Benoitleg Posté(e) le 1 février 2022 Share Posté(e) le 1 février 2022 Le 27/01/2022 à 15:50, g4lly a dit : Il y aussi un biais sur le volume de la population active ... Qui baisse. Par contre, en regardant d'autres chiffres, il existe un phénomène qui a surement un impact positif sur l'emploi. La création d'entreprises ne s'est jamais aussi bien portée depuis des années (le point d'inflexion récent se situe en 2015) : Je cite les chiffres présents dans le graphique illustrant l'article ci dessous : Entreprise : 2015 T4 248 000 -> 2021 T3 352 000 (supérieur au pic de 2008 T2 : 339 030) Micro-entreprise : 2015 T4 525 080 -> 2021 T3 1 000 000 (pic de 2010 T3 : 627 280) Cette évolution montre un gros développement de l'entreprenariat chez les français. Tout n'est pas rose dans cette hausse, mais elle marque une envie d'agir plus que d'attendre et créé un véritable vivier d'entreprises en développement (et d'emplois crées ou potentiels). Source : Création d'entreprise : trois Français sur dix ont passé le cap ou y pensent, selon Bpifrance https://www.latribune.fr/economie/france/creation-d-entreprise-trois-francais-sur-dix-ont-passe-le-cap-ou-y-pensent-selon-bpifrance-898131.html Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Rochambeau Posté(e) le 1 février 2022 Share Posté(e) le 1 février 2022 (modifié) il y a 58 minutes, Benoitleg a dit : Par contre, en regardant d'autres chiffres, il existe un phénomène qui a surement un impact positif sur l'emploi. La création d'entreprises ne s'est jamais aussi bien portée depuis des années (le point d'inflexion récent se situe en 2015) : Cette augmentation s'explique avant tout par une augmentation des microentreprises, elles représentent environ 2/3 des créations d'entreprises. Selon l'Insee cela implique surtout les emplois précaires, et que environs 29 % d'entre eux cumule leur activité avec un travail salarié. Modifié le 1 février 2022 par Rochambeau 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kiriyama Posté(e) le 1 février 2022 Share Posté(e) le 1 février 2022 Il faudrait aussi voir la durée de vie de ces microentreprises. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
WizardOfLinn Posté(e) le 2 février 2022 Share Posté(e) le 2 février 2022 Il y a 20 heures, Rochambeau a dit : Fils d'actu revient sur la note du Haut-Commissariat au Plan sur l'état de l'industrie en France Révéler le contenu masqué Vu c'est intéressant et souvent pertinent. Quoiqu'à la fin, ça tourne quand même au pamphlet vaguement gaucho-conspirationniste contre la mondialisation et la finance. L'Allemagne et d'autres pays sont aussi immergés que nous dans la mondialisation et ont su garder leur industrie. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Rochambeau Posté(e) le 2 février 2022 Share Posté(e) le 2 février 2022 il y a une heure, WizardOfLinn a dit : Vu c'est intéressant et souvent pertinent. Quoiqu'à la fin, ça tourne quand même au pamphlet vaguement gaucho-conspirationniste contre la mondialisation et la finance. L'Allemagne et d'autres pays sont aussi immergés que nous dans la mondialisation et ont su garder leur industrie. C'est normale Tatiana Ventôse et l'équipe de fils d'actu sont tous des enfants de culture marxiste, bien qu'ils se sont éloignés depuis ... pour devenir des socialistes étatistes. Pour l'industrie allemande et ses succès, ils ont surtout fait des choix différents des politiques français. Un exemple assez révélateur est que la France investie moins que sa voisine dans le domaine de la recherche, les politiciens français voulaient plus maintenir les acquis ... toute en mettant en place des plans très ambitieux.(le fameux "en même temps" qui existe depuis bien plus longtemps qu'on le croit) Il y aussi la stratégie industrielle qui diffère entre les deux pays, là ou l'Allemagne a su délocaliser son industrie chez ses voisins de l'Est tout en ménageant les ambitions de chacun, fait qu'il y a une vrai synergie entre les économies des pays de l'Europe Orientale. La France de se coté là s'est montrée incapable de faire de même et à s'adapter à ses voisines, pire cela a renforcé l'image très arrogant des français. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
wagdoox Posté(e) le 2 février 2022 Share Posté(e) le 2 février 2022 Il y a 2 heures, WizardOfLinn a dit : Vu c'est intéressant et souvent pertinent. Quoiqu'à la fin, ça tourne quand même au pamphlet vaguement gaucho-conspirationniste contre la mondialisation et la finance. L'Allemagne et d'autres pays sont aussi immergés que nous dans la mondialisation et ont su garder leur industrie. pas exactement, l'Allemagne via ses Lander a fait passer des subventions à son industrie qui n'auraient pas été permis par l'UE si le gouvernement national FR allait tenté la meme chose. D'ou d'ailleurs la création des régions puis la réduction de leur nombre à niveau comparable des Landers, pour leur donner une masse et une capacité financière. Le probleme, c'est l'argent passe en frais de fonctionnement, construction des bâtiments institutionnelles, frais de com... Inversement la France a en plus ajouté un autre probleme à son arsenal, quand l'Allemagne met le paquet sur l'industrie, les RU sur le bancaire, la France se cherche et depuis 30 à 40 ans fait un entre deux dégeux. Je m'explique, le cadre économique industriel est assez antagoniste avec celui des banques, entre économie productive et celle de la rente, économie réelle et virtuelle. (on va évité, les déclarations politiques et référence historique sinon ca va glisser). (Aller juste une) entre l'existence ou non "d'argent magique". Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kiriyama Posté(e) le 2 février 2022 Share Posté(e) le 2 février 2022 (modifié) Il y a 5 heures, WizardOfLinn a dit : Vu c'est intéressant et souvent pertinent. Quoiqu'à la fin, ça tourne quand même au pamphlet vaguement gaucho-conspirationniste contre la mondialisation et la finance. L'Allemagne et d'autres pays sont aussi immergés que nous dans la mondialisation et ont su garder leur industrie. Comme le dit Rchambeau, il y a le "biais idéologique" de Tatiana Ventôse qui est "encartée" très à gauche. Concernant l'Allemagne, il faut rappeler qu'elle bénéficie de l'euro, une monnaie taillée sur mesure pour son économie en même temps qu'elle lamine les économies qui avaient une monnaie plus "faible" que le mark. Sa classe dirigeante et d'affaires a aussi une culture très différente. Dans le cas de la France j'ai tendance à être d'accord avec T. Ventôse dans son analyse de la classe dirigeante et ses "élites", à la fois incompétente et corrompue (Tchuruk, Alexis Koehler auquel Marianne a dressé un portrait éclairant...). Modifié le 2 février 2022 par Kiriyama 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
WizardOfLinn Posté(e) le 2 février 2022 Share Posté(e) le 2 février 2022 (modifié) Pour ce qui est de la recherche, le gouvernement se vante régulièrement du succès du dispositif de crédit d'impôt recherche. Mais sur le terrain, je vois quelque chose d'un peu différent : une fraction importante de ces subventions est captée par toute une faune de cabinets de conseil dont la principale compétence est l'interprétation de textes complexes. Parfois 25% du montant du crédit est capté par le cabinet juridique, tout en faisant courir un risque de redressement fiscal à l'entreprise (l'intérêt du cabinet est de maximiser le montant, même en comptabilisant en "recherche" ce qui n'en est pas vraiment). Captation par les intermédiaires, petits arrangements, fraudes plus ou moins conscientes, etc., et à l'arrivée, les résultats sur l'économie et l'innovation ne se voient pas tant que ça, alors que ce dispositif n'est pas récent. Modifié le 2 février 2022 par WizardOfLinn 1 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kiriyama Posté(e) le 2 février 2022 Share Posté(e) le 2 février 2022 C'est aussi ce qui est expliqué dans la vidéo postée plus haut : les crédits et autres baisses de charge n'ont généralement pas d'impact sur la création d'emplois. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
wagdoox Posté(e) le 2 février 2022 Share Posté(e) le 2 février 2022 (modifié) il y a 39 minutes, Kiriyama a dit : C'est aussi ce qui est expliqué dans la vidéo postée plus haut : les crédits et autres baisses de charge n'ont généralement pas d'impact sur la création d'emplois. Parce qu'en réalité, surprise les entreprises sont plus intéressées par l'argent que les emplois. Il faut dire aussi que la pression fiscale est telle que la moindre bouffée d'oxygène premet des investissements dans la productivi.... a non juste payer les actionnaires. Dès lors on comprend mieux pourquoi il y a une pression fiscale et le cercle vicieux se poursuit. Modifié le 2 février 2022 par wagdoox 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kiriyama Posté(e) le 2 février 2022 Share Posté(e) le 2 février 2022 (modifié) Il y a 2 heures, WizardOfLinn a dit : Mais sur le terrain, je vois quelque chose d'un peu différent : une fraction importante de ces subventions est captée par toute une faune de cabinets de conseil dont la principale compétence est l'interprétation de textes complexes. Parfois 25% du montant du crédit est capté par le cabinet juridique, tout en faisant courir un risque de redressement fiscal à l'entreprise (l'intérêt du cabinet est de maximiser le montant, même en comptabilisant en "recherche" ce qui n'en est pas vraiment). Ça me fait penser aux fameux bullshit jobs. Des emplois très rémunérateurs mais à l'utilité douteuse, et qui sont la conséquence d'une économie de la rente. A cette économie de la rente vient en fait se greffer des personnes ou des entreprises qui vont vivre en siphonnant une partie de cette rente en échange de "services" à l'utilité douteuse. Parfois, c'est des États qui se font siphonner, notamment par les cabinets de conseils comme McKinsey. Récemment, deux responsables de McKinsey ont été questionnés par le Sénat sur leur apport lors de la crise du Covid 19. Autant dire qu'ils ont eu le plus grand mal à répondre aux questions. Par exemple 496 800 euros pour « évaluer les évolutions du métier d’enseignant » avec un « séminaire » pour « réfléchir aux grandes tendances des évolutions du secteur de l’enseignement ». Quand on a demandé à ce responsable en quoi ça avait servi exactement, on a expliqué que ça avait servi à des « travaux de "benchmarking" du marché, de comparaison » des évolutions du métier d’enseignant et des systèmes éducatifs européens et de « réfléchir à des thèmes de réflexion pour la tenue d’un séminaire avec les responsables des enseignants ». Cela dit au moins en France il y a une enquête, alors qu'en Belgique ce cabinet est omniprésent, notamment en Fédération Wallonie-Bruxelles, et dans la plus grande discrétion. Après, le problème n'est pas seulement McKinsey, mais les acteurs étatiques qui font appel à eux. Modifié le 2 février 2022 par Kiriyama 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kiriyama Posté(e) le 2 février 2022 Share Posté(e) le 2 février 2022 @Nec temere Si ce sont les explications de ces consultants qui t'amusent, celles sur l'apport du cabinet à la gestion de la crise du Covid valent leur pesant de cacahuètes également. Il a fallu selon eux aider la « taskforce ministérielle » pour donner « très rapidement » aux services du gouvernement des « schémas logistiques » et des « outils de pilotage ». Il y a également eu la mise en place d'une « tour de contrôle stratégique » à Santé publique France (pour 605.000 euros quand même). Je te laisse également méditer sur cette maxime : « Répondre à une crise nécessite de pouvoir mobiliser du jour au lendemain des équipes larges et pluridisciplinaires ». Il a aussi été question des conseils apportés sur la réforme des retraites, pour 920.000 euros, et qui ont permis de « dégager un certain nombre d’aménagements dans l’organisation, au-delà de la préparation d’une réforme ». 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 2 février 2022 Share Posté(e) le 2 février 2022 Et bien sûr aucun employé de l'état n'était capable de faire ce job 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kiriyama Posté(e) le 2 février 2022 Share Posté(e) le 2 février 2022 Pas assez cher. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Rochambeau Posté(e) le 2 février 2022 Share Posté(e) le 2 février 2022 à l’instant, g4lly a dit : Et bien sûr aucun employé de l'état n'était capable de faire ce job Il n'est pas impossible que le cabinet Mckinsey soit composé soit d'ancien haut-fonctionnaire voir même de fonctionnaire qui se sont mis en disponibilité, par exemple Louis Schweitzer est toujours présent dans la liste des cadres de haute-fonction publique, et ce malgré les différentes fonctions qu'il a exercé comme président du groupe Renault, président du MEDEF, président d'Initiative France etc ... 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kelkin Posté(e) le 2 février 2022 Share Posté(e) le 2 février 2022 Il y a 3 heures, Rochambeau a dit : Il y aussi la stratégie industrielle qui diffère entre les deux pays Notamment le système de la cogestion, qui a empêché les industriels allemands de commettre les mêmes conneries que les industriels français. il y a 36 minutes, Kiriyama a dit : Je te laisse également méditer sur cette maxime : « Répondre à une crise nécessite de pouvoir mobiliser du jour au lendemain des équipes larges et pluridisciplinaires ». Attendez, si je traduit ça veut dire "il faut plus de fonctionnaires" et c'est l'exact contraire de ce qu'affirment les économistes orthodoxes. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kiriyama Posté(e) le 2 février 2022 Share Posté(e) le 2 février 2022 il y a 11 minutes, Kelkin a dit : Attendez, si je traduit ça veut dire "il faut plus de fonctionnaires" et c'est l'exact contraire de ce qu'affirment les économistes orthodoxes. Non, il voulait dire faire appel à des équipes venues du privé (en l’occurrence de sa boîte). Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bon Plan Posté(e) le 2 février 2022 Share Posté(e) le 2 février 2022 Il y a 1 heure, Kiriyama a dit : Ça me fait penser aux fameux bullshit jobs. Des emplois très rémunérateurs mais à l'utilité douteuse, et qui sont la conséquence d'une économie de la rente. A cette économie de la rente vient en fait se greffer des personnes ou des entreprises qui vont vivre en siphonnant une partie de cette rente en échange de "services" à l'utilité douteuse. Parfois, c'est des États qui se font siphonner, notamment par les cabinets de conseils comme McKinsey. Récemment, deux responsables de McKinsey ont été questionnés par le Sénat sur leur apport lors de la crise du Covid 19. Autant dire qu'ils ont eu le plus grand mal à répondre aux questions. Par exemple 496 800 euros pour « évaluer les évolutions du métier d’enseignant » avec un « séminaire » pour « réfléchir aux grandes tendances des évolutions du secteur de l’enseignement ». Quand on a demandé à ce responsable en quoi ça avait servi exactement, on a expliqué que ça avait servi à des « travaux de "benchmarking" du marché, de comparaison » des évolutions du métier d’enseignant et des systèmes éducatifs européens et de « réfléchir à des thèmes de réflexion pour la tenue d’un séminaire avec les responsables des enseignants ». Cela dit au moins en France il y a une enquête, alors qu'en Belgique ce cabinet est omniprésent, notamment en Fédération Wallonie-Bruxelles, et dans la plus grande discrétion. Après, le problème n'est pas seulement McKinsey, mais les acteurs étatiques qui font appel à eux. Parfois, je dis bien parfois, il n'st pas inutile d'interroger du monde de l'extérieur. Ca fait de temps à autre émerger des idées neuves et innovantes. Je ne sais pas ce qu'il en a été là, mais faut pas systématiquement écarter cette solution, comme il ne faut pas la généraliser. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kiriyama Posté(e) le 2 février 2022 Share Posté(e) le 2 février 2022 Tu peux développer dans quel sens ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Deres Posté(e) le 2 février 2022 Share Posté(e) le 2 février 2022 Pour moi, il y a deux points différents sur l'utilisation des cabinets de conseils ou experts extérieurs : - pour les cabinets ministériels et administration, c'est aussi un moyen de "recruter" sans le dire. Il y a des limites officiels de taille, de salaires et des limites sur les budgets de fonctionnement. Utiliser un cabinet de conseil permet de passer outre ces limites, en ayant plus de personnel sans avoir à les recruter ou leur fournir des salaires hors cadres et aussi de passer tout cela dans les budgets de dépenses externes et non de fonctionnement. Les mesures de bonnes gestion sont donc contournées ce qui à l'opposé de leur objectif car au final elles incitent à passer par des cabinets extérieures au lieu de faire en interne avec els moyens existants. - pour des raisons bassement politiques, il est souvent difficile d'obtenir des consensus internes. Une direction/service peut être contre une idée juste parce que cette idée vient d'une autre direction/service ou que cette idée donnera plus de pouvoir/influence/ressources/budget à une autre direction/service. La même idée venant d'un cabinet extérieur considéré comme neutre dans ces relations internes sera plus facile à faire accepter sur des critères purement techniques. Je vis cela régulièrement sur des choix techniques où il est impossible de faire changer les méthodes de travail ou solution déjà mise en place sauf à faire appel à des experts extérieurs dont les recommandations pourtant identiques et déjà exprimées en interne sont acceptés souvent sans débat difficile. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kiriyama Posté(e) le 5 février 2022 Share Posté(e) le 5 février 2022 (modifié) [COUP DE GUEULE] Ils veulent tuer l'industrie de défense ! Modifié le 5 février 2022 par Kiriyama 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ciders Posté(e) le 5 février 2022 Share Posté(e) le 5 février 2022 Contre-kems : 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Julien Posté(e) le 5 février 2022 Share Posté(e) le 5 février 2022 C’est clair que 273 millions d’euros c’est une bouchée de pain Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 5 février 2022 Share Posté(e) le 5 février 2022 Il y a 6 heures, Ciders a dit : Contre-kems : Décidément c'est la journée des trolls... Ah non pardon, c'est juste twitter. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
MIC_A Posté(e) le 6 février 2022 Share Posté(e) le 6 février 2022 (modifié) Il y a 16 heures, Julien a dit : C’est clair que 273 millions d’euros c’est une bouchée de pain A priori, ça se précise si un dernier grain de sable ne vient pas gripper la machine ! Notre Pdt va clairement l'exploiter si son agenda coïncide car il est annoncé en déplacement le 10 février à Belfort visiter l'usine justement !https://www.challenges.fr/entreprise/energie/turbines-arabelle-general-electric-et-edf-s-accordent-sur-le-prix-de-vente_796352 Le montant me paraissait faiblard (273 millions €) mais dans l'article on est plus près du milliard € et j'ose espérer qu'il n'y a pas eu contre-partie ailleurs ! Modifié le 6 février 2022 par MIC_A 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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