L'avenir de la péninsule coréenne

[Jojo67]

On oublie que l'armée sud-coréenne, ça fait 700 000 soldats (même s'il y a toujours un système de conscription) et qu'ils possèdent un matériel de qualité. Que ce soit coréen ou américain. C'est surtout qu'il y a une situation de "guerre froide". Donc, faut répondre aux gigantesques parades nord-coréennes dans Pyongyang. Là bas, on doit avoir l'impression de vivre dans les années 80 (avec la technologie du XXIème siècle) ! :P

Ils ont quand même encore des Phantoms si je ne m'abuse, cf. la 2° photo. Ils ont raison du reste, car vouloir n'avoir que du matos dernier cri revient à en avoir peu.

Modifié le 19 octobre 2013 par Jojo67

[Kiriyama]

Les armées asiatiques modernes sont souvent un mélange de hautes-technologies et d'antiquités.

[eikkN]

http://www.defensenews.com/article/20131026/DEFREG03/310260005/S-Korea-Envisions-Light-Aircraft-Carrier

 

 

 

The South Korean Navy believes it can deploy two light aircraft carriers by 2036 and expand its blue-water force to cope with the rapid naval buildups of China and Japan, according to a Navy source.                

 

                                                                                                         

Comme design, ils envisagent:

- en premier de construire une rampe sur des Dodko;

- en second de construire un LHD comparable au Juan Carolos espagnol;

- et en dernier de construire 2 PA light de 30,000t comparables au Carvour italien.

 

Pour l'aviation embarquée ils prendront sans aucun doute des F-35B, mais il me reste une question, pourquoi ils n'optent pas pour un design CATOBAR? 

Modifié le 26 octobre 2013 par eikkN

[zx]

un petit coup d'oeil sur l'aviation civile

 

http://www.aerobuzz.fr/spip.php?article4323

 

 

La Corée du Nord constitue assurément le Graal pour les spotters du monde entier. Pourtant fermé et agité périodiquement par des poussées de fièvre comme en juin dernier, ce pays accueille depuis le printemps 2012 des groupes de passionnés d’avion. Les participants d’un des derniers voyages organisés (juin 2013) ont pu profiter d’un Tour encore plus dense que ce qui était prévu initialement dans le programme.

Modifié le 28 octobre 2013 par zx

[Kiriyama]

 

Ils furent "invités" à déposer chacun une gerbe de fleurs qui leur avait été vendue, au préalable, 5 euros pièce...

 

Comme quoi on peut être communistes en gardant le sens des affaires.

 

Sinon l'article est intéressant. On voit que du matériel pourtant ancien, une fois entretenu, peut très bien fonctionner.

[Henri K.]

http://youtu.be/FCvIcwQValQ

 

Henri K.

[collectionneur]

Je suis tombé sur cette nouvelle (sans sources claires) :

 

http://www.1001infos.net/international/coree-du-nord-execution-publique-de-80-personnes.html

 

La Corée du Nord a procédé le 3 novembre et dans sept villes du pays à une exécution publique de 80 personnes, dont certaines étaient accusées d’avoir regardé la télévision sud-coréenne. Ce visionnage est strictement interdit dans ce pays.

[alexandreVBCI]

Effectivement. 

 

Près de 80 personnes ont été exécutées en public début novembre dans sept villes de Corée du Nord, rapporte lundi le journal sud-coréen Chosun Ilbo.

Selon le quotidien, il s'agit des premières exécutions publiques de masse depuis l'arrivée au pouvoir du dirigeant actuel, Kim Jong-un.

Dans la ville portuaire de Wonsan (est), huit personnes ont été fusillées en présence de 10.000 spectateurs, dont des enfants, rassemblées dans le stade de Sinpung.

Toujours d'après la source, les "complices" et les proches des personnes exécutées, condamnées pour avoir distribué de la pornographie, regardé des films sud-coréens ou pour possession de la Bible, ont été envoyés dans des camps de travail forcé.

Le 18 octobre, le secrétaire général des Nations unies Ban Ki-moon a demandé à Pyongyang d'admettre dans le pays les membres d'une commission chargée d'enquêter sur les violations des droits de l'homme et de "prendre des mesures immédiates en vue de lever les préoccupations" en la matière.

Le rapport présenté par M.Ban à l'Assemblée générale de l'Onu fait état d'exécutions publiques pratiquées par le régime communiste, de manque de nourriture dans le pays et de traitements inhumains infligés aux personnes détenues dans des camps pour prisonniers politiques, dont le nombre total est estimé entre 150.000 et 200.000 personnes.

 

http://fr.ria.ru/world/20131111/199763821.html

[Ciders]

On appelle ça "serrer la vis après une prise de pouvoir".

[gerole]

j'avais raté la nouvelle : le dictateur aurait fait fusillé son ancienne petite amie et toute sa troupe de chanteurs pour "avoir tourné un porno" (en fait elle portait une robe fendue) :

 

http://www.20minutes.fr/societe/1234073-20131009-coree-nord-lex-kim-jong-un-bien-ete-executee-a-cause-dune-sex-tape

[alexandreVBCI]

Il fait le ménage...

 

L'oncle du jeune dirigeant nord-coréen Kim Jong-Un, présenté longtemps comme son mentor, a été écarté du poste à haute responsabilité qu'il occupait au sein de l'armée et plusieurs de ses proches ont été exécutés, ont indiqué mardi des responsables sud-coréens.

 

Lors d'un compte-rendu devant un comité parlementaire, les services de renseignements sud-coréens ont indiqué que Jang Song-Thaek s'était vu retirer le poste de vice-président de la Commission de défense nationale, organe de décision le plus puissant du pays, a rapporté à la presse un député.

S'il était confirmé, le limogeage de Jang Song-Thaek constituerait le rebondissement politique le plus significatif au sein du pouvoir nord-coréen, depuis l'arrivée à la tête du pays de Kim Jong-Un en décembre 2011 qui a succédé à son père, Kim Jong-Il, mort d'une crise cardiaque.

Lors d'une réunion convoquée en urgence avec le comité parlementaire, les services de renseignements sud-coréens ont indiqué que Jang "avait été récemment écarté de son poste et deux de ses proches, Ri Yong-Ha et Jang Soo-Kil, exécutés en public à la mi-novembre", a précisé à la presse le député Jung Cheong-Rae.

"Tous les membres de l'armée ont été informés de ces exécutions. Depuis, Jang Song-Thaek a disparu", a-t-il ajouté.

 

Suite : http://fr.news.yahoo.com/cor%C3%A9e-nord-loncle-mentor-kim-jong-%C3%A9cart%C3%A9-pouvoir-082842310.html

[alexandreVBCI]

L'organisation de défense des droits de l'Homme Amnesty International a publié jeudi de nouvelles images satellite des camps de prisonniers en Corée du Nord et des témoignages d'anciens internés relatant sévices et exécutions :

 

http://fr.news.yahoo.com/corée-nord-amnesty-publie-nouvelles-images-satellite-goulags-090223147.html

 

http://www.amnesty.fr/AI-en-action/Protegeons-les-personnes/Personnes-en-danger/Actualites/Coree-du-Nord-nouvelles-images-satellite-10275

 

Edifiant !

[Chronos]

La jeunesse coréenne sous une telle pression qu'elle... cesse de chercher du travail. 

 

http://www.courrierinternational.com/article/2013/12/05/une-generation-qui-renonce-au-travail

[zx]

http://www.lefigaro.fr/international/2013/12/06/01003-20131206ARTFIG00613-coree-du-nord-un-proche-du-regime-aurait-demande-a-passer-au-sud.php

 

L'homme serait un très proche conseiller de l'oncle de Kim Jong-un, lui-même limogé. Si elle se confirme, cette défection serait la plus importante depuis 15 ans.

 

Le régime nord-coréen est-il entré en ébullition? La purge, vraisemblablement entamée depuis plusieurs mois par Kim Jong-un, serait à l'origine de ce qui semble être la plus importante défection qu'ait connue le pays depuis ces quinze dernières années. Un conseiller de Jang Song-thaek, oncle du maître de Pyongang et lui-même apparemment démis de ses fonctions il y a quelques semaines, aurait fui en Chine selon des révélations de la chaîne d'information sud-coréenne YTN.

 

Le transfuge aurait demandé l'asile politique à la Corée du Sud après avoir fui son pays il y a deux mois, pour échapper à une épuration des plus hautes sphères du pouvoir qui a déjà conduit à l'exécution de deux responsables. Les autorités sud-coréennes pensent que cet homme contrôlait des fonds placés sous la responsabilité de Jang Song-thaek. Il serait actuellement sous la protection d'agents du renseignement. Néanmoins, les services secrets sud-coréens et le ministère de l'Unification ont refusé jusqu'à présent de confirmer ces informations.

 

L'oncle déchu

 

Vendredi 3 décembre, des parlementaires sud-coréens, renseignés par les services secrets, annonçaient lors d'une réunion d'urgence le renvoi de Jang Song-thaek, vice-président de la Commission de défense nationale. Époux de la sœur de l'ancien dirigeant Kim Jong-il, décédé en 2011, et jusque là véritable éminence grise du régime, Jang Song-Thaek, 67 ans, s'est longtemps imposé comme le mentor de Kim Jong-un. Après avoir connu deux périodes de disgrâce en 1978 et 2004, sa nomination en avril 2009 à la Commission de défense nationale en avait fait le quasi numéro deux de la République populaire démocratique de Corée.

 

Or, depuis début novembre, il n'est plus réapparu. Quelques jours plus tard, deux de ses proches, Yong-ha et Jang Soo-kil, étaient exécutés en public. Jeudi 5 décembre, l'agence de presse Yonhap annonçait que l'ambassadeur de la Corée du nord en Malaisie, et propre neveu de Jang Song-thaek, avait été rappelé d'urgence à Pyongyang. Les experts américains sont restés sceptiques quant à ces événements, signale le Washington Post , rappelant que les estimations de Séoul sur la situation du nord sont souvent inégales.

 

Kim Jong-Un est-il en train de chanceler?

 

Si cette fuite était confirmée, le transfuge de ce proche conseiller de Jang Song-thaek deviendrait le plus important vers la Corée du sud depuis celui, en 1997, d'Hwang Jang-yop, idéologue de la doctrine «juche», et dont Kim Jong-il avait pris ombrage de la grande popularité.

 

Les analystes restent divisés sur le sens de la purge lancée par Kim Jong-un. Elle peut s'inscrire dans une affirmation de son leadership, achevant ainsi la phase de transition entamée en 2011 après la mort du père, tout comme elle pourrait trahir une certaine instabilité, à travers une lutte de pouvoir sanglante entre la nouvelle génération et l'ancienne garde.

 

 

Modifié le 6 décembre 2013 par zx

[zx]

De nouvelles images montrent l'extension des camps de travail nord-coréens

 

http://www.lefigaro.fr/international/2013/12/05/01003-20131205ARTFIG00616-de-nouvelles-images-montrent-l-extension-des-camps-de-travail-nord-coreens.php

 

Amnesty International vient de publier des clichés satellite attestant d'une progression de la surface de ces camps dont Pyongyang conteste l'existence même. L'ONG diffuse également des témoignages glaçants de survivants.

 

Voir le diaporama de l'article

[collectionneur]

Le gvt Chinois a t'il déjà réagi a l'agrandissement de la zone de surveillance coréenne ?

[alexandreVBCI]

Pas de réaction pour l'instant semble-t-il.  

[Henri K.]

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Henri K.

[collectionneur]

Le tonton contre-révolutionnaire a bien était "éliminer" suite a ces crimes défiant l'imagination dixit un communiqué officiel.

[Ciders]

C'est malheureux de voir un peuple crever littéralement de faim. Et personne n'y pourra rien.

[zx]

Corée du Nord : la chute du régent de Pyongyang

 

http://www.lefigaro.fr/international/2013/12/09/01003-20131209ARTFIG00523-la-chute-du-regent-de-pyongyang.php
 

 

Oncle de Kim Jong-un et véritable numéro deux du régime nord-coréen, Chang Song-taek est accusé de corruption, débauche et usage de drogue.

Les pièces rapportées ne seront jamais de sang royal. L'adage vaut à Versailles comme à Pyongyang en 2013. À 67 ans, Chang Song-taek, l'influent oncle de Kim Jong-un, a mordu la poussière sous le coup d'un oukase de son neveu dictateur. Celui qu'on surnommait «le régent rouge» est tombé dans les oubliettes de l'histoire du régime stalinien.

 

Chang fréquentait les casinos, était accro aux stupéfiants et a eu des « relations inappropriées avec de nombreuses femmes », énumère en détail la propagande

 

Dimanche, le numéro deux de facto du régime a été brutalement arrêté en pleine réunion du politburo, saisi comme un malappris par deux colosses en uniforme, sous les yeux des hauts cadres du Parti. La scène d'une violence glaçante a aussitôt été diffusée par l'agence de presse officielle KCNA, une première depuis 1970. Une mise en scène hors norme pour la purge la plus spectaculaire depuis l'arrivée au pouvoir du jeune Kim Jong-un. À la veille du second anniversaire de la mort de son père, l'héritier âgé d'une trentaine d'années fait trembler Pyongyang pour asseoir son autorité. «Il veut faire un exemple pour démontrer à tous qui est le patron et s'assurer l'appui des élites», explique Kim Taehyun, professeur à l'Université Chung An.

 

L'homme qui avait été chargé par Kim Jong-il de chaperonner le jeune successeur est désormais accusé des pires maux «contre-révolutionnaires». Chang a créé «sa propre faction au sein du Parti. Poussé par son ambition politique, il a tenté d'étendre son influence et se construire une base», dénonce la KCNA dans un réquisitoire cinglant. Un crime de lèse-majesté fatal dans un système stalinien pyramidal, encore accentué par le culte de la personnalité extrême établi par la dynastie des Kim. «Il était le seul à pouvoir maintenir une faction, du fait de son appartenance à la famille. Cela a déclenché un affrontement grave au sein du Parti. Désormais, Kim Jong-un peut régner sans partage», explique Cheong Seong-chang, chercheur à l'Institut Sejong. Une façon de clore la délicate séquence de la succession dynastique ouverte fin 2011.

 

 

Mais derrière ce procès politique se dessine en filigrane une vendetta familiale aux relents sulfureux. Le mari de Kim Kyong-hui, la propre sœur de Kim Jong-il, est désormais accusé des vices moraux les plus lourds: le jeu, la drogue et la luxure… Chang fréquentait les casinos, était accro aux stupéfiants et a eu des «relations inappropriées avec de nombreuses femmes», énumère en détail la propagande. Des accusations peu communes pour une purge qui cacherait un règlement de comptes familial et un amour trompé. «Chang aimait les femmes, l'alcool, ce qui a pu le conduire à commettre des erreurs… Sa femme n'a pas supporté ses écarts. Kim Jong-un est intervenu pour laver l'insulte faite à la famille régnante», analyse Cheong, fin connaisseur des arcannes de Pyongyang.

 

La chute du régent était écrite, car Chang n'a jamais été pleinement intégré à la famille des Kim, seulement toléré. Déjà, au début des années 1970, Kim Il-sung s'était opposé au mariage de sa fille avec ce jeune cadre ambitieux formé à Moscou, mais dont la famille ne faisait pas partie de l'aristocratie révolutionnaire. Le «Grand Leader» finit par céder aux caprices de sa fille et la carrière de Chang décolle. De ce mariage, naîtra une fille partie étudier à Paris où elle se suicidera en 2006, devant le refus de ses parents d'accepter un amour rencontré dans le monde libre. À Pyongyang, Chang subit lui aussi la loi d'airain totalitaire. Par deux fois, le cadre est purgé, notamment pour avoir participé aux timides efforts de libéralisation économique au début des années 2000. Il revient en grâce à la fin du règne d'un Kim Jong-il vieillissant, qui apprécie son expérience et son sens de la diplomatie et lui confie la charge de mettre le pied à l'étrier à son successeur.

 

C'est l'heure de gloire de l'oncle Chang. Certains le soupçonnent même d'être le véritable maître de Pyongyang, agitant l'inexpérimenté Jong­-un, telle une marionnette. Mais le pantin se révèle en acier trempé et après avoir mis aux pas les généraux, il s'émancipe de son mentor. Durant le bras de fer avec les États-Unis au printemps dernier, Chang disparaît mystérieusement des cérémonies officielles. Proche de la Chine, partisan de la diplomatie, il est marginalisé alors que les faucons tiennent le haut du pavé. Finalement, en novembre, le couperet du «Leader suprême» s'abat sur le vice-président de la toute-puissante Commission nationale de défense. Deux des principaux conseillers de Chang sont condamnés par un tribunal militaire et exécutés en public. Un avertissement lancé à tous ceux qui seraient tentés de défier le jeune dirigeant élevé en Suisse. D'autres purges sont attendues dans les prochains mois pour installer des cadres fidèles, selon un modèle classique des régimes communistes d'Asie. Sous la menace, l'un des proches de Chang serait en cavale en Chine, espérant faire défection en Corée du Sud. Un autre proche, l'ambassadeur de la Corée du Nord à Pékin, est sur la sellette. «Le dirigeant va remplacer la clique de Chang par la sienne», résume Kim Taehyun.

 

Reste à savoir si le jeune leader ira jusqu'à exécuter son oncle, comme les charges pesant contre lui l'augurent. «Au minimum, il sera condamné à la perpétuité», juge Cheong. S'il échappe au peloton d'exécution, le régent déchu pourrait finir sa vie dans un camp de travail où meurent à petit feu les ennemis du régime.

Modifié le 9 décembre 2013 par zx

[Kiriyama]

La jeunesse coréenne sous une telle pression qu'elle... cesse de chercher du travail. 

 

http://www.courrierinternational.com/article/2013/12/05/une-generation-qui-renonce-au-travail

 

Le mirage sud-coréens commence peut-être à se dissiper. Dire qu'on nous vendait le pays comme le dernier paradis terrestre. En faitr ça ne me surprend pas et je m'y attendais un peu...

[Rémy]

Le même genre de problèmes se pose aussi au Japon, sous un autre angle (freeters). La pression sociale vis-à-vis de la sphère travail est très forte dans les structures asiatiques développées, et des phénomènes extrêmes de ce genre se développent.

[Kiriyama]

Le problème de base est un peu différent toutefois :

 

- Au Japon l'activité économique est amorphe, donc forcément moins d'embauches ;

- En Corée du Sud l'activité économique est dynamique mais le marché du travail ne sait plus absorber cette quantité de diplômés.

 

J'en avais déjà parlé mais il y a (ou avait) un bidonville à Séoul.

[Rémy]

Le bidonville de Séoul concentre surtout des vieux sans couverture sociale minimale, tandis que les freeters japonais concernent autant des jeunes sans-qualifs que des diplômés qui ont eu le malheur de quitter le premier job d'entreprise de carrière et qui se "sont sortis du moule tout seuls" du coup. Malgré le caractère amorphe de l'économie japonaise, le taux de chômage reste bas mais au prix d'une precarisation du tiers des travailleurs nippons en dix ans.

Modifié le 10 décembre 2013 par Rémy