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Lancement le 10 octobre dernier de l'équipage de relève de l'ISS

Soyouz TMA 11

Image IPB

Prochain lancement: le 23 octobre 1007

STS-120

Mission principale: mise en place du nouveau noeud d'amarrage Node-2 (Harmony)

Durée de la mission: 14 jours avec atterissage à Cap Canaveral

Image IPB

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"Retour mouvementé pour un vaisseau Soyouz"

Ses passagers ont découvert les joies de la "descente balistique", mais sont sains et saufs.

Le retour sur Terre, hier, d'un vaisseau Soyouz a été mouvementé. La capsule, qui devait se poser au Kazakhstan, de retour de la Station spatiale internationale (ISS), en direction de laquelle elle avait décollé le 10 octobre depuis le cosmodrome russe de Baïkonour, a effectué une descente plus raide que prévu à la suite d'un incident technique. La capsule TMA 10 a dévié de la trajectoire établie, effectuant ce que l'on appelle une « descente balistique », pendant laquelle les passagers sont soumis à un freinage plus fort que la normale. Ses trois passagers, les Russes Fedor Iourtchikhine et Oleg Kotov, arrivés en avril à bord de l'ISS, et le Malaisien Sheikh Muszaphar Shukor, qui faisait partie de l'équipage du 10 octobre, ont néanmoins atterri sains et saufs.

source

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Au programme de STS-120: Ajout du module de liaison "Harmony", où viendra s'attacher le module Columbus lors de la prochaine mission, déplacement du mât P6 du centre de la station vers l'extremitée P5, avec le déploiement d'un troisième jeu de panneaux solaires.

A noter que la revue Espace Magazine va sortir un numéro spécial sur l'ISS, le 17 Novembre prochain.

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Lancement réussi de STS-120 à la seconde près !

Prochain lancement de navette:

STS-122 avec 8 hommes d'équipage dont le francais Léopold Eyharts.

Voici sa biographie (en anglais): http://www.jsc.nasa.gov/Bios/htmlbios/eyharts.html

Mission: Amarrage à ISS du module scientifique européen Columbus.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Laboratoire_europ%C3%A9en_Columbus

http://www.capcomespace.net/dossiers/ISS/europe/index.htm

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merci pour la photo,sur le net il y en a tellement qu'on ne sait pas pas si c'est des illustration futur ou pas,par contre j'avais vue un reportage sur le montage de la station il n'arrête pas de déplacer les antenne des qu'il y a un nouveaux module qui vient s'accrocher 

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lol

En tout cas c'est pas nous qui avions embarqué des stylos à bille dans l'apesanteur.

Tiens ;) :

http://www.poljot.ch/france/

http://www.russian-time.com/index_e.htm

Sachant tout ce que j'ai deja depensé dans les reparations de ma Festina, j'aurai pu me prendre le model edition limitée Spetsnaz Groupe Alpha.

http://www.russian-time.com/catalog_e/?page=1&idrubr=248

La montre n'est pas une version marketing mais une vraie montre offerte à tous les membres de Alpha. 350 d'ailleurs est le nombre d'agents en service. Mais bon la FEstina a été offerte à mes 18 ans du coup je dois la reparer tant qu'elle ne claque pas definitivement.

LE russe qui a deux montres doit avoir la montre russe, peut etre une Poljot, premiere montre russe dans l'espace et une offerte par les ETats Unis, Omega peut etre, mais j'en sais rien si les deux pays ont changé leurs habitudes depuis.

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Article extremement intéressant pour l'avenir a long terme d'ISS:

La question pourrait être formulée autrement : qui pourra-t-on voir demain à bord de l’ISS ? En fait, l’avenir de ce complexe orbital international unique en son genre est intimement lié à cette question. La perspective de conserver la composition actuelle de l’équipe travaillant sur la station n’est pas radieuse. A vrai dire, il n’y a en fait aucune perspective de ce côté-là. Et ce n’est pas tout. Les principaux patrons de l’ISS - les Russes et les Américains - ne sont pas intéressés, chacun à leur manière, à un travail ultérieur à bord de la maison orbitale qui reste commune, pour le moment.

A première vue, s’agissant de la Russie, cette dernière affirmation peut apparaître comme un sacrilège. Mais le problème n’est pas simple. Néanmoins, commençons par l’Etats-Unis.

Dimanche 12 août n’a pas été le jour le plus heureux pour le programme Space Shuttle, réactivé au prix de grands efforts. L’analyse effectuée a montré que l’ampleur des dommages subis peu après l’envol d’Endeavour est plus grave qu’on ne le pensait. Espérons que la navette achèvera ce vol sans problème. Une chose est sûre, cela ne rendra pas les Américains plus optimistes lors de la préparation des 11 autres missions de navettes prévues par le programme de l’ISS.

Nos partenaires (les Américains, ndlr.) ne rusent certainement pas en affirmant avoir l’intention d’achever le déploiement du complexe avant octobre 2010, date qui doit marquer l’abandon du programme de navettes. Mais l’apparition de difficultés insurmontables est toujours possible. Par exemple, le revêtement thermique est souvent abîmé, ce qui est évidemment dangereux. Cela se produit, dans telle ou telle mesure, au cours de chacun des vols des navettes dans l’espace.

Il se peut que les Américains ne puissent pas, pour des raisons purement techniques, poursuivre leurs efforts pendant encore deux ans et demi et qu’ils décident, très prochainement, de laisser leurs navettes définitivement au sol. A vrai dire, rien n’indique que ce scénario influera négativement sur l’astronautique du Nouveau Monde, entre autres, sur ses vols habités.

Par Andreï Kisliakov, RIA Novosti

Le fait est que, comme l’a maintes fois déclaré Michael Griffin, directeur de la NASA, l’objectif stratégique du programme des vols américains est d’étudier l’espace situé au-delà de l’orbite circumterrestre. Autrement dit, le projet ISS n’est plus une priorité pour le programme spatial américain. Sur le plan tactique, une information, publiée en juin, selon laquelle Roskosmos (Agence spatiale russe) et la NASA se sont mis d’accord sur un plan d’exploitation de la station pour "trois à quatre ans" n’est pas sans intérêt. Mais les Américains n’ont pas l’intention de changer de stratégie.

Quant aux revers techniques des navettes, d’une part, ils mettront fin prématurément au programme et libéreront les 4 milliards de dollars annuels si nécessaires à la création du nouveau vaisseau Orion et, de l’autre, ils contraindront la NASA à revoir le programme d’utilisation de ses astronautes. Si les événements prennent cette tournure, on ne peut pas être certain que l’Agence spatiale américaine restera attachée aux vols vers l’ISS.

Essayons de trouver une raison un tant soit peu digne des Américains de poursuivre leur participation à ce programme. Les études communes avec la Russie ? Ce programme est restreint. Les expériences scientifiques américaines ? Leur volume est déjà insignifiant, de plus, il faut commencer à préparer dès demain les voyages vers la Lune et Mars que nos partenaires (les Américains, ndlr.) considèrent probablement déjà comme leur fief. Dans ce cas, leur absence sur l’ISS est loin d’être pour eux une catastrophe, pour ne pas dire plus. Restent les engagements envers les partenaires. Mais il y a tout de même un cas de force majeure...

Pour la Russie, au contraire, l’ISS est tout ce qu’elle possède dans le domaine jadis immense de la cosmonautique habitée. La perte de la station serait, on peut l’affirmer sans crainte d’exagérer, un coup tragique porté à tout le secteur spatial russe. Mais une question se pose : si elle est conservée, ce qui, en fait, n’est pas sujet à discussions, que faire ensuite et surtout comment ?

Ces deux prochaines années, nous n’aurons ni de Kliper, ni d’Orion. Par conséquent, seuls les vaisseaux Soyouz et Progress vont transporter les équipages et les cargaisons à l’ISS. Il est difficile, dans ce cas, de parler d’un accroissement du nombre de missions. C’est un fait connu que l’un des trois cosmonautes-astronautes travaille, pour l’essentiel, à remédier à toutes sortes de pannes qui surgissent à bord de l’ISS. Peut-on parler alors d’explorations sérieuses ? D’ailleurs, il n’y a pas de programmes scientifiques nationaux appréciables pour l’ISS. Plus précisément, ils existent évidemment sur le papier. Mais cela ne suffit pas, loin s’en faut.

Une autre circonstance oblige à qualifier la situation de la Russie concernant la Station spatiale internationale de désespérée. Fin 2005, les Américains ont consenti à payer les places de leurs astronautes à bord des vaisseaux Soyouz. Ensuite, en fonction de la situation de son programme Space Shuttle, la NASA peut envisager l’achat de vaisseaux Soyouz pour ses propres besoins afin d’envoyer ses astronautes dans l’espace. Dans les ateliers situés dans les environs de Moscou, on construira ces vaisseaux infaillibles qui volent depuis des dizaines d’années. Le travail sera donc assuré.

Mais c’est un travail du passé. Entre-temps, les Américains construiront et essaieront leur Orion et d’autres appareils prometteurs. La Chine et l’Inde mettent en oeuvre en régime accéléré leurs programmes de vols habités en profitant, d’ailleurs, des dernières réalisations mondiales.

Dans ce cas, qui pourra-t-on voir demain à bord de l’ISS ?

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Espace Posté par Michel le Jeudi 1er Novembre 2007 à 00:00:51

Gros problème sur l'ISS: déchirure d'un panneau solaire

La NASA n'a vraiment pas de chance avec les panneaux solaires de la poutre P6. Après les difficultés rencontrées en décembre 2006 pour rétracter les panneaux solaires de la poutre P6, qui seront finalement rétractés sans problème au cours de la mission suivante en juin 2007 (STS-117), la NASA doit faire face à un nouveau problème, autrement plus grave.

la suite http://www.techno-science.net/?onglet=news&news=4695

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de ce coté là je ne pense pas qu'il y aura un problème.

A noter que l'astronaute francais Léopold Eyharts s'envolera à bord à bord d'Atlantis et restera plusiers mois à bord d'ISS pour s'assurer du bon fonctionnement de Columbus.

Et toujours coté européen,

Lancement d'ATV Jules Verne prévu le 31 Janvier par Ariane 5

http://www.capcomespace.net/dossiers/ISS/europe/index.htm

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