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A Vendre : Secrets Nucléaires Mortels de l’Occident


Invité barbaros pacha

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Invité barbaros pacha

A Vendre : Secrets Nucléaires Mortels de l’Occident

[06/01/08 The Sunday Times - Londres UK -]

Une dénonciatrice a fait toute une série d’affirmations extraordinaires concernant le fait que des responsables gouvernementaux corrompus ont autorisé le Pakistan et d’autres pays à voler des secrets sur des armes nucléaires.

Sibel Edmonds, l’ancienne traductrice de 37 ans en langue turque ayant travaillé pour le FBI, a écouté des centaines de conversations sensibles interceptées alors qu’elle travaillait au bureau des opérations de l’agence à Washington. Elle a pris contact le mois dernier avec le Sunday Times après avoir lu un article sur un terroriste d’Al Qaeda qui avait révélé son rôle dans la formation de certains de ceux ayant détournés les avions lors du 11 septembre tandis qu’il était en Turquie.

Edmonds a décrit comment des agents étrangers avaient obtenu le soutien de fonctionnaires US pour placer un réseau de taupes dans des institutions sensibles militaires et nucléaires.

Parmi les heures d’enregistrements audio, elle dit qu’elle a entendu des preuves qu’un haut fonctionnaire bien connu au sein du Département d’Etat US était payé par des agents Turcs pour vendre des informations à des acheteurs sur le marché noir, inclus le Pakistan.

Le nom de ce fonctionnaire – qui a occupé toute une série de postes de haut niveau au sein du gouvernement – est connu du Sunday Times. Il nie avec force les affirmations.

Cependant, Edmonds a dit : « Il aidait des agents étrangers contre les intérêts des US en leur faisant passer des informations classées top secret, non seulement du Département d’Etat, mais aussi du Pentagone, en échange d’argent, position et objectifs politiques. »

Elle affirme que le FBI collectait aussi des preuves contre des fonctionnaires de haut rang du Pentagone – incluant des personnalités connues de tous- qui aidaient les agents étrangers.

« Si vous rendez public toute l’information que le FBI a sur cette affaire, vous verrez des personnes haut placées poursuivies dans des affaires criminelles, » a-t-elle dit.

Son histoire montre à quel point l’Occident a été infiltré par des états étrangers cherchant des secrets nucléaires. Cela illustre comment des fonctionnaires gouvernementaux occidentaux ferment les yeux, ou ont même aidé, des pays comme le Pakistan à acquérir la technologie sur la bombe.

Le réseau nucléaire élargi a été sous surveillance pendant des années par un travail conjoint des services de renseignement américano anglais. Mais, au lieu d’y mettre fin, des enquêtes menées par des services juridiques chargés de l’application des lois tel que le FBI et le Revenue & Customs britannique ont été sabotées pour préserver les relations diplomatiques.

Edmonds, qui parle couramment le Turc et le Farsi a été recrutée par le FBI après les attaques du 11 septembre. Ses affirmations précédentes sur l’incompétence au sein du FBI sont bien documentées en Amérique.

Elle a apporté des preuves devant des réunions à huit clos du Congrès et de la Commission du 11 septembre, mais une grande partie des points clés de ses témoignages sont restés secrets. Elle a maintenant décidé de divulguer certaines de ces informations après avoir été déçue par l’échec des autorités US à agir.

L’un des principal rôle d’Edmonds au sein du FBI était de traduire des milliers d’heures de conversations tenues par des cibles diplomatiques et politiques Turques qui avaient été enregistrées clandestinement par l’agence.

Un grand nombre d’enregistrements avaient été accumulés, certains remontant à 1997, dont le FBI avait besoin pour son enquête sur les liens entre des cibles Turques et Pakistanaises, Israéliennes et Américaines. Avant de quitter le FBI en 2002, elle a entendu des preuves qui faisaient ressortir des actions de blanchiment d’argent, d’importation de drogues et de tentatives d’acquisition de la technologie pour des armes conventionnelles et nucléaires.

« Ce que j’ai trouvé était accablant » a –t-elle dit. « Tandis que le FBI enquêtait, plusieurs branches du gouvernement couvraient ce qui se passait. »

Les Turcs et les Israéliens avaient planté des « taupes » dans des institutions militaires et universitaires qui s’occupaient de technologie nucléaire. Edmonds a dit qu’il y avait plusieurs transactions de matériel nucléaire chaque mois, et les Pakistanais étaient parmi les acheteurs éventuels. « Le Réseau semblait obtenir des informations de chaque agence nucléaire aux US, » a-t-elle dit.

Ils ont été aidé, a-t-elle dit, par le haut fonctionnaire du Département d’Etat qui fournissait à certaines de leurs taupes – principalement des Etudiants en PhD – un passe sécurisé pour travailler dans des installations de recherche nucléaire sensible. Cela incluait le laboratoire nucléaire de Los Alamos au Nouveau Mexique, qui est responsable pour la sécurité de la force de dissuasion nucléaire US.

Lors d’une conversation qu’a entendue Edmonds le fonctionnaire faisait les arrangements pour récupérer 15 000 § en espèces de pot de vin. Le paquet devait être jeté à un endroit convenu par quelqu’un de la communauté diplomatique Turque qui travaillait pour le réseau.

Les Turcs, dit –elle, agissaient souvent comme intermédiaire pour l’ISI (Inter Services Intelligence) l’agence d’espionnage du Pakistan, parce qu’ils étaient moins sujets à attirer les soupçons. Des lieus tels que celui du American Turkish Council (Conseil Américain Turc) à Washington étaient utilisés pour déposer l’argent liquide, qui était récupéré par le fonctionnaire.

Edmonds a dit : « j’ai entendu au moins 3 transactions comme celle là sur une période de 2 ans ½. Probablement qu’il y en a certainement plus. »

L’opération du Pakistan était dirigée par le Général Mahmoud Ahmad, alors chef du ISI.

Des communications interceptées montrent qu’Ahmad et ses collègues stationnés à Washington étaient en contact permanent avec des attachés de l’ambassade Turque.

Des analystes du renseignement ont dit que des membres d’ISI étaient proches d’Al Qaeda avant et après le 11 septembre. Effectivement, Ahmad a été accusé d’avoir endossé le virement du paiement de 100 000 $ à Mohammed Atta, l’un de ceux ayant détourné les avions du 11 septembre, juste avant les attaques.

Les résultats de l’espionnage ont presque certainement été passés à Abdul Qadeer Khan, le scientifique spécialiste du nucléaire Pakistanais.

Khan était un proche d’Ahmad et du ISI. Tandis qu’il dirigeait le programme nucléaire du Pakistan, il est devenu millionnaire en vendant des secrets atomiques à la Libye, l’Iran, la Corée du Nord. Il a aussi utilisé un réseau de sociétés en Amérique et en Grande Bretagne pour obtenir des composants pour le programme nucléaire.

Khan a provoqué une alerte parmi les agences de renseignements occidentaux quand ses aides ont rencontré Ben Laden. « Nous avions connaissance de contact entre des gens de A Q Khan et Al Qaeda » a dit un ancien officier de la CIA la semaine dernière. « Il y a eu une panique totale au début quand nous avons découvert cela, mais finalement à la fin cela s’est arrangé. »

C’est probable que les secrets nucléaires volés des US ont été vendus à un certain nombre d’états voyous par Khan.

Edmonds allait voir plus tard l’étendue des connections Pakistanaises quand on a découvert que l’une des collègues traductrices au FBI était la fille d’un fonctionnaire de l’ambassade Pakistanaise qui travaillait pour Ahmad. La traductrice a reçu un passe sécuritaire pour des informations classées top secret malgré les protestations d’enquêteurs du FBI.

Edmonds dit que des paquets contenant des secrets nucléaires étaient délivrés par des agents Turcs à des contacts à l’ambassade Pakistanaise à Washington, utilisant leur statut de membres de la communauté diplomatique et militaire comme couverture.

Suite au 11 septembre, un certain nombre d’agents étrangers* ont été appréhendés pour être interrogés parle FBI qui les soupçonnait d’avoir connaissance ou d’avoir aidé d’une certaine façon aux attaques.

Edmonds a dit que le fonctionnaire du Département d’Etat s’est montré de nouveau utile.

«Une cible principale appelait le fonctionnaire pointant certains noms sur la liste et disait, « nous avons besoin de les faire sortir des US parce que nous ne pouvons pas nous permettre qu’ils vendent la mèche » a-t-elle dit. « Le fonctionnaire a dit qu’il « s’en occuperait. ».

Les quatre suspects sur la liste ont été relâchés de l’interrogatoire et extradés.

Edmonds affirme également qu’un certain nombre de fonctionnaires de haut rang au Pentagone ont aidé les agents Israéliens et Turcs.

« Les gens ont fourni des listes de taupes potentielles au sein d’institutions liées au Pentagone qui avaient accès aux bases de données concernant cette information, » a –t-elle dit.

« Les responsables des agents, qui faisaient partie de la communauté diplomatique, essayaient alors de recruter ces personnes pour qu’elles deviennent des taupes pour le réseau. Les listes contenaient tous leurs « points faibles », qui pouvaient être financiers ou sexuels et sur lesquels faire pression, leur travail exact au Pentagone et à quel type de document ils avaient accès. »

L’une des personnalités du Pentagone sous enquête c’était Lawrence Franklin, un ancien analyste du Pentagone qui a été emprisonné en 2006 pour avoir passé des informations sur la Défense US à des lobbyistes (du Lobby pro sioniste AIPAC actuellement poursuivis ndlt) et d’avoir partagé des informations classées secret défense avec un diplomate israélien.

« C’était l’une des personnes au sommet fournissant des informations et des paquets pendant les années 2002 2001 » a –t-elle dit.

Une fois récupérés, les secrets nucléaires ont pu aller n’importe où. Le FBI a surveillé des diplomates Turcs qui vendaient des copies de l’information au plus offrant.

Edmonds a dit : «Certains agents Turcs avides d’argent faisaient des copies du matériel et cherchaient des acheteurs. Ils avaient des agents chargés de trouver des acheteurs potentiels. »

Au cours de l’été 2000, Edmonds dit que le FBI a surveillé l’un des agents alors qu’il rencontrait deux hommes d’affaires Saoudien à Détroit pour vendre des informations nucléaires volées d’une base de l’armée de l’air en Alabama. Elle a surpris l’agent entrain de dire : « nous avons un paquet et nous allons le vendre pour 250 000 $. »

L’emploi d’Edmonds au FBI n’a duré que six mois. En mars 2002, elle a été congédiée après avoir accusé un collègue de couvrir des activités illégales de nationaux Turcs.

Elle a toujours affirmé qu’elle a été victime pour avoir parler ouvertement et a été innocentée par une enquête du bureau de l’Inspection Générale qui a étudié son cas trois ans plus tard. Ils ont trouvé que l’une des raisons qui avait contribué à son licenciement c’était qu’elle avait émis des reproches justifiés.

Le procureur général US a imposé un ordre étatique arguant du privilège du secret sur elle, ce qui l’empêche de révéler plus de détails des méthodes du FBI et des enquêtes en cours.

Ses accusations ont été entendues lors d’une réunion à huit clos du Congrès, mais aucune action n’a été entreprise et elle continue de faire campagne pour une audition publique.

Elle a pu discuter du cas avec le Sunday Times parce qu’à la fin de janvier 2002, le Ministère de la Justice avait mis fin au programme.

Le fonctionnaire haut gradé du Département d’Etat (Marc Grossman) n’y travaille plus. La semaine dernière il a nié toutes les accusations d’Edmonds : « si vous m’appelez pour me dire que quelqu’un a dit que j’ai pris de l’argent, c’est outrageant… je n’ai rien à dire sur de telles choses si stupides et ridicules. »

Dans ses recherches faites pour écrire cet article, le Sunday Times a parlé avec deux officiers du FBI (l’un en poste l’autre un ex) et deux ex sources de la CIA qui ont travaillé sur la prolifération nucléaire. Bien qu’aucun n’avait connaissance des accusations spécifiques contre les fonctionnaires qu’elle a nommés, ils ont effectivement fourni une corroboration coïncidant avec l’histoire d’Edmonds.

L’une des sources de la CIA a confirmé que les Turcs ont acquis des secrets nucléaires des US et ont partagé les informations avec le Pakistan et Israël. « Nous n’avons aucune indication que la Turquie a ses propres ambitions nucléaires. Mais les Turcs sont des commerçants. A ma connaissance ils sont devenus de grands acteurs à la fin des années 90, » selon la source.

Cet article n’est pas signé il est suivi d’un résumé intitulé Comment le Pakistan a obtenu la bombe, puis l’a vendue à ceux faisant les offres les plus élevées.

Le nom du haut fonctionnaire du Département d’Etat US qui travaillait pour la Turquie n’est pas cité par le Sunday Times, par peur de représailles. Mais la blogosphère l’a révélé depuis 2006 (et notamment l’excellent journaliste d’investigation australien Luke Ryland en 2006, sur son blog, WotIsItGood4.) :

il s’agit de Marc Grossmann qui était l’ambassadeur U.S. en Turquie de1994 à 1997, puis Secrétéaire d’Etat adjoint aux affaires européenes de 1997 à 2000 avant de travailler avec Colin Powell et Richard Armitage au Département d’Etat entre 2001 et 2005. Il est aujourd’hui Vice-Président de l’agence conseil, The Cohen Group, basée à Washington et en Chine et qui a été fondée par l’ancien Secrétaire à la Défense de Bill Clitnon, William S. Cohen.

L’histoire de Sibel Edmonds a fait l’objet d’un film “Une femme à abattre” de Matthieu Verboud et Jean R. Viallett.

Source : http://www.timesonline.co.uk/tol/news/world/middle_east/article3137695.ece

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En Russie, ''Le FSB rapporte qu'environ 400 agents de renseignement étrangers ont été démasqués en 1995 et 1996. En 2006, le FSB signala environ 27 officiers de renseignement étrangers et 89 agents de l'étranger, dont les activités furent stoppées. Le bilan de l'année 2007 présenté par Nikolaï Patrouchev fait état de l'arrêt des activités de « 22 officiers de carrière et 71 agents des services spéciaux étrangers », alors que quatre ressortissants étrangers ont été expulsés pour espionnage''.

Cela fait dans les 100 espions par an "démasqué" par si les chiffres ne dont pas bidons. Et comme on ne monte pas un nouveau réseau en quelques mois, cela fait un nombre impressionnant d'agents et de ''traitres'' dans ce pays.

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'est bizzare comeme, un état qui se fait infiltrer tres facilement par des agents etrangers...

regarde ce petit reportage  tu verra  que les etats unis favorisent la proliferation l'attraction du dieu $ est trop forte

http://www.dailymotion.com/relevance/search/irak+bush+cacher/video/xyxmf_irak-ce-que-bush-veut-cacher_events

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Il y a un article sur le wiki sur cette dame :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Sibel_Edmonds

Elle à travaillé moins de 4 mois pour le FBI comme simple traductrice et aurait découvert des tas de magouilles, bizarre, bizarre  :rolleyes:

Docteur, quelle reportage ?  :P  vous étes d'une naiveté incroyable, et d'ou croyait vous le CMI russe reprend de la vigueur ? De la vente de vélos à l'Algérie  :lol:

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"aurait apporté des preuves... à huis-clos..." etc.. etc...

Pas de preuves, pas de noms, beaucoup de blabla...

Bref, que dalle de tangible.

De l'espionnage il y en a toujours eu.

Des guerres entre les services aussi. Ca peut être un tentative de déstabilisation contre le FBI montée par le Pentagone ou la CIA. Ca s'est déjà vu.

Quand à la prolifération nucléaire, il faut bien se souvenir de l'affaire de l'Anthrax aux USA. Tous les services courraient après les types un peu barbus ou basanés ayant pu acheter les souches en Russie ou en Europe.

En fait le coupable des "petites lettres" était un scientifique américain bargeot qui avait acheté les souches tout à fait légalement - étant universitaire, il y était autorisé - à un labo US spécialisé.

Chose cocasse, les souches d'Anthrax lui avaient été livrées par la poste dans un petit récipient scellé spécial envoyé dans une enveloppe.

N'oublions pas que nous sommes en période électorale aux USA en ce moment et que c'est la période du tout et du n'importe quoi (comme l'histoire des hors-bords Iraniens qui auraient menacé deux destroyers US...).

Ca ressemble beaucoup à de l'intox et à de la désinformation même s'il y a toujours eu des taupes dans tous les pays...

En France, nous avons en ce moment à faire face à un afflux de CV de petites étudiantes Chinoises bien sous tous rapports (brillantes études dans des universités US en général) qui postulent pour des stages dans les entreprises du secteur des télécomunications, du nucléaire, du spatial, de l'aéronautique...

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C'est bizzare comeme, un état qui se fait infiltrer tres facilement par des agents etrangers...

C'est pas bizarre, c'est normal voire banal historiquement. Cela arrive tout le temps. Notre 2° bureau avait 1500 informateurs dans l'Allemagne de Hitler (d'après Paul Paillole), dont le fameux Hans Thilo Schmidt, qui nous a vendu une partie du secret d'Enigma et nous a prévenu à temps de toutes les interventions d'Hitler en Europe. On savait à l'avance pour l'Autriche, les Sudètes, la Pologne. Le problème c'est que les hommes politiques n'écoutent pas... Staline n'a pas écouté Richard Sorge non plus...

C'est très dur de protéger des secrets sur la durée! L'Allemagne nazie était percée à jour de partout par les anglo-saxons et les Russes et pourtant les peines en cas d'arrestation pour trahison étaient très dissuasives!

Il y aura toujours des gens pour trahir par idéologie, cupidité, par ressentiment aussi (c'était le cas de Schmidt) etc.

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"B-2 bomber - One of the american engenieers from team, working over B-2 Stealth bomber creation, is accused of divulging state secrets.

By the FBI investigative group representative, 61 years old Noshir S. Gowadia was selling secrets to at least three different countries. Those secret data were related to the bomber “stealth” technology. FBI refused to tell which countries were the information buyers."

C'était sur CNN en 2005... Rien de neuf.

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je voulais vous proposer un petit reportage sur la fuite volontaire de technologies sensibles

http://www.dailymotion.com/relevance/search/irak+bush+cacher/video/xyxmf_irak-ce-que-bush-veut-cacher_events

je reposte le lien car je l'ai deja mis mais il a disparu ^^

donc je le re re met

vous verrez que dans ce reportage les etats unis ont fournis des armes bactériologiques a sadam

pour le soutenir contre les iraniens

mais aussi plein d'autres surprises nucléaires

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Ah ca, rien de bien méchant et sources d'ailleurs à recontroler, on exagere beaucoup :lol: je rappelle qu'Osirak est "made in France" et que méme le Brésil à vendu en valeur plus d'armements à S Hussein que les USA. Coté prolifération nucléaire ces derniéres années, il faut demander aux Pakistanais qui ont vendut à tout le monde.

Coté infiltration, on à beaucoup parlé des milliers d'agents de l'Est en RFA mais un article est sortie il y a quelques mois sur les agents en RDA qui étaient quasiment aussi nombreux. Je vais voir si je retrouve le texte.

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Invité barbaros pacha

Nucléaire: création d'un centre d'enrichissement d'uranium en Turquie

Un centre d'enrichissement d'uranium sera construit en Turquie afin d'approvisionner en combustible les centrales nucléaires turques et étrangères, a annoncé mardi le quotidien Hürriyet.

Il est possible que la création de ce centre fasse l'objet de discussions à la conférence internationale sur la coopération nucléaire qui se tiendra à Istanbul le 18 janvier. Ce forum réunira les délégations de l'AIEA (Agence internationale de l'énergie atomique), des Etats-Unis, de la Russie, de la France et de la Grande-Bretagne.

"L'initiative de créer un centre d'enrichissement d'uranium est d'une importance capitale pour l'avenir de la Turquie et pour le monde entier", écrit le quotidien. Cette importance s'explique par l'aspiration de plusieurs pays arabes, dont l'Egypte, l'Arabie saoudite, le Koweït, Bahrein, le Yémen et la Syrie, à se doter de centrales nucléaires sur leur territoire, ce à quoi s'opposent les Etats-Unis. Mais Washington pourrait soutenir la Turquie qui est son allié stratégique dan la région et partenaire au sein de l'OTAN.

Selon le quotidien turc, la mise en oeuvre de cette initiative pourrait d'autre part atténuer la crise entre Washington et Téhéran en désaccord sur le dossier nucléaire iranien.

Selon le journal des milieux d'affaires turcs Reference, l'installation de ce centre fera de la Turquie un des grands pays développant le nucléaire civil.

"Ainsi la Turquie fera partie des pays de la région, musulmans y compris, qui souhaitent produire l'énergie nucléaire chez eux", souligne l'édition d'affaires.

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Zut, encore un concurrent pour Areva  >:( Si la France arrive (réellement, car pour le moment, les contrats avec l'Algérie, Lybie et péninsule arabique sont peut lisibles) a fourgué des réacteurs nucléaires, il serait interressant que le carburant viennent aussi de chez noux, cela permettrait de "controler" un peu la chose.

Sinon, voici l'article sur les informateurs en RDA qui avec ses 10 millions d'habitants avaient surement le plus grands nombres d'agents secrets et espions de tout genre entre la Stasi et les services occidentaux :

La RFA a eu plus de 10.000 informateurs en RDA, selon une étude d'historiens

BERLIN - La République fédérale d'Allemagne (RFA) a eu plus de 10.000 informateurs en RDA et a ainsi été au courant du projet du Mur de Berlin bien avant sa construction en 1961, affirment deux historiens dans une étude à paraître vendredi, dont un journal s'est fait l'écho mardi.

Entre la création de la RFA en 1949 et la chute du Mur de Berlin 40 ans plus tard, les services secrets d'Allemagne de l'ouest (BND) ont recruté plus de 10.000 citoyens est-allemands, a indiqué l'historien Matthias Uhl au Berliner Zeitung.

Ce chiffre, très élevé, est le premier publié sur ce sujet, a indiqué à l'AFP un responsable des archives de la Stasi, la police secrète de RDA.

En comparaison, la Stasi a elle eu recours entre 1949 et 1989 à quelque 6.000 informateurs ouest-allemands et 20.000 est-allemands, d'après les archives de la Stasi.

Le BND a informé les dirigeants de RFA qu'un Mur était en préparation à Berlin mais "les politiciens n'ont pas voulu le croire", selon Matthias Uhl.

Dès 1955, plus de 4.000 Allemands de l'est renseignaient la RFA. Ils observaient en particulier 482 sites militaires soviétiques en RDA, informant sur leur situation exacte, leurs équipements et les mouvements de troupe.

Seuls quelques centaines étaient toutefois de véritables "espions" en service actif, a souligné Matthias Uhl.

Pour recruter, les services secrets ouest-allemands ont "réactivé d'anciens contacts de la Wehrmacht", l'armée allemande. Le recrutement s'est poursuivi bien après la construction du Mur de Berlin en 1961.

Les agents étaient payés, entre 50 deutschemarks et quelques milliers de DM, ce qui a suscité des vocations, selon l'étude.

Ils expédiaient en général leurs informations par courrier, dans des "lettres types à Tante Emma préparées par le BND", en usant d'une encre invisible pour dissimuler leurs messages.

La Stasi a toutefois découvert cette pratique après 1961 et en a usé pour tromper l'ennemi avec de fausses informations, rapporte l'étude, intitulée "le BND contre l'Armée rouge".

Elle évoque ainsi le cas d'un agent démasqué, Karl B., un professeur de 67 ans condamné en 1977 à 12 ans de prison après avoir espionné pendant 14 ans avec sa femme onze sites militaires est-allemands.

Les services secrets ouest-allemands utilisaient aussi pour glaner des informations des citoyens de RFA qui rendaient visite à des parents en RDA. Ils prenaient alors en charge les frais de voyage et payaient les informations entre 50 et 100 DM, a indiqué l'historien.

(©AFP / 25 septembre 2007 12h02)

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  • 2 months later...

Voici un dossier en anglais sur les américains espionnant pour le compte de pays et d'organisations étrangéres :

http://cicentre.com/news/Changes%20in%20Espionage%20by%20Americans%201947-2007.pdf

Méme le Ghana et les Phillippines ont eu des agents aux Etats Unis, Al Queda à recruter au moins 3 militaires américains qui sont actuellement sous les verrous.

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  • 1 month later...
Invité barbaros pacha

La Turquie aurait donner du matériel et la technologie nucleaire aux Pakistanais..c'est juste un extrait du document, le reste vous pourrez le trouver dans le lien (l'article est un peu ancien, mais reste d'actualité..) >>> http://www.antiwar.com/deliso/?articleid=8091

The Turkish-Pakistani Connection

Turkey has long been known as a vital transit and assembly point for contraband nuclear materials. It has been aiding the nuclear aspirations of Pakistan, in particular, since a military coup in 1980. A report from back in 2000 recalled that:

"[T]urkey has already been implicated in nuclear arms aid to Pakistan. An earlier attempt to build an Argentinean-designed reactor was likely aimed at plutonium production for nuclear weapons. Evidence of nuclear smuggling based in Turkey, and Turkey's push for its own nuclear fuel capability and indigenous reactor design, all pointed to possible nuclear weapons development. The support of prominent Turkish citizens for nuclear weapons development has leant credence to this evidence."

Over the past 20 years, various Turkish and Pakistani governments, as well as sections of the military, have looked kindly on the idea of creating Islamic nuclear states. The countries were specifically linked in the A.Q. Khan network; this July 2004 summary gives detailed information:

"[W]orkshops in Turkey made the centrifuge motor and frequency converters used to drive the motor and spin the rotor to high speeds. These workshops imported subcomponents from Europe and elsewhere, and they assembled these centrifuge items in Turkey. Under false end-user certificates, these components were shipped to Dubai for repackaging and shipment to Libya."

Today, it is not known whether Turkey possesses nuclear weapons. But remember, the crucial part of the above-cited 2000 report is:

"[E]vidence of nuclear smuggling based in Turkey, and Turkey's push for its own nuclear fuel capability and indigenous reactor design, all pointed to possible nuclear weapons development. The support of prominent Turkish citizens for nuclear weapons development has leant credence to this evidence."

Total trafficking levels are hard to adduce, though it's clear that more supplies get through than are caught. From 1993-1999 alone, there were 18 high-profile incidents of nuclear trafficking involving Turkey – the sort of cases that Valerie Plame's unit sought to investigate. As this report details, "these cases include nuclear material seized in Turkey, nuclear material interdicted en route to Turkey, and seizure of nuclear material smuggled by Turkish nationals." In most of the cases, the nuclear materials originated in unstable former Soviet states such as Georgia, Romania, Moldova, Azerbaijan, Kazakhstan, Uzbekistan, and Russia itself. Among the destination states, Libya and Iran jump out. In addition to Turks, detained smugglers included nationals of Azerbaijan, Russia, Georgia, Romania, as well as a Kazakh army colonel and suspected Iranian secret service agents.

A couple of years later, on Sept. 10, 2001, the N.Y. Times reported that "in the last eight years, there have been 104 attempts to smuggle nuclear material into Turkey, according to an internal report by the Turkish Atomic Energy Authority."

>>>

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