Aller au contenu
Fini la pub... bienvenue à la cagnotte ! ×
AIR-DEFENSE.NET

Benazir Bhutto est morte


Invité barbaros pacha

Messages recommandés

  • Réponses 71
  • Created
  • Dernière réponse
Invité barbaros pacha

Pakistan : Benazir Bhutto tuée dans un attentat

Image IPB

La dirigeante de l’opposition pakistanaise et au moins une vingtaine d’autres personnes ont été tuées. Le kamikaze a fait exploser sa bombe quelques minutes après la fin d’un rassemblement politique de l’ancien Premier Ministre, à Rawalpindi, près d’Islamabad.

Pour la seconde fois en quelques mois, Benazir Bhutto a donc été la cible d’un attentat. Cette fois, elle n’aura pas survécu à l’attaque.

Aujourd’hui, c’est quelques minutes après un discours devant des milliers de partisans que l’attentat s’est produit. Benazir Bhutto venait de quitter en voiture le parc de Liaqat Bagh lorsque l’explosion a eu lieu. Un représentant de la police a précisé qu’il s’agissait d’un attentat-suicide.

Benazir Bhutto a été tuée, selon le porte-parole du ministère de l’Intérieur. Une vingtaine de personnes seraient aussi mortes, selon les décomptes des journalistes sur place.

L’ancien Premier Ministre faisait campagne pour les élections législatives de 2008. Après huit années d’exil à Londres, elle était revenue au Pakistan le 18 octobre dernier. Le jour même, alors qu’elle était en route pour la capitale, elle a été la cible d’un attentat-suicide. 136 personnes avaient été tuées dont au moins 50 des gardes de sécurité de son parti et 6 policiers.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité barbaros pacha

hum ca doit bien arranger Musharaff cette histoire ......

alors islamiste ou islamiste téléguidé par l'ISI ou ISI tout court pour les responsables ?

Je pense que c'est l'ISI...l'ISI est dirigé par les Islamistes et par Mousharaf, il se partage le pouvoir...

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Je ne pense pas.Il y a déjà des debordements dans les villes.

Mushararraf n'a pas grand chose à gagner dans l'histoire alors qu'il negociait pour s'arranger avec elle.On ne saura jamais, les liens entre islamistes et l'ISI sont connu et difficile à cerner.Alors qui sait?Mais un ordre direct de Mushie c'est dur à avaler, il n'y gagne pas beaucoup de chose.Cela risque même d'être sa fin si la situaton se degrade.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

D'accord avec ZeusIrae, Musharraf n'est peut-être que le dindon de la farce dans cette histoire. Il a toujours voulu se débarrasser de Bhutto mais pouvait le faire en la remettant dans l'avion et retour à Dubaï. Inutile d'en faire une martyre. De plus il est aujourd'hui dirigeant civil et non plus militaire, cela, en partie sous la pression US qui voulait lui adjoindre Bhutto comme premier ministre.

L'armée qui détient le pouvoir avec quelques ploutocrates discrets voyait d'un très mauvais oeil le retour de Bhutto qui leur avait déclaré la guerre depuis l'assassinat de son père dans un simulacre de procès organisé par les militaires.   

Voici donc Bhutto disparue, son parti en déroute juste avant les élections. Musharraf descendu de son piedestal militaire.

Reste les militaires, quelques illuminés fondamentalistes et quelques pôles d'influences (industrie, commerce, etc...). En fait c'est tout un système qui s'est mis en marche contre Bhutto.

Bien sûr, un acte isolé d'un illuminé peut être envisagé mais c'est hautement improbable. Un illuminé téléguidé par d'autres gens beaucoup moins motivés par la religion que par leur propre religion du pouvoir et de la corruption. Bhutto était une femme (et se montrait tête découverte devant les fondamentalistes), voulait changer le système, instaurer une vraie démocratie et inféoder le pouvoir militaire au pouvoir politique. Elle représentait de plus l'occident car le soutient des Etats-Unis était tellement évident que cela a peut-être été un facteur qui a acceléré sa chute.

Musharraf devrait ré-instaurer l'état d'urgence et purger ce qui restera des 35% de Pakistanais acquis à la cause de Bhutto. Peut-être aussi remettre ses galons... à moins qu'il ne soit lui aussi assassiné dans l'intervalle. Ce n'est pas à exclure.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

D'accord avec Perry et Zeus.

Pour Mush BB était une porte de sortie imposée par Washington mais qui seule lui permettait de sortir de l'impasse.

Ce meurtre est selon moi dirigé CONTRE Mush et les américains.

Soit les radicaux pro soutien aux talibans (alors que Mush s'en détourne) soit les durs de l'ISI (les mêmes que les autres) peu désiruex de voir l'armée et les services secrets perdre la main.

Le Pakistan a perdu son âme en soutenant mordicus les talibans pour disposer d'un régime "à sa main" en A-stan et acquérir sa sacro sainte "profondeur stratégique" face à l'Inde. Aujourd'hui le pays est complètement miné par l'intégrisme et l'héroïne. Dont le Pakistan est en train de devenir le premier consommateur mondial... La came vient de tout près.

Ce n'est pas en A-stan que se situe aujourd'hui la menace islamiste mais au Pakistan...

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Et merde...

Quel pays de cons franchement.

De quel droit tu te permet de lancer de telles insultes ??

Sinon même si l'ISI est soupconnée dans l'histoire. Je ne pense eu egard au modus operandi (balle dans la tête + explosion kamikaze) qu'il faut plutot aller voir du coté d'al qaida. Benazir Bhutto etait encore plus détesté que musharraf, les fondamentalistes voulaient sa mort. Elle devait mourrir, même si ils devaient s'y prendre 100 fois avant qu'elle trepasse.

Maintenant ca risque de partir en vrille. J'espere que musharraf a encore un soutien effectif de l'armée sinon il risque d'y avoir beaucoup de mort...

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Ce qui semble assez clair vu les articles qui viennent de sortir c'est qu'une bonne partie de la population risque de tenir Musharraf pour responsable de la situation.Une solution rapide mais qui ne sera sans doute assez insatisfaisante serait que l'armée vire Mushie et le remplace par une personnalité un peu plus neuve.Mais Musharraf, je pense que les chefs de l'armée serait assez mal inspirer de le garder si ils ont quelqu'un de disponible pour le boulot.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

c'est clair que la lutte politique se fait d'une drole de facon au pakistan!!  :O

j'ai entendu a la télé que son allié de l'oppostition (une grande figure politique lui aussi) avait rechappé a un attentat le même jour, ce qui indique une volonté de décapiter l'oppostition (et la question de l'implication de ISI)

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

J'imagine que c'est pas bien dur de faire revendiquer ca pour un autre..

La méthode ressemble a la méthode islamiste mais bon..

Ça réduit considérablement le choix pour les pakistanais, une nucléo république islamiste, pro terrorisme.

Ou une dictature militaire qui ne fera que renforcer le 1er choix quoi qu'il arrive...

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Le Pakistan abrite les QG opérationnels d'AL QUAIDA et des taliban

L'armée et l'ISI sont minés par le fondamentalisme religieux et notament les cadres (sous officiers, officiers subalternes)

La majorité de la logistique de l'ISAF engagée en A-stan passe par le Pakistan

Le Pakistan est une poudirère dont la classe politique et l'administration sont minées par la corruption

les inégalités sont énormes, la pauvreté et le manque d'éducation sont importantes

les drogues dures commencent à y faire des ravages....

L'essentiel de la logistique et de la direction politique du terrorisme islamiste est au Pakistan

CEt évènement s'il dégénère va obliger les occidentaux américains en tête à revoir leur stratégie...

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Le petit probléme en cas d'intervention, c'est qu'il s'agit d'un pays de 170 millions d'habitants, plus que la Russie.

Déja qu'au "minuscule" Liban, l'ONU est dépassé, la c'est totalement ingérable si l'Etat fait ''faillite''. Récupérer l'arsenal nucléaire, sécuriser les centres de recherche et de production de son CMI et quelques lieux stratégiques comme les ports et aéroports, c'est tout...

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité barbaros pacha

Le chef présumé d'Al-Qaida au Pakistan nie avoir commandité l'assassinat de Benazir Bhutto

Le ministre de l'intérieur pakistanais, Hamid Nawaz, a dit avoir "la preuve qu'Al-Qaida et les talibans sont derrière l'attentat-suicide qui a tué Benazir Bhutto". Lors d'une conférence de presse, vendredi 28 décembre, les autorités pakistanaises ont affirmé qu'un appel téléphonique d'un chef taliban proche de la nébuleuse islamiste a été intercepté après l'assassinat de l'ancienne première ministre.

Dans cet appel, Baitullah Mahsud, un chef de tribu taliban basé dans la région du Sud-Waziristan, a félicité ses hommes pour avoir perpétré l'attentat, selon le ministère. Islamabad affirme que le même homme, très recherché par la police, était déjà à l'origine de l'attentat ayant visé Mme Bhutto, le 18 octobre, et qui s'est soldé par la mort de 139 personnes. Baitullah Mahsud, chef présumé d'Al-Qaida au Pakistan, avait déjà proféré de nombreuses menaces contre l'opposante pakistanaise, coupable à ses yeux de s'être rapproché de Washington.

VERSIONS CONTRADICTOIRES

C'est "une preuve irréfutable qu'Al-Qaida, ses réseaux et ses troupes tentent de déstabiliser le Pakistan", a déclaré le général Javed Cheema, porte-parole du ministère de l'intérieur.

Le porte-parole de Baitullah Mehsud a répondu que le chef talilban n'est pas impliqué dans l'attentat. "Je le démens fermement. Les tribus ont leurs propres règles. Nous ne nous en prenons pas aux femmes", a déclaré par téléphone Maulvi Omar, porte-parole de M. Mehsud.

Washington n'a pas voulu confirmer les accusations d'Islamabad, affirmant que ses services "continuent à examiner la question". "Il y a eu de nombreuses revendications", a confié Scott Stanzel, porte-parole de la Maison Blanche. 

M. Cheema a également diffusé lors de la conférence de presse une vidéo des derniers instants de Benazir Bhutto, affirmant que l'ancienne première ministre est morte des suites d'une blessure au crâne. Alors qu'elle se trouvait debout dans son véhicule blindé, saluant ses partisans, elle aurait heurté un levier du toit ouvrant de son véhicule sous le souffle de la déflagration.

Le ministère de l'intérieur insiste sur le fait que Benazir Bhutto ne portait aucune trace de balle ou de débris sur son corps. Les images diffusées par le ministère de l'intérieur semble pourtant montrer un homme armé, et au moins un coup de feu. Selon des médecins de l'hôpital de Rawalpindi, où Mme Bhutto est décédée, elle aurait reçu deux balles, dont l'une à la base du cou et l'autre à l'épaule qui serait ressortie par la poitrine. Ils affirment qu'elle aurait succombé à la première, qui a gravement endommagé sa moelle épinière.

"UN TAS DE MENSONGES"

Farook Naik, proche collaborateur de Benazir Bhutto et haut responsable du Parti du peuple pakistanais, a vivement dénoncé la version donnée par le gouvernement pakistanais."C'est sans fondement. C'est un tas de mensonges", a-t-il déclaré. "Deux balles l'ont touchée, une dans l'abdomen et une dans la tête. (...) Le secrétaire personnel de [Mme] Bhutto, Naheed Khan, et le responsable de son parti, Makhdoom Amin Fahim, se trouvaient dans la voiture et ont vu ce qui s'est passé". Farook Naik a lancé : "C'est une sérieuse défaillance de la sécurité" des forces pakistanaises, chargées de protéger Mme Bhutto. "Le gouvernement affirme maintenant que Baitullah Mehsud est responsable", a déclaré M. Naik à l'AFP. "Où sont les preuves ?"

Le Pakistan semble au bord du chaos. Les forces de l'ordre ont reçu vendredi la consigne de tirer à vue dans la province du Sind, après des violences sporadiques dans tout le pays qui ont fait au moins 33 morts.  24 personnes ont été tuées dans la province du Sind, le bastin de Benazir Bhutto dont Karachi, mégalopole de 12 millions d'habitants, est la capitale. 8 autres personnes ont péri dans l'explosion d'une bombe dans la province de la frontière du Nord-Ouest, dont un membre du parti de Pervez Musharraf. Une autre personne a trouvé la mort dans la province du Pendjab.

Le Monde

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Ingrid Betancourt, candidate à la présidence en Colombie. Se retrouve enlevée par les FARC de manière providentielle pour le président actuel qui dit bien entendu ne pas ménager ses efforts pour la faire libérer... On le croirait presque.

Benazir Bhutto, candidate à la présidence au Pakistan. Se retrouve mise sur la touche par des "intégristes proches d'Al Qaida" peu de temps avant les élections. Bien entendu le président Musharraf fera tout ce qui est en son pouvoir pour faire toute la lumière sur cette affaire. Bien entendu il n'y a aucune chance que ce soit des hommes de l'ISI qui aient commandité voire perpétré cet attentat, aucune chance que ce soit du fait de l'absence de protection rapprochée malencontreusement refusée à de multiples reprises par le président Musharraf...

Il y a des parallèles intéressants.

Autre fait intéressant, le retour de la magic bullet. Selon certain c'est le toit ouvrant qui l'a tuée, pour d'autres l'explosion, et pour ceux qui parlent de balles, on a droit à des projectiles assez joueurs pour changer de trajectoire selon les témoins.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Violences au Pakistan, Al Qaïda dément avoir tué Benazir Bhutto

par Zeeshan Haider

ISLAMABAD (Reuters) - Al Qaïda dément être impliqué dans l'attentat qui a coûté la vie à l'ancien Premier ministre Benazir Bhutto au Pakistan, où les violences se sont poursuivies samedi pour la troisième journée consécutive.

Les autorités d'Islamabad et le parti de l'opposante assassinée sont en désaccord sur les circonstances exactes qui lui ont coûté la vie.

La mort de Bhutto et la vague de violence qui a suivi font planer un doute sur la tenue des élections législatives le 8 janvier prochain, même si le gouvernement a assuré que le calendrier prévu serait tenu.

Dans la province du Sindh, d'où était originaire l'ancien Premier ministre, une dizaine de bureaux de la commission électorale ont été incendiés et du matériel a été détruit, notamment des listes électorales. La commission tiendra une réunion d'urgence lundi.

Pour de nombreux observateurs, le maintien du scrutin à la date prévue ne fera qu'aggraver les tensions.

Le Premier ministre Mohammadmian Soomrom consultait samedi les formations politiques mais le parti d'opposition de Nawaz Sharif, un ancien Premier ministre récemment rentré d'exil comme Bhutto, a déjà fait savoir qu'il boycotterait les élections.

Sharif a rencontré samedi le mari de Bhutto, Asif Ali Zardari, qui pourrait succéder à sa femme à la tête du Parti du peuple pakistanais (PPP), afin de lui exprimer sa sympathie et tenter de le convaincre de suivre l'exemple de sa formation en refusant de participer aux législatives.

La direction du PPP se réunira dimanche pour prendre une décision. Le testament de Bhutto sera lu à cette occasion.

Les violences qui ont éclaté dans le pays après la mort de Bhutto jeudi ont fait jusqu'ici 42 morts, dont un membre du PPP abattu par des hommes armés samedi à Karachi. La victime revenait du mausolée où Bhutto a été inhumée vendredi.

Les forces de sécurité ont tué deux autres militants du PPP lors d'une manifestation près d'Hyderabad.

Quadrillés par la police et les forces paramilitaires, les quartiers sud de Karachi, capitale de la province de Sindh, étaient quasi déserts. Les magasins et les stations-service étaient fermés, la ville observant trois jours de deuil.

POLÉMIQUE SUR LES CIRCONSTANCES DE LA MORT

Les carcasses de voitures incendiées, notamment des ambulances, et les débris de verre témoignaient de la violence des heurts qui ont éclaté dans la ville jeudi soir et vendredi.

Un porte-parole de Baitullah Mehsud, dirigeant d'Al Qaïda au Pakistan, a affirmé que celui-ci n'était pas impliqué dans l'assassinat de Bhutto, contrairement à ce qu'affirme le gouvernement de Pervez Musharraf.

"Je le démens fermement. Les tribus ont leurs propres règles. Nous ne nous en prenons pas aux femmes", a déclaré Maulvi Omar. Mehsud, l'un des activistes les plus recherchés au Pakistan, se trouverait au Sud-Waziristan, près de la frontière afghane.

Le gouvernement pakistanais l'a accusé vendredi d'être l'instigateur de l'attentat. Le ministère de l'Intérieur a déclaré que les autorités avaient intercepté un message où Mehsud félicitait ses hommes pour avoir commis l'attentat.

Le PPP conteste également cette version des faits, ainsi que les circonstances exactes de la mort de sa dirigeante.

Selon une de ses collaboratrices, qui a lavé le corps de l'ancien Premier ministre avant l'inhumation, Benazir Bhutto a été atteinte d'une balle à la tête.

Elle a qualifié de "ridicule" la version du gouvernement selon lequel elle serait morte d'une fracture du crâne après s'être cognée au toit ouvrant de sa voiture blindée au moment de l'explosion.

Sherry Rehman, porte-parole du PPP, a raconté qu'elle se trouvait dans une voiture derrière celle de Bhutto lorsqu'un kamikaze a tiré à plusieurs reprises en direction de l'ancien Premier ministre puis a fait exploser la charge qu'il portait sur lui.

"Elle a reçu une balle à l'arrière de la tête, du côté gauche. La balle est ressortie de l'autre côté. C'était une très grande blessure qui la faisait saigner abondamment", a déclaré Rehman, elle-même blessée lorsqu'elle a été éjectée de son véhicule par le souffle de l'explosion.

Rehman n'a pas vu le kamikaze car elle regardait dans une autre direction juste avant l'explosion. Elle et un de ses collègues venaient juste de remarquer qu'ils étaient entourés de visages inconnus. "Nous avons soudainement vu des gens qui nous étaient inconnus portant des badges de Bhutto", a-t-elle expliqué.

Le porte-parole du ministère de l'Intérieur, Javed Iqbal Cheema, a affirmé que la version du gouvernement reposait sur le rapport médical et sur des éléments recueillis sur les lieux de l'attentat.

"Si le PPP le veut, le corps peut être exhumé et autopsié", a-t-il dit.

Les médecins, à la demande de la famille, n'ont pas pratiqué d'autopsie de l'ancien Premier ministre avant les funérailles, a-t-on précisé de source autorisée.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Pour Berkut, il ne faut pas tout mélanger, ce n'est pas le gvt Colombien qui retient Berancourt mais bien les FARC, si ces débiles profond kidnappeurs d'enfants (en étant polit) sont assez crétin pour faire le jeu d'un gouvernement qu'ils combattent, tant mieux pour le dit gouvernement  >:(

Pour Mme Bhutto, avec cette tradition musulmane d'enterrer les corps le plus rapidement possible, il n'est pas étonnant que l'expertise scientifique ne soit pas digne des séries policiéres.  :P

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

L'opposant pakistanais Nawaz Sharif participera aux législatives si le parti de Mme Bhutto le décide aussi.

ISLAMABAD (AP) -- Le parti de l'ancien Premier ministre pakistanais Nawaz Sharif annonce dimanche qu'il participera aux élections législatives prévue en janvier si le parti populaire du Pakistan (PPP) de Benazir Bhutto décide de ne pas boycotter le scrutin.

«Nous participeront vraiment aux élections sur le PPP décide d'y participer», a déclaré Sadiq ul-Farooq, un des responsable de la Ligue musulmane du Pakistan (PML-N), le parti de l'ancien Premier ministre.

Après l'assassinat jeudi de sa présidente Benazir Bhutto, le PPP a convoqué une réunion pour décider de son éventuelle participation.

Nawaz Sharif, ancien Premier ministre renversé par le coup d'Etat du président Pervez Musharraf, est l'autre grande figure de l'opposition pakistanaise avec Benazir Bhutto. La Ligue musulmane du Pakistan avait auparavant annoncé son intention de ne pas participer aux élections.

Le scrutin est prévu le 8 janvier, mais il pourrait être reporté. AP

Le fils et le mari de Benazir Bhutto à la tête du PPP.

NAUDERO, Pakistan (Reuters) - Le fils de Benazir Bhutto, Bilawal, 19 ans, été élu président du Parti du peuple pakistanais (PPP) aux côtés de son père Asif Ali Zardari, nommé co-président trois jours après l'assassinat de l'ancien Premier ministre.

"Il a été décidé que Bilawal sera le président et que M. (Asif Ali) Zardari sera le co-président", a déclaré un responsable du PPP, dont la direction était réunie à Naudero, le fief de la famille Bhutto dans le sud du pays.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant
  • Statistiques des membres

    6 005
    Total des membres
    1 749
    Maximum en ligne
    cilom
    Membre le plus récent
    cilom
    Inscription
  • Statistiques des forums

    21,6k
    Total des sujets
    1,7m
    Total des messages
  • Statistiques des blogs

    4
    Total des blogs
    3
    Total des billets
×
×
  • Créer...