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Explosion au 18ème RT


Davout

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Il y a quand même un effet de souffle et une gerbe de schrapnel due à l'éclatement de l'enveloppe, plus dispersion de métal en fusion. Ne pas oublier qu'on parle d'un milieu relativement confiné et non durci, normal qu'une charge antichar pulvérise la pièce.

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J'en ai entendu parlé mais je ne l'ai pas vu :'(

Ok, mais je n'ai rien vu à la tv n'étant pas chez moi.

Une roquette antichar, une grenade, un peu de tolite ou qq grammes de pentrite....  finalement peu importe le trophée de guerre ramené.

Si on devait rendre tout ce qu'on a trouvé en OPEX, il y aurait largement de quoi faire un coup d'état en France :lol:

et ben c'est vraiment a voir,meme une 5,56, sa perfore un mur si je me souviens bien, pareil pour un arbre alors bon...

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cela m'étonnerai que ce soit un rpg de n'importe quel version, car il sont connue pour leur second effet après impact et c'est belle et bien un effet incendiaire ( dite moi si je me trompe ( en c'est jamais ! ))

Mais une grenade ferais bien de tel effet entre l'effet de souffle et la défragmentation, de toute façon il doivent trouvé des bout de métal figé dans le mur si tel est le cas sinon cela risque fort bien d'être une rocket...

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cela m'étonnerai que ce soit un rpg de n'importe quel version, car il sont connue pour leur second effet après impact et c'est belle et bien un effet incendiaire ( dite moi si je me trompe ( en c'est jamais ! ))

tu te trompes, ca brule si y a quelques chose a bruler ... un RPG qi tombe verticalement va te faire un joli trou, va cribler tout le sol est le bas de mur, et mutiler les jambes des gens autour.

Mais une grenade ferais bien de tel effet entre l'effet de souffle et la défragmentation, de toute façon il doivent trouvé des bout de métal figé dans le mur si tel est le cas sinon cela risque fort bien d'être une rocket...

Les militaires dans le bureau sont pas morts ils savent bien ce qui a peter ... si on te dis que c'est une rocket antichar.

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Je cite: " munition inconnue ; touche à ton cul,

munition connue, touche aussi à ton cul"

Le parquet de Caen a confié l'enquète à la gendarmerie, l'IRCGN est aussi sur place, le DPSD est déja sur l'affaire ( bien sur ) et une cellule d'aide psy' a été déployé sur le site.....

Une véritable chasse aux sorcière s'articule pour déboucher, en dehors du drame humain, sur un fait avéré au sein des régiments et services : les bureaux et armoires divers ainsi que les cantines indivi' abritent des munitions ....

Serait-ce nouveau ? Ce phénomène monterait-il en puissance ? Et pourquoi ?

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Tout ca me rappelle la video ou l'RPG explose dans les mains d'un insctructeur de l'EST, la c'est le plafon et le sol qui sont detrutuis. Faut croire que c'est des choses qei arrivent :s. PAr contre s'ils disent que c'est la grenade qui a soufflé le bureau et puis ils disent que c'est une roquette, ce que y a les deux donc.

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Roquet Propelled Grenade.

Je cite: " munition inconnue ; touche à ton cul,

munition connue, touche aussi à ton cul"

Ca me dit quelque chose cette petite phrase  ;)

Le problème pouvait être négligé tant que les gars ramenaient des armes légères comme des pistolets ou des fusils, la puissance de feu est limitée mais là on à un RPG qui plus est un RPG qui explose à la gueule de quatre personnes (C'est presque miraculeux qu'il n'y ait pas de mort!) donc forcément les questions se posent et on en vient immanquablement à se poser cette question, est ce que ce ne serait pas un moyen pour des gens malhonnête de se fournir en matériel lourd?

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Je cite Ouest France ;

« Que faisait une munition dans un bâtiment administratif · » Cette interrogation de François Nicot, procureur de la République de Caen, sera l'une des questions que devront résoudre les gendarmes, chargés de l'enquête. A l'heure de l'explosion (lire « Ouest-France » d'hier) quatre sous-officiers se trouvaient dans une vaste pièce du second étage d'un bâtiment du 18e régiment de transmissions à Bretteville-sur-Odon.

Ramenée d'une mission à l'étranger, une roquette aurait été déposée sur une table. « Elle ne fait pas partie de la dotation de ce régiment de l'armée de Terre », souligne François Nicot. D'un geste malencontreux, un militaire aurait fait tomber la munition anti-chars, aussi appelée charge creuse. L'engin resté actif, destiné à percer un blindage, est tombé sur l'ogive actionnant l'amorce. Une partie de la roquette, le dare, a troué le plancher, avant de traverser l'étage inférieur et d'atterrir au sous-sol en formant un cratère.

La déflagration a soufflé les fenêtres, mais aussi « toutes les briques plâtrières : il n'y a plus de cloison entre le couloir et la pièce », précise François Nicot. Les armoires métalliques ont été criblées d'impacts métalliques. Les mêmes qui ont blessé les quatre militaires : un sergent-chef de 22 ans et trois adjudants de 37 ans, hospitalisés au CHU de Caen. Le premier a été amputé des deux jambes ; un autre l'a été d'un membre inférieur hier. Les médecins estiment leur état toujours critique.

Le 18e RT se remet difficilement de ce drame. Une cellule psychologique devrait être mise en place lundi. Spécialistes de l'explosif et des armes, les gendarmes de l'Institut de recherche criminelle sont arrivés sur place hier matin. L'après-midi, une équipe du Service de déminage interdépartemental s'est chargée d'examiner caisses, armoires... pour vérifier que d'autres munitions actives ne s'y trouvaient pas.

« Ce n'est pas parce qu'on est militaire qu'on a le droit de détenir des armes de guerre sans légitimité, rappelle le procureur de la République. Il faudra qu'on voit si le commandement connaissait l'existence de cette arme. » Une recherche de responsabilité pourrait aussi aboutir sur des poursuites pour « mise en danger de la vie d'autrui ayant occasionné des blessures ».

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