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La marine suisse ça existe ?


cvs

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l'armée suisse dispose de quelques vedettes lacustres il me semble, mais cela s'arrête là et c'est l'armée de terre qui se charge de les opérer.

Donc il n'y a pas de corps de marine, mais une marine existe quand même. J'ai bon là ?

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Chris, je soupçonne CVS de s'infiltrer par les lacs Léman, il va falloir être vigilant de Constance et Majeur.  :lol:

CVS = Castor, Venus, Saturn comme le nom de quelques-unes des vedettes côtières.

En plus c'est un très beau coin, j'y passerai bien quelques vacances.

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En plus c'est un très beau coin, j'y passerai bien quelques vacances.

Il y en a plus qui y restent,

http://www.lefigaro.fr/assets/pdf/richessuisses.pdf

La fortune totale des expatriès frôle les 50 milliards €, on a trouvé une source de financement innovant, une sorte de partenariat MN/privés aisés.

Chris, c'est un porte-avion sans S !

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dans le militaire, non, tu as trop abusé d'absinthe :lol:

mais par contre on a une barge porte-avions. La preuve:

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  :lol: :lol: :lol: :lol:

Image prise lors des journées de l'armée au tessin.

j imagine la decharge de G quand la catapulte entre en action ca doit donner le torticoli 0 a 300km/h sur 50 cm

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bah quoi, nos FA-18 se sentaient tristes à force d'être loin de l'eau. :lol:

conçus comme appareils embarqués polyvalents et performants ils se retrouvent à faire des missions de police du ciel à des centaines de km de tout océan.  :lol:

Sinon

Chris, c'est un porte-avion sans S !

On se moque pas, de toute façon, nous on a un porte-avion en service, tandis que vos trois porte-avions sont soit:

-pas construit.

-bon pour la casse.

-en réparation pour plus d'un an.

:lol: :lol: :lol: :lol:

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  • 1 year later...

http://www.hebdo.ch/Edition/2009-2/Actuels/suisse/la_marine_francaise_prete_a_integrer_les_soldats.htm

La Marine Française prête à intégrer les soldats suisses

Par Michel Guillaume, Titus Plattner

Exclusif. Si le Conseil fédéral confirme la participation des Forces spéciales suisses à la mission Atalante pour lutter contre la piraterie, la France devrait les accueillir.

Sur le plan militaire, l’essentiel est planifié: les hommes du DRA 10, le détachement de forces spéciales de l’armée suisse qui participerait à la mission de lutte contre la piraterie Atalante, devrait rejoindre le détachement de fusiliers marins français qui se trouve déjà sur place. Ne manque plus que la décision finale du Conseil fédéral, qui se prononcera lors de sa séance du 14 janvier. Dans les trois à cinq jours suivants, la troupe d’élite basée au Tessin partirait pour le golfe d’Aden. Le projet a été soumis le 7 janvier au nouveau chef du Département de la défense, Ueli Maurer. Il prévoit deux teams de sept spécialistes du DRA 10, accompagnés de cinq à dix personnes, qui assureraient le commandement et la logistique.

Leur intégration aux troupes françaises aurait lieu aussi bien en mer, sur l’une des frégates tricolores, que sur terre, au sein du campement français à Djibouti. A la fin de novembre, l’amiral Marin Gillier, commandant de la Force des fusiliers marins et commandos à Lorient, avait dit sa «disponibilité» à accueillir les Suisses qui participeraient à l’opération Atalante, selon une source au Département de la défense à Berne.C’est Jacques Dousse, ancien chef des Forces terrestres devenu attaché de défense à l’ambassade suisse de Paris, qui a servi d’intermédiaire. Le Fribourgeois refuse de confirmer l’information: «La seule chose que je puisse dire, c’est que j’ai bien vu l’amiral.»

Sarkozy sait aller vite. La Suisse dispose déjà d’un accord avec la France portant sur l’instruction des Forces spéciales. Il faudrait simplement ajouter un avenant à ce Memorandum of Understanding, afin de permettre une collaboration dans le golfe d’Aden. Cela peut se régler en deux à trois jours, estime Jacques Dousse: «Si le ministre de la Défense, Hervé Morin, le veut, il peut en parler très rapidement avec le président Sarkozy.» Le Royaume-Uni, l’Allemagne, la Grèce, l’Espagne, les Pays-Bas, la Belgique et la Suède participent ou participeront également à l’Eunavfor Somalie, mise sur pied pour lutter contre la piraterie au large des côtes somaliennes. Jusqu’à présent, les membres du DRA 10 ont le plus souvent travaillé avec les commandos français. Le dernier entraînement en commun s’est déroulé il y a deux mois à peine dans le Sud-Ouest de la France pendant deux semaines. Auparavant, les Français sont venus à plusieurs reprises au Tessin. Tous les membres du DRA parlent au moins le français, l’allemand et l’anglais. Et certains d’autres langues plus exotiques.

Dans le scénario d’une intégration aux troupes françaises, l’opération coûterait 8 à 10 millions de francs et s’étendrait jusqu’à la fin de 2009. En cas de prolongation de la mission en 2010, il faudrait une rallonge budgétaire. «Ce serait lourd, mais nous serions capables d’assumer un tel engagement», soutient une source proche du DDPS. Actuellement, le Détachement de reconnaissance d’armée 10 ne compte qu’une quarantaine de militaires, tous professionnels. L’effectif complet de 91 membres, qui avait été calculé pour mener simultanément plusieurs missions, ne sera atteint que dans cinq ou six ans.

Une collaboration avec d’autres nations serait également envisageable, mais elle serait plus compliquée et augmenterait probablement les coûts de l’intervention suisse. Quant à une action qui préserverait une certaine indépendance des unités suisses – en apparence du moins –, elle se monterait à 15 ou 20 millions de francs sur l’année 2009, selon les estimations encore «très floues» de l’état-major de conduite de l’armée.

Juristes et troupes sanitaires. Ce projet d’engagement répond à l’appel adressé au début de décembre par l’Union européenne. Comme la Suisse, neuf autres pays tiers ont été sollicités: la Norvège, le Canada, la Croatie, la Corée du Sud, le Japon, les Emirats arabes unis, la Turquie, l’Ukraine et la Malaisie. Le 16 décembre, tous ces pays étaient conviés à une conférence de coordination qui s’est tenue au quartier général de l’Eunavfor à Northwood, au sud de l’Angleterre, sur l’île de Wight. Côté suisse, c’est le divisionnaire Jean-Pierre Badet, représentant militaire au siège de l’OTAN, à Bruxelles, qui a fait le voyage. Il était secondé par un spécialiste du Département des affaires étrangères (DFAE).

Outre le besoin en Forces spéciales pour monter la garde sur les navires marchands les plus exposés lors des convois emmenés par une frégate militaire, d’autres contributions ont été demandées:

- des troupes sanitaires;

- des capacités de planification dans les états-majors;

- une expertise juridique dans le domaine très complexe du droit maritime international.

On peut imaginer que la contribution suisse concerne également l’un de ces domaines, estime un proche du dossier à Bruxelles. La piste d’une équipe de juristes envoyés à Northwood et financés par la Suisse est actuellement étudiée. On parle aussi d’une contribution suisse aux frais communs de l’Eunavfor, de l’ordre de 12 millions de francs. En tout, le budget à débloquer pour l’ensemble de la participation helvétique se monterait donc à 20 ou 25 millions.

Seulement voilà, comme pour l’engagement du DRA 10, l’affaire est éminemment politique, voire politicienne. Et c’est bien le problème, comme le déplorent plusieurs personnes travaillant sur le dossier.

Erreur du Conseil fédéral. «Il est regrettable que le Conseil fédéral ait donné son accord de principe le 19 décembre 2008, avant que les détails techniques et juridiques n’aient été clarifiés», estime l’une d’elles. Cela a permis à tous ceux qui sont opposés à un tel engagement de mettre des bâtons dans les roues, sans connaître l’arrière-plan de l’opération. Chez certains hauts gradés, les dissensions seraient particulièrement fortes. Il y aurait aussi une ou deux voix discordantes au DFAE.

Pour ne rien arranger, cette décision du Conseil fédéral a précédé de quelques jours seulement l’entrée en fonctions du nouveau chef du DDPS. Qu’ils l’aient fait intentionnellement ou non, ses collègues ont offert un cadeau empoisonné de bienvenue à Ueli Maurer, dont le parti n’est pas franchement favorable à un engagement militaire à l’étranger.

D’autant que Pascal Couchepin a jeté de l’huile sur le feu en évoquant le sujet lors d’une interview à la fin de décembre (il aurait été dépassé par l’ampleur de la réaction à ses propos) et que Micheline Calmy-Rey vient de participer à une émission sur la question à la télévision alémanique.

L’UDC parle déjà de scandale et le Parti socialiste se montre pour le moins sceptique. Les débats au Parlement seront tendus au début du mois de mars, lorsqu’il s’agira de faire valider a posteriori l’éventuel engagement suisse au sein de l’Eunavfor.

Argumentation à clarifier. D’ici là, le Conseil fédéral devra également revoir son argumentation. Pour l’instant, il invoque avant tout la protection des 35 bâtiments naviguant sous pavillon helvétique. Seulement voilà, sur un trafic mensuel de 2000 bateaux entre la Corne de l’Afrique et le canal de Suez, seulement un à quatre navires portent les couleurs suisses. Les détourner par le sud, via le cap de Bonne-Espérance, coûterait probablement moins cher (environ 500000 francs par navire), que les 20 à 25 millions nécessaires à l’opération Atalante. D’autant que, avec la récession économique, le nombre de passages baissera encore.

Le véritable enjeu tient à la solidarité que la Suisse témoigne concrètement pour la résolution d’un problème de dimension internationale. La Suisse, qui profite autant que les autres de l’essor du trafic maritime, peut-elle rester à l’écart? En deuxième lieu, il s’agirait également d’une manière peu onéreuse de faire un pas en direction de l’Union européenne. Dans le contexte où les discussions avec l’UE sont de plus en plus tendues (différend fiscal, etc.), cela donnerait un peu de lest aux négociateurs helvétiques.

Reste à savoir si l’envoi de quelques soldats d’élite dans le golfe d’Aden est la façon la plus habile de répondre à ces questions.

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ce qui risque d'être drôle, c'est qu'à mon avis, 80% des membres du DRA sont des suisses allemands. :lol:

bonjour les problèmes de traduction instantanés, même si nos soldats d'élite doivent un peu se débrouiller en français et en anglais.  :lol:

sinon, pour les autres domaines,

je doute que l'armée suisse voir le DFAE (département des affaires étrangères) ait de grandes compétences en droit maritime. :lol:

pour les troupes sanitaires, j'ai quelques doutes sur la disponibilité de professionnels, vu que générallement, dans les infirmeries militaires, c'est soit des médecins et infirmières civils, soit des officiers (médecin) ou des soldats (soldat d'hopital ou sanitaire, c'est selon) en cours de répétition, les professionnels étant plutot affectés à l'instruction... Et envoyer des soldats de milice n'est probablement pas envisageable, surtout que, pour l'instant, on peut difficilement forcer un soldat de milice a être déployé à l'étranger (en temps de paix bien sûr...).

par contre, pour le dernier domaine, ça doit être faisable, vu qu'on avait déjà envoyé quelques officiers en Afghanistan, par exemple.

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ce qui risque d'être drôle, c'est qu'à mon avis, 80% des membres du DRA sont des suisses allemands. :lol:

bonjour les problèmes de traduction instantanés, même si nos soldats d'élite doivent un peu se débrouiller en français et en anglais.  :lol:

Tu avais pourtant la réponse dans l'article suisse.  ;)

La Suisse dispose déjà d’un accord avec la France portant sur l’instruction des Forces spéciales. Il faudrait simplement ajouter un avenant à ce Memorandum of Understanding, afin de permettre une collaboration dans le golfe d’Aden. Cela peut se régler en deux à trois jours, estime Jacques Dousse: «Si le ministre de la Défense, Hervé Morin, le veut, il peut en parler très rapidement avec le président Sarkozy.» Le Royaume-Uni, l’Allemagne, la Grèce, l’Espagne, les Pays-Bas, la Belgique et la Suède participent ou participeront également à l’Eunavfor Somalie, mise sur pied pour lutter contre la piraterie au large des côtes somaliennes. Jusqu’à présent, les membres du DRA 10 ont le plus souvent travaillé avec les commandos français. Le dernier entraînement en commun s’est déroulé il y a deux mois à peine dans le Sud-Ouest de la France pendant deux semaines. Auparavant, les Français sont venus à plusieurs reprises au Tessin. Tous les membres du DRA parlent au moins le français, l’allemand et l’anglais. Et certains d’autres langues plus exotiques.

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