Défense. J'ai bon, @ARMEN56 ? Merci pour l’ajustement De beaux souvenirs dans un trèèès petit parcours ; quelques milles nautiques seulement , donc pas de quoi faire la gloriole comparé aux carrières pleines de marins aguerris aux postes de combat et caprices nautiques Alors après une préparation à Brest où l’on teste les oreilles aux subtilités acoustiques ,direction vers le CIN de Saint Mandrier pour perfectionnement . Formation d’un mois synchrone avec celles des engagés au cours de détecteur ASM . Un autre monde où l’on apprend le vernis théorique nécessaire à la compréhension de la physique des ondes sonar à directivité influencée par le milieu dans la distinction des effets Doppler ; haut, bas ou nul à l’oreille on sait si le soum s’approche, s’éloigne ou reste statique Théorie donc et pratique sur simulateurs sonar nouveaux panoramique DRBV4 ou vieux sonar à bonds DUBA 3, avec in fine le diplôme d’écouteur de bord en poche. Un mois donc de formation au CIN puis mutation à Brest sur un escorteur rapide de l’ALGROUPEM . L’AL était Philippe de Gaulle, le groupe était composé de 3 ER : Breton , Basque, Savoyard et du Poincaré , j’étais sur Le Breton en 73/74 , c.a.d 2 ans avant RSA , un navire en bout de course cependant pas si vieux ( ASA 58). Nous étions en mer lors décès du PR G.Pompidou puis annonce du Cdt pour cérémonie plage arrière. Hors poste de combat les DSM faisaient la veille optique ; un second et 2 QM De veille nous étions toujours aux jumelles avec casque en relation avec le collègue au radar qui nous demandais de confirmer au visuel un écho il nous indiquait si CPA nul ( route collision ) ou pas . Pour ce bavardage de Soum sur un transit Toulon Tanger , me semble qu’on l’avait eu au visuel avant la détection radar … Qqes pj dont le Breton en juillet 73 lors mise à l’eau de Pen duick , l’ER en pré-IPER venant de dégazer pour échouage au bassin 1 où je l’ai rejoint en septembre . Révélation Modifié le 23 mars par ARMEN56 6 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
pascal Posté(e) le 23 mars Share Posté(e) le 23 mars Pen Duick VI 32 t d'aluminium construit à l'arsenal de Brest le dernier bateau réalisé sous la direction de l'ingénieur Kerbaol 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) le 23 mars Share Posté(e) le 23 mars Il y a 11 heures, FATac a dit : A ton service (approximativement) D'après un membre glorieux du forum qui évoque ses aventures de jeunesse comme opérateur de détection anti-sous-marine : - le succès de la détection/réaction à l'approche d'un sous-marin essentiellement de la qualification/qualité de l'équipe, le temps de réaction se comptant en poignées de secondes - le succès dépendait aussi de la connaissance des profondeurs (bathymétrie) et du passage de la couche de rupture thermique entre eaux profondes et eaux superficielle par le sonar remorqué, couche ayant une tendance à bloquer la détection (thermocline). Dans ces mémoires, ce glorieux membre évoque un échec, en exercice, face à un classe Daphné, alors qu'il naviguait sur un Escorteur Rapide, probablement de la classe Le Normand, dépourvu de sonar remorqué. Le daphné, profitant de fonds permettant de se dissimuler sous la thermocline, a pu scorer sur le navire de surface pourtant dédié ASM. A une autre occasion, suite à une évaluation au Centre d'Entrainement de la Flotte, à Toulon, alors qu'ils rentraient vers Brest, mais se trouvaient encore en Méditerranée, son équipe de guet à vue a eu l'occasion de repérer le sillage d'un sous-marin nucléaire d'attaque naviguant, pleine puissance, en surface. Le commandant du navire français a tenté de contacter le sous-marin par le téléphone aquatique dédié par signaux optiques lumineux, mais n'a pas obtenu de réponse. Le sous-marin a plongé, l'équipage du surfacier a pris les postes de combat pour parer à toute éventualité et démontrer sa préparation. Le glorieux ancien n'a pas mémoire d'avoir jamais distingué le sillage d'un périscope seul, et d'autant moins que s'il y a un tant soit peu de clapot, ce type de sillage devient très vite imperceptible (note personnelle : je ne crois pas que ce soit si imperceptible que ça, vu du ciel). Par contre, il est quasi certain que les valeurs de probabilité et les distances de détection et qualification d'un écho radar de surface comme étant celui d'un périscope sont couvertes par le Secret Défense. J'ai bon, @ARMEN56 ? traducteur DeepFatac 3 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ARMEN56 Posté(e) le 23 mars Share Posté(e) le 23 mars Il y a 6 heures, pascal a dit : Pen Duick VI 32 t d'aluminium construit à l'arsenal de Brest le dernier bateau réalisé sous la direction de l'ingénieur Kerbaol qqes photos posées en fil construction navale Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
papsou Posté(e) le 23 mars Share Posté(e) le 23 mars Il y a 7 heures, pascal a dit : Pen Duick VI 32 t d'aluminium construit à l'arsenal de Brest le dernier bateau réalisé sous la direction de l'ingénieur Kerbaol AH! le tour du monde de Tabarly et la quille en uranium qui se perd dans le fond de l'océan alors qu'ils étaient en tête. J'ai lu le bouquin 2 fois! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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