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Synthèse pp30


P4

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Moins de AVT pour des BVG, si ils sont armés (par refaire le coups des lafayette) alors Ok.

C'est le type de navire qu'il nous faut pour un pays a grande ZEE et budget limité comme la France, reste que economiquement cela serait il malin d'avoir un type de navire en plus et refaire des etudes de plus cela induit d'augmenter le cout unitaire des FREMM du fait de la reduction de la commande.

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Image IPB

le PP30 daté de 2005 date un peu :-). J'aime bien le concept des BGV. Sa capacité d'accéleration associé à une furtivité accrue augmente sa survibilité en zone cotière.

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  • 1 year later...

Il y a eu cette annonce mais pas de nouvelle depuis, enfin si, c'était du flanc Chikara Shipping n'aura été qu'un mirage du désert.

Voici une video des essais en bassin de carènes par mer agitée.

STUxepnI6kY

http://www.youtube.com/watch?v=STUxepnI6kY&feature=related

Aprés il faudrait un démonstrateur comme pour le L-CAT mais vu la taille du navire l'invéstissement doit etre bien plus lourd meme pour une version à 75 metres.

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Le document pdf est une sommation des différentes communications quand les auteurs ont fourni les diapo ce qui n'est pas le cas pour tout : notamment j'aurais bien aimé lire celle de STX france sur le cout des navires...

Ceci dit je suis frappé du peu de place fait à l'aéronavale et au PA au travers de ces diapos : on voit bcp de BPC et un NS3 de DCNS et c'est tout...

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Le document pdf est une sommation des différentes communications quand les auteurs ont fourni les diapo ce qui n'est pas le cas pour tout : notamment j'aurais bien aimé lire celle de STX france sur le cout des navires...

Ceci dit je suis frappé du peu de place fait à l'aéronavale et au PA au travers de ces diapos : on voit bcp de BPC et un NS3 de DCNS et c'est tout...

Ce n'est que la première partie axé sur le MCO essentiellement

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  • 7 months later...

le Plan stratégique de recherche et technologie de défense et de sécurité est paru

http://www.ixarm.com/IMG/pdf/PS_R_T_2009_web.pdf

Le pôle technique AST recouvre les activités techniques nécessaires aux études amont, à la conception et à la maîtrise d’ouvrage et au soutien en service des systèmes terrestres, véhicules et équipements, employés par les armées de terre et de l’air, la marine nationale et la gendarmerie.

Son champ d’intervention comprend l’ensemble des véhicules et équipements, qu’ils contribuent au combat, à l’appui ou au soutien des forces déployées, et concerne les plates-formes terrestres et les systèmes de combat terrestres.

Le pôle AST s’intéresse en particulier aux technologies qui concernent :

■ L’architecture des plates-formes terrestres et des systèmes d’armes intégrés : blindés de combat et d’infanterie, systèmes du génie (combat, contre-minage et franchissement), systèmes de soutien opérationnels (véhicules tactiques et logistiques, abris techniques mobiles...) ;

■ l’architecture des systèmes multi plates-formes terrestres (en liaison avec le pôle SDS) : artillerie, contrôle de zone et systèmes de surveillance et d’observation associés, contre-mobilité ;

■ l’architecture des systèmes et équipements du combattant, qui concerne l’ensemble des équipements à disposition directe du combattant ;

■ les techniques de mobilité et d’aide à la mobilité : transmission/propulsion (y compris électrique), génération d’énergie, train de roulement, déminage mécanique, moyens du génie (franchissement...) ;

■ la « survivabilité » et la protection des véhicules et des combattants : maîtrise des signatures et contre-surveillance, architecture et intégration des solutions de protection, blindages passifs et réactifs, protection active softkill et hardkill, protection face aux mines et aux pièges (IED) ;

■ l’amélioration de la « capacité d’action » : feu, action au-delà de la vue directe, concepts à effets contrôlés, sûreté de fonctionnement des systèmes de feu ;

■ l’amélioration de l’« action coordonnée » : réseaux de bord, organisation équipage au niveau vétronique, intégration SIO et COM... ;

■ l’amélioration de l’« action à distance » : plates-formes robotiques, intelligence embarquée et interaction homme / machine... ;

Systèmes et équipements concernés :

■ Véhicules de combat (blindés, artilleries) ;

■ Véhicules spéciaux (PC, porte-senseurs...) ;

■ Véhicules et équipements d’emplois généraux ;

■ Systèmes combattants (notamment FELIN) ;

■ Systèmes autonomes (robots, réseaux de capteurs...

Le pôle technique ASN recouvre les activités techniques nécessaires aux études amont, à la conception, à la maîtrise d’ouvrage, à l’exploitation opérationnelle, à l’intégration physique et fonctionnelle et à la déconstruction des sous-systèmes et systèmes qui constituent les unités navales de combat de surface et sous-marines et les bâtiments de servitude de la Marine Nationale, et au soutien à l’exportation des matériels navals.

Son champ d’intervention comprend l’ensemble des systèmes de plates-formes navales de surface et sous-marines, armées ou non armées, à propulsion nucléaire ou classique ; les systèmes de combat associés et leur intégration au navire ; l’intégration des senseurs radars ou optroniques ; les senseurs acoustiques ; les armes et systèmes de lutte sous-marine et de guerre des mines utilisées pour les besoins de la Défense Nationale.

Le pôle ASN comprend deux métiers techniques :

-  Plates-formes navales

-  Systèmes de combat navals

Plates-Formes Navales

Le métier PFN recouvre les activités techniques relatives aux projets de navire (maîtrise d’ouvrage, architecture), aux systèmes et installations de plates-formes permettant la navigation sécurisée, la vie à bord ainsi que la mise en oeuvre des systèmes d’armes des bâtiments de surface et des sous-marins, et, le cas échéant, à l’intégration des chaufferies nucléaires. Il s’intéresse en particulier aux technologies relatives aux activités suivantes :

■ architecture générale et intégration des systèmes d’armes : techniques permettant d’assurer la maîtrise d’ouvrage et la conception d’ensemble des bâtiments de surface et des sous marins et la maîtrise des capacités militaires (furtivité, vulnérabilité) et de la sécurité. L’intégration se limite à l’intégration physique des systèmes d’armes ainsi qu’aux servitudes fournies par la plate-forme aux systèmes d’armes

■ furtivité : maîtrise des signatures au-dessus et au-dessous de la surface (acoustiques, magnétiques, électriques, radar, thermique, autres)

■ vulnérabilité / sécurité : résistance aux sinistres (incendie, voies d’eau ...), aux agressions militaires et à leurs conséquences

■ coque et structures : dimensionnement et réalisation des structures de coque, dont oeuvres vives, oeuvres mortes, superstructures des bâtiments de surface, coque résistante, structures extérieures et intérieures

■ hydrodynamique et propulseurs : qualités nautiques dépendant des formes de carènes, d’appendices et de superstructures ainsi que tous les types de propulseurs

■ énergie / appareil propulsif / servitudes : installations propulsion, production distribution et stockage d’énergie, conduite des installations de plates-formes , de lutte contre les sinistres et des systèmes de sécurité / plongée, protection de l’environnement maritime et atmosphérique, respect des normes d’environnement

■ sécurité plongée : fonctions, installations et matériels garantissant la sécurité du sous-marin en plongée

■ maîtrise des atmosphères confinées, systèmes et installations de plate-forme assurant les fonctions : “vie à bord”, et “régénération et contrôle de l’atmosphère” pour les SM ;

■ chaufferies nucléaires : Les points de responsabilité DGA sont : · les stades de réalisation, utilisation et démantèlement des chaufferies nucléaires les disciplines de la sécurité nucléaire des navires à propulsion nucléaire ;

· l’intégration des chaufferies nucléaires dans les navires ;

· les aspects nucléaires de la conception, réalisation et exploitation des installations à terre destinées au soutien des bâtiments à propulsion nucléaire.

Systèmes de Combat Navals

Le métier SCN recouvre les activités relatives à la lutte sous la mer (sonars, torpilles, lutte contre les mines) et à l’intégration fonctionnelle de l’ensemble des moyens conférant des capacités militaires à une plate-forme navale : systèmes d’armes, de veille, de navigation, de communication et systèmes de management de combat. Il s’intéresse au technologies liées à

■ intégration fonctionnelle des systèmes de combat : spécification et démonstration des performances d’ensemble du système, définition de la chaîne fonctionnelle du système de combat des navires de surface et sous-marins ;

■ systèmes de direction de combat (SDC) : systèmes de direction de combat (SDC) : architectures « temps réel », interfaces avec les SIC, exploitation opérationnelle par l’équipage, plates-formes à terre de validation des SDC, formation et entraînement ;

■ élaboration et tenue de situation tactique : intégration des LDT ; interopérabilité : entretien de la situation tactique avec partir des données senseurs et LDT ; interopérabilité avec les autres marines et armées et autres moyens (drones) ;

■ mise en oeuvre des armes : maîtrise de la performance globale de la fonction de mise en oeuvre des armes antiaériennes, anti-navire, frappe dans la profondeur et appui feu, contribution à l’intégration physique au bâtiment des éléments constituant le système de combat en commun avec le métier PFN ;

■ lutte sous-marine : techniques permettant la détection sous-marine des plates-formes navales et des armes et la mise en oeuvre des moyens visant à les empêcher de remplir leur mission ;

■ guerre des mines : techniques de mise en oeuvre des mines marines et ensemble des moyens permettant la localisation et la destruction de la menace adverse ;

■ drones sous-marins : engins sous-marins effectuant des opérations de guerre des mines ou de lutte sous-marine ou mis en oeuvre dans le cadre des opérations spéciales ;

■ armes et contre-mesures maîtrise des performances des armes sous-marines et des risques associés à leur mise en oeuvre. Maîtrise de l’efficacité des moyens permettant de leurrer ou d’attaquer des armes sous-marines.

Systèmes et équipements concernés :

■ Bâtiments de surface

■ Sous-marins

■ Energie-propulsion-installations hors chaufferies nucléaires

■ Systèmes de combat naval

■ Systèmes de lutte sous-marine et de guerre des mines incluant les armes sous-marines

■ Chaufferies nucléaires

Le pôle SHP est organisé autour des questions relatives à l’Homme dans le but d’améliorer sa sécurité, sa capacité opérationnelle et sa capacité d’interaction au sein des systèmes de travail collaboratif ou avec des systèmes techniques ou, le cas échéant, lui apporter les soins nécessaires.

Il intègre donc les problématiques de l’Homme face aux risques, avec leur évaluation et la façon de s’en protéger, et les interactions homme système, dans le but d’améliorer l’efficience du combattant et l’efficience globale des systèmes.

Il se compose de deux métiers, le métier SH (Sciences de l’homme et facteurs humains) et le métier NRBC (défense NRBC - nucléaire, radiologique, bactériologique et chimique -).

Sciences de l’homme et facteurs humains

Le métier SH recouvre les activités relatives :

■ aux moyens médicaux servant : à de nouvelles technologies (matérielles ou thérapeutiques) ou méthodes pour le soutien médical des forces en opération ; à la protection des forces contre les armes non létales ainsi que contre les autres risques non NRBC.

■ à l’amélioration de l’efficience et la protection du combattant par : l’intégration des facteurs humains à différents niveaux (évaluation de la menace et sa gestion,) ; la mise en place de nouvelles technologies ou méthodes de protection contre les effets du combat et de son environnement.

■ au domaine des Facteurs Humains (FH) qui participe à la conception ou à l’amélioration des systèmes du point de vue de l’interaction homme système (IHS). Ce domaine prend en compte la communication entre les hommes, entre les hommes et les systèmes (peu ou prou automatisés), la fusion et la mise en cohérence des informations en vue de prises de décisions. Ces objectifs se réalisent via le développement de nouveaux concepts ou moyens d’interaction homme machine (IHM), l’amélioration des organisations et systèmes de travail collaboratifs, l’intégration des aspects facteurs humains dans les processus d’ingénierie de développement des systèmes de défense.

Les travaux de R&T visent à résoudre les problèmes liés à :

■ la miniaturisation des capteurs pour le suivi physiologique de la personne,

■ le développement de système d’assistance chirurgicale

■ la télé santé et les systèmes d’information santé,

■ les produits de la santé (analgésique, greffes, substitut du sang, traitement des brûlés) liés a des atteintes en OPEX,

■ la modélisation cognitive physique et décisionnelle de l’Homme,

■ les processus, méthodes et outils d’analyse d’activité de l’homme ou des collectifs de travail,

■ les nouvelles interfaces homme machine (IHM),

■ les processus, méthodes et outils associés à l’ingénierie facteurs humains.

Défense Nucléaire, Radiologique, Biologique et Chimique

Le métier NRBC recouvre les activités relatives à :

■ à l’évaluation des risques et vulnérabilité NRBC (radiologique, biologique et chimique) ; les risques concernés sont le risque chimique (agents de guerre chimique ou toxiques industriels), le risque biologique (agent de guerre biologique ou agent naturel), le risque radiologique (retombées d’explosion nucléaire ou radio éléments industriels) et l’effet des rayonnements de l’arme nucléaire sur l’homme ;

■ à la surveillance de la prolifération biologique et chimique,

■ à la maîtrise d’ouvrage des moyens de défense NRBC des armées au travers de moyens de détection, de protection, de décontamination ; de renseignement, de constitution de preuves, d’aide au commandement ; ces moyens peuvent constituer des systèmes spécifiques ou être intégrés dans les systèmes d’armes ;

■ aux moyens médicaux servant au diagnostic et à la thérapeutique préventive ou curative contre les risques NRBC,

■ à l’élimination des armes chimiques anciennes et à la sécurisation et/ou dépollution des sites de stockage ou de fabrication d’armements anciens.

Les travaux de R&T visent à résoudre les problèmes de :

■ Détection à distance et détection locale

■ Identification biologique

■ Protection individuelle et collective

■ Protection RBC des sites sensibles

■ Décontamination

■ Contre-mesures médicales (Développement de vaccins, Anticorps à visée thérapeutique)

■ Neutralisation d’engins B&C improvisés

■ Architecture de protection de sites civils

■ Architecture des systèmes d’alerte et de commandement RBC

Systèmes et équipements concernés

■ Systèmes de défense NRBC

■ Système télé santé

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