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AIR-DEFENSE.NET

L'avenir de la péninsule coréenne


Messages recommandés

Tout dépend de la puissance, du type et de l'altitude de la bombe. Une bombe à neutron est recommander dans ce cas ou des têtes inférieur à 10kt.

Aux pire on fait détoner aux sol des têtes nucléaires dans le sol, mais ce seront des bombes aux cobalt et cela viseras les lieux de productions agricoles ou les puits et rivières.

Les pollens et l'eau ne sont pas réputés connaitre les frontières ni différencier les peuples  ;)

Pour les bombes N, (outre le fait que plus personne n'en dispose car inutile) ça ne change rien, les retombés radioactives, bien que moindre, sont là et vont contaminer la zone pour des siècles de même pour une bombe inférieur à 10kt.

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Les pollens et l'eau ne sont pas réputés connaitre les frontières ni différencier les peuples  ;)

Pour les bombes N, (outre le fait que plus personne n'en dispose car inutile) ça ne change rien, les retombés radioactives, bien que moindre, sont là et vont contaminer la zone pour des siècles de même pour une bombe inférieur à 10kt.

Hiroshima et nagasaki sont inhabitable?

Et puis comme je l'ai dit, on les fait exploser à ras les pâquerettes, les retombes seront faibles.

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Et puis comme je l'ai dit, on les fait exploser à ras les pâquerettes, les retombes seront faibles.

faux

plus l'explosion est aérienne moins y'a de retombées

plus l'explosion est proche du sol plus elle génère des particules irrédiées remises en suspension

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je me demandais, au regard du nombre impressionnant d'obus pouvant être tirés par l'artillerie nord-coréenne sur Séoul dans les premiers moments d'une guerre, pourquoi il n'y a pas de réseau de CIWS autour de l'agglomération de la capitale? cela pourrait être une solution non? enfin c'est peut-être déjà le cas et je le sais pas...

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je me demandais, au regard du nombre impressionnant d'obus pouvant être tirés par l'artillerie nord-coréenne sur Séoul dans les premiers moments d'une guerre, pourquoi il n'y a pas de réseau de CIWS autour de l'agglomération de la capitale? cela pourrait être une solution non? enfin c'est peut-être déjà le cas et je le sais pas...

Le réseau de DCA de la CdS est l'un des plus dense et plus concentré au monde (je n'arrive pas à retrouver le lien, mais des mecs s'étaient amusés à repérer les DCA visible sur gogole map, c'était très impressionnant de part leur nombre) mais ce genre de système arrive rapidement à saturation et ne peuvent pas faire face à une attaque massive initiale.

Après, il n'existe aucun système "100% hits", les CIWS sont déployés dans la zone verte de Baghdad mais ça n'empêche pas que de temps en temps une roquettes ou obus tombe dans cette zone et là on parle de salve de moins de 5 obus/roquettes donc ça risque d'être une perte d'argent qui pourrait être investi dans des radars de contre batterie et dans une meilleure défense passive pour les habitants.

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Sur un blog, je suis tombé sur cette article indiquant qu'il y a un suicide tous les 2 jours dans l'armée du sud :

http://meridien.canalblog.com/archives/2009/06/20/14151986.html

On atteint presque les chiffres de l'armée russe  :O Les ''jeunes'' de la bas sont ils plus fragiles psychologiquement que les nôtres  :rolleyes: 

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Sur un blog, je suis tombé sur cette article indiquant qu'il y a un suicide tous les 2 jours dans l'armée du sud :

http://meridien.canalblog.com/archives/2009/06/20/14151986.html

On atteint presque les chiffres de l'armée russe  :O Les ''jeunes'' de la bas sont ils plus fragiles psychologiquement que les nôtres  :rolleyes: 

OMG, ça doit être dépaysant de passer d'une vie de geek à une vie de soldat. Mais il ne faut pas oublier que dans la culture asiatique, le suicide est très fréquent.

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Sur un blog, je suis tombé sur cette article indiquant qu'il y a un suicide tous les 2 jours dans l'armée du sud :

http://meridien.canalblog.com/archives/2009/06/20/14151986.html

On atteint presque les chiffres de l'armée russe  :O Les ''jeunes'' de la bas sont ils plus fragiles psychologiquement que les nôtres  :rolleyes: 

gibbs

faut pas comparer les jeunes de là-bas avec les notres dans le sens ou s'est pas la même mentalité dans l'armée sud-coréenne que dans la notre .

les brimades ,la dureté ,sa fait partie de la culture de l'armée SC (en france s'est quand même rare les suicides à cause de l'ambiance et de la dureté dans les casernes).

l'armée SC au vietnam  ne faisait pas de cadeau au viet ,les marines coréens interrogé les prisonniers avec des prises de taikwondo ,pas fin les gus ,faut dire qu'ils avaient la haine du communisme .

à l'heure actuelle , l'armée SC a gardé cette mentalité de défenseur contre le communisme ,alors s'est pas fin . en plus les jeunes SC sa leurs pique aux yeux ,vue le mode de vie qu'ils ont ,et qui est plus ou moin le même que celui de nos jeunes .

il y a eu un reportage sur arte ou des marines coréens encadré des jeunes (un peu comme sa se fait aux USA )pour leur inculquer la discipline .l'un des marines se plaignait du manque de discipline de la jeunesse SC à l'heure actuelle ...

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Pyongyang a tiré deux missiles de courte portée

AFP - La Corée du Nord, qui a soulevé un tollé international en procédant le 25 mai à son deuxième essai nucléaire, a tiré jeudi deux missiles à courte portée au large de sa côte est, ont affirmé des responsables militaires sud-coréens.

Les missiles ont été tirés à 08H20 GMT et 09H00 GMT depuis un site situé à proximité du port de Wonsan (est), selon un porte-parole du ministère sud-coréen de la défense.

La Corée du Nord avait annoncé mercredi qu'elle procéderait à des manoeuvres militaires dans le courant du mois de juillet, demandant au Japon de ne pas s'approcher de ses régions côtières pendant cette période.

Ces tirs surviennent alors que le secrétaire général des Nations Unies, Ban Ki-moon, avait appelé mardi à Tokyo la Corée du Nord à s'abstenir de toute action risquant d'aggraver la situation dans la région.

La Corée du Nord a lancé un missile en direction du Japon le 5 avril et procédé à son deuxième essai nucléaire le 25 mai, avant de lancer plusieurs missiles de courte portée, ce qui a entraîné des protestations de la communauté internationale et de nouvelles sanctions de la part des Nations unies.

Les Etats-Unis ont annoncé qu'ils envisageaient la possibilité d'un tir de missile à longue portée nord-coréen en direction de Hawaï, probablement le 4 juillet, jour anniversaire de l'indépendance des Etats-Unis.

http://www.france24.com/fr/20090702-pyongyang-tire-deux-missiles-courte-portee-coree-nord-nucleaire

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Le programme nucléaire de la Corée du Nord intéresse la Birmanie. 

http://www.liberation.fr/monde/0101577801-le-grand-frere-nord-coreen-guide-la-birmanie-sur-la-voie-du-nucleaire

La Birmanie s’est trouvée un modèle : la Corée du Nord. La coopération entre ces deux dictatures extrêmes et isolées, en butte aux sanctions internationales, n’a cessé de s’approfondir ces dernières années. La junte birmane fournit à Pyongyang des matières premières dont elle regorge, en échange d’armement, d’infrastructures militaires souterraines, de missiles et peut-être même de savoir-faire nucléaire. En novembre, le numéro 3 birman, le général Thura Shwe Mann, a effectué une visite secrète en Corée. A l’issue d’une tournée dans une usine de missiles Scud D et E, et d’une promenade à travers un complexe souterrain dissimulant avions, tanks, missiles, armes chimiques et nucléaires, il a signé un mémorandum de coopération militaire. «Les dirigeants militaires birmans sont très inspirés par la manière dont la Corée du Nord tient en respect les Etats-Unis, en partie grâce à son programme nucléaire», explique Bertil Lintner, auteur d’un livre sur la Corée du Nord et ses voisins.

Le programme nucléaire birman remonte à 1956. Il a été suspendu en 1962, puis relancé en 2000 avec la signature d’un accord avec la Russie pour la construction d’un réacteur d’uranium à eau légère de 10 mégawatts. Un expert de l’Agence internationale à l’énergie atomique (AIEA) reconnaît qu’un tel réacteur «peut donner du plutonium militaire», mais assure qu’il est «très difficile de l’extraire». «Nous avons inspecté pour la dernière fois la Birmanie en 2001, afin d’examiner son degré de préparation pour la construction d’un réacteur», explique pour sa part Greg Webb, un porte-parole de l’AIEA joint à Vienne, siège de l’agence.

Rangoun dispose d’un savoir-faire nucléaire indubitable. Depuis 2001, plusieurs centaines de techniciens birmans ont été formés dans des centrales russes. «Il semble cependant, malgré un second accord de principe avec la Russie en 2007, que le projet de réacteur en soit resté là, pour des raisons économiques», dit Webb. En clair : Rangoun n’avait pas assez d’argent… La junte a pourtant de quoi dépenser (Le consortium autour du groupe pétrolier français Total fourni une rente annuelle de près d’un milliard de dollars à la junte (710 millions d’euros), un montant considérable qui équivaut au budget militaire (lui-même équivalent à 40 % du PIB), selon l’ONG Earthrights International. «En 2007, 75 % des revenus du projet sont allés directement à l’armée birmane, soit 972 millions de dollars», affirme l’ONG. Jeudi, un diplomate français assurait cependant, sous le sceau de l’anonymat, que cette «rente» - que Total ne dévoile pas - est plutôt de l’ordre de «dizaines de millions de dollars».

). Si tout paraît gelé, accuse l’opposition birmane en exil, c’est qu’un programme clandestin a été lancé à l’insu de l’AIEA. «Les projets nucléaires clandestins de la junte birmane sont près d’être achevés, grâce au concours de centaines de techniciens nord-coréens», affirme le site Democracyforburma. Une zone proche de la ville de Maymyo aurait été choisie pour loger ce réacteur secret, qui serait «presque fini». Les opposants en veulent pour preuve les expulsions forcées de milliers d’habitants de la région. Un barrage destiné à fournir de l’eau pour les circuits de refroidissement serait «à moitié achevé». L’uranium nécessaire serait extrait d’une mine située à Lashio, dans le nord du pays.

«Il est très difficile d’obtenir des informations fiables sur la Birmanie, et beaucoup de rumeurs circulent, quand il ne s’agit pas de désinformation pure et simple», commente Andrew Selth, universitaire australien expert de l’armée birmane. Selth reconnaît toutefois que «de tous les pays d’Asie du Sud-Est, la Birmanie est celui qui a le plus de raison stratégique de lancer un programme nucléaire militaire».

Les Etats-Unis, eux, soupçonnent une coopération illicite. La marine américaine a pris en chasse, la semaine dernière, un vieux cargo nord-coréen rouillé, le Kam Nam 1, suspecté de transporter des «armes de destruction massive» à destination de la Birmanie. Le Kam Nam 1 a finalement fait demi-tour mardi, pour des raisons inconnues. Outre des faux dollars et des cigarettes de contrebande, la Corée du Nord a par le passé exporté des missiles en Iran et au Pakistan, et sa technologie nucléaire en Syrie. En septembre 2007, l’aviation israélienne avait bombardé en Syrie un site soupçonné par l’AIEA d’héberger un réacteur construit par la Corée du Nord.

En attendant la bombe, la Birmanie se contente d’un savoir-faire nord-coréen plus conventionnel. Plusieurs sites d’informations dissidents ont publié, le mois dernier, des photos d’un réseau de tunnels stratégiques que la Corée du Nord a commencé à bâtir en 2003 dans le plus grand secret sous la nouvelle capitale birmane, Naypyidaw, construite loin de tout centre urbain. Ce réseau de 600 à 800 galeries souterraines, qui comprend des salles de réunion ainsi que des couloirs où des véhicules peuvent circuler, est destiné à protéger la junte d’attaques aériennes et de soulèvements populaires prodémocratiques tel que celui qui, en 1988, faillit renverser le pouvoir militaire à Rangoun.

Experte en souterrains, la Corée du Nord a percé chez elle, depuis les années 50, une constellation de tunnels et d’entrepôts enfouis. Le défunt Grand Leader Kim Il-sung s’était bâti de véritables Versailles souterrains. Il a même fait forer un «Palais des cadeaux»: des centaines de pièces reliées par des dizaines de kilomètres de galeries creusées dans la roche, où de rares touristes peuvent contempler des milliers de présents offerts à la dynastie nord-coréenne par Staline, Ceaucescu, Mao…

L’axe stratégique entre la Birmanie et la Corée du Nord est assez improbable. En 1983, Kim Jong-il, l’actuel leader nord-coréen, avait ordonné un attentat à la bombe contre le président sud-coréen alors en visite dans la capitale birmane. La bombe explosa devant le monument aux morts de Rangoun. Elle rata de peu le président Chun Doo-hwan, mais tua quatre ministres de son cabinet et dix-sept autres personnes. Les relations diplomatiques entre Rangoun et Pyongyang furent immédiatement rompues.

Les pourparlers reprirent néanmoins dans les années 90. «Les Nord-Coréens et les Birmans réalisèrent alors qu’ils avaient beaucoup de choses en commun, par exemple leur attitude à l’égard du monde extérieur. Tous les deux doivent survivre économiquement et politiquement, seul contre tous, expliquait récemment Bertil Lintner sur les ondes de Radio Free Asia. Alors, les relations se sont petit à petit améliorées, et les premières cargaisons d’armes nord-coréennes ont commencé à arriver en Birmanie, vers la fin des années 90.»

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La Corée du Nord derrière la Cyber-Attaque du 4 juillet

Les autorités américaines ont déclaré mercredi soir qu'elles regardaient en direction de la Corée du Nord pour expliquer les attaques informatiques qui, ces derniers jours, ont entraîné des pannes des sites Internet de plusieurs agences fédérales aux Etats-Unis, dont le département du Trésor et le Secret Service notamment chargé de la protection rapprochée des personnalités. Selon trois responsables américains qui ont requis l'anonymat en raison de la sensibilité du sujet, les adresses Internet à l'origine de ces attaques ont été localisées en Corée du Nord ce qui, soulignent ces mêmes sources, ne signifie pas une implication du gouvernement nord-coréen.

Les sites des départements du Trésor, des Transports, de la Commission fédérale des Echanges (FTC) et du Secret Service ont été en panne à un moment ou à un autre au cours du week-end, selon plusieurs responsables gouvernementaux qui ont requis l'anonymat. Certains de ces sites connaissaient encore des problèmes mardi soir, à la suite des attaques lancées le 4 juillet, jour de la fête nationale aux Etats-Unis.

Le ministère de la Sécurité intérieure, le Département d'Etat, le journal The Washington Post, le Nasdaq (marché des valeurs technologiques) ont également été visés, ont précisé à l'Associated Press des spécialistes en sécurité informatique.

Selon les responsables qui n'ont pas fourni de plus amples précisions, il s'agissait d'attaques dites de "saturation", ou "déni de service". Elles consistent à envoyer des milliers de messages depuis des dizaines d'ordinateurs piratés, afin de submerger les serveurs d'une société ou d'une administration et paralyser son site Internet. Le ministère de la Sécurité intérieure a confirmé que différentes administrations fédérales ont reçu des informations sur les "mesures à prendre pour réduire les effets de telles attaques".

De l'autre côté de la planète, en Corée du Sud, les sites de plusieurs grandes institutions et administrations nationales, dont la présidence, le ministère de la Défense, l'Assemblée ou la Banque du Commerce, ont pareillement été pris pour cible. D'après des responsables du renseignement sud-coréens, ces attaques liées à celles perpétrées aux même moment contre des serveurs et sites américains sont imputables à la Corée du Nord ou des forces pro-Pyongyang. Ces informations n'ont pas pu être confirmées. AP

Il y en a 1 en Corée du Nord qui cherche à recevoir des baffes !

Une put*** de tête à claques dégénéré !

Image IPB

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Une info à prendre avec des pincettes :

"Le dirigeant nord-coréen Kim Jong Il, 67 ans, aurait une espérance de vie de cinq ans au plus, a annoncé mardi la télévision sud-coréenne YTN, qui a affirmé la veille que le leader nord-coréen était atteint d'un cancer du pancréas. Le diagnostic a été effectué lors de son attaque cérébrale, en août dernier, selon YTN, qui s'est basée sur les renseignements chinois et sud-coréens. La santé de Kim Jong Il fait l'objet d'intenses spéculations, la question de sa succession provoquant de vives tensions à Pyongyang. Son troisième fils, Kim Jong Un, serait désormais pressenti pour remplacer son père, même si la nouvelle n'a jamais été confirmée." AP

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