Tancrède Posté(e) le 24 juin 2013 Share Posté(e) le 24 juin 2013 Bruit de couloir: Barroso jouerait sa ligne actuelle afin de préparer sa reconversion. Il essaierait de se gagner le soutien américain pour obtenir la nomination au secrétariat général de l'ONU (alors que, dans les "tours" des informels groupes régionaux de l'ONU, on revient vers l'Europe), contre Allemagne et France qui sont assez radicalement contre lui. Comme me l'a dit un ami du Quai d'Orsay (confirmé par un autre au Mindef, qui travaillait sur l'agenda des futures négociations -où il fut d'ailleurs assez halluciné par les positions et illusions allemandes), on va vers des négociations commerciales avec un chef d'équipe qui travaille de fait pour l'ennemi :-[. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Drakene Posté(e) le 24 juin 2013 Share Posté(e) le 24 juin 2013 J'ai presque était "européiste" à un moment de ma vie (de belle idées que l'union des peuples, toussa toussa), mais maintenant je ne rêve plus que de voir ces commissaires et technocrates sur des pals le long des autoroutes qui relient Bruxelles aux autres capitales européennes =) Pourquoi ?Parce que les pals c'est cool et ça marque les esprits, j'avais aussi pensé un temps que pendre leur corps aux entrées de chaque grandes villes européennes pourrait être sympa, mais c'est moins fun, moins marquant...Ah pardon, pourquoi ..? Pourquoi je ne les aiment pas ?Et bien simplement je prends comme une agression toute tentative d'affaiblissement de notre état, de lutte contre la construction qu'est l'état nation, de perte d'indépendance, de libéralisation à outrance (alors que personne ne le fait sur terre sauf l'UE) etc.Puis qu'un accord qui convient aux anglais et aux allemands est forcément mauvais pour nous (ce n'est pas possible autrement, c'est l'essence même de la couille dans le potage), donc je sens juste que l’Europe va nos la mettre profond avec du gravier >:(Edit :Alors si en plus les gars qui font ça jouent contre nous par intérêt personnel... :P Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Dino Posté(e) le 24 juin 2013 Share Posté(e) le 24 juin 2013 A moins d’un an des élections européens et à moins de 500 jours de la passation de pouvoir pour les différents postes de l’UE (président de la Commission, Haut représentant, Conseil européen…), ces embrouilles nuisent gravement à la candidature de Pascal Lamy au poste de Président de la Commission Européenne..Je n'aime pas la façon avec laquelle la classe politique française aime se défausser régulièrement sur l'Europe pour expliquer ses propres échecs, mais je suis navré de reconnaître que sur cette déclaration, Montbourg a raison. Pour paraphrasé Michel Field, si on voulait rendre l'Europe détestable, on ne s'y prendrait pas mieux que Barroso. Ce type est une catastrophe pour l’Europe depuis qu'il est là, son attitude sur le commerce mondial est franchement suspect. Soit il est d'une naïveté affligeante, soit il ne défend pas les intérêts de ceux qu'il représente. Sa déclaration au sujet de l'exception culturel est un cas d'école : Les défenseurs de l'exception culturelle "ne comprennent pas les bénéfices qu'apporte la globalisation, y compris d'un point de vue culturel, pour élargir nos perspectives et avoir le sentiment d'appartenir à la même humanité Quand on lit ça, on se dit que Barroso s'est juste trompé de poste. Il oubli qu'il n'est pas dans un poste à l'ONU ou l'OMC dont le travail est de favoriser les échanges et l'universalisme, mais que son job est l'intérêt européen et seulement l'intérêt européen. A mon sens la France et l'Allemagne qui ont été échaudé par plusieurs de ces dernières prises de position devraient torpiller toutes ses ambitions de poste à l'ONU, je préfère ne pas voir d'européen à la tête de l'ONU qu'un traître. Cela lui apprendra à aller caresser les anglo-saxon dans le sens du poil pour avoir des postes. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
debonneguerre Posté(e) le 24 juin 2013 Share Posté(e) le 24 juin 2013 Ce n'est pas juste le volet "culturel" de ce traité de libre-échange qui pose problème, c'est tout son contenu. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Dino Posté(e) le 24 juin 2013 Share Posté(e) le 24 juin 2013 On va dire que c'est le volet qui est symptomatique de la défense des intérêts européens. Je ne dis pas que l'exception culturel ne peut pas être remis en question, mais seulement on ne la remet pas en question comme ça en chargeant en plus un pays membre quand toutes les instances démocratique européennes ont dit qu'il fallait la protéger (parlement européen, conseil européen). En ce sens cet épisode est le symbole d'une europe non démocratique qui s'assoit sur l'avis et les intérêts des peuples européens. Puis qu'un accord qui convient aux anglais et aux allemands est forcément mauvais pour nous (ce n'est pas possible autrement, c'est l'essence même de la couille dans le potage), donc je sens juste que l’Europe va nos la mettre profond avec du gravierNon cette affirmation est fausse. Ca reviendrait à dire que tout accord bon pour les Midi-Pyrénées n'est pas bon pour l'île de France. Tu te rends bien compte que ce n'est pas comme cela qu'on raisonne, où alors il faudrait démanteler la France pour l'intérêt de chaque région. Grace à la cohésion de l'état, les bonnes nouvelles des auront de bonne répercussions pour les autres. Cela pourrait aussi le cas au niveau européen si on avait une gouvernance européenne avec un budget européen qui pourrait donner un sentiment de destin commun. Un projet européen ne veut pas dire forcément ultralibéralisme. C'est la commission actuel qui veut le faire croire. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Tancrède Posté(e) le 24 juin 2013 Share Posté(e) le 24 juin 2013 mon sens la France et l'Allemagne qui ont été échaudé par plusieurs de ces dernières prises de position devraient torpiller toutes ses ambitions de poste à l'ONU, je préfère ne pas voir d'européen à la tête de l'ONU qu'un traître. Cela lui apprendra à aller caresser les anglo-saxon dans le sens du poil pour avoir des postes Ben c'est justement parce que les Français et Allemands (au moins d'accord sur ça) le torpillent qu'il va se vendre à Obama pour lui dire de faire pression sur les 2 Etats européens. Un projet européen ne veut pas dire forcément ultralibéralisme. C'est la commission actuel qui veut le faire croire. Pas seulement l'actuelle: c'est toute une frange des élites européennes qui baigne dans un moule culturel unique et un ensemble d'intérêts et penchants similaires. Cette "population" ne peut produire autre chose qu'une commission alignée sur cette idéologie. Grace à la cohésion de l'état, les bonnes nouvelles des auront de bonne répercussions pour les autre Jusqu'à un certain point seulement, et pour quelques secteurs seulement. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Dino Posté(e) le 24 juin 2013 Share Posté(e) le 24 juin 2013 Pas seulement l'actuelle: c'est toute une frange des élites européennes qui baigne dans un moule culturel unique et un ensemble d'intérêts et penchants similaires. Cette "population" ne peut produire autre chose qu'une commission alignée sur cette idéologie.Donc on est bien d'accord que le problème vient d'abord des élites politique européen, et non du projet européen en lui même. C'est juste que faire passer la pilule au niveau national de ces politique en disant "on est obligé, c'est l’Europe", c'est facile. Plus besoin de devoir assumer ses décision et de les expliquer, de dire au gens que certains acquis doivent évoluer pour rester soutenable, etc... Jusqu'à un certain point seulement, et pour quelques secteurs seulement.Si, car grâce à l’impôt national, l'état peut assurer la solidarité entre les région et ainsi venir en aide de celles en difficultés qui ont parfois perdu des entreprises au profit d'autre régions. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Karg se Posté(e) le 24 juin 2013 Share Posté(e) le 24 juin 2013 Je n'aime pas la façon avec laquelle la classe politique française aime se défausser régulièrement sur l'Europe pour expliquer ses propres échecs, mais je suis navré de reconnaître que sur cette déclaration, Montbourg a raison. Pour paraphrasé Michel Field, si on voulait rendre l'Europe détestable, on ne s'y prendrait pas mieux que Barroso. Ce type est une catastrophe pour l’Europe depuis qu'il est là, son attitude sur le commerce mondial est franchement suspect. Soit il est d'une naïveté affligeante, soit il ne défend pas les intérêts de ceux qu'il représente. Tu te place dans quelle optique? Celle d'un dirigeant européen libre échangiste naïf comme le sont aussi bien la droite et la gauche de gouvernement ou dans le cadre d'un politicien souverainiste ou réaliste (aka admet que les autres pays trichent autant qu'ils le peuvent)? Dans le premier cas Barosso est juste incompétent parce qu'il ne manie pas la langue de bois aussi bien que les politiciens de carrière, dans le second cas il faut le remercier de dire tout haut ce que nos politiciens soutiennent et ratifient depuis 30 ans. Montebourg n'est pas forcément un libre échangiste forcené comme Hollande, Pinpin en son temps ou Sarkozy ou Chirac en son temps, mais il n'a aucune compétence en économie ce qui rend ses idées absurdes et son discours grotesque. Dommage car il a le verbe et l'envie. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Tancrède Posté(e) le 24 juin 2013 Share Posté(e) le 24 juin 2013 Donc on est bien d'accord que le problème vient d'abord des élites politique européen, et non du projet européen en lui même Pas vraiment: c'est quoi "le projet européen"? Personne n'est d'accord dessus: aucun pays n'a la même définition générale qui se dégagerait plus ou moins précisément de son opinion publique (hors de France, l'idée même "d'Etats-Unis d'Europe" ou d'Europe puissance est assez rare, voire franchement pas en odeur de sainteté: y'a pas que les Anglais dans ce registre, loin de là), ou de ses élites et leaders/courants d'opinion importants. Le seul courant "transeuropéen" qui existe et ait un relatif consensus sur une "idée européenne", c'est précisément cette élite polique/économique/financière dite "libérale", ou "ultralibérale" selon les humeurs. A part eux, rien d'autre n'existe réellement (les aspirations de certains individus ne sont pas des courants de pensée cohérents, et encore moins des groupes politiques, des tendances, des milieux interpénétrés....). En fait le seul autre "courant" un peu cohérent, c'est l'hostilité à ce courant, et cette hostilité ne recouvre pas des groupes, ensembles, intérêts et individus qui sont eux-mêmes très d'accord entre eux (voire souvent, s'ils sont assez structurés et peuvent se parler, ils sont d'accord pour se haïr et haïr les eurocrates juste un peu plus). Si, car grâce à l’impôt national, l'état peut assurer la solidarité entre les région et ainsi venir en aide de celles en difficultés. Et cet argent elle le récupère dans les régions riches. Justement, ça ne peut être vrai que jusqu'à un certain point et pour quelques secteurs; rien n'est si simple, et surtout pas ces suppositions de "jeu à somme nulle". Des régions économiquement sinistrées il y a 20 ans le sont encore bien souvent (évidemment, d'autres facteurs entrent en jeu, je ne fais pas d'absolus), et plus globalement, pour schématiser, le succès d'une région ou d'un secteur économique n'est pas forcément suffisant pour compenser l'insuccès d'une autre, surtout quand les conditions du succès économique d'un secteur ou d'une région sont précisément en partie les conditions de l'insuccès d'autres (conditions fiscales, règlementaires, commerciales, économiques, environnementales, d'infrastructures, d'investissement....). Par ailleurs, quand une zone a du succès, elle a tendance à attirer le succès, pas à le partager (par des phénomènes de tropisme plus ou moins automatiques, mais aussi par du lobbying/des pressions auprès des autorités qui décident), donc à aggraver les différentiels et la dépendance des zones et secteurs dans la merde. ce qui rend ses idées absurdes et son discours grotesque. Dommage car il a le verbe et l'envie. Non, il n'a juste aucune base de pouvoir (réseau d'élus et d'obligés, contrôle d'une caisse, pouvoir de nomination, accès à des financements, contrôle d'une aire géographique); tout ce qu'il a, c'est le fait d'être connu, et pour le rester, il n'a que l'outil de sa démagogie gratuite et stupide. Donc il fait ça :lol:. Quand à savoir s'il croit en ce qu'il dit, ça regarde.... Ceux qui croient ce qu'il dit :lol:. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Karg se Posté(e) le 24 juin 2013 Share Posté(e) le 24 juin 2013 Justement, ça ne peut être vrai que jusqu'à un certain point et pour quelques secteurs; rien n'est si simple, et surtout pas ces suppositions de "jeu à somme nulle". Bien entendu le budget fédéral ou national n'est pas la solution à tout le problème, mais il permet un certain amortissement des problèmes. Hors l'UE avec sa monnaie unique est devenu un carcant: les zones peu productive doivent supporter l'euro fort alors qu'elle n'en ont pas les moyens. C'est super pour importer du pétrole et de la camelote chinoise, mais ça détruit les emplois industriels et touristiques (souvenez vous ce qu'était des vacances en Espagne il y a 20 ans..). Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Dino Posté(e) le 24 juin 2013 Share Posté(e) le 24 juin 2013 Faut pas se tromper, libre échangiste ne veut pas dire oublier son intérêt. C'est un levier comme un autre dans une politique économique qui permet de faciliter l'accès à des marchés, faire venir de la marchandise que l'on ne produit pas à coût raisonnable, etc... Mais ce n'est pas une fin en soit, et cela ne doit pas être recherché à tout pris si cela ne correspond pas à nos intérêt. C'est la différence entre idéologue et pragmatique. Les US sont de tendance libérale, mais ils savent l'utiliser que dans leur intérêt. C'est comme le protectionnisme, utilisé de façon réfléchit cela est utile, utilisez sans discernement à cause de vision idéologique et cela devient un dangereux poison. Après de savoir si Barroso est un idéologue ou un opportuniste, je dirais un peu des deux, et c'est ça qui le rend dangereux. Pas vraiment: c'est quoi "le projet européen"? Personne n'est d'accord dessus: aucun pays n'a la même définition générale qui se dégagerait plus ou moins précisément de son opinion publique (hors de France, l'idée même "d'Etats-Unis d'Europe" ou d'Europe puissance est assez rare, voire franchement pas en odeur de sainteté: y'a pas que les Anglais dans ce registre, loin de là), ou de ses élites et leaders/courants d'opinion importants. Le seul courant "transeuropéen" qui existe et ait un relatif consensus sur une "idée européenne", c'est précisément cette élite polique/économique/financière dite "libérale", ou "ultralibérale" selon les humeurs. A part eux, rien d'autre n'existe réellement (les aspirations de certains individus ne sont pas des courants de pensée cohérents, et encore moins des groupes politiques, des tendances, des milieux interpénétrés....). En fait le seul autre "courant" un peu cohérent, c'est l'hostilité à ce courant, et cette hostilité ne recouvre pas des groupes, ensembles, intérêts et individus qui sont eux-mêmes très d'accord entre eux (voire souvent, s'ils sont assez structurés et peuvent se parler, ils sont d'accord pour se haïr et haïr les eurocrates juste un peu plus). A vrai dire ces dernières années, ce n'est pas la France qui a poussé pour des "Etats-Unis d'Europe", ce fut même plutôt le contraire sous la précédente présidence qui a prit le soin de repousser toutes les proposions allemandes sur le sujet. Même sous Hollande qui se présente comme un fils de Delord, il a fallut attendre un moment pour le voir y répondre favorablement, et encore de façon flou. Après pour la notion d'Europe, il est certain qu'en ayant des institutions incapable de représenter et protéger correctement les européens, difficile de donner un sentiment d'adhésion, surtout quand on s'est évertuer pendant 20 ans à élargir sans réflexion l'UE quitte à diluer sa perception et son identité (en allant jusqu'à imaginer intégrer un pays non européen tel que la Turquie). Mais je pense que l'idée transeuropéenne est plus forte que tu le crois, même dans des pays qui ne font pas partie de la première vague tel que la Pologne (même si dans leur cas ça n'a pas été toujours le cas). stement, ça ne peut être vrai que jusqu'à un certain point et pour quelques secteurs; rien n'est si simple, et surtout pas ces suppositions de "jeu à somme nulle". Des régions économiquement sinistrées il y a 20 ans le sont encore bien souvent (évidemment, d'autres facteurs entrent en jeu, je ne fais pas d'absolus), et plus globalement, pour schématiser, le succès d'une région ou d'un secteur économique n'est pas forcément suffisant pour compenser l'insuccès d'une autre, surtout quand les conditions du succès économique d'un secteur ou d'une région sont précisément en partie les conditions de l'insuccès d'autres (conditions fiscales, règlementaires, commerciales, économiques, environnementales, d'infrastructures, d'investissement....). Par ailleurs, quand une zone a du succès, elle a tendance à attirer le succès, pas à le partager (par des phénomènes de tropisme plus ou moins automatiques, mais aussi par du lobbying/des pressions auprès des autorités qui décident), donc à aggraver les différentiels et la dépendance des zones et secteurs dans la merde.Bien sur que ce n'est pas parfait, mais la solidarité est là malgré tout. Tu crois que la région qui a perdu toutes ses industries auraient été mieux toute seul ? Le problème de l’Europe, c'est (c'était) l'absence de mécanisme de solidarité entre les pays, et non pas que des pays s'en sortent toujours mieux que d'autres. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Drakene Posté(e) le 24 juin 2013 Share Posté(e) le 24 juin 2013 ... Non cette affirmation est fausse. Ca reviendrait à dire que tout accord bon pour les Midi-Pyrénées n'est pas bon pour l'île de France. Tu te rends bien compte que ce n'est pas comme cela qu'on raisonne, où alors il faudrait démanteler la France pour l'intérêt de chaque région. Grace à la cohésion de l'état, les bonnes nouvelles des auront de bonne répercussions pour les autres. Cela pourrait aussi le cas au niveau européen si on avait une gouvernance européenne avec un budget européen qui pourrait donner un sentiment de destin commun. Un projet européen ne veut pas dire forcément ultralibéralisme. C'est la commission actuel qui veut le faire croire. C'est l'essence même de la décentralisation, ce qui est bon ici ne l'est pas ailleurs. Les allemands veulent un accord qui favorise leur industrie au dépend du reste du continent et les anglais veulent, veulent... pas de l’Europe et sont prés a vendre le cul de leur propre mère pour trois francs six sous :P Et nous on se fait mettre profond car notre modèle est loin de ce qui se fait dans ces pays =) Enfin bon mon poste était provoc volontairement, car toute cette europe ultra libérale, qui ne défend pas nos intérêts me sort par les yeux. Je ne veux pas vraiment que les bureaucrates européens finissent empalés hein. De l'acide versé dans les globes oculaire devrait suffire :oops: Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
alexandreVBCI Posté(e) le 25 juin 2013 Share Posté(e) le 25 juin 2013 Bras de fer avec Bruxelles sur les retraites : la France se moque-t-elle du monde ?http://www.lepoint.fr/economie/bras-de-fer-avec-bruxelles-sur-les-retraites-la-france-se-moque-t-elle-du-monde-24-06-2013-1685510_28.php Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Mani Posté(e) le 25 juin 2013 Share Posté(e) le 25 juin 2013 Barroso-Montebourg : les attaques continuent VIDÉO - Le président de la Commission européenne n'a pas apprécié les propos d'Arnaud Montebourg, qui l'a jugé responsable de la montée du Front national. Michel Barnier rencontre ce lundi François Hollande, avec qui il évoquera le «cas Montebourg». Attaqué dimanche par Arnaud Montebourg, qui l'a accusé d'être «le carburant du Front national», José Manuel Barroso, le président de la Commission européenne, a répliqué ce lundi: «Certains souverainistes de gauche ont exactement le même discours que l'extrême droite». Et le président de l'exécutif européen d'ajouter: «Il serait bon que certains responsables politiques comprennent que ce n'est pas en attaquant l'Europe et en essayant de faire de la Commission européenne le bouc émissaire de leurs difficultés qu'ils arriveront très loin.» Dans un communiqué lu par un porte-parole, la Commission précisait aussi: «Il faudrait que certains responsables politiques français abandonnent certaines ambiguïtés vis-à-vis de l'Europe et la défendent davantage vis-à-vis du nationalisme, du populisme, voire du chauvinisme.» http://www.lefigaro.fr/politique/2013/06/24/01002-20130624ARTFIG00411-montebourg-seme-la-zizanie-entre-paris-et-bruxelles.php Ils sont pathétiques et lymphatiques tous les deux dans leurs sphères de compétence. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Dino Posté(e) le 25 juin 2013 Share Posté(e) le 25 juin 2013 C'est l'essence même de la décentralisation, ce qui est bon ici ne l'est pas ailleurs.Non, la décentralisation c'est l'idée que certaines gestions doivent rester local pour être efficace. La décentralisation ne signifie pas supprimer l’échelon supérieur de gestion, juste redescendre certaines responsabilités. Les allemands veulent un accord qui favorise leur industrie au dépend du reste du continent et les anglais veulent, veulent... pas de l’Europe et sont prés a vendre le cul de leur propre mère pour trois francs six sous :P Et nous on se fait mettre profond car notre modèle est loin de ce qui se fait dans ces pays =)C'est une vision beaucoup trop simpliste du monde. Cela voudrait dire qu'une nation elle même ne pourrait pas fonctionner car les régions auraient des intérêts trop divergent sans liant qui pourrait équilibrer ces besoins différents. Si on ne peut pas faire l'UE car chacun tirerait la couverture dans son sens, alors pourquoi garder un état au niveau national ? Pourquoi ne pas le supprimer et laisser les régions se débrouiller ? Puis en continuant on pourrait supprimer les régions pour ne garder que les départements, puis supprimer les département pour se concentrer pour les villes, etc... ? Ton raisonnement, si il n'est pas un peu équilibrer, ne peut aboutir qu'à l'appel à l'individualisme absolue. Que ce soit l'UE, l'état nation, les régions, les départements ou les municipalités, toutes ses administrations ont pour objectif de développer leur territoire, ce qui passe entre autre par compenser les déséquilibres que l'ont peut trouver (par exemple entre les quartier pauvre et riches d'une ville, ou entre les états riches et états pauvre au niveau fédéral). Je ne veux pas vraiment que les bureaucrates européens finissent empalés hein. De l'acide versé dans les globes oculaire devrait suffireAs ton avis, qui désigne les fonctionnaires européens dont Barroso est le premier ? Il faut arrêter de boire le dialogue de nos politiques nationaux qui aiment défausser leurs responsabilités sur l'UE. Je rappel que Barroso a été élu à l'unanimité, donc aussi par nous. Je rappel que Sarkozy l'a fortement soutenu pour sa seconde désignation. On peut être contre l'UE sur le principe car on ne veut pas voir la France être dilué dans une grand ensemble. Mais dire que l'UE ne peut pas techniquement marcher en prenant l'exemple actuel alors que justement on ne lui a pas donner les moyens de fonctionner, c'est un peu fausser le débat. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
alpacks Posté(e) le 25 juin 2013 Share Posté(e) le 25 juin 2013 .As ton avis, qui désigne les fonctionnaires européens dont Barroso est le premier ? Il faut arrêter de boire le dialogue de nos politiques nationaux qui aiment défausser leurs responsabilités sur l'UE. Je rappel que Barroso a été élu à l'unanimité, donc aussi par nous. Je rappel que Sarkozy l'a fortement soutenu pour sa seconde désignation. On peut être contre l'UE sur le principe car on ne veut pas voir la France être dilué dans une grand ensemble. Mais dire que l'UE ne peut pas techniquement marcher en prenant l'exemple actuel alors que justement on ne lui a pas donner les moyens de fonctionner, c'est un peu fausser le débat. Barroso n'a absolument pas été élu, son poste est une nomination en accord avec les gouvernements des 27 ... Après accord trouvé ou non peu importe, le parlement européen vote un aval a la con ... Qui est ni + ni - moins qu'un vote de confiance d'intronisation d'une législature a un gouvernement et rien a voir a une élection ... Un vote de confiance ! On est quand même loin d'une sorte de premier ministre européen qui serait réellement "élu" par le parlement européen sur un scrutin de candidats, ou d'un "président de l'Europe" élu sur un scrutin universel des citoyens européens ... Rien de tout ça, juste une nomination en accord avec les 25 (c'était l'europe des 25 lors de sa première nom') Je me rappel d'ailleurs au parlement Européen ou les verts européens et DCB qui hélas regrêtaient malgré leur percée européenne a la dernière élection bien que la victoire fut celle des conservateurs européens n'ont rien pu faire pour s'opposer a Barosso malgré leur nouveau "poids" relatif dans le parlement européen vu que ce n'était pas une "élection" ou la Barosso aurait bien eu du mal a se faire élire ... Mais un vote d'aval qui alors était assez facilement acquis pour un contrat de gouvernance européenne avec les conservateurs, centristes et certains sociaux conservateurs a 5 pattes Et DCB qui limite s'excusait devant les médias de ne pouvoir rien faire contre ce vote d'aval Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Dino Posté(e) le 25 juin 2013 Share Posté(e) le 25 juin 2013 Barroso n'a absolument pas été élu, son poste est une nomination en accord avec les gouvernements des 27 ... Après accord trouvé ou non peu importe, le parlement européen vote un aval a la con ... Qui est ni + ni - moins qu'un vote de confiance d'intronisation d'une législature a un gouvernement et rien a voir a une élection ... Un vote de confiance !Une élection n'est pas forcément au suffrage universel. Ici les votants sont les membres du conseil européens dont la France fait partie. Mais pour éviter trop la confusion, tu noteras que j'ai aussi parlé de désignation ;) Mais finalement peut importe, ce que je tenais à faire remarquer, c'est que la France de l'époque a aussi participé à la nomination de Barroso. Il est donc trop facile de tirer sur la politique de la commission européenne alors que nous sommes aussi responsable de cet dernière. Surtout que c'est le conseil européen (ensemble de tous les gouvernement européens élu) qui a généralement le dernier mot. Je me rappel d'ailleurs au parlement Européen ou les verts européens et DCB qui hélas regrêtaient malgré leur percée européenne a la dernière élection bien que la victoire fut celle des conservateurs européens n'ont rien pu faire pour s'opposer a Barosso malgré leur nouveau "poids" relatif dans le parlement européen vu que ce n'était pas une "élection" ou la Barosso aurait bien eu du mal a se faire élire ... Mais un vote d'aval qui alors était assez facilement acquis pour un contrat de gouvernance européenne avec les conservateurs, centristes et certains sociaux conservateurs a 5 pattesPour moi le problème n'est pas que l'UE fasse une politique de droite ou de gauche. Le problème c'est qu'actuellement la responsabilité des prises de décision n'est pas suffisamment clair pour savoir vers où va l'europe. Ce qui fait qu'à la fin on ne sait plus qui décide entre la commission, le conseil et le parlement européen. On ne sait plus non plus quel est l'objectif recherché, avec le soupçon permanent que certains agissent pour des intérêts autre que celui des européens (personnel, national voir pour des puissances non européennes). C'est pour cela qu'il faut absolument réformer le mode de gouvernance de l'UE. C'est pour cela que j'étais contre cette farce de constitution qui ne résolvait aucun des problèmes de gouvernance, et qui au contraire marquait dans le marbre des aberrations comme le parlement qui n'a pas le dernier mot. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Chronos Posté(e) le 25 juin 2013 Share Posté(e) le 25 juin 2013 Elu, désigné par les chefs d'Etat et de gouvernement, Dino pointait surtout que Barroso doit son poste aux responsables politiques nationaux qui eux ont bel et bien été élus selon des standards démocratiques moins discutables. En un mot comme en cent, les chefs d'Etats et de gouvernement sont pleinement responsable de la direction politique de l'Europe dont ils aiment se plaindre. On oublie trop souvent le rôle fondamental des exécutifs nationaux ou du COREPER dans la prise de décision. Ils sont toujours quelque part dans la boucle et si d'aventure ils ne s'y trouvent pas, il est parfaitement possible pour eux de faire pression. Ce qui est encore plus navrant c'est qu'il n'y ait que des Montebourg, des Mélenchon et des Le Pen pour dénoncer cette situation ; c'est l'absence pure et simple de levée de bouclier des gouvernements nationaux sur le coup de jarnac réalisé par Barroso pour satisfaire sa carrière personnelle (pointé quasiment dès l'annonce des négociations par J. Quatremer) ; l'absence quasi totale de ce sujet dans la presse. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
alexandreVBCI Posté(e) le 25 juin 2013 Share Posté(e) le 25 juin 2013 La Chine et l'Europe. Après l'Allemagne, les Etats-Unis et le Royaume-Uni, c'est la France et la Belgique que la délégation patronale chinoise visite. Ces entrepreneurs ont souvent bénéficié des avantages de la planification dans un pays communiste. Ils veulent aujourd'hui asseoir leur légitimité en économie de marché. Et la France, pays du contrat social, les intéresse. Au menu de cette visite parisienne : les rencontres avec des chefs d'entreprise et des experts français, sur fond de guerre commerciale entre la Chine et l'Union européenne. Cette guerre qui, finalement, n'aura pas lieu. Car entre les panneaux solaires chinois taxés par Bruxelles et les importations de vins européens qui risquent d'être touchées en Chine, personne n'a intérêt à ce que ça aille plus loin. Selon Jean-François Dufour, directeur du cabinet DCA-Analyse, « la Chine a été confrontée à la première fois où l’Union européenne a décidé de mettre des limites à l’expansion commerciale chinoise. La Chine, qui n’a pas été habituée à cette attitude de la part de l’UE - alors que les Etats-Unis l’ont déjà adoptée dans le passé -, a voulu se mettre en position de force pour négocier ». A présent, ce schéma est en train de changer. Des négociations économiques sont en cours. L’Union européenne est le premier marché à l’exportation de la Chine. « Les exportations restent toujours déterminantes pour la croissance de la Chine qui n’a pas encore réussi un basculement vers son marché domestique. Mais cet énorme marché est important pour les entreprises européennes, confrontées à la stagnation de l’Europe aujourd’hui », conclut Jean-François Dufour. Suite : http://www.rfi.fr/asie-pacifique/20130625-france-deroule-tapis-rouge-entrepreneurs-chinois Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
alexandreVBCI Posté(e) le 25 juin 2013 Share Posté(e) le 25 juin 2013 L’OIC s’installe à Bruxelles. Un symbole …L’Organisation de la coopération islamique (OIC) inaugure aujourd’hui son bureau de représentation à Bruxelles. Un pas important pour l’OIC, mais également pour l’Union européenne. Les 27 ambassadeurs du COPS auront d’ailleurs un déjeuner avec le secrétaire général de l’organisation, le Turc Ekmeleddin Ihsanoglu.Cette inaugration n’est, en effet, pas anodine. Car l’OIC — une des plus importantes organisations régionales internationales — ne va pas occuper un obscur bureau. C’est un immeuble entier que l’OIC a acquis – rue du Trône – à deux pas du Parlement européen.Suite : http://www.bruxelles2.eu/politique-etrangere/loic-sinstalle-a-bruxelles-un-pas-important-pour-lorganisation-pour-lue-aussi.html Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Dino Posté(e) le 25 juin 2013 Share Posté(e) le 25 juin 2013 Pourquoi l'OIC viendrait s'installer à Bruxelles ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Drakene Posté(e) le 25 juin 2013 Share Posté(e) le 25 juin 2013 Bon ok puisque mes postes sarcastiques demandent à être développés, ainsi soit-il ;) Non, la décentralisation c'est l'idée que certaines gestions doivent rester local pour être efficace. La décentralisation ne signifie pas supprimer l’échelon supérieur de gestion, juste redescendre certaines responsabilités. Le décentralisation c'est avant tout pour se caler sur le "modèle européen" (inspiré par l’Allemagne notamment). Voir la création de toute pièce des régions, pourtant éloigné du modèle français historique. Après on peut justifier la décentralisation de plein de manières différentes, mais la France est arrivé à vivre sans pendant des siècles. C'est une vision beaucoup trop simpliste du monde. Cela voudrait dire qu'une nation elle même ne pourrait pas fonctionner car les régions auraient des intérêts trop divergent sans liant qui pourrait équilibrer ces besoins différents. Si on ne peut pas faire l'UE car chacun tirerait la couverture dans son sens, alors pourquoi garder un état au niveau national ? Pourquoi ne pas le supprimer et laisser les régions se débrouiller ? Puis en continuant on pourrait supprimer les régions pour ne garder que les départements, puis supprimer les département pour se concentrer pour les villes, etc... ? Et bien justement c'est cela l’Europe des régions, plus d'états (ou du moins, plus beaucoup), mais des régions avec des pouvoirs renforcés et qui jouent chacune pour leur pomme. Pour les départements déjà qu'ils manquent de disparaitre touts les 2 ou 3 ans les pauvres, autant les tenir à l'écart de ce débat :lol: Ton raisonnement, si il n'est pas un peu équilibrer, ne peut aboutir qu'à l'appel à l'individualisme absolue. Bienvenu dans l’Europe du 21éme siècle =) Que ce soit l'UE, l'état nation, les régions, les départements ou les municipalités, toutes ses administrations ont pour objectif de développer leur territoire, ce qui passe entre autre par compenser les déséquilibres que l'ont peut trouver (par exemple entre les quartier pauvre et riches d'une ville, ou entre les états riches et états pauvre au niveau fédéral). Oui sauf que dans les faits seul l'état peut vraiment lutter contre les déséquilibres territoriaux (bon des fois ça donne des trucs bizarres comme l'aménagement littoral du Languedoc-Roussillon). La décentralisation a bien montré qu'une fois les compétences dévolues aux régions, les écarts ce creusent vite entre les fortunées et les autres. Encore un cadeau de l’Europe, alors que la France savait fonctionner sans (le systéme centralisé n'étant pas exempte de défauts non plus). As ton avis, qui désigne les fonctionnaires européens dont Barroso est le premier ? Il faut arrêter de boire le dialogue de nos politiques nationaux qui aiment défausser leurs responsabilités sur l'UE. Je rappel que Barroso a été élu à l'unanimité, donc aussi par nous. Je rappel que Sarkozy l'a fortement soutenu pour sa seconde désignation. Les autres ont déjà plus ou moins répondu. Pour ma part je n’ai jamais caché ne pas porter Sarko dans mon cœur, donc je ne me sent pas vraiment concerné par les décisions politiques prises par le personnage ;) On peut être contre l'UE sur le principe car on ne veut pas voir la France être dilué dans une grand ensemble. Mais dire que l'UE ne peut pas techniquement marcher en prenant l'exemple actuel alors que justement on ne lui a pas donner les moyens de fonctionner, c'est un peu fausser le débat. Je ne dit pas le contraire, justement je critique la politique actuelle de l'UE, plus que l'idée d'UE elle même (bien qu'il y ait le risque d'en être dégouté à terme). L’OIC s’installe à Bruxelles. Un symbole … L’Organisation de la coopération islamique (OIC) inaugure aujourd’hui son bureau de représentation à Bruxelles. Un pas important pour l’OIC, mais également pour l’Union européenne. Les 27 ambassadeurs du COPS auront d’ailleurs un déjeuner avec le secrétaire général de l’organisation, le Turc Ekmeleddin Ihsanoglu. Cette inaugration n’est, en effet, pas anodine. Car l’OIC — une des plus importantes organisations régionales internationales — ne va pas occuper un obscur bureau. C’est un immeuble entier que l’OIC a acquis – rue du Trône – à deux pas du Parlement européen. Suite : http://www.bruxelles2.eu/politique-etrangere/loic-sinstalle-a-bruxelles-un-pas-important-pour-lorganisation-pour-lue-aussi.html Haha j'aime le politiquement correct... :P "son bureau de représentation à Bruxelles" => siège du lobby à Bruxelles quoi. Mais bon le lobbying à Bruxelles est un trop vaste sujet à aborder lorsque l'on à pas dormi depuis 48h :-\ Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
alpacks Posté(e) le 25 juin 2013 Share Posté(e) le 25 juin 2013 1400 lobbys a Bruxelles environ, quand ils sont 14 000 a Washington O0 ... Bon après c'est pas parce qu'ils sont 10x moins qu'au US qu'ils sont 10x moins efficace pour que le parlement et commission cuisinent des lois & normes qui leur "conviennent" a eux (souvent du sur mesure même grrrrr =( ) Mais bon ça préfigure aussi ce qui nous attends d'encore pire dans l'avenir si on se libéralise toujours + ça sera toujours + de lobbys venant minauder a bruxelles en tortillant des cuisses pour appater le technocrate frétillant :O Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Drakene Posté(e) le 25 juin 2013 Share Posté(e) le 25 juin 2013 Euh ??? Je n'ai pas vraiment les mêmes chiffres : http://www.lecourrierduparlement.fr/bruxelles-la-ville-aux-20-000-lobbyistes/ Et pour Washington ça me parait peu, ou c'est seulement les accrédités au congrès ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
alexandreVBCI Posté(e) le 25 juin 2013 Share Posté(e) le 25 juin 2013 Le Maroc et l’Union européenne franchissent un nouveau pas dans leurs relations bilatérales. Ce deuxième round de négociations sur l’accord de libre-échange complet et approfondi (ALECA) entamé hier à Bruxelles vise à mieux arrimer l’économie marocaine au marché européen et partant à permettre une meilleure fluidité des transactions et des échanges dans le cadre d’un système de gouvernance plus transparent et en harmonie avec les impératifs de la mondialisation. Le Maroc est le premier pays de la rive Sud de la Méditerranée à avoir bénéficié d’un aussi important accord complet et approfondi. Suite : http://www.libe.ma/Le-Maroc-et-l-Union-europeenne-entament-le-deuxieme-round-de-l-ALECA_a39513.htmlL’Union européenne a recommandé mardi l’ouverture de négociations avec la Serbie en vue de son adhésion, une perspective rendue possible par le récent accord de normalisation des relations conclu avec le Kosovo, a annoncé le commissaire chargé de l’élargissement, Stefan Füle.Cette recommandation des ministres des Affaires européennes, réunis à Luxembourg, sera soumise aux chefs d’Etat ou de gouvernement de l’UE, qui prendront une décision pendant leur sommet jeudi et vendredi à Bruxelles.Ils devraient alors s’entendre sur une date d’ouverture de ces négociations, qui pourraient débuter entre octobre et janvier «au plus tard», selon M. Füle.Les dirigeants se prononceront aussi sur la proposition d’ouvrir parallèlement les négociations pour un «accord d’association et de stabilisation» avec le Kosovo, l’ancienne province serbe qui a proclamé son indépendance en 2008. Cet accord est considéré comme une première étape en vue d’une éventuelle candidature à l’UE.http://www.liberation.fr/monde/2013/06/25/serbie-l-ue-recommande-l-ouverture-de-negociations-en-vue-de-son-adhesion_913639Autres news : http://europa.eu/newsroom/highlights/index_fr.htm Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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