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Embuscade à Surobi


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Les 700 CIRAS et 1900 et quelques paraclete sont ils en supplément de ce qui équipe déja les OMLT, 220 pour le RCC et 70 pour l'Uruzgan ainsi que les COS de la comando school.

Pour te répondre avec précision, il faut revoir les appels d'offres parus dans le site IXARM, ou celui du portail des marchés publics et JO, ou dans le site officiel des achats.defense.gouv.fr

Puis aussi recouper les informations publiques parues dans le RAIDS n°266, ainsi que celles de TTU, ou les anecdotes de la blogosphère et fora et enfin les intradef  O0 , car entre celles d'achat en urgence et celles des livraisions accélérées.

MSA Gallet france Paracleete pour AT

MP-SEC GBP pour AT

TR Equipement GPB Ciras pour COS et OMLT

ESDT/EFS GPB pour Cdo Marine

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Article issu de La Dépêche du Midi :

Afghanistan. Témoignage exclusif : "On était seuls au monde"

Blessé dans l’embuscade afghane, l’Ariégeois Kévin Gil raconte l’accrochage qui a coûté la vie à dix soldats français.

À l’heure où le soldat Nicolas Grégoire, tombé dans l’embuscade afghane, était porté en terre couserannaise, une famille du pays d’Olmes attendait le retour de son fils. Blessé dans la même embuscade, Kevin Gil, 20 ans, appartenant lui aussi au 8e RPIma de Castres, a retrouvé les siens il y a tout juste huit jours, après quelques jours passés à l’hôpital du Val de Grâce, à Paris. Il raconte.

Quand étiez-vous arrivé en Afghanistan ?

Nous avons débarqué à l’aéroport de Kaboul le 23 juillet, pour une mission qui devait durer jusqu’en décembre. En janvier dernier en intégrant la 4e compagnie, nous avons appris que l’Afghanistan serait certainement notre destination, plutôt que le Gabon. Pendant tout le printemps nous avons suivi des camps de simulation de guerre : entraînement au combat en véhicules avant blindés (VAB) et combat à pied.

Nous savions en arrivant à Kaboul qu’il ne s’agirait pas de simplement monter la garde. Après une semaine et demi dans une base d’acclimatation (patrouilles dans les villages), ma section a été la dernière à rejoindre la base de Massoue, dans un village à une heure et demi de Kaboul.

Quel était le cadre de vos missions ?

Jamais de repos. On enchaînait deux jours de patrouille en montagne à quadriller le terrain pour le renseignement ; puis deux jours de garde et deux jours d’alerte. On a vite trouvé nos marques. Dans ces montagnes sans végétation, le plus dur a été la chaleur : 40 à 50°. Dans des villages perdus nous avons eu de bons contacts avec des chefs de village qui semblaient favorables à notre venue. Mais beaucoup de villages ont été repris par les insurgés talibans ; notamment depuis qu’un régiment italien, attaqué, s’est replié.

Comment avez-vous vécu l’accrochage du 18 août ?

C’était beaucoup plus qu’un accrochage : une embuscade.

Le matin, ma section Carmen 2 est partie suivie d’une section du Régiment de Marche du Tchad (RMT), de deux véhicules américains et de deux jeeps où se trouvaient une dizaine de soldats de l’armée afghane.

Ce jour-là j’étais dans le premier véhicule du convoi à escorter vers la vallée d’Ousbin. Ma mission était de protéger ceux qui seraient en opération de quadrillage et de reconnaissance.

Nous avons roulé trois heures pour faire les 40 km qui nous amenaient sur la zone. Plus on avançait et plus c’était difficile ; des rochers, et des rochers à franchir. Nous sommes arrivés à midi sur des hauteurs d’où l’on apercevait deux villages. Nous avons avancé vers le plus proche,  en vue de reconnaître un col. Tous les soldats ont débarqué;  trois  véhicules sont restés à l’entrée du village ; et, la section s’est engagée vers le col.

Le premier coup de feu a claqué en haut. Une roquette. Une minute après la seconde nous visait dans le village. Elle a explosé à 20 m derrière moi. Nous nous sommes mis en place pour tirer sur les lignes de crêtes et appuyer nos compagnons pour qu’ils puissent redescendre.

Combien de temps a duré le combat?

Tout l’après-midi. Nous avons été tout le temps sous le feu. Un feu qui nous prenait à 360°. Nous avions 22 hommes dans le col et nous étions huit en bas. Les insurgés étaient 150. On était seul au monde. Il y a bien eu des vagues aériennes rapides mais qui ne ciblaient pas au bon endroit. Pourtant nous faisions des corrections par radio à autorités pour indiquer les appuis.

Comment s’est comportée la population du village ?

Dès que ça c’est mis à tirer nous n’avons plus vu personne. Pour moi, la population était au courant. À la descente des premiers blessés, je suis parti vers eux en courant : j’ai pris une rafale dans les jambes. ça ricochait de partout. J’ai cherché à me protéger dans une maison. En vain. La porte était bloquée, comme toutes les autres.

Nous avons pensé que nous allions tous rester là. Et nous avons gardé une cartouche pour nous plutôt que d’être fait prisonnier. À ce moment-là j’ai pensé à mon père qui au même âge que moi s’est trouvé, lui, dans les décombres des attentats du Liban en 1983.

Vous avez rapatrié des blessés, comment s’est passé le retour vers la base ?

Les quatre premiers blessés sont arrivés choqués. Je les ai récupérés dans mon VAB qui avait ses quatre pneus crevés,  son blindage transpercé et plus du tout de radio. Tous ses voyants étaient allumés.

Il m’a fallu plus de trois heures de route pour rentrer à la base arrière où un hôpital militaire de campagne avait été dressé. Je croisais des renforts qui montaient et ne comprenaient pas notre manœuvre. On a repris la grêle du feu. Les blessés criaient...  Puis des hélicoptères ont pu aller se poser sur zone pour récupérer nos hommes.

Avez-vous eu peur ?

Non personne n’a eu peur, sinon personne ne s’en serait tiré. Nous n’avons pas fait n’importe quoi : jamais de tir fraticide ; toujours un combat coordonné.

Propos recueillis  par Bernadette Faget

Les blessures de Kevin Gil ne sont pas apparentes : une demi-journée sous les tirs de roquettes et leur souffle ont ébranlé son système auditif. Victime du «blast». Il n’en laisse rien paraître. Il rejoindra son régiment le 21 septembre.

Kevin avait pu prévenir sa mère qu’il était en vie, le 19 août au matin, avant qu’elle n’apprenne l’embuscade par médias interposés. Une maman qui remercie la cellule psychologique du 8e RPIma pour l’avoir soutenue avec compréhension.

Un seul soldat tué à l'arme blanche

La Défense a assuré hier qu'un seul des dix soldats tués dans l'embuscade du 18 août en Afghanistan était décédé d'une blessure à l'arme blanche, cherchant à mettre fin aux rumeurs et à la polémique qui enflent autour des circonstances de la mort de ces militaires. Ces conclusions, a expliqué le capitaine de vaisseau Christophe Prazuck, de l'état-major, ressortent des « témoignages de ses camarades » et ont été « confirmées par des examens médicaux ».

«Photos insultantes»

Par ailleurs, l'épouse du chef de corps du 8e RPMIma, actuellement en Afghanistan, Pascale Aragonès a qualifié d'« insulte aux familles » la publication du reportage de Paris-Match donnant des détails sur la mort des dix soldats français. Véronique de Viguerie, la journaliste en question se trouve actuellement au festival « Visa pour l'image » de Perpignan. « Je ne m'attendais pas à une telle polémique, a-t-elle expliqué, j'imaginais bien que pour les familles, ça serait vraiment difficile. Mais pour moi, c'est le travail de journaliste que d'aller des deux côtés. J'ai juste fait mon travail. »

Propos recueillis par Bernadette Faget

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Sérieusement, cette histoire me gonfle, elle est pour moi la preuve que quelque chose vas mal. En France, un soldat l'ouvre et tout de suite sanction, aux USA, le soldat est écouté.

Je pense que l'on a sacrifié sur l'autel de l'ambition des soldats, actuellement, il n'y a pas de matériel et pas de volonté politique forte en faveur de l'armée.

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pour les hélicos, cash program sur des HAL Dhruv ?

vu qu'il est conçu pour opérer à haute altitude (Glacier de Siachen ou Kashmir). 2x 900 kW pour un hélico de la classe du Dauphin (ou du S-76).

Et dire que les moteurs c'est des Turbomeca.... Faut que l'on soit les "rois des cons..." O0

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EUH.....tu voulais dire " crash programme " i supposed :lol: :lol:

En Suisse, au pays de Chris, il y a des assurances, des horlogers ,du chocolat et beaucoup de banques  :lol: Pour Chris ,c'est du Cash $$$£££€€  :lol: On va être obligé de faire des emprunts aux Suisses pour se payer tous nos armements.

Où sinon, on géle les 55 Milliards d'avoir, capitaux des exilés français en Suisse  :lol: ça y est ! J'ai trouvé les fonds pour acheter 50 Chinook CH-47 F, 8 C-17 Globemaster III, 8 Reaper M-Q9, 13 EH101 Merlin, 500 Aravis Nexter avec des ARX20 et surtout le lancement du PA2.

Non, je n'ai pas fait d'intoxication chocolatière suisse.  :lol:

Ce n'est pas parce que les Indiens viennent de vendre leurs premiers HAL Dhruv à l'export, 7 vendus à l'Equateur qui faut croire que le Dhruv est l'hélicoptère de demain. En plus, la Marine Indienne a même refusé de commander des Dhruv supplémentaires (problème d'autonomie)

A propos, à force d'échaffauder toutes les théories du monde, il faudra juste simplement que l'on ne recommette plus ce type d'anicroches, d'embuscade massive, d'erreur de suffisance, d'oublie d'envoi d'appui aérien et de renseignement.

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En Suisse, au pays de Chris, il y a des assurances, des horlogers ,du chocolat et beaucoup de banques  :lol:

Que de clichés. (d'autant que pour les assurances, on a Niort !  :lol:)

Il y a des pauvres en Suisse. Ils ne pêuvent se payer que des audi ...  :lol:

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Que de clichés. (d'autant que pour les assurances, on a Niort !  :lol:)

Il y a des pauvres en Suisse. Ils ne pêuvent se payer que des audi ...  :lol:

J'étais à Genève, Gland, Lausanne, Montreux, Zurich. Ils devaient être cachés les pôovres en embuscade.  :lol:

A propos de Surobi, avons-nous entendu/lu/parlé d'un RETEX ou d'un quelconque rapport des Special Forces US présents à nos côtes. Cela a du leur faire tout drôle la durée inimaginable du combat.  ;) car au bout de 3 minutes d'accrochage, ils demandent un ECAS/CAS/COIN avec tout ce qui vole dans le coin. De plus, n'y-a-t-il pas eu de leur part des renforts ? Enfin, on parle de SGTIA ou GTIA. Faudrais pas les muscler un peu.

A ce propos, écouter l'ITW de Guy Tessier dans C à dire sur France 5 cette semaine.

Deux semaines après la mort de dix soldats français dans une embuscade, à cinquante kilomètres de Kaboul, l’hebdomadaire Paris Match publie un reportage photo qui crée la polémique : l’un des auteurs de l’opération pose, vêtu d’un casque et d’un uniforme français, le doigt sur la gâchette d’un fusil d’assaut Famas récupéré sur le champ de bataille.

Pour le président de la commission de la défense et des forces armées de l’Assemblée nationale, Guy Tessier, cet article "indécent" donne "une tribune à ceux qui mènent une guerre contre nos soldats" et montre que "les talibans ne sont pas ces soldats paysans perdus dans les montagnes et coupés de tout. Ils sont en relation avec le terrorisme international, et d’ailleurs, c’est dit dans le reportage, arguant du fait que l’on pouvait toucher les intérêts français partout dans le monde".

Par ailleurs, poursuit-il, "cela prouve aussi, que dans la guerre psychologique qui se mène aujourd’hui, les talibans ont parfaitement compris le choc des photos et le poids des mots".

De retour d’une mission d’information sur le sol afghan, où il a pu côtoyer, durant trois jours, les soldats français actuellement en mission, Guy Teissier estime que les troupes françaises sont "parfaitement bien équipées et entraînées" mais reconnaît que leur "moral a été atteint par les débats franco-français, et notamment par celui sur la jeunesse de certains et sur leur éventuel impréparation. Parce que être jeune n’est pas un défaut, surtout quand on est militaire".

"Dans une section", explique-t-il, "vous avez un chef de section qui a vingt-neuf ou trente ans, un adjoint qui a vingt-sept ou vingt-huit ans, des sergents qui ont vingt-cinq ans, et puis des voltigeurs, des soldats qui, eux, ont vingt ans. Mais toutes les armées du monde sont ainsi constituées".

Sur un plan strictement militaire, le président de la commission ne se déclare "pas favorable à ce qu’il y ait un renfort d’effectifs" en Afghanistan mais estime que "nous devons donner toutes les conditions de sécurité à nos soldats et nous pouvons là, peut-être, les améliorer" en développant "l’aéromobilité, c’est-à-dire avoir plus d’hélicoptères de transport" et "de combat" sur place. "Il faut impérativement", poursuit-il, "que nos tigres partent sur ce théâtre" ainsi que "des drones pour observer et éviter les embuscades".

Enfin, il préconise le déploiement "des forces spéciales pour faire du renseignement" et une "remise à plat, à la fois sur plan tactique et sur le plan stratégique". Car, conclut-il, "à partir du moment où nous avons décidé d’y être et où ne pouvons pas faire autrement que d’y rester, il faut que nous donnions tous les moyens à nos soldats. Et d’ailleurs, dans la loi de programmation, nous veillerons à ce que cela soit pris en compte de telle manière que ce que nous avons connu ces derniers jours ne se reproduise plus".

http://www.france5.fr/c-a-dire/index-fr.php?page=emission&id_article=457

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promis fusilier, je ne t'ai pas oublié sur le sujet. Mon collègue de Dragui' m'a fait faut bon et est parti baguenauder du coté de la Guyane jouer avec les pirogues... L'artilleur sol sol est revèche en général et nécessite en particulier une approche souple et féline pour le séduire. Encore un peu de patience et, tiens, je vais ouvrir un topic rien que pour le 105 !

I'll be back  ;)

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promis fusilier, je ne t'ai pas oublié sur le sujet. Mon collègue de Dragui' m'a fait faut bon et est parti baguenauder du coté de la Guyane jouer avec les pirogues... L'artilleur sol sol est revèche en général et nécessite en particulier une approche souple et féline pour le séduire. Encore un peu de patience et, tiens, je vais ouvrir un topic rien que pour le 105 !

I'll be back  ;)

Merci Max  =D 

Si maintenant les artilleurs vont faire de la pirogue en Guyane.... :lol:

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Oui, reste des mortiers de 120 ...

oui.... D'ailleurs excellent.

Mais, le problème est que la portée max est de 8 bornes, 13 avec charge propulsive aditionnelle, si je ne fais pas erreur. Ce qui veut dire en pratique entre 5 et 8 km si tu veux avoir une précision aceptable...  Alors qu'avec le 105 de Nexter t'est plutot dans l'ordre des 12 / 19 km (8/12 km = 2/3 portée max)  Et ça se transporte comme un mortier....

http://www.nexter-group.fr/index.php?option=com_content&task=view&id=96&Itemid=81

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J'étais à Genève, Gland, Lausanne, Montreux, Zurich. Ils devaient être cachés les pôovres en embuscade.  :lol:

A propos de Surobi, avons-nous entendu/lu/parlé d'un RETEX ou d'un quelconque rapport des Special Forces US présents à nos côtes. Cela a du leur faire tout drôle la durée inimaginable du combat.  ;) car au bout de 3 minutes d'accrochage, ils demandent un ECAS/CAS/COIN avec tout ce qui vole dans le coin. De plus, n'y-a-t-il pas eu de leur part des renforts ? Enfin, on parle de SGTIA ou GTIA. Faudrais pas les muscler un peu.

A ce propos, écouter l'ITW de Guy Tessier dans C à dire sur France 5 cette semaine.

Deux semaines après la mort de dix soldats français dans une embuscade, à cinquante kilomètres de Kaboul, l’hebdomadaire Paris Match publie un reportage photo qui crée la polémique : l’un des auteurs de l’opération pose, vêtu d’un casque et d’un uniforme français, le doigt sur la gâchette d’un fusil d’assaut Famas récupéré sur le champ de bataille.

Pour le président de la commission de la défense et des forces armées de l’Assemblée nationale, Guy Tessier, cet article "indécent" donne "une tribune à ceux qui mènent une guerre contre nos soldats" et montre que "les talibans ne sont pas ces soldats paysans perdus dans les montagnes et coupés de tout. Ils sont en relation avec le terrorisme international, et d’ailleurs, c’est dit dans le reportage, arguant du fait que l’on pouvait toucher les intérêts français partout dans le monde".

Par ailleurs, poursuit-il, "cela prouve aussi, que dans la guerre psychologique qui se mène aujourd’hui, les talibans ont parfaitement compris le choc des photos et le poids des mots".

De retour d’une mission d’information sur le sol afghan, où il a pu côtoyer, durant trois jours, les soldats français actuellement en mission, Guy Teissier estime que les troupes françaises sont "parfaitement bien équipées et entraînées" mais reconnaît que leur "moral a été atteint par les débats franco-français, et notamment par celui sur la jeunesse de certains et sur leur éventuel impréparation. Parce que être jeune n’est pas un défaut, surtout quand on est militaire".

"Dans une section", explique-t-il, "vous avez un chef de section qui a vingt-neuf ou trente ans, un adjoint qui a vingt-sept ou vingt-huit ans, des sergents qui ont vingt-cinq ans, et puis des voltigeurs, des soldats qui, eux, ont vingt ans. Mais toutes les armées du monde sont ainsi constituées".

Sur un plan strictement militaire, le président de la commission ne se déclare "pas favorable à ce qu’il y ait un renfort d’effectifs" en Afghanistan mais estime que "nous devons donner toutes les conditions de sécurité à nos soldats et nous pouvons là, peut-être, les améliorer" en développant "l’aéromobilité, c’est-à-dire avoir plus d’hélicoptères de transport" et "de combat" sur place. "Il faut impérativement", poursuit-il, "que nos tigres partent sur ce théâtre" ainsi que "des drones pour observer et éviter les embuscades".

Enfin, il préconise le déploiement "des forces spéciales pour faire du renseignement" et une "remise à plat, à la fois sur plan tactique et sur le plan stratégique". Car, conclut-il, "à partir du moment où nous avons décidé d’y être et où ne pouvons pas faire autrement que d’y rester, il faut que nous donnions tous les moyens à nos soldats. Et d’ailleurs, dans la loi de programmation, nous veillerons à ce que cela soit pris en compte de telle manière que ce que nous avons connu ces derniers jours ne se reproduise plus".

http://www.france5.fr/c-a-dire/index-fr.php?page=emission&id_article=457

He bien il a raison : des tigres, du renseignement avec le COS et des drones. La  réalité sur le terrain c'est une autre histoire, en tout cas c'est déjà le bon raisonnement.
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Nan, je suis un méchant moi, j'ai une pelle US et un 105.... :lol:

FAUT TOUS LES TUER!!!!! na :lol:

ma poule, pour parler serieux...Moi deployer du 120..ça me va bien.. le bebe est qd même facile à mettre en batterie et facile à trimbaler.. En tout cas plus qu'un light howitzer fusse til du gabarit du 105 mm de chez royal ordonnance.

je pense à 2 echelons d'artillerie:

BASE DE FEU:

155 mm GENRE CAESAR ...mes chous chous preferés FH 77//M 198 US

appui mobile:

mortiers :120 mm et 81 mm

pour le contact :

LG 40mm genre blooper M 203

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contre batterie (ecraser de l'equipe de mortier qui arrose par intermitence les FOB)

reactivité de l'appui (exemple le reportage sur l'engagment des hommes du 8e RPIMA passé y'a quelques jours ...) à 300 m une salve sur l'orée du village même sans visuel sur l'ennemi aurait au moins fait baissé la tete à l adversaire, voir lui aurait causé des pertes et aurait permis à la section de decrocher proprement

ensuite la reactivité de l'artillerie est plus grande que celle des appareils CAS (quelques minutes au lieu de plusieurs dizaines de minutes parfois)

enfin on retrouverait un usage pour les FS en profondeur (à l'instar des Recce SudAf) comme unités de pointage d'artillerie sur les axes de progression ou de ravitaillement de l'Eni (ce qui n'est pas le cas avec l'aviation trop longue a reagir)

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Petite question bebète mais quelle est l'utilité de canons de 155 ou de caesar contre des insurgés mobiles dont on discerne difficilement d'où proviennent les tirs, ou comme lors de l'embuscade, les troupes français et les taleb sont très proches?

cincinnatus...C'est pour celà qu'il te faut de la souplesse dans le feu délivré...

Tu vas pas balancer des " copper head " qd des gus sont au contact....là, le blooper demontre toute son utilitée...

Et les mortiers plus bas  pour les fumigenes  et la saturation en profondeur... ;)

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