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Israël accepterait de rendre le Golan


Invité barbaros pacha

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Les indiens feraient mieux de rester à l'écart du débat idéologique, celui ci ne joue pas en leur faveur vu que l'indécision et les atermoiements sont la principal caracteristique de la politique indienne vis à vis de l'étranger.

La Chine à des positions beaucoup plus tranché, en partie malgrés elle, mais surtout du fait de son antagonisme inéluctable avec les USA. La position indienne est beaucoup moins net, et dépend d'aléas électoraux qui nuisent beaucoup à une politique étrangère cohérente.

Mais une alliance de revers avec l'Iran contre le Pakistan n'engage pas beaucoup l'Inde, vis à vis du moyen orient en lui même, mais plutôt avec l'occident.

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  • 2 weeks later...
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Invité barbaros pacha

Israël et la Syrie d'accord pour continuer leurs négociations de paix indirectes

ANKARA, 3 juillet (Xinhua) -- Israël et la Syrie ont convenu de poursuivre leurs négociations de paix indirectes parrainées par la Turquie, a annoncé le ministère turc des Affaires étrangères dans  un communiqué publié jeudi. 

    Le troisième cycle de négociations de paix israélo-syriennes a  eu lieu du 1er au 3 juillet à Istanbul, la plus grande ville de Turquie, d'après le communiqué. 

    Cette rencontre s'est déroulée dans une atmosphère positive et  constructive et les deux parties ont réaffirmé leur volonté commune de poursuivre les négociations et les réunions régulières, précie encore le communiqué. 

    Israël et la Syrie ont confirmé en mai mener des négociations de paix indirectes sous les auspices de la Turquie. 

    Les deux parties négocient le destin du plateau du Golan, occupé par Israël depuis la guerre de 1967 et réclamé par la Syrie. 

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Invité barbaros pacha

La nouvelle diplomatie turque fait de l’ombre à la France



En quelques mois, la Turquie a multiplié les prouesses diplomatiques : dossier libanais, révélation des pourparlers de paix entre la Syrie et Israël… De quoi faire de l’ombre à une France qui s’acharne laborieusement sur le projet d’Union pour la Méditerranée et qui milite pour que la Turquie ne rejoigne pas l’Union Européenne.

L’effet d’annonce passé, le constat s’impose : la France s’est faite doubler par la Turquie dans le dossier libanais. Début juin, l’importante délégation emmenée dans les bagages de Nicolas Sarkozy à Beyrouth, toutes tendances politiques confondues, n’a pas eu un impact particulier dans la région. Il s’agissait pourtant de saluer l’arrivée au pouvoir du Général Michel Sleimane, le nouveau chef de l’État libanais. Un événement de taille qui intervient après une longue crise qui n’a pu être débloquée que le 21 mai 2008, avec les accords de Doha, au Qatar.

Mais dans cette affaire, comme dans d’autres qui touchent le Proche et le Moyen-Orient, la France n’a joué qu’un petit rôle. Surtout si on le compare à celui de la Turquie qui, elle, s’est montrée particulièrement active. Bien davantage que l’Arabie Saoudite et que l’Égypte, qui n’ont pourtant pas ménagé leurs peines. Le rôle d’Ankara s’explique facilement par le fait que la diplomatie turque a toujours su entretenir des liens avec toutes les parties prenantes libanaises et tous les États de la région, y compris la Syrie et l’Iran. Les Libanais Saad Hariri et Fouad Siniora ne s’y sont d’ailleurs pas trompés. Face aux réactions violentes du Hezbollah, ils ont immédiatement fait appel au Premier ministre turc, Recep Tayyip Erdogan. Par la suite, la Turquie a su tenir sa place. Son ambassadeur a joué les intermédiaires entre les belligérants jusqu’à la signature des accords de Doha. Ankara a su faire comprendre aux deux parties combien il était risqué, pour la région entière, de provoquer de nouveaux affrontements au Liban. La position turque est simple : pas de conflits entre sunnites et chiites, au Liban comme ailleurs, notamment en Irak. Ses intérêts en dépendent par le simple fait que l’équilibre régional est certes instable, mais qu’il existe.

« Loin des divagations sur l’Union pour la Méditerranée… »
Alors que les accords de Doha étaient dévoilés à l’ensemble de la communauté internationale, la diplomatie turque en a profité pour montrer tout son talent en déclarant qu’elle était également à l’origine de discussions entre la Syrie et Israël et ce, après plusieurs années de rencontres avec l’une et l’autre partie. Le but affiché est bien de rompre le lien fort existant entre Damas et Téhéran, tout en ramenant la Syrie dans le giron régional pour en faire un partenaire crédible et acceptable.

On est loin des divagations sur l’Union pour la Méditerranée… Certes, la diplomatie des petits pas n’est pas digne de la France sarkozyste, mais elle peut se révéler efficace, surtout quand on sait où l’on va. La Turquie veutstabiliser un Moyen-Orient belliqueux par nature, et un monde arabo-musulman divisé. C’est une autre ambition que d’offrir, pour le 14 juillet, un strapontin au chef de l’État libyen – qui a décliné l’offre – ou à Bachar El Assad, dont le carton d’invitation lui a été présenté par un envoyé particulièrement secret. La diplomatie française semble fascinée par le projet du Président Sarkozy, la tiédeur de l’accueil des États intéressés devrait pourtant lui prouver qu’elle s’engage sur un mauvais chemin.

Au vu de ces évolutions, il saute aux yeux que la France ne peut accepter au sein de l’Union Européenne un État comme la Turquie qui dispose de tels atouts. Paris risquerait fort de perdre son influence légendaire au Proche et au Moyen-Orient. Tout simplement inadmissible…

Si la Turquie devenait membre de l’Union Européenne, elle serait alors la clé de voûte d’une diplomatie discrète, mais efficace, de rapprochement avec des États musulmans et Israël, le maître d’œuvre d’une stabilité tellement souhaitée. Du coup, la France perdrait définitivement son rôle, déjà bien faible au demeurant, d’intermédiaire avec le monde arabe, à Tel-Aviv comme à Beyrouth.
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  • 2 weeks later...
Invité barbaros pacha

La Syrie et Israël veulent vraiment la paix, affirme la Turquie

L'Orient le jour...

La Syrie et Israël sont pleinement engagés à parvenir à un règlement dans le cadre de leur discussions indirectes sous l’égide de la Turquie, a affirmé hier le ministre turc des Affaires étrangères Ali Babacan. « Notre opinion est que les deux parties ont une véritable volonté politique d’aboutir à une solution », a-t-il dit à la chaîne d’informations NTV. « Les pourparlers se sont déroulés jusqu’à présent dans une atmosphère sincère et constructive », a estimé le ministre, qui a souligné qu’un quatrième tour de dialogue aura lieu dans « quelques semaines » à Istanbul, sans préciser quand. Un troisième round de discussions, devant a priori ouvrir la voie à des négociations directes, avait eu lieu début juillet dans la métropole turque. M. Babacan a également indiqué que la Turquie tente d’organiser des négociations directes entre les deux parties. Les délégations israélienne et syrienne sont installées dans deux hôtels séparés à Istanbul, a-t-il précisé. « Les parties ne veulent pas se rencontrer avant d’être parvenues à régler certaines questions », a ajouté M. Babacan.

Après un gel de huit ans, la Syrie et Israël ont annoncé en mai avoir repris des négociations indirectes afin de parvenir à un accord de paix. Israël et la Syrie sont toujours formellement en état de guerre depuis 1948. À l’occasion du lancement de l’Union pour la Méditerranée dimanche à Paris, le Premier ministre israélien Ehud Olmert a eu des discussions indirectes avec le président syrien Bachar el-Assad par l’intermédiaire du Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan. Dimanche dernier, le président Assad s’est dit prêt à entretenir avec Israël des relations « normales », avec échange d’ambassadeurs et traités bilatéraux, en cas d’accord de paix entre les deux pays. Il a estimé que l’établissement de la confiance entre la Syrie et Israël passait « par des actes, et ces actes se vérifient précisément dans la disposition d’Israël à restituer (à Damas) ses pleins droits » sur le Golan. D’ailleurs, a-t-il dit, « je ne céderai aucun pouce du territoire et je ne ferai aucune concession concernant la souveraineté de la Syrie sur le Golan », a-t-il affirmé. La veille, M. Assad a exprimé le souhait que Washington et Paris puissent « contribuer » à un accord de paix israélo-syrien, mais a exclu des négociations de paix directes avec l’État hébreu avant l’installation de la prochaine administration américaine.

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  • 2 weeks later...
Invité barbaros pacha

Les pourparlers indirects Israël-Syrie reprennent en Turquie


Image IPB


Le Premier ministre israélien Ehud Olmert a dépêché deux émissaires en Turquie pour une quatrième séance de pourparlers indirects avec la Syrie, apprend-on auprès d'un responsable israélien.

La Syrie et Israël ont engagé des pourparlers par l'intermédiaire de la Turquie en mai mais ils ne se sont pas entendus pour l'instant sur la tenue de négociations directes.

Des responsables turcs ont déclaré que les deux pays décideraient à l'occasion de cette quatrième séance de discussions s'ils souhaitaient passer à des pourparlers directs lors d'une nouvelle rencontre prévue en août.

Selon le responsable israélien qui a requis l'anonymat, Olmert a envoyé en Turquie Yoram Turbowicz et Shalom Turjeman, qui conduisent depuis le début les premiers pourparlers entre Israël et Damas depuis huit ans.

Les débats s'articulent notamment autour de la question du plateau du Golan, position stratégique occupée par Israël depuis 1967 et dont la Syrie réclame la restitution.

Israël souhaite pour sa part que la Syrie mette fin à son soutien à ses plus farouches adversaires : l'Iran, le Hamas palestinien et le Hezbollah libanais ce que la Syrie a refusé jusqu'à présent.

Version française Gwénaelle Barzic
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Invité barbaros pacha

Turquie: Rencontre Erdogan-Assad



http://www.reuters.com/resources/r/?m=02&d=20080805&t=2&i=5442751&w=192&r=2008-08-05T152422Z_01_L5611424_RTRUKOP_0_PICTURE0


Le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan et le président syrien Bachar el-Assad doivent s'entretenir dans la journée sur les bords de la mer Egée, rapporte mardi l'agence anatolienne de presse. La visite du dirigeant syrien intervient une semaine après la fin de la quatrième session de pourparlers indirects entre Damas et Israël, qui s'est tenue à Istanbul, sous l'égide de la diplomatie turque. La prochaine phase de négociations entre l'Etat juif et Damas doit se tenir en Turquie à la mi-août. L'objet formel de l'entretien de mardi n'a pas été clairement précisé, mais une source gouvernementale a confié à Reuters que les deux hauts responsables évoqueraient ensemble "le processus de paix" au Proche-Orient. Les tractations portent sur la restitution du plateau du Golan occupé par Israël depuis 1967 et l'accès réclamé par Damas au lac de Tibériade.

Le président syrien Bachar el Assad, qui s'est rendu en Iran en début de semaine, continue sa tournée dans la région. Il est arrivé mardi matin dans la station balnéaire de Bodrum, sur la mer Egée, où il a été accueilli, à sa descente d'avion a l'aéroport de Milas, par le chef du gouvernement turc, Recep Tayyip Erdoğan.

Ce n'est pas la première fois que Bachar el Assad se rend en Turquie. Déjà en octobre 2007, il avait effectué une visite officielle à Ankara en compagnie de son épouse Asma Al Akhrass et de son ministre des Affaires étrangères, Walid Al Mouallem.

Selon la presse locale, les deux hommes auraient notamment discuté, lors de leur rencontre, des conversations indirectes entre le gouvernement israélien et le régime syrien, qui se déroulent sous l'entremise de la Turquie. D'ailleurs, un nouveau round est prévu, le cinquième, dans ces discussions entre les représentants des deux Etats.

La Turquie souhaite promouvoir ces pourparlers qui seraient plus ou moins ralentis en raison du refus de Washington d'envoyer un de ses délégués pour participer aux débats, comme le voudraient les Syriens.

Malgré les nombreux problèmes qui ont surgi ces derniers temps, comme par exemple l'annonce du départ prochain d'Olmert et la démission d'un des deux négociateurs israéliens, Yoram Turbowitz, les rencontres reprendront. Turbowitz aurait décidé de quitter son poste lorsqu'il a appris que le Premier ministre ne comptait pas se présenter aux Primaires de Kadima, en septembre prochain. Mais, accédant à la demande d'Olmert, il a accepté d'être présent lors du prochain rendez-vous entre les délégués des deux camps, qui est prévu dans une semaine et demie en Turquie.


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  • 4 weeks later...
Invité barbaros pacha

Syrie: entretiens quadripartites à Damas




Le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan participera jeudi à des entretiens quadripartites à Damas sous la houlette du président syrien Bachar el-Assad, a annoncé aujourd'hui le gouvernement turc.

Ce sommet du 4 septembre réunira autour du président syrien Bachar el-Assad, outre Recep Erdogan, le président français Nicolas Sarkozy et l'émir du Qatar, le cheikh Hamad ben Khalifa al-Thani, a précisé le vice-Premier ministre turc Cemil Cicek à l'issue d'une réunion gouvernementale.

Un diplomate turc a précisé que la réunion avait été organisée à l'occasion de la visite les 3 et 4 septembre de Nicolas Sarkozy en Syrie.

Alors que la France préside l'Union européenne, la Syrie dirige le Conseil de la Ligue arabe et Qatar dirige actuellement le Conseil de Coopération du Golfe (CCG, six Etats).
La Turquie parraine des discussions de paix indirectes entre Israël et la Syrie depuis mai dernier.

Source : AFP
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  • 3 months later...
Invité barbaros pacha

Damas a transmis à Israël les contours du territoire à évacuer



Image IPB

Chars israéliens en manoeuvre sur le plateau du Golan. Selon une source proche des pourparlers indirects, la Syrie a transmis à Israël via le médiateur turc un document délimitant précisément les frontières du Golan occupé, dont elle réclame l'évacuation en échange de la paix avec l'Etat juif. (Reuters/Baz Ratner)



DAMAS - La Syrie a transmis à Israël via le médiateur turc un document délimitant précisément les frontières du Golan occupé, dont elle réclame l'évacuation en échange de la paix avec l'Etat juif, apprend-on de source proche de ces pourparlers indirects.

La Syrie attend désormais la réponse israélienne par le biais de la Turquie, où ces pourparlers indirects ont été engagés cette année après huit ans d'interruption avant d'être à nouveau suspendus il y a trois mois par la démission du Premier ministre israélien Ehud Olmert.

Le président Bachar al Assad a confié récemment à des visiteurs occidentaux que la Syrie voulait qu'Israël se prononce clairement sur les contours du problème territorial entre les deux pays avant d'accepter que les pourparlers passent à une vitesse supérieure.

Même démissionnaire, Ehud Olmert s'est dit prêt à accéder au stade des pourparlers directs et la Turquie le souhaite aussi, mais le chef de l'Etat syrien veut auparavant "connaître ce qui constitue le territoire syrien occupé dans l'esprit d'Israël", souligne-t-on de source proche des pourparlers.

On précise, de même source, que le document syrien fixe six lieux géographiques de référence sur les rives du lac de Tibériade qui, s'ils étaient acceptés par Israël, faciliteraient la conclusion d'un accord dès l'an prochain, une fois passées les législatives israéliennes de février.

"Mais Israël pourrait ne pas être en mesure de fournir une réponse dans un avenir proche au vu de l'ébullition politique qu'il connaît", ajoute-t-on.

DAMAS VEUT L'ACCÈS AU LAC DE TIBÉRIADE

Le plateau du Golan a été conquis par l'armée israélienne lors de la guerre de 1967 puis annexé en 1981 - une initiative unanimement rejetée par le Conseil de sécurité des Nations unies. Dans les années 1990, les négociations sous l'égide de l'Onu pour sa restitution ont buté sur l'ampleur du retrait israélien du Golan.

Le défunt président Hafez al Assad, père du chef de l'Etat syrien actuel, avait refusé de conclure un accord ne restituant pas à son pays l'accès dont il disposait avant juin 1967 au lac de Tibériade, stratégique réservoir d'eau régional.

Bachar al Assad s'en est tenu à la position de son père alors que l'Etat juif, qui a pris le contrôle de toute la rive nord-est du lac lors de la guerre, a proposé à la Syrie de ne se retirer que sur une ligne excluant un accès direct à la nappe d'eau en raison de sa rétractation depuis des décennies.
Le document syrien transmis à Israël via la Turquie "nous positionne sur l'eau", a déclaré un responsable syrien.

"La définition syrienne de la ligne du 4 juin (1967) implique la restitution de la rive nord-est du lac à la Syrie", avait déjà fait savoir le mois dernier le vice-président syrien Farouk al Chara, estimant non pertinents les arguments israéliens sur la rétraction de l'étendue d'eau.

Même si les deux parties réglaient ce litige territorial, on estime dans les milieux diplomatiques qu'un traité de paix ne sera pas facile à conclure car Israël a ajouté trois conditions depuis 2000 : que la Syrie renonce à son alliance stratégique avec Téhéran et qu'elle réduise son soutien au Hezbollah libanais et au Hamas palestinien.

Assad a confié à des visiteurs que la Syrie avait reçu via la Turquie un document portant sur ses relations avec ses Etats voisins après l'accord de paix envisagé. "Le président a dit y avoir répondu mais il n'a pas dit comment", a rapporté l'un d'eux.

De source autorisée syrienne, on souligne qu'Israël n'a pas à poser de conditions à la Syrie concernant sa politique étrangère mais on reconnaît que la carte politique de la région serait notablement modifiée si les deux pays parvenaient à conclure un traité de paix.

Version française Marc Delteil

>>> http://www.lexpress.fr/actualites/2/damas-a-transmis-a-israel-les-contours-du-territoire-a-evacuer_726769.html
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ça va être difficile. Cèder sans que la Syrie accepte de faire des concessions dans ses liens avec le hamas ou le hezbollah. Même Bush ne le souhaite pas, il en avait parlé à Olmert qui lui est prêt à le faire.

Mais de toute façon, 60% des israéliens ne veulent pas restituer le Golan. Donc je pense que c'est mort pour un moment.

Et si, dans le cas où ça arrive, des roquettes se mettent à pleuvoir sur Israël à partir de cette zone, en récompense de ses efforts comme en se retirant de Gaza où du Liban ? Que fera Israël, une nouvelle guerre ?

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Il faudrait déjà commencer à expliquer aux israéliens que ces terres ne leurs appartiennent pas. Ils pourront toujours les récupérer si jamais il se met à pleuvoir des roquettes à partir de cette zone.

La guerre n'a jamais dérangé, donc une de plus...

La guerre n'a jamais dérangé ?

Peut-être qu'elle ne dérange pas les fanatiques style taliban, mais en général personne n'a envie de voir ses gosses partir sur le front.

Sinon pour une partie des israéliens, le golan fait partie du grand Israël biblique, et ils y sont attachés.

D'autres savent qu'avant 1967, ça n'appartenait pas à l'Etat d'Israël qu'on connaît, mais ne font pas confiance à la Syrie du fait de ses liens avec le hezbollah et surtout l'Iran.

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Invité barbaros pacha

La guerre n'a jamais dérangé ?

Peut-être qu'elle ne dérange pas les fanatiques style taliban, mais en général personne n'a envie de voir ses gosses partir sur le front.

Sinon pour une partie des israéliens, le golan fait partie du grand Israël biblique, et ils y sont attachés.

D'autres savent qu'avant 1967, ça n'appartenait pas à l'Etat d'Israël qu'on connaît, mais ne font pas confiance à la Syrie du fait de ses liens avec le hezbollah et surtout l'Iran.

La guerre ne dérange personne, sans guerre, on peut pas écrire l'histoire, enfin notre histoire...c'est quelque chose de normal..

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Regardez bien la carte

Enfin, un état palestinien unitaire (à majorité arabe) et indépendant est envisagé (assez vaguement) dans un délai de 10 ans : « Le gouvernement de Sa Majesté déclare aujourd’hui sans équivoque qu’il n’est nullement dans ses intentions de transformer la Palestine en un État juif ». « Le gouvernement de Sa Majesté [a le] désir [...] de voir s’établir finalement un État de Palestine indépendant ». « Si, au terme de dix années, il est avéré que l’indépendance doive être ajournée, le gouvernement britannique consultera les habitants de Palestine, le Conseil de la SDN »http://fr.wikipedia.org/wiki/Livre_blanc_(Palestine)

L'Israel ne veut jamais rendre les territoires qui pense qu'à lui appartient y compris le Golan, Il s’agit d’une politique à gagner du temps (une sorte:guerre d’usure) et dans les négociations il pose des conditions en sachant que la partie adversaire ne peut jamais accepter ou s’il accepte sera avec beaucoup humiliation pire qu'une défaite ou capitulation.   

Golan;D'après la Bible, le Golan fait partie de la terre d'Israël promise par Dieu aux Hébreux

http://fr.wikipedia.org/wiki/Golan

http://otisrael.com/Tourism_Fra/Tourist+Information/Discover+Israel/Ramat+Hagolan.htm

Le Golan contrôle 33% des ressources en eau d’Israël. Les eaux du lac de Tibériade proviennent du Jourdain et des nombreuses rivières qui descendent du plateau,http://www.un-echo-israel.net/article.php3?id_article=5135

L’Onu ne reconnaît pas l’annexion du plateau du Golan par Israël. Le Conseil de sécurité a voté les résolutions 242 et 338 sur la question (exigeant d’Israël la restitution des territoires conquis par la force), résolutions restées lettres mortes.

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La guerre n'a jamais dérangé ?

Peut-être qu'elle ne dérange pas les fanatiques style taliban, mais en général personne n'a envie de voir ses gosses partir sur le front.

Sinon pour une partie des israéliens, le golan fait partie du grand Israël biblique, et ils y sont attachés.

D'autres savent qu'avant 1967, ça n'appartenait pas à l'Etat d'Israël qu'on connaît, mais ne font pas confiance à la Syrie du fait de ses liens avec le hezbollah et surtout l'Iran.

L'un des pb du MO et qu'il faut sans cesse rappeler que ni la thora, le coran, ou la bible ne sont des relevés de Cadastre ou des titres de propriété !

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  • 3 weeks later...

Je me demande si les syriens sont aussi fiables que les égyptiens quand ils ont récupéré le Sinaï, concernant un éventuel retrait d'Israël du Golan.

A mon avis, le golan deviendrait un super poste pour les terroristes pour tirer des roquettes et pourrir encore un peu plus la vie des israéliens.

En plus, il faudrait démilitariser le plateau et y mettre des casques bleus à mon avis, si jamais ça se fait.

si israel reconnait clearement le droit de peuple palestinien

et le droit de refugie au retour a leur propre pays

et de reconnaitre leur crime de guerre

etr de rendre la terre occupe du liban

et le Golan ect....

sinon lles zones strtigique ne pas seulement le Golan

mais a notre frontiere national jordanien qui est 410km

d'ici ou j'habite je vois tou les objectifs israeliens en detail

les israelien doivent reflichir pour leur future d'arreter leur connerie ^-^

il ne yaura de relancer de missile dans tou les coins

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israel se seraitprét a faire la paix avec ces voisin ? j'en doute c'est trop beau pour étre vrai

c'est ca la realite

israel est une creation par l'occident pour que cette region soit instable pour vendre leur armes

et les juifs achevent ce programe

l'existence d'israel et sa legitimite base sur la force melitaire et leur dectorine base a l'aggression pas plus

une paix avec la syrie ?????contre le Golan??

il faut dire que l"egypte n'a pas le droit d'installer plus que 400 policiers au sinai  quel paix???

le futur determine commenet Israel va vivre avec les donnees nouvels ;)

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La guerre ne dérange personne, sans guerre, on peut pas écrire l'histoire, enfin notre histoire...c'est quelque chose de normal..

Vus que tu ne l as jamais vecus tu ferrais mieu de te taire, je sais pas où tu te crois ou si t as quelque chose dans la tete...

Aie du respect pour ceux qui sont morts et qui n ont pas demandé a figuré dans tes livres d histoire

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  • 2 months later...

Barack Obama se rendra en visite en Turquie en avril


ANKARA - La secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton a annoncé samedi que le président américain Barack Obama se rendrait en Turquie au mois d'avril. Il s'agira de son premier voyage dans un pays musulman depuis son accession à la Maison blanche le 20 janvier.


Image IPB
La secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton a annoncé que le président américain Barack Obama se rendrait en Turquie au mois d'avril. Il s'agira de son premier voyage dans un pays musulman depuis son accession à la Maison blanche le 20 janvier. (Reuters/Umit Bektas)


Clinton a effectué samedi à Ankara une courte visite, en provenance de Genève où elle s'était entretenue la veille avec son homologue russe Sergueï Lavrov.

Le choix de la Turquie - pays à population musulmane et dont l'Etat est laïque, qui appartient à l'Otan et aspire à rejoindre l'Union européenne - reflète l'importance accordée par Washington à ses relations avec Ankara, au moment où les Américains s'emploient à améliorer leurs rapports avec le monde musulman.

"La démocratie, la modernité et l'islam peuvent coexister, tous", a estimé Clinton à Ankara, où elle a pris part à un talk show de la télévision turque.

"Je considère réellement que le rôle de la Turquie en tant que puissance internationale est très important", a-t-elle dit.

La rumeur veut qu'Obama, au cours de son voyage en Turquie, prononce un important discours sur les relations entre les Etats-Unis et le monde musulman.

"Il se rendra en visite en Turquie au cours du mois à venir. La date exacte sera annoncée sous peu. Nous nous coordonnons avec le gouvernement turc pour trouver une date viable", a dit Clinton au cours d'une conférence de presse avec le ministre turc des Affaires étrangères, Ali Babacan.

Clinton, qui a été reçue par le Premier ministre turc, Recep Tayyip Erdogan, et par le président, Abdullah Gül, a indiqué que sa visite était centrée sur le rôle d'Ankara dans le processus de paix proche-oriental, notamment sa médiation entre Israël et la Syrie.

Selon Clinton, rien n'est plus important, dans ce domaine, que les pourparlers indirects qui ont eu lieu entre Damas et Israël. "La Turquie a joué un rôle très important", a-t-elle fait remarquer.

Babacan a déclaré qu'Ankara était prêt à reprendre sa médiation et à accueillir ces pourparlers indirects, si les deux parties en faisaient la demande. Ils ont été interrompus à la demande la Syrie, après le déclenchement de l'offensive militaire israélienne contre la bande de Gaza fin décembre.

Dans un entretien accordé à CNN Turk, la chef de la diplomatie américaine a expliqué qu'Obama souhaite obtenir l'aide d'Ankara pour soutenir ses efforts de reprise du dialogue avec l'Iran.

"Nous allons vous demander de nous aider avec l'Iran, en particulier pour contribuer à un changement dans la position de l'Iran", a dit Clinton.

Les Etats-Unis s'opposent aux Iraniens sur un certain nombre de sujets, dont le programme nucléaire mené par Téhéran que Washington soupçonne être destiné à la confection d'armes atomiques.

L'Iran a toujours démenti chercher à se doter de telles armes.

Bureau d'Ankara, version française Eric Faye

http://www.lexpress.fr/actualites/2/barack-obama-se-rendra-en-visite-en-turquie-en-avril_745289.html
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