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L'artillerie de demain


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Parmi les nouvelles selon lesquelles un PzH 2000 ukrainien a tiré un record d'environ 20 000 coups à travers un canon, il y a le détail le plus important que le L52 du PzH 2000 est évalué pour une durée de vie du canon de 4 500 charges complètes équivalentes.

Le prototype K9A2 arbore un nouveau canon, malheureusement pas rétrocompatible avec le K9A1, qui indique une durée de vie de 1 500 barils EFC

La durée de vie du baril de CAESAR est évaluée à 2 500 EFC, ce qui correspond au transfert de technologie de Braveheart et aux propres développements de Nexter/KNDS.

Bien que je doute que les 20 000 tirs tirés du baril ukrainien PzH 2000 aient été à pleine charge, le chiffre de 4 500 EFC est impressionnant et est susceptible de résister à cette utilisation étant donné suffisamment de TLC.

Ca s'annonce également bien pour les RCH155 ukrainiens récemment approuvé pour la production. Ce système utilise le même canon L52, les mêmes pistolets, le même chargeur automatique (évolué pour inclure des charges), le même système de contrôle des incendies et le même système de gestion de plate-forme que le PzH 2000.

...

Le canon du Pzh 2000 est vraiment quasiment 2X plus resistant que celui du caesar ? Ca me semble un peu gros ...

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Le problème est complexe qualité des tubes certes mais aussi puissance des charges propulsives vitesse initiale des obus déterminent le rythme d'usure. Après à x milliers de  coups quelle est la précision à l'arrivée ?... bref c'est un débat aux multiples aspects 

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Il y a 7 heures, Titus K a dit :

Parmi les nouvelles selon lesquelles un PzH 2000 ukrainien a tiré un record d'environ 20 000 coups à travers un canon, il y a le détail le plus important que le L52 du PzH 2000 est évalué pour une durée de vie du canon de 4 500 charges complètes équivalentes.

Le prototype K9A2 arbore un nouveau canon, malheureusement pas rétrocompatible avec le K9A1, qui indique une durée de vie de 1 500 barils EFC

La durée de vie du baril de CAESAR est évaluée à 2 500 EFC, ce qui correspond au transfert de technologie de Braveheart et aux propres développements de Nexter/KNDS.

Bien que je doute que les 20 000 tirs tirés du baril ukrainien PzH 2000 aient été à pleine charge, le chiffre de 4 500 EFC est impressionnant et est susceptible de résister à cette utilisation étant donné suffisamment de TLC.

Ca s'annonce également bien pour les RCH155 ukrainiens récemment approuvé pour la production. Ce système utilise le même canon L52, les mêmes pistolets, le même chargeur automatique (évolué pour inclure des charges), le même système de contrôle des incendies et le même système de gestion de plate-forme que le PzH 2000.

...

Le canon du Pzh 2000 est vraiment quasiment 2X plus resistant que celui du caesar ? Ca me semble un peu gros ...

Ce sont des info que tu as trouvé où ? OK vu. Bon mais le gars rapporte des chiffres données par le PDG de Rheinmetal qui n'en est pas à sa première transformation de la réalité. Et de mémoire les pzh 2000 ont une mCO catastrophique en Ukraine.

Modifié par herciv
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Il y a 8 heures, Ziggy Stardust a dit :

Ce thread c'est du grand n'importe quoi.

Prendre pour argent comptant les propos de Papperger qui relate une anecdote ukrainienne, c'est déjà tiré par les cheveux, mais en plus dire que le canon de 155 L/52 français n'existe que grâce à des transferts de technologie britannique (sans apporter la moindre source)... mieux vaut en rire qu'en pleurer

"BRITISH METEOR"
"BRITISH STORM SHADOW"

N'oublions pas. :laugh:

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  • 2 weeks later...
il y a 20 minutes, Titus K a dit :

Nexter prend les rênes du projet de canon électromagnétique européen

https://www.forcesoperations.com/nexter-prend-les-renes-du-projet-de-canon-electromagnetique-europeen/

"La Commission européenne a validé hier une deuxième tranche de 41 projets de R&D soutenus via le Fonds européen de la défense (FED). L’un d’entre eux acte la poursuite du développement d’un canon électromagnétique européen, projet piloté par Nexter (KNDS).   « Technology for Electromagnetic Artillery » ( THEMA  )

À terme, cette arme « offrira un intercepteur hypersonique avec une précision et une létalité améliorées », relève la Commission européenne

Plancher en priorité sur une solution moyen calibre opérée dont la mission primaire relèvera de la défense anti-aérienne au profit de forces navales et terrestres  Les applications contre des cibles de surface ne viennent qu’en second lieu

Continuité du projet PILUM, lancé en 2021 ( sept acteurs de quatre pays, L’équipe de PILUM est entièrement reconduite  ) ... THEMA ( 14 entreprises, laboratoires et autres instituts de neuf pays ) devrait ouvrir la voie au démonstrateur complet attendu pour 2028       

L’implication majeure de la France n’a rien d’anodin, cette technologie ... inscrite ... dans  volet innovation de la LPM 2024-2030"

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OPEX complète la vision de ce futur canon électro-magnétique

https://www.opex360.com/2023/06/28/nexter-knds-va-coordonner-le-developpement-dun-canon-electromagnetique-europeen/

- une telle arme permettrait d’envoyer un projectile à des distances trois à cinq fois supérieures, à un coût nettement plus avantageux 

- elle n’exigerait pas d’explosifs, dont le stockage exige maintes mesures de sécurité

- un projectile ... ejecté à une vitesse d’au moins Mach 5 et { pour ] parcourir une distance pouvant atteindre les 200 km

MAIS

Cela suppose de relever plusieurs défis technologiques [matériaux, énergie, contraintes mécaniques, etc.

- l’US Navy a visiblement jeté l’éponge

- d’autres pays ont lancé des programmes ... d’une telle capacité. Chine et  Japon

EN FRANCE : 

- Travaux antérieurs de l' ISL Institut Saint-Louis fort de ses projets « PEGASUS » et « RAFIRA », il coordonne "PILUM" depuis 2020

- L’objectif était alors de démontrer que le concept de canon électromagnétique permettrait de « lancer des projectiles hyper-véloces avec précision sur une distance de plusieurs centaines de kilomètres », au point de disposer du « potentiel suffisant pour créer une rupture technologique dans l’appui d’artillerie à longue distance ».

EUROPE

"Pilum" a tenu ses promesse => On passe à THEMA

Et d'abord :

A priori, il ne serait donc pas question de mettre au point un canon électromagnétique pour l’artillerie navale mais plutôt une capacité plus modeste, avec une portée de l’ordre d’une trentaine de kilomètres. Dans ce cas, avait expliqué M. Chiva, « on peut envisager l’intégration de cette arme sur une plateforme terrestre, autrement dit sur un camion » et il serait alors « possible d’utiliser comme munitions des obus flèches classiques non explosifs, ce qui facilite la fabrication. »

Modifié par Bechar06
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Il y a 22 heures, Bechar06 a dit :

OPEX complète la vision de ce futur canon électro-magnétique

https://www.opex360.com/2023/06/28/nexter-knds-va-coordonner-le-developpement-dun-canon-electromagnetique-europeen/

- une telle arme permettrait d’envoyer un projectile à des distances trois à cinq fois supérieures, à un coût nettement plus avantageux 

- elle n’exigerait pas d’explosifs, dont le stockage exige maintes mesures de sécurité

- un projectile ... ejecté à une vitesse d’au moins Mach 5 et { pour ] parcourir une distance pouvant atteindre les 200 km

MAIS

Cela suppose de relever plusieurs défis technologiques [matériaux, énergie, contraintes mécaniques, etc.

- l’US Navy a visiblement jeté l’éponge

- d’autres pays ont lancé des programmes ... d’une telle capacité. Chine et  Japon

EN FRANCE : 

- Travaux antérieurs de l' ISL Institut Saint-Louis fort de ses projets « PEGASUS » et « RAFIRA », il coordonne "PILUM" depuis 2020

- L’objectif était alors de démontrer que le concept de canon électromagnétique permettrait de « lancer des projectiles hyper-véloces avec précision sur une distance de plusieurs centaines de kilomètres », au point de disposer du « potentiel suffisant pour créer une rupture technologique dans l’appui d’artillerie à longue distance ».

EUROPE

"Pilum" a tenu ses promesse => On passe à THEMA

Et d'abord :

A priori, il ne serait donc pas question de mettre au point un canon électromagnétique pour l’artillerie navale mais plutôt une capacité plus modeste, avec une portée de l’ordre d’une trentaine de kilomètres. Dans ce cas, avait expliqué M. Chiva, « on peut envisager l’intégration de cette arme sur une plateforme terrestre, autrement dit sur un camion » et il serait alors « possible d’utiliser comme munitions des obus flèches classiques non explosifs, ce qui facilite la fabrication. »

Intéressant mais quid de la précision et des effets cinétiques, pyrophoriques, ou explosifs terminaux?

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Bonjour

J'avais entendu parler d'un Obus de mortier guidé par laser pour nos mortiers de 120 mm, qui a des nouvelles de ce programme?

Démonstrateur seulement? en cours de développement? programme avec commandes à l'issue?

Car le mortier lourd à l'air d'être bien apprécié par les 2 belligérants en Ukraine et le coût de production d'un tel mortier collé au cul d'un Sherpa  doit être bien inférieur à celui d'un Caésar et surtout le tube doit être bien plus rapide à produire qu'in tube de 155 mm dans le cadre d'une remontée en puissance rapide de nos forces si besoin...

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il y a 36 minutes, PhilACP7 a dit :

Bonjour

J'avais entendu parler d'un Obus de mortier guidé par laser pour nos mortiers de 120 mm, qui a des nouvelles de ce programme?

Démonstrateur seulement? en cours de développement? programme avec commandes à l'issue?

Car le mortier lourd à l'air d'être bien apprécié par les 2 belligérants en Ukraine et le coût de production d'un tel mortier collé au cul d'un Sherpa  doit être bien inférieur à celui d'un Caésar et surtout le tube doit être bien plus rapide à produire qu'in tube de 155 mm dans le cadre d'une remontée en puissance rapide de nos forces si besoin...

munition thales mgm, essai en 2022, les commandes je ne sais pas

 

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Le cout du système d'artillerie porté est surtout dicté par la solution de localisation et d'engagement ,en gros la centrale inertielle et les calculateurs d'artillerie qui vont avec, plus les liaisons de données.

Dans ce cadre pas sûr qu'une solution genre 2R2M tout numérisé soit infiniment moins cher qu'un Caesar.

C'est un peu le problème de déployer les solutions économiquement valables sur de gros matériel ... Vers des petits.

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Le 28/06/2023 à 15:58, Bechar06 a dit :

Et d'abord :

A priori, il ne serait donc pas question de mettre au point un canon électromagnétique pour l’artillerie navale mais plutôt une capacité plus modeste, avec une portée de l’ordre d’une trentaine de kilomètres. Dans ce cas, avait expliqué M. Chiva, « on peut envisager l’intégration de cette arme sur une plateforme terrestre, autrement dit sur un camion » et il serait alors « possible d’utiliser comme munitions des obus flèches classiques non explosifs, ce qui facilite la fabrication. »

https://www.opex360.com/2023/07/14/la-direction-generale-de-larmement-devoile-un-projet-de-canon-electro-magnetique-pour-les-navires/   est développé en Marine "Artillerie navale"  tandis qu'un complément terrestre intéresse ce fil

"A priori, le projet de canon électromagnétique qui sera présenté aux Invalides sera dédié à la défense aérienne. En effet, selon l’ISL, un démonstrateur devrait être testé en 2028 « dans une optique de défense anti-aérienne des plates-formes navales et terrestres afin de protéger les forces face aux nouvelles menaces telles que les missiles hyper-véloces » 

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L'artillerie de demain, sans oublier celle d'hier ?     Quand on voit la guerre de position qui s'est généralisée en Ukraine, malgrè tous les engins de la guerre de mouvement ...  A quand le retour au lance-pierres ? pour la LAD ?? 

Là il est question de FORTERESSE, de MONTAGNE, et de MORTIERS hors normes 

Conduit là par https://lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr/archive/2023/07/14/pierre-de-taillac-publie-deux-captivants-ouvrages-sur-le-theme-des-fortific.html

Et la lecture en lien de https://fr.wikipedia.org/wiki/Mont_Chaberton

vers https://fr.wikipedia.org/wiki/Mortier_de_280_mm_Schneider  Méchant et utilisé longtemps durant la 2-GM jusqu'en Urss

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Beaucoup de moyens pour la détection et l'acquisition des cibles, surtout avec la multiplication des drones et la mise en réseau des moyens d'observation.

https://www.opex360.com/2023/07/21/la-direction-generale-de-larmement-a-qualifie-le-griffon-en-version-observation-dartillerie/

En espérant que les moyens feu vont suivre..

Passer inaperçu va devenir difficile !

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Il y a 1 heure, Kamelot a dit :

Beaucoup de moyens pour la détection et l'acquisition des cibles, surtout avec la multiplication des drones et la mise en réseau des moyens d'observation.

https://www.opex360.com/2023/07/21/la-direction-generale-de-larmement-a-qualifie-le-griffon-en-version-observation-dartillerie/

En espérant que les moyens feu vont suivre..

Passer inaperçu va devenir difficile !

Ca sent l'observation totalement passive en réseau avec maillage de quelques kilomètres, genre une dizaine à l'aide de caméra 360 incapable de donner une distance pour une cible en étant seule mais en réseau sans problème.

Modifié par herciv
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  • 2 weeks later...
  • 1 month later...
Le 17/07/2023 à 19:11, Bechar06 a dit :

Et un récit des duels d'artillerie autour du Mont Chaberton en 1940 :

Citation

Le 21 juin 1940, au petit matin, le lieutenant Miguet constate, de son observatoire de l’Infernet, l’entrée en action des pièces du Chaberton. Les observateurs du Janus notent les départs des coups... et en reçoivent quelques uns. Le commandement français donne alors l’ordre de tir. Mais le lieutenant MIGUET se heurte à un élément essentiel du combat en montagne : les conditions météorologiques. En effet, la brume est tombée sur le Chaberton ; or, nos mortiers de 280 n’ayant jamais tiré, il est nécessaire d’observer les tirs pour les régler.

Soudain, à 10h00, c’est l’éclaircie. le lieutenant MIGUET donne immédiatement l’ordre de tir à la section de Poët-Morand. Le 1er coup part. puis c’est la longue attente de 60 secondes : les calculs de tir sont-ils bons ? et les extrapolations des tables de tir ? Quand les 250 kg du projectile éclatent sur les pentes du Chaberton, c’est le soulagement. Il ne reste plus qu’à régler le tir. Les 2e et 3e coups se rapprochent de l’objectif. Mais, hélas,la brume retombe sur les Italiens. Il faut attendre 15h30 avant de pouvoir reprendre le tir. Les deux sections ouvrent alors le feu. On aperçoit encore les départs de coups italiens.

Le duel s’engage alors. Les Italiens n’ont pas repéré d’où tirent nos pièces égaillées dans la montagne. Ils tirent donc sur les positions identifiées du fort des Têtes... qui est vide !

A 17h30, la 3e tourelle du Chaberton est touchée, la soute à munitions explose et une grosse fumée s’échappe de la position.

Mais les Italiens tirent toujours. A 18h00, un nouveau coup touche la troisième tourelle qui vole en éclats. Dès lors, les tourelles ne tirent plus, ou presque.

A 18h15, un nouveau dépôt de munitions saute à la 2e tourelle et à 18h30, un gros éclatement sur la partie supérieure de l’ouvrage est observé.

A 19h00, un projectile tombe sur les 5e et 6e tourelles dont il ne reste qu’un amas de ferraille et de pierres.

C’est alors que le lieutenant MIGUET reçoit l’ordre de cessez-le-feu du colonel commandant le SFD. Il peut alors faire le bilan de la journée : sa batterie a tiré cinquante sept coups, elle n’a subit aucune perte, mais elle a détruit six tourelles sur huit, empêchant l’ennemi d’utiliser cette position des plus favorables pour lancer son offensive.

Mission accomplie !

Le 24 juin 1940, quand est signé l’armistice franco-italien, MUSSOLINI doit se rendre à l’évidence : il vient de subir une sévère défaite. La position principale de la défense française n’a jamais été enfoncée et les troupes italiennes ont subi des pertes énormes.

En quatre jours de combat, elles ont perdu 6 029 soldats - tués, blessés, prisonniers ou disparus - contre 254 soldats français !

Dans cette victoire française, l’artillerie, à l’image de ce qui s’est passé au Chaberton, a joué un rôle décisif. Elle a pu compter sur des positions favorables, sur du matériel adapté, mais surtout sur la ténacité et la rage de vaincre de ses hommes.

Les combats du Chaberton rappellent enfin la permanence des savoir-faire spécifiques qui restent le propre de l’artilleur de montagne du 21e siècle : savoir implanter les batteries dans des zones d’accès difficiles, savoir durer dans des conditions météorologiques rudes, voire extrêmes, installer des observatoires sur des points hauts, ce qui demande l’usage de techniques alpines, maîtriser le tir vertical associé à des conditions aérologiques très perturbées... et enfin, cultiver la rusticité et la volonté inflexible des hommes, à l’image de celles des artilleurs de la 6e batterie du 154e RAP !

https://artillerie.asso.fr/basart/article.php3?id_article=962

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  • 4 weeks later...

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https://www.opex360.com/2023/10/11/feux-dans-la-profondeur-larmee-de-terre-veut-un-systeme-dartillerie-ayant-une-portee-de-500-km/

Sur le fond je dirai ENFIN et VITE !

Une solution "souveraine" est techniquement possible reste à évaluer l'interopérabilité des munitions, les standards dimensionnels (paniers) et la connectivité. Le poste économie/budget dépendra des volumes produits, a priori pour une Brigade spécifique (?).

Le recours à des briques AASM pour le guidage serait intéressant si elle sont compatibles avec les accélérations. Pour les fonctions charges militaires et propulsion, je demande à voir (masse, diamètre et centrage) ! Les portées envisagées demanderont, aussi, le développement de nouveaux propulseurs, voire des trajectoires terminales adaptées.

Le porteur du système devra répondre à l'emploi souhaité. Là, je n'ai pas de "religion", si ce n'est la cohérence des moyens avec la fonction projection.

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