Lieutenant Neptunium Posté(e) le 12 août 2024 Share Posté(e) le 12 août 2024 Le 09/08/2024 à 00:07, Ciders a dit : si j'étais un responsable local, je te soutiendrais un mouvement type Marielitos vers... bah tiens, Aruba. Ou Curacao. Ces îles de l'UE là. Tu peux éviter de leur donner l'idée, merci ;) Par contre, lu dans le Monde, j'aime l'expression: D’autres craignent qu’une mégapanne d’électricité le jour du scrutin ne paralyse le système électoral informatisé. « Comment ne pas y penser ? », interroge Michael Ortega, qui tient une gargote dans la ville de Valencia, à deux heures de route de la capitale. « Ici, les pannes d’électricité sont quasi quotidiennes », explique-t-il. Il vit dans un immeuble de six appartements, dont trois sont vides depuis longtemps. « Si Nicolas Maduro est donné gagnant dimanche, je me tire, moi aussi, en Espagne, dit-il en rageant. Oui, j’irai laver des culs, comme on dit ici. Ce sera toujours mieux que de vivre ici. » https://www.lemonde.fr/international/article/2024/07/24/au-venezuela-l-emigration-massive-pese-sur-l-election-presidentielle_6256717_3210.html?random=381759853 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Conan le Barbare Posté(e) le 12 août 2024 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 12 août 2024 (modifié) Le 08/08/2024 à 22:54, Teenytoon a dit : Bon courage pour traverser l'Atlantique, c'est pas la Méditerranée à Lampedusa. Toi t’as jamais été dans l’arc antillais et Guyane… ils sont des centaines de milliers voir des millions à avoir immigrés. Les Vénézuéliens ça va ils sont pas trop con et assez bosseurs. Les meilleurs avec qui j’ai bossé c’est les gars d’Amérique centrale des énormes bosseurs et ils en veulent. Modifié le 12 août 2024 par Conan le Barbare 1 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. poti Posté(e) le 14 août 2024 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 14 août 2024 Ces éléctions sont vraiment compliquées. Le "chef" informel de la diplomatie brésilienne, Celso Amorim, vient de dire que le Vénézuela doit refaire des éléctions car le pays n'a pas présenté les résultats urne par urne. En gros, même le Parti des Travailleurs brésilien au pouvoir qui protège depuis des lustres le bolivarianisme du Venezuela ne reconnaît pas les éléctions. Que les USA ne reconnaissent pas, ça donne de la popularité mais quand quasiment tous les gouvernements latino-américains font de même, ça commence a devenir compliqué. La situation est catastrophique car le pays était un des plus riches d'amérique du sud et est aujourd'hui un des plus pauvres. Près de 6 millions d'habitants ont quitté le pays (j'habite à 4000 bornes de caracas et il y a des travailleurs Venezueliens un peu partout). Mais à la fin, que faire? Maduro ne partira pas. Des sanctions économiques comme le font les USA ne servent à rien contre le gouvernement (ou plutôt lui donnent de la légitimité) et font du mal à la population qui nous est très proche. Pour ceux qui pensent à une intervention armée, ça ne viendra pas du Brésil. Pour la population d'ici tuer des vénézueliens passerai très très mal. Ils sont vus comme des victimes. Et imposer la démocratie en dégommant un pays n'a pas la côte. Sans compter que la logistique de la frontière rend toute guerre hasardeuse à l'issue douteuse. C'est tout simplement une situation de merde. 1 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Lieutenant Neptunium Posté(e) le 19 août 2024 Share Posté(e) le 19 août 2024 Pourquoi je sens une résolution de la crise, variante Syrie sous les tropiques..... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Conan le Barbare Posté(e) le 19 août 2024 Share Posté(e) le 19 août 2024 il y a une heure, Lieutenant Neptunium a dit : Pourquoi je sens une résolution de la crise, variante Syrie sous les tropiques..... Parce que le pouvoir bolivarien n’a quasi plus aucun soutiens dans la population (contrairement au régime de Bachar) et donc c’est tentant d’armer des proxis pour le faire tomber ? 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Lieutenant Neptunium Posté(e) le 26 août 2024 Share Posté(e) le 26 août 2024 Plausible mais il faudrait encore trouver quelqu’un d'assez courageux (stupide?) pour armer un ou plusieurs factions vénézuéliennes: C'est mort pour les États-Unis et le Brésil, à la rigueur peut être la Colombie s'il y a une alternance politique en faveur de la droite/extrême droite...pour moi le seul acteur qui a vraiment intérêt à une dégradation encore plus violente de la situation, c'est les groupes narcos. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Paschi Posté(e) le 8 septembre 2024 Share Posté(e) le 8 septembre 2024 Edmundo González se serait finalement résolu à quitter le Venezuela 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 7 février Share Posté(e) le 7 février (modifié) https://www.theamericanconservative.com/trump-goes-to-venezuela/ (4 février 2025) L'envoyé spécial du président Donald Trump, Ric Grenell, s'est envolé vendredi pour le Venezuela afin de rencontrer le président Nicolás Maduro, récemment investi dans ses fonctions. M. Grenell, chargé d'établir les priorités de la nouvelle administration dans ce pays, a rencontré M. Maduro et a abordé toute une série de sujets, notamment les sanctions américaines, les otages américains détenus par le Venezuela et les migrations. Selon toute apparence, il a atteint ses objectifs : Le même jour, il est rentré aux États-Unis avec six Américains emprisonnés par le gouvernement Maduro. Le lendemain, Donald Trump a annoncé que le gouvernement vénézuélien avait accepté l'expulsion des Vénézuéliens qui avaient immigré illégalement aux États-Unis, en particulier les membres du tristement célèbre gang du Tren de Aragua. L'accord d'expulsion - qui, notamment, n'a pas été officiellement confirmé par le gouvernement Maduro - est particulièrement intéressant. M. Maduro utilise depuis longtemps l'immigration comme moyen de pression pour justifier son impopularité à la tête du pays : Les dissidents qui fuient le pays ne remettent plus en cause la stabilité ou l'intégrité du gouvernement. L'acceptation des vols de rapatriement constitue également une rupture avec sa politique habituelle d'hostilité à l'égard des États-Unis, qui constitue un élément majeur de la politique étrangère vénézuélienne depuis bien avant que M. Maduro n'hérite de la présidence de son prédécesseur, Hugo Chávez. Modifié le 7 février par Wallaby Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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